Alors garde-toi bien, Sancho, de vouloir un jour m'imiter.
Crois-moi, c'est toi qui as raison.
Ta bonté n'a d'égale que ta fidélité et seule ton innocence te permet de rester à l'écart de la cruauté de ce monde.
Ce monde, je vous le laisse, mes amis, et sans être chevaliers pour autant, tâchez tout de même de le rendre un peu meilleur...
Son tort, voyez-vous, fut d'avoir trop aimé les livres...
C'est ma faute...
Encore! Mais c'est une manie chez vous!
Cessez donc de vous croire responsable du monde!
Vous êtes partiellement responsable de vous et c'est suffisant.
Je comprends que ma personnalité t’impressionne, mais je sais aussi me rendre abordable.
Je dors du sommeil du juste et ne communique qu’avec les anges.
Inutile de vous dire que c'est à coups de pied dans le cul qu'on les a fichus dehors. Et avec nos meilleurs vœux.
Ah, Sancho, Sancho… On voit que tu n’y connais rien en matière de chevalerie ! Sois patient, je te l’ai déjà dit. Les choses se méritent, Sancho, et je ne t’ai pas encore vu faire quoi que ce soit d’admirable, si tu veux savoir.
Belle et notre dame, vous êtes sans discussion d’une beauté sans égale et je vous remercie de me la dévoiler, mais mon cœur appartient à une autre à qui j’ai juré fidélité. Il ne nous est pas permis de nous pouvoir aimer, hélas.
Vous savez, les gens ne sont guère tendres, les uns envers les autres. Mes chers administrés, qui viennent de quitter notre église, sont aussi ceux qui ne comprennent pas la différence. Ils sont plus prompts à condamner, menacer et faire le coup de poing que d’essayer de faire preuve de tolérance.
La médecine, c'est bien pour se marrer mais ça n'vaut pas les modèles réduits!
Et ça s'passe bien à la Waco?
Ben, je dirais que c'est des gens pressés, et comme tous les gens pressés y a guère de temps pour la rigolade, quoi!