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Critiques de Grégoire Courtois (103)
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Les lois du ciel

Je l'ai attendu longtemps je l'ai lu en une semaine à part son écriture au plus-que-parfais qui rend l'histoire racontée dans le passé - futur simple serait plus judicieux bref excellent bouquin et alors les scènes des décès des enfants particulièrement bien détaillées effectivement comme le disait Collard on ne sort pas indemne de cette lecture et alors la scène du sanglier génial !!! Avec plus de détail encore se serait digne d'un grand Stephen King !!! Effectivement aucun enfant ne va revenir de cette classe verte !!! Bref (encore) Je ne l'ai pas lâché jusqu'à la dernière ligne ... Ce n'est pas un livre pour midinettes âmes sensibles s'abstenir Par des petites phrases qui s'adressent aux lecteurs Monsieur Courtois saisis le lecteur Je recommande vivement ce livre moi comme le sanglier je l'ai dévoré
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Les lois du ciel

Morvan - Une classe d'élèves de six, sept ans, partent camper dans la forêt avec Fred, leur instituteur et deux mamans.

Les événements vont s'enchaîner et faire de ce voyage une descente aux enfers.....

Un roman court (200 pages) et heureusement pour nos nerfs!

Dans le genre trash, je pense qu'on peut difficilement faire mieux (ou pire, c'est selon.....) surtout quand ça concerne des bambins.

Grégoire Courtois ne va pas avec le dos de la cuillère.

Je vous préviens âmes sensibles s'abstenir!

Certaines scènes sont carrément effroyables et pourtant, j'en ai lu du thriller.

Les chapitres courts se succèdent et on tourne les pages en espérant une issue heureuse, même si l'on sait dès le début que ça va mal tourner.

Je pense que le récit aurait été plus crédible si les protagonistes avaient été des adolescents à la place de jeunes enfants, mais c'est ce qui fait aussi toute l'horreur de l'histoire.

Sincèrement, je ne saurais dire si j'ai adoré ou pas, tant ce roman est dérangeant et glauque.

Une chose est sûre, il ne s'oublie pas facilement.
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Les lois du ciel

Le résumé donne envie. J'ai acheté le livre. Le titre du livre pour ma part ne semble pas en rapport avec le contenu. Des enfants partent 3 jours en classe de découverte avec 1 enseignant et 2 mamans accompagnatrices. Très vite, 1 des mamans est malade et il faut la rapatrier. Très vite, le groupe soudé se désolidarise par nécessité. Chacun est confronté à ses peurs, à ses reproches envers les uns et les autres et surtout à sauver sa peau. Vrai que personne n'en réchappe. Même si l'auteur met de la psychologie dans le livre, on réalise que ce n'est pas des ados qui parlent mais des enfants de 6 ans ! Je ne pense pas qu'un enfant de 6 ans soit en mesure de le dire ainsi. Le meurtrier du même âge à des pulsions sadiques comme un adulte alors qu'il n'a que 6 ans. L'autre chose bizarre est que l'enseignant raconte une histoire à la tombée de la nuit qui semble être un conte puis la moralité devient agressive et dérangeante. La scène du sanglier et du meurtrier à la fin est décrite mais trop longue. Se lit en 1 journée.
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Les lois du ciel

Attention roman très dur , déjà il s'agit d'enfants , le gore est présent , la fin est horrible , même si peu crédible ...

Une excursion qui tourne à la boucherie , voilà tout est dit ....
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Les lois du ciel

Autant le dire tout de suite, je ne suis pas fan des romans noirs, mais parfois je me laisse aller à en lire un lorsque j'ai lu une recension intéressante. Bon et bien là, non, je ne changerai pas d'avis: cela ne m'apporte pas grand chose, même pas du divertissement. D'emblée de jeu, on sait que tous ces enfants qui partent pour quelques jours en camp n'en reviendront pas. D'entrée de jeu, on comprend qui sera l'élément destabilisateur.

Et puis très vite, c'est trop: trop entendu, trop rapide, trop peu crédible aussi. S'il y a une chose que je retiens, c'est l'analyse des relations entre les enfants qui sonne juste. Pour le reste, je trouve qu'on a là un déchaînement morbide d'événements hautement improbables ainsi que des descriptions qui deviennent vite insoutenables.

Bref, il y a mieux à faire.
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Les lois du ciel

C’est l’histoire d’une classe verte : 12 élèves de 6 ans, trois adultes, une forêt et deux jours plus tard, aucun survivant.

Une déclinaison du « Projet Blairwitch » dont la lecture s’avère parfois difficile de par la description des souffrances endurées ou par les thèmes développés.

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Suréquipée

Années 2100: la firme Renault-PSA crée la première voiture totalement organique, une sorte de jaguar-voiture. Evidemment, au vu de l'avancée technologique, elle est entièrement connectée et "intelligente".

Antoine a acheté cette merveille de technologie mais Antoine a disparu. La voiture est donc la dernière "personne" à l'avoir vu vivant. C'est elle (enfin, sa boite noire) qui témoigne à la première personne...

Voilà un petit roman de science-fiction qui aurait pu être absolument génial: il traite de nos rapports à l'automobile (ceux des hommes surtout), de la frontière de plus en plus faible entre homme et machine, du mythe prométhéen mais... tout cela est tellement mal écrit !
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Les lois du ciel

beaucoup de violence dans ce livre, surtout que ce sont des enfants qui sont visés et que le tortionnaire est aussi un enfant. Dur à lire. On n'oubliera cette histoire de sitôt.
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Suréquipée

Lorsque les éditions Folio m'ont proposé de lire ce roman, j'ai été un peu surprise car l'auteur de Suréquipée s'appelle comme le responsable de la librairie indé de ma ville. Après vérification, il s'avère que l'auteur et le libraire sont la même personne! Je me suis lancée dans la lecture de son roman par solidarité auxerroise!



Malheureusement bien que ce roman soit très bien écrit, je n'ai pas du tout accroché à l'histoire. Après la disparition inexpliquée de son propriétaire, Blackjag une voiture faite de matériaux organiques est interrogée par son créateur en présence d'un huissier. On plonge alors dans les souvenirs de la voiture ce qui nous permet de retracer son histoire : de ses débuts auprès de son créateur à son arrivée chez Antoine qui va rapidement développer une fascination malsaine pour elle. J'ai lu ce roman très rapidement. Il est très court et la plume de Grégoire Courtois est entrainante. Il sait trouver les mots justes pour que l'on s'intéresse à l'histoire très particulière de Blackjag. On se pose beaucoup de question sur la frontière entre la machine et l'humain, car cette voiture faite de chair et de sang est attachante. Mais plus j'avançais dans ma lecture plus j'ai été dérangée par la direction que prenait l'histoire. L'histoire originale et intéressante d'un point de vue éthique s'est transformé en vaste blague "What the fuck!". Je ne vous dévoilerais ce qui m'a dérangée mais je crois que c'est la première fois que je suis autant rebutée par une scène de "sexe" à la frontière entre la mécanophilie et la zoophilie. Mais elle a eu le mérite de nous donner à une amie et moi, un très gros fou rire lorsque je lui ai lu à voix haute la scène. Bizarrement ça ne lui a pas donné envie de lire le roman^^



En conclusion, Suréquipée n'a pas fait mouche auprès de moi. Je reconnais le talent indéniable de l'auteur mais je n'ai pas du tout apprécié l'histoire. Après des premiers chapitres très intéressants, l'intrigue prend un tournant qui m'a laissée pantoise et qui je trouve dessert le propos.
Lien : http://over-books.blogspot.f..
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Les agents

Dans un futur que l’on souhaite le plus éloigné possible, la vie se résume à un box dans une tour, un écran d’ordinateur, et la compilation de données dont on ignore le but ou l’intérêt. Entrecoupée de pauses chronométrées, repas, toilettes, sommeil, les agents n’ont d’autre cadre de vie que leur bureau et leur travail. Malheur à celui qui est pris en faute : il est aussitôt chassé, exécuté, défenestré, ou bien se retrouve dans la rue, des dizaines d’étages plus bas, cette rue qui est synonyme de monde inconnu, pollution, de mort… Au sein de ces tours, les êtres vivants sont devenus des machines au service des machines. Qui décide, qui commande, ils l’ignorent. Souvent, des bagarres éclatent, allant jusqu’au meurtre, pour que chacun puisse étendre son territoire d’influence, comme une guerre des gangs. Dans la tour 35 S, Lazlo et les membres de son groupe, sa guilde, s’emploient à ne pas être absorbés, à ne pas succomber aux assauts des autres guildes. Mais en secret, Lazlo rêve d’un coup d’éclat…

Roman halluciné et hallucinant, les Agents décrit un monde où toute trace d’humanité semble avoir disparu et où tout un chacun se doit d’entrer dans le moule imposé par les « responsables » Qui sont-ils et quels buts poursuivent-ils, l’auteur ne le dit pas, il met plutôt en place une mécanique broyeuse implacable qui pousse les vivants au suicide, ou alors à braver certains interdits pour se donner un semblant d’existence. Ainsi, un homme se tranche tous les orteils pour pouvoir courir plus vite, une femme se scarifie régulièrement pour modifier son apparence physique, une autre s’épile intégralement. Dans cette mécanique parfaitement huilée, l’arrivée d’un nouvel agent qui jure par son indépendance et son état d’esprit, va venir gripper cette marche implacable… La conclusion de ce récit, à l’aune de la totalité du roman d’ailleurs, ne laisse guère de place à l’espoir, une métaphore sans aucun doute de ce que le monde du travail peut parfois se révéler être.

Je remercie les éditions Folio pour leur confiance renouvelée.
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Les agents

Le synopsis, de par la bref description de l’univers dans lequel nous allons être plongé, m’a plutôt envoûté. J’avoue, page après page, avoir été déçu. Non par l’intrigue en elle même, mais par mes attentes envers cette dernière. Je me suis tout de même laissé bercer par l’histoire assez captivante de cette « vie de bureau », à la fois calme et agitée. Sans le vouloir (ou du moins naturellement), l’histoire nous conduit à prendre du recul sur notre propre situation, et notre position au sein de la société. Notre conditionnement implicitement imposé par cette dernière est fortement remis en cause, l’analogie est flagrante… Peut-être ce récit sera celui de notre postérité dans les siècles à venir…









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Les agents

Grégoire Courtois aime jouer avec ses lecteurs. Chaque petit chapitre s'y prête merveilleusement bien, jusqu'au final, « gravité », qui peut être lu d'une traite.

Cette satire du travail renvoit à notre quotidien, que l'on soit derrière un bureau ou non, nous avons tous des tâches ingrates et répétitives.

La violence d'une déshumanisation transpire en chaque page, d'ailleurs, on aura peu d'empathie pour ces personnages qui vivent reclus dans leurs box des hautes tours de verre.

Par contre, à plusieurs moments, vous aurez le recul nécessaire sur vos propres faits et gestes. Nous sommes bien dans un livre miroir qui nous montre pas du tout le meilleur de nous-mêmes... et, c'est justement en ça que M.Courtois se démarque formidablement.

En dehors de la collection Folio SF, cet auteur est également à suivre sous le nom de Tristan Saule lors des Chroniques de la Place Carrée. Ces romans noirs sont disponibles au Quartanier éditeur. Vous me retrouverez donc par ici.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Les lois du ciel

Sans doute l'un des romans les plus horribles que j'ai jamais lus. Une classe de CP partie en camping dans une forêt, une série de circonstances malheureuses et les enfants se retrouvent seuls, plongés dans une longue nuit de terreur qui va les engloutir les uns après les autres.

C'est un roman qui vous prend aux tripes. Une fois commencé, vous ne pouvez plus le lâcher. Votre coeur de parent s'affole pour chacun de ces petits que rien ni personne ne pourra sauver d'une fin tragique. Vous les suivez dans leur fuite éperdue dans une ambiance indicible qui les remplit d'effroi. Vous tremblez avec eux, de peur, de faim, de froid, de douleur.

Le plus terrible, est que tout ce qui arrive n'est la faute de personne.

Le genre de roman qui vous marque à jamais.

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Les agents

Les Agents, rentre dans ces lectures qui pour moi se suffisent à elles-mêmes. S'enfonçant dans un univers sombre et technocratique, l'histoire n'a besoin de rien pour évoluer. Les Agents, évolue selon un principe simple que j'ai sobrement appelé : « la descente aux enfers sans possibilité de rédemption ». Une ode à la violence psychologique et matérialiste, une ode au travail, et le Travail avec un grand T comme Ta gueule et frappe des lignes de codes. Aliénation bureaucratique.

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Les agents c'est comme si 1984 avait muté en une immense Trump Tower sans début ni fin, où à chaque étage il y a des dizaines de gangs, organisés dans des Open Space, qui n'attendent qu'une seule chose, que ça pète, que les lignes de codes soient en surchauffe, le cerveau en bouilli prêt à fracasser de l'Agent, afin d'avoir le privilège de continuer d'exister derrière les lignes de codes. Absurde me direz-vous, et vous auriez bien raison.

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Derrière cette aliénation et ce non-sens, se cache beaucoup de poésie, elle se fraie toujours un chemin, même dans les recoins les plus bétonnés et numérique du livre. Naviguant entre Ballard et Kafka, mention spéciale pour cette Agent qui trouve du sens dans la mutilation de son corps après l'avoir recousu, ou encore cet agent totalement paranoïaque. Ainsi on retrouve les embruns poétiques de l'auteur de Crash! et du Château. Un labyrinthe organique.

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Courtois, détail avec beaucoup de justesse une forme du travail qui n'est pas très éloignée de certaines formes de travail que l'on pourrait cotoyer aujourd'hui, évidement il pousse à son paroxysme sa version et en fait une dystopie des plus abjectes, mais non dénuée d'un certain humour grinçant, une sorte de farce géante à deux vitesses.

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Les Agents, c'est K qui trouve du boulot au Château et qui se rend compte que ce dernier est situé au centre de la Foire aux atrocités. Un cocktail absurde mais si on reste assez longtemps et qu'on tire les bonnes ficelles, peut être que les lignes de codes cesseront d'émettre.
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Les lois du ciel

On m’a dit pire que pendre sur ce court roman, son histoire trash cacherait une vacuité du propos et sa lecture serait une véritable perte de temps. Si l’ouvrage n’est pas exempt de défauts, il faut reconnaître que la plume viscérale de l’auteur lui accorde une puissance évocatrice qui donnera des cauchemars aux âmes sensibles.

Inutile de chercher à vous attacher aux personnages, ceux-ci ne sont que des noms, des silhouettes à peine esquissées, destinés à empiler des scènes gores explicites dans lesquelles plane sournoisement une espèce de poésie nihiliste.

L’auteur s’amuse vraiment à nous conter cette excursion sylvestre qui tourne mal. Son style visuel et organique nous foudroie alors que la violence s’invite avec fracas au sein de cette funeste classe verte par le biais d’un personnage invraisemblable mais la situation en elle-même est improbable. Cependant malgré son aspect invraisemblable, la situation se révèle extrêmement glaçante.

Si le personnage par qui l’horreur arrive est un peu trop improbable, il faut reconnaître que l’auteur connaît les dynamiques de groupes qui font des cours de récréation une jungle où le moindre faux pas est synonyme d’exclusion. Les réactions de ces pauvres enfants livrés à eux-mêmes sont crédibles et la manière dont les différents groupes s’organisent refléte la manière dont l’instinct de survie prend le pas sur la raison et la réflexion. Et l’instinct de survie d’enfants de six ans ne pèsent pas lourd face à la fatalité et la forêt inextricable.

Au-delà d'un récit sanglant et impitoyable, l’auteur développe une narration atypique, brisant le quatrième mur, interpellant le lecteur sur le sens de sa propre vie. Le lecteur est pris à témoin alors que l’auteur instaure au fil de son récit une réflexion nihiliste qui se révélera encore plus perturbante que l’interminable scène finale qui clôt le récit avant un épilogue dans lequel il est vain d’espérer la moindre éclaircie.

Un récit glaçant, au style organique qui ne laisse pas indifférent, mais qui n’est pas à mettre entre toutes les mains.



Culturevsnews.com
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Les lois du ciel

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Suréquipée

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Les lois du ciel





Une très grosse claque qui peut choquer...



Lu en une journée, ce petit roman d’à peine 200 pages se dévore sans modération. La plume de l’auteur est acérée, les chapitres sont courts, deux, trois, quatre pages au maximum, ce qui donne un rythme indéniable au roman. On ne sort jamais de l’histoire, l’auteur ne nous offrant aucun temps mort.



On va suivre l’histoire d’une douzaine d’enfants et de leurs encadrants le temps d’une soirée dans les bois. Juste une nuit et une journée, où les scènes d’horreurs vont s’enchaîner.



Même si ce livre ne m’a pas laissé une seconde de répit, ce n’est pas un coup de cœur pour moi. Il m’a manqué une centaine de pages pour vraiment m’attacher aux personnages et prendre au sérieux les péripéties de l’histoire. Elles s’enchaînent tellement vite qu’au fond, les différents drames ne nous atteignent plus vraiment et se contentent d’être gores. Parce que gore, et glauque, ce livre l’est ! Presque à l’excès sur la fin. Je m’attendais d’ailleurs à un final plus subtil, plus percutant.



Donc pour moi, ce livre a été une très, très bonne lecture. Je peux comprendre facilement cependant qu’il puisse déranger et ne pas plaire. Une chose est sûre : après cette lecture, vous y penserez à deux fois avant de laisser vos enfants partir en classe verte !

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Suréquipée

Une histoire très intéressante, mais des longueurs dans les descriptions technique et je n'ai pas compris la chute
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Les lois du ciel

Une fois lu ce livre vous ne laisserez plus jamais partir votre enfant en classe nature....

198 pages de pure horreur !!

J'ai été completement emportée par l'histoire à la narration originale, le suspense et la tension sont intenses et presents tout au long du livre

On ne ressors definitivement pas indemne de cette lecture...

⚠ Je déconseille aux mamans de jeunes enfants (à moins de ne pas avoir froid aux yeux et encore..) l'histoire est assez crue dans les details macabres et fait vraiment appel au sentiments maternels, je dois avouer que mon cœur de maman à été éprouvé..
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