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Critiques de Gérard de Villiers (285)
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SAS, tome 54 : Voir Malte et mourir

Malko et envoyé à Malte, remplacer John Fitzgerald qui vîens d, être assasimer. Alors qu'il devait rencontré Godfrey bourg, un banquier maltais qui serait en possession de documents prouvant que certains membres du gouvernement serait grassement achetés par la Libye.

Pour empêcher Malte d, exploité son pétrole.ùne bonne histoire qui nous tient en haleine grâce à son lot de rebondissemts.pour passé un bon moment.⛱️
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SAS, tome 33 : Rendez-vous à Boris Gleb

Le 33ème de la série, un SAS un peu lent mais qui se termine en apothéose. Sous les froideurs de Norvège il est normal que Gérard mette du temps à réchauffer ses petites mains. Mais la fin renoue avec le meilleur. A noter une utilisation très originale du baby-lis devenu véritable outil de l’inquisition pour subir la questionnette. Barbouzes soviétiques, israéliennes, américainrs et norvégiennes se livrent une guerre sans merci pour un transfuge russe qui passe à l’est, une véritable omelette norvégienne où Mathilda et Malko nous joue la partie chaude. Au fait c’est où Boris Gleb ? Là-haut à la frontière entre la Norvège et l’Urss. On n'y passerait pas ses vacances mais pour réparer une toiture de château....
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SAS, tome 4 : Samba pour SAS

Pas mal même si clairement ce n’est pas de la grande littérature.



Il y a bien longtemps, j’ai lu beaucoup de SAS, faut dire que l’auteur est prolixe et surtout bien documenté sur la situation politique des pays traversés par son héros, Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge.



Pour ce roman, on se retrouve au Brésil, principalement à Rio, pour concrétiser une transaction financière qui ne doit pas poser problème et pourtant, les morts s’accumulent, les horreurs se multiplient et le contrat n’est toujours pas signé, c’est agaçant. Même notre Prince commence à trouver les méthodes brésiliennes un peu lourdes surtout quand la température monte et que l’on transpire à grosses gouttes sous son costume trois pièces en alpaga.



J’ai bien ri aussi des passages érotiques qui sont clairement moins hot que certains de mes livres rouges alors que ces romans étaient considérés comme assez chauds à l’époque.



J’ai passé un bon moment même si le côté sanglant ne me passionne pas beaucoup.
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SAS, tome 12 : Les trois veuves de Hong Kong

Publié en 1968, les trois veuves de Hong Kong se présente un peu comme un conte. Qui sont ces trois femmes mystérieuses ? SAS reçoit une nouvelle mission, ordonnée par un super calculateur... La description de ces premiers ordinateurs de la CIA est d'ailleurs édifiante.

Sa compagnie aérienne préférée le conduit donc à Hong Kong, colonie anglaise sans douanes et royaume du commerce. Il doit s'assurer qu'un des plus grands porte avion américain, le "Coral Sea" puisse mouiller dans la baie sans danger. En effet Mao rêve de reconquérir avant l'heure cette péninsule dorée et il y envoie ses petites fourmis. La visite des quartiers et de certaines maisons closes ne manque pas d'intérêt.
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SAS, tome 55 : Shanghai Express

J'ai entrepris la lecture, relecture, de la série SAS, souvenirs d'adolescence.

Ayant décidé de ne recenser que les livres lus à partir de l'année 2021, comme je l'ai écris dans ma présentation, les critiques de la série ne commence qu'à partir de ce numéro 55.

La CIA s'allie avec les services secrets chinois pour démasquer un haut dignitaire chinois soupçonné d'être une taupe soviétique. Surnommé l'homme en rouge, cette taupe doit fuir le pays. Malko Linge, alias SAS, est chargé de démasquer le transfuge et de l'intercepter.

Le récit, et c'est une surprise, a du mal a démarrer. Les premières pages sont décevantes, le rythme est lent et sans saveur. Et puis tout s'emballe d'un coup, on ne lâche plus le livre. Le style de Gérard DE VILLIERS est toujours aussi percutant, vif tranchant avec souvent une pointe d'humour noir.

En fin, avec l'âge, je dois avouer que je saute systématiquement toutes les scènes de sexe, récurrentes dans les histoire de SAS, mais qui n'apportent rien à l'histoire. Conscient néanmoins que cela reste la marque de fabrique de ce style de roman qui à l'époque attirait l'adolescent que j'étais.
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SAS, tome 93 : Visa pour Cuba

Comme d’habitude Malko prince autrichien au service de la CIA va être aux prises avec une mission inextricable: exfilter un agent cubain vers les États- Unis en déjouant les ruses des “segurosos “cubains au service de Fidel Castro..

L’intrigue est bien ficelée et tient le lecteur en haleine. Nous faisons connaissance avec La Havane , l’hôtel Habana libre avec son patio ses “tiendas libres” pour “ gringos” aux poches pleines de dollars et parcourons “ le Malecon” la promenade des Anglais de La Havane toute proportion gardée! Car au fil des pages la misère est omniprésente et laisse un goût amer.

L’île de Cayo Largo et ses plages de sable paradisiaques nous redonnera le sourire à la fin.

Cependant le traitement dégradant de la gente féminine tout au long du roman devient insoutenable même si on est rôdé à l’esprit SAS.

Il y a tout même des limites!
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SAS, tome 11 : Magie noire à New York

Ce Sas ne ressemble pas aux autres. Tout d'abord le terme "magie noire" désigne un certain type d'opération en espionnage.

Donc le prince Malko se voit contraint de beaucoup voyager sans oublier ses compliments pour la Scandinavian Airlines. Il va ainsi parcourir plusieurs pays dans un temps record et comme je l'ai lu dans d'autres critiques, ses choix ne sont pas forcément logiques. Ce qui m'a poussé à faire des recherches car De Villiers fait souvent passer des messages dans ses ouvrages. Celui ci est publié en 1968.

Je pense que donc que l'auteur profite de cet ouvrage pour faire référence au réseau Odessa (dont certains contestent toujours l'existence) et il s'appuie pour celà sur un fait divers de 1967, l'arrestation de Franz Strangl au Brésil grâce à Simon Wiesenthal, l'ancien commandant du camp d'extermination de Treblinka (coïncidences ?) qui avait bénéficié du fameux réseau par l'aide de l'évêque Alois Hudal... Il évoque aussi le groupe juif "ceux qui n'oublie jamais", peut être fictif, mais plusieurs organisations de ce type qu'elles soient juives ou françaises ont oeuvré dans l'après guerre pour éliminer des SS ou des délateurs cachés.

Alors la maladresse du scénario nous renverrait en fait sur une réflexion vis à vis de ces évènements.
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SAS, tome 6 : Dossier Kennedy

Vienne 1967: un prince autrichien en service pour la CIA, des barbouzes de l’Est à la solde de l’URSS et un porte- document convoité de part et d’autre du rideau de fer dont le contenu relatif à l’assassinat du président Kennedy pourrait faire trembler l’empire américain. Le tout agrémenté , comme d’habitude ,par des bimbos provocantes à souhait. M. Gérard de Villiers nous livre un polar bien ficelé enrichi par une connaissance approfondie de Vienne. Les rues , les cafés sont authentiques et la description de Bratislava comme exemple des villes de l’Est est hélas la triste vérité.

L’auteur réussit à nous plonger dans l’ «  ambiance «  peu amène des services secrets durant la guerre froide où les états d’âme et la vie des intervenants n’avaient apparemment aucune importance.
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SAS, tome 10 : L'or de la rivière Kwaï

J'ai lu ce SAS d'une traite, tout d'abord parce que le lieu des investigations se situe à Bangkok et parce que le suspens vous tient tout au long de cette aventure. De meilleure qualité que les autres tomes, la mission de Malko est simple, retrouver un agent, un ami de longue date qui a disparu en Thaïlande. La capitale thaïlandaise se dévoile, les klongs, les temples, les bars de prostituées, les hôtels miteux, l'ensemble est bien décrit. Tout au long du récit, le héros fait référence à des évènements de tomes antérieurs.

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SAS, tome 48 : Marathon à Spanish Harlem

Écrit en 1977 ce polar sans prétention mais remarquablement documenté nous fait pénétrer dans le quartier Est de Harlem fief des portoricains. “ le Spanish Harlem”

On assiste alors à une course poursuite conduite par Malko, meilleur élément de la CIA contre un dangereux terroriste qui, comme toujours ,nous permet de nous évader dans des lieux interdits aux touristes lambda.

Il y a ,de plus, des descriptions nostalgiques du Concorde et de ses voyages luxueux ainsi que de l’ascension du World Trade Center à NY disparu lui aussi.

La fin inattendue est confondante de réalisme et montre que la raison d’état a toujours le dernier mot!
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SAS, tome 58 : Piège à Budapest

Gérard de Villiers débute son roman à la trique.

Lors d'un banquet, deux apparatchiks soviétiques se font astiquer sous la nappe, simultanément par la même dame, main droite main gauche.

À l'instant le lecteur sait qu'il n'ouvre ni un roman de François Mauriac, ni une pièce de Paul Claudel...

Mais on lui pardonne car cette scène n'est pas inutile pour la construction de l'intrigue.

Quand on veut kidnapper un ministre du kremlin, viser au niveau de la braguette n'est pas forcément idiot quand on se trouve derrière le mur de Berlin.

Mais hélas, mille fois hélas, il n'a pas su s’arrêter à temps et d'autres scènes aussi inutiles les unes que les autres viennent se chevaucher, troublant le récit.

Remplissage ?

Autre point faible qui me paraît rédhibitoire, ce sont les dialogues qui sont d'une pauvreté affligeante, parfois tellement ridicules qu'on ne peut s'empêcher de rire, consterné.

C'est dommage car il suffisait de presque rien - Peut-être dix années de moins ? - pour que Gérard de Villiers emporte mon assentiment.

Grâce à une recherche documentaire sérieuse, il parvient à immerger totalement le lecteur dans le pays choisi pour l'intrigue. Ici la Hongrie, du temps de la guerre froide, est révélée d'une touche très réaliste. À la fin du livre j'avais la sensation d'être allé à Budapest.

Chaque fois que j'ouvre un S.A.S, j'ai toujours l'espoir de tomber sur l'exception qui confirme la règle. Sachant que Gérard de Villiers a utilisé des "nègres littéraires", j'espère encore dénicher celui qui dans l'ombre a su éviter tous les écueils, trichant avec le cahier des charges.

Dans les vide-greniers il n'est pas rare de trouver un carton entier de cette littérature.

Je me laisse parfois tenter.

C'est l'histoire de ce Piège à Budapest dont les mâchoires ont brisé mes espoirs.
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SAS, tome 200 : La vengeance du Kremlin

Un thriller efficace et à l’intrigue bien ficelée qui nous tient en haleine jusqu’à la dernière ligne. Le suspens est porté à son comble dans cette cavalcade entre Londres et Moscou via Tel Aviv sur fond de guerre secrète entre CIA et FSB ( anciennement KGB)

Malko en James Bond à la française n𠆚 pas pris une ride pour sa 200ème et dernière apparition et est toujours aussi réactif avec les jolies jeunes femmes qu’il croise entre deux avions..!C𠆞st la patte Gérard de Villiers qui nous manque depuis qu’il nous a quittés en 2013.

Monsieur de Villiers “ l𠆚uteur le mieux informé de la planète” selon le NY Times évoque des sujets d�tualité brûlants en faisant retomber la pression par des intermèdes érotiques .

Son génie est aussi dans son style incisif, ne relatant que les faits sans état d’âme, les protagonistes n’étant pas des sentimentaux

et le lecteur n𠆚yant que 2h à lui consacrer.

Vous nous manquez Monsieur De Villiers. Qui ressuscitera Malko pour une 201 ème aventure?

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SAS, tome 2 : SAS contre CIA

Publié en 1965, le deuxième roman mettant en scène Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge se déroule en Iran alors que le Chah est toujours au pouvoir mais que les forces révolutionnaires fomentent un attentat à son encontre. L’Iran des sixties plait davantage à Malko que celui qu’il visitera ultérieurement au cours de ses aventures : musique, danse, vodka, caviar et jolies filles.

La CIA a été avertie par le KGB d’un futur coup d’état en vue de placer à la tête de l’Iran le général Kadjar. Schalberg, chef de la CIA dans le pays, soutient les révolutionnaires. Mais si le coup d’état réussi, les forces soviétiques envahiront le pays. Malko Linge a donc mission d’empêcher la révolution. Il débarque incognito en Iran avec dix millions de dollars, somme nécessaire à corrompre qui de droit. Mais l’argent se voit confisqué par la police au service de Schalberg et Malko doit recourir à l’aide de deux Belges traficotant dans le pays, Jean Derieux et Van der Staern. Ce-dernier est tué lors d’une reconnaissance au cours de laquelle Malko obtient la preuve de l’implication de Schalberg dans les manigances de Kadjar. SAS devra encore naviguer entre les factions rivales, les Russes, les mollah et les politiciens corrompus pour tenter de sauver le Chah.

Tout comme le précédent, SAS A ISTAMBUL, cette aventure de Malko tranche avec ce que le personnage deviendra par la suite. Nous sommes ici dans un espionnage beaucoup plus feutré, davantage porté sur la politique et les manigances de l’ombre. L’action est donc réduite (seul les derniers chapitres avec leur course-poursuite aérienne pour détruire une bombe volante relève du genre), l’érotisme quasi absent (Malko flirte mais ne coucher pas),…L’essentiel réside dans les jeux d’influences entre personnages souvent peu recommandables qui tentent de tirer leur épingle d’un jeu de dupe : trafiquant belge, agent double, fonctionnaire corrompu, général sadique se rêvant roi à la place du Chah, jeune fille amorale qui vont de l’un à l’autre par intérêt,…Le petit monde des barbouzes se trouve joliment dépeint, dans un Iran encore paradisiaque mais déjà menacé par l’extrémisme religieux : entre deux maux (communisme et islamisme) il faut choisir le moindre et Malko aura bien du mal à s’en dépêtrer, tout comme il aura du mal à choisir entre une belle Iranienne et une hôtesse de l’air suédoise.

En définitive, SAS CONTE CIA constitue un bon roman d’espionnage, beaucoup plus sérieux que les suivants qui verseront de plus en plus dans l’aventure kilométrique et l’érotisme envahissant. Conseillé pour découvrir un des personnages les plus emblématiques de la littérature de gare.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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SAS, tome 31 : L'ange de Montevideo

Un SAS (le 31) très particulier car Malko tue pour la première fois de sang froid (d’habitude il tue par légitime défense) et en même temps il fait preuve d’empathie pour son ennemi désigné (par la CIA) la petite tupamara, Flor qui veut venger sa famille avant de prononcer ses vœux et s’enfermer dans son couvent de dominicaines.

Du point de vue géopolitique Gérard nous amène en 1972 au pays de Tupamaros, l’Uruguay. Je les avais oubliés ceux-là et pourtant à l’époque on en entendait parler à JT. Il nous apprend que ces guérilleros étaient surtout des étudiants, des fils de bourgeois qui luttaient contre une nomenklatura pervertie à la solde des américains. Sinon la routine, de la gégène avec force détails et des performances olympiennes à l’horizontale du prince qui vont faire la différence. J’ai lu mieux chez Gégé.

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SAS, tome 9 : À l'ouest de Jérusalem

Ce 9ème tome montre une amélioration de la série SAS. Cet épisode ferait un excellent James Bond. Malko, flanqué de ses deux cerbères américains enquête sur le rapt d'une jeune fille très importante. Son périple le conduit en Suisse puis en Sardaigne. Bien que le titre évoque Jérusalem, l'action ne s'y déroule pas. Le Prince va se heurter à un service secret particulier.
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SAS, tome 8 : Aux Caraïbes

Un huitième tome qui se déroule quasiment en totalité à Grande Bahamas avant l'arrivée d'un cyclone. Nous découvrons ici les prémices du futur paradis fiscal, déjà bien mal fréquenté dans les années 60. Une petite mission pour SAS qui ne va pas être si facile que cela, enquêter sur le disparition d'un américain spécialiste en codes chiffrés. La mafia, les dirigeants des Bahamas, les russes et les américains flairent une opportunité. L'ambiance ressemble un peu à celle de James Bond contre Docteur No. L'auteur ne cache pas son mépris pour la communauté gay ni sa vision des africains ou créoles, mais c'était un état d'esprit commun à cette époque.
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SAS, tome 30 : Mourir pour Zanzibar

Un bon SAS ce 30ème. Nous sommes en Tanzanie en 1973 : se côtoient arabes, indiens, comoriens et tanzaniens de souche. Toutes les propriétés arabes et indiennes ont été nationalisées, leur propriétaires massacrés ou exploités. J’en passe et des pires !

Il faut ajouter à cette sauce piquante la présence des chinois qui s’installent sans ménagement pour étendre leur toile.

Malko dans cette salade zanzibarienne va exécuter le dictateur local, un bien sanguinaire que Gérard nous a inventé, et cela pour les beaux yeux d’une belle indienne.
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SAS, tome 7 : SAS broie du noir

Premier SAS en Afrique, au Burundi plus précisément pour une mission en solo à haut risque car aucune aide possible sur place. Cette aventure se déroule en grande partie à BUJUMBURA, Malko est confronté aux clichés peu exagérés de la bureaucratie hyper corrompue mais la façon de décrire ce monde manque de précision et de finesse, nous sommes encore en pleine époque colonialiste, où les grandes puissances telles que la Chine et l'URSS chassent sur le pré carré européen. Un tel roman ne pourrait plus être publié aujourd'hui. Le scénario reste quand même assez fantaisiste et simpliste. Le seul mérite de l'auteur tient dans le fait qu'il appuie dans ce septième tome publié en 1967 sur les haines féroces entre les Tutsi et les Hutus qui aboutiront 27 plus tard au génocide rwandais.
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SAS, tome 29 : Berlin : Check-point Charlie

Un cru moyen pour ce 29 ème SAS. Le décor est le Berlin Est de 1973, 16 ans encore avec le mur. Le DDR est tout à fait au point pour empêcher toute tentative de passer le mur, même des séismographes pour repérer les éventuels creusements de tunnel. Mon Gégé nous apprend que la communauté turque mâle de Berlin Ouest fait de nombreux passages par Check point Charlie afin de retrouver la communauté est-allemande des maîtresses sans ressources de l’est. Comme dirait Ségolène c’est du gagnant-gagnant. Pour l’anecdote Charlie pour C car il y a aussi le check point Bravo pour B.

Alors comment faire sortir un prix Nobel de physique, détenteur de lourds secrets sur l’armement russe dans de telles conditions ? Heureusement Malko est là avec son opinel autrichien et un fil à pêche. Mais chut il faut lire.
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SAS, tome 6 : Dossier Kennedy

Ce sixième SAS pourrait faire un excellent film d'espionnage. Le scénario capte vite l'attention du lecteur et le suspens grandit au fil de la lecture. Il situe Malko Linge dans son environnement dans l'hiver autrichien en son château de Liezen. De nombreuses scènes se déroulent à Vienne avec une incursion à Bratislava en Tchécoslovaquie. Elko Krizantem, (Cf : SAS à Istanbul) son fidèle garde du corps l'accompagne tout au long de cette dangereuse aventure qui connait plusieurs rebondissements.

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