J'ai entrepris la lecture, relecture, de la série SAS, souvenirs d'adolescence.
Ayant décidé de ne recenser que les livres lus à partir de l'année 2021, comme je l'ai écris dans ma présentation, les critiques de la série ne commence qu'à partir de ce numéro 55.
La CIA s'allie avec les services secrets chinois pour démasquer un haut dignitaire chinois soupçonné d'être une taupe soviétique. Surnommé l'homme en rouge, cette taupe doit fuir le pays. Malko Linge, alias SAS, est chargé de démasquer le transfuge et de l'intercepter.
Le récit, et c'est une surprise, a du mal a démarrer. Les premières pages sont décevantes, le rythme est lent et sans saveur. Et puis tout s'emballe d'un coup, on ne lâche plus le livre. le style de
Gérard DE VILLIERS est toujours aussi percutant, vif tranchant avec souvent une pointe d'humour noir.
En fin, avec l'âge, je dois avouer que je saute systématiquement toutes les scènes de sexe, récurrentes dans les histoire de SAS, mais qui n'apportent rien à l'histoire. Conscient néanmoins que cela reste la marque de fabrique de ce style de roman qui à l'époque attirait l'adolescent que j'étais.