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Critiques de Gregory David Roberts (120)
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Shantaram

Ce roman autobiographique que j'ai lu au tout début du premier confinement de mars 2020 fut absolument salvateur pour moi. Quelle douce évasion il fut! On est littéralement transportée au coeur de l'Inde et ses mystères. J'en ai dégusté chacune des pages avec ferveur. J'écrivais souvent des passages qui me faisaient réfléchir et sur lesquels je voulais revenir. Ce fut comme un roman initiatique pour moi tant la réflexion qu'il m'apportait était profonde. Dépaysement et réflexions garantis.



Résumé : En 1978, Lindsay "Lin" Ford (pseudonyme de Gregory David Roberts), un philosophe et révolutionnaire de 24 ans sombre dans la dépendance à l'héroïne lorsque son mariage s'écroule et qu'il perd la garde de sa fille. Il se rend coupable d’une série de vols réalisés à l𠆚ide d’une fausse arme à feu. Il devient célèbre sous le nom de « Gentleman Bandit ». Il fut condamné à 19 ans de prison mais s’évade et passe 10 de ses années de fugitif à Bombay. C'est alors le début d'un long parcours initiatique, au cours duquel sa vie sera bouleversée. Docteur dans un bidonville avant d'intégrer la mafia de Bombay, Lin connaîtra l'amitié, l'amour mais devra aussi faire face à la trahison et à la violence.



Citation : "La nature humaine se caractérise par le fait que les meilleures qualités, mobilisées rapidement en période de crise, sont souvent impossibles à trouver en période de calme et de prospérité. Les contours de toutes nos vertus sont tracés par l'adversité."
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Shantaram

Shantaram est devenu en quelques années LE roman de Mumbaï, au point que le luxueux hôtel Four Seasons en a placé un exemplaire sur la table de chevet de ses 202 chambres. Gregory David Roberts est un criminel échappé d’une prison. De cet épisode rocambolesque de sa vie, il a fait le point de départ de cette fresque monumentale. Mais comme l’auteur l’explique lui-même, écrire ses mémoires ne suffit pas à faire un bon livre. Il a donc préféré la fiction pour déclarer son amour à Mumbaï. Son héros, Lin, devra se réfugier dans un bidonville et partager le quotidien d’une communauté attachante et fragile. Il sera leur médecin. Il parlera leur langue, le marathi. Puis c’est la mafia qui l’adoptera. Son chef, Khaderbhai, lui confiera le trafic des passeports. Par fidélité, Lin ira jusqu'à l’accompagner dans sa guerre en Afghanistan, au risque de s’y faire tuer. Une péripétie de plus pour Lin, torturé dans une geôle insalubre, piégé par une sadique tenancière de bordel ou trahi par l’opium et l’héroïne. Rassurez-vous, Shantaram n’a rien d’un SAS. Dans son roman, Gregory David Roberts est parvenu à nous transmettre la force vitale, la folie créatrice et la paradoxale beauté qui font de Mumbaï une métropole ultime, où la naissance et la mort se frôlent comme deux amants complices. Vous serez fascinés, emportés par son histoire et ses magnifiques personnages, comme le généreux Parbaker ou la vénéneuse Karla. Souvenez-vous de vos lectures de jeunesse, Belle du Seigneur, Ulysse, la Montagne Magique, Ada ou l’Ardeur, le Maître et Marguerite… Avec ce livre, vous retrouverez le plaisir du « pavé qu’on ne peut plus lâcher ».
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Shantaram

Roman autobiographique. Quel dommage que l'auteur soit à ce point fier de lui ! A l'image d'un Henri Charrière avec son "papillon", Gregory David Roberts nous raconte son aventure d''évadé, fugitif en Inde, avec un manque criant d'humilité.

Quel dommage, je le répète, parce qu'à part ça, c'est super roman d'aventure ...
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Shantaram

Shantaram est Le Roman dont tout le monde aurait dû entendre parler.

Le roman « total », celui de l'initiation d'un homme, celui d'une ville. C'est bien sûr, une histoire vraie, mais bien plus qu'une simple auto- fiction. Il dégage une charge émotionnelle si forte que l'on entre dans une fascination, qui au fur et à mesure que la narration se déploie, devient de plus en plus intense.

Lisez les premières lignes et vous comprendrez que le « tout » est là.

A la question : Est-ce bien lui qui l'a écrit ? Jean Christophe Rufin répond : « Ce n'est pas un autre qui a écrit à sa place. Je suis faillible, bien entendu, mais j'ai rencontré ce mec deux fois et il correspond à son livre. Surtout quand il raconte les à-côtés du bouquin, les images sont dans la même veine que ses mots. Ce n'est pas une victime, mais une brute totale qui s'est jetée dans la difficulté. C'est un spationaute qui revient d'une sorte de galaxie de la souffrance, avec un recul, une intensité, une sagesse
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Shantaram

J'ai vraiment pensé sur la fin que ce livre était interminable.

Je me suis trompé car je l'ai terminé.

J'ai sauté quelques pages, voire beaucoup sur la fin je l 'avoue.



Gregory david Roberts ( que le dernier ferme la porte) n' as pas une vie normale.

Braqueur de banque défoncé à l'hero il va s'évader d 'une prison de haute sécurité et se planquer à Bombay ou il vivra dans un bidonville avant d être recruté par la mafia indienne.

C'est sur que c'est pas la vie d' un pharmacien de Trifoully les oies.



Et c'est pour ça forcement que ce livre m 'a attiré.

Ça sentait bon l' aventure et le récit épique.

Et en plus ça se passe à Bombay.



J'ai eu la chance de passer trois jours dans cette ville lors d un périple en Inde et cet ouvrage était pour moi l 'occasion de me replonger dans cette ville complément dingue et de repartir en Inde.



Sur le côté découverte et immersion de la culture indienne, GDR à réussi à nous mettre dans l' ambiance si particulière de la métropole indienne sans tomber dans la caricature.



Il nous fait découvrir avec de nombreux personnages le fonctionnement et les coutumes des indiens.



Le problème c'est que GDR aurait dû se contenter de nous conter sa cavale indienne et sa vie de marginal.

Écrire juste le livre de sa vie quoi.



Mais ça ne lui suffisait pas et il a rajouté de la philosophie de comptoir et des envolées poétiques insupportables.

Les mots, cher auteur, c'est comme le poulet Tandoori avec les épices, si on en mets trop c'est vraiment indigeste.



Et il en a vraiment trop mis.

Des pages insupportables dans le style d'un jeune poète en mal d'amour sur la rédemption, la vie, le passé et la cuisson des lentilles.



Des digressions sur le cosmos et Dieu et j'en passe. Rien de tel pour casser le rythme d 'un récit qui de part la vie mouvementée de l' auteur ne demandait qu 'à se dérouler tout seul.



Dommage car les moments où GDR écrit sans ses délires mystiques sont très bons.

L' évasion de la prison ou l 'incendie dans le bidonville sont très fun et très bien écrits.



Pour conclure "Shantaram" est un roman fleuve de 1000 pages dont la moitié sont mal écrites et sans intérêt.



Les 500 pages restantes sont une réussite et une très belle plongée dans la trépidante Bombay.



Une belle déception au final quand même.









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Shantaram

Prendre une épopée de plus de 1000 pages pour les vacances c’est qu’assurance de rester occupée pendant de nombreuses heures.

Lin s’est échappé d’une prison en Australie et se cache dans les rues grouillantes de Bombay. Il va rencontrer de nombreuses personnes qu’il va aimé et qui lui feront vivre de nombreuses aventures. Des hôtels pour touristes, aux bidonvilles officieux, à la prison indienne ou aux méandres de la mafia de la ville. Lin va vivre de nombreuses aventures, souvent dangereuses et on se demande comment une seule et même personne peut avoir flirté avec le danger si souvent et toujours être en vie.

L’épopée est prenante et on le suit dans cette ville pleines de secrets, on se prend d’amitié pour ses nouveaux compagnons de route et on est triste quand certains d’entre eux disparaissent.

Lorsqu’on prend du recul, on se dit tout de même que ce roman relate une histoire vraie et on se demande comment autant de violence peut se dérouler si impunément dans les rues de Bombay.
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Shantaram

Enfin je viens d'arriver au bout de ce pavé. Interessant mais en même temps longuet. Je m'explique. On retrouve bien l'Inde belle et cruelle à la fois où les gens se contentent de peu.

Les personnages sont attachants à tous les niveaux, que ce soit des malfrats où des gens honnêtes. le bien et le mal se côtoient sans arrêt.

La quête de Lin pour sa rédemption est longue et compliquée. C'est ce qui m'a un peu rebuté à certains moments. Trop de questions existentielles, trop de philosophie. Il m'a manqué un peu plus d'action. En fait, parfois trop de blabla au détriment de l'histoire. Même dans les moments difficiles les descriptions étaient trop détaillées pour ma part et ne contribuait en rien à l'avancement du récit et du coup ça cassait le moment.

Je ne suis vraiment pas sûre de lire la suite, à moins que quelqu'un ait de bons arguments.

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Shantaram

Roberts Gregory David -

Shantaram

C’est un roman autobiographique, (en grande partie, la fiction étant infime)écrit par Gregory David Roberts, publié en 2003. Ce fut un bestseller mondial.

Il y raconte d’abord ses démêlés avec la justice, ses vols et cambriolages pour lequel il a été condamné, mais il a pu s’échapper et est parti vivre çà Mumbay près de Bombay

Que de tribulations, il vit dans la caste la plus pauvre et décide de fonder une association pour tenter de les aider un peu tant dans leur misère que dans leur santé. C’est un livre passionnant qui au travers de l’histoire de cet homme tout à fait particulière, on découvre cette Inde de classe, de misère, de pauvreté, de groupuscules mafieux, de vols, de bagarres, de violences, tout cela sur fond de grande douleur de ces Intouchables.

Il est devenu le docteur improvisé de ces bidonvilles, toute cette vie redonne un sens à la sienne. Il intègre la mafia de Bombay mais il y connaîtra aussi l’amitié et devra aussi faire face à la trahison la vie étant tellement difficile à cet endroit

Il est appelé Lin, là-bas c’est son pseudo.

Un livre énorme mais dont on ne peut lâcher aucune page tellement l’aventure, réelle, semble incroyable et pourtant.

Plusieurs vidéos et interviews ont été faite de lui et avec lui car il voulait surtout montrer les conditions lamentables de vie de cette caste.

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Shantaram

en abordant pour l'amour de l'inde ,je viens de me souvenir de shantaram! Danc ce magnifique livre j'ai eu tout ce que j'aime dans mon bonheur de la lecture !j'ai appris ,j'ai tremblé,je me suis enrichie de la complexité de ces pays de l'Inde de l’Afghanistan!Et lorsque dans mon souvenir ,j'évoque ce livre ,j'ai les couleurs flamboyantes et les merveilleuses odeurs épicées autant au sens propre que figuré! je recommande chaudement ce livre !
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Shantaram

Ma critique va être très différente des avis précédents. Ce livre est très bien écrit et l'on pourrait relever des citations dans quasiment toutes les pages, l'inde nous est très bien décrit mais eh oui il y a un mais... pour moi impossible d'accrocher, de rentrer dans l'histoire. Beaucoup trop de dialogue et d'échange avec les personnages et bien peu d'action a mon gout. Enfin ma déception je pense vient du fait que je m'attendais a vraiment autre chose!
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Shantaram

Bombay vue de l'intérieur par un australien évadé de prison qui trouve un sens à sa vie en aidant les habitant d'un bidonville. Un livre rempli de personnages d'homme extraordinaires (c'est rare). Il paraît que le roman va être porté à l'écran avec Jhonny Depp dans le rôle principal. J'en frémis d'inquiétude. Adapter un grand livre, c'est le meilleur moyen de tout gâcher.
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Shantaram

J’ai mis 2 mois pour lire cette autobiographie, il y a des longueurs et quelques moments où je me suis dit « mais pourquoi? Pourquoi l’auteur s’inflige-t-il tout ça ? » tout en étant fascinée par sa vision du monde. J’ai aimé certains concepts philosophiques évoqués, parfois j’ai lu en diagonale et ce n’est pas toujours très bien écrit… néanmoins je me suis beaucoup attachée aux personnages: l’auteur, l’adorable et hilarant Prabaker, Johnny cigare, la mignonne Lisa Carter, Abdullah, Nazeer que l’auteur détestait et finit par adorer, Qasim le chef du bidonville etc… Le seul personnage fort qui m’a un peu énervé est Karla, très énigmatique et difficile à cerner. J’ai été émue aux larmes et j’ai également beaucoup ri. Ce livre m’a également fait réfléchir. J’ai aimé le fait que l’histoire couvre une longue période de la vie de l’auteur et que l’on puisse voir son évolution sur une 10 aine d’années. Globalement un très beau roman.
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Shantaram

C'est l'histoire de la vie très étrange d'un ex-prisonnier australien qui se retrouve en Inde dans les années 1980, y découvre de nombreux personnages, dont certains ont le profil de mentor, y apprend plusieurs langues locales et s'intègre dans la politique interne du pays, tout en vivant souvent parmi les étrangers. Sa vie sentimentale est compliquée. Le livre est bien écrit et donne envie d'aller en Inde.
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Shantaram

[LIVRE AUDIO]

Quel bonheur d’avoir pris ce livre en audio! Autant je pense que si j’avais lu ce livre, je me serai ennuyée par le coté trop détaillé de l’histoire... Autant ici, le lecteur à su me faire vivre cette histoire incroyable! Il y a parfois certaines longueurs lors des moments philosophiques mais ceux ci restent très interessants!

On passe par toutes les émotions face à cette vie que mène le personnage principal mais surtout face à la vie et les coutume de ces pays!

On s’attache à beaucoup de personnages et on est complètement révoltés par d’autres! On se laisse avancer au fil des pages (des minutes/heures ici) avec plaisir et surtout, on a envie de savoir comment il arrivera à survivre avec tout ce qui lui arrive!

Cependant, un moment, l’histoire devient vraiment trop longue (le livre fait plus de 1000 pages) mais quand on sait que c’est tiré d’une histoire vraie, on pardonne tout à l’auteur... Heureusement certains rebondissements nous font du bien mais j’avoue avoir été heureuse en arrivant à la fin! Peut-être un jour me laisserais je tenter par la suite!
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Shantaram

Une magistrale et captivante histoire de vie dans une Inde aux nombreuses facettes. Les personnages, à l'instar du héros qui n'en est pas un, vivent ou survivent dans cette immense ville prequ'organique. La cruauté, la haine, la violence, l'amitié, la confiance et l'amour (la vie quoi!) s'entremêlent dans ce récit parfaitement maîtrisé.
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Shantaram

Plus qu'une autobiographie, c'est une ode à la vie que Gregory David Roberts nous livre avec ce grand roman (au sens propre comme au sens figuré) !

Un style d'écriture très personnel, plein de sentiments et de réflexions sur la haine, l'amour et l'amitié, et une histoire à rebondissements qui va vous prendre aux tripes !



Ce roman m'a donné l'impression de vivre toutes les aventures de l'auteur pendant les trois semaines qu'il m'a fallu pour lire ce livre. On en ressort à la fois vidé (car c'est un livre très prenant émotionnellement) et grandi, grâce à tous ces personnages si humains et si marquants, et toutes ces leçons de vie.

Pour moi, Shantaram fait partie des livres qu'on n'oublie pas, de ceux qui vous font voir la vie d'une autre manière.
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Shantaram

Et me voilà à la fin du voyage. Mon deuxième roman sur Bombay (le premier était le seigneur de Bombay), ce récit « biographique » bariolé m’a accrochée surtout par sa fresque de personnages magnifiques, surtout dans le slum. De situations cocasses en rebondissements dramatiques, il n’ennuie que par de parfois longues digressions philosophiques un peu trop évidente. Moralisateur, mais avec quelques bonne santé pensées à méditer, il aura surtout pour moi été un magnifique voyage dans un pays que j’adore, dans une ville que l’on m’à toujours déconseillée et que je me suis appliquée à éviter, près du cœur des gens. Un savant mélange de « cité de la joie » et de « seigneur de Bombay ». Et une grosse envie de repartir sillonner les routes indiennes.
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Shantaram

Oh Merci à toi ! Toi qui m’a fait lire ce roman depuis trop longtemps oublié dans ma liste « trucs à Lire »

Une grande ode à la vie. La Grande. Celle où on fait des erreurs, des amours, des plantades et de belles réussites. Une ode à l’humanité. Pleine et entière dans crasse et dans sa magnificence.

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Shantaram

Si vous n’avez aucune attirance particulière pour l’Inde, vous allez adorer ce livre, si l’Inde vous fascine, vous tenez entre vos mains sa Bible.



Plus de 1 000 pages, souvent ça décourage, surtout quand dans bon nombre de romans de ce gabarit, une bonne moitié ne sert qu’à broder ou à repousser le dénouement. Dans Shantaram, ce n’est pas le cas. Chaque page est une pépite, chaque anecdote une aventure, chaque description un voyage, chaque danger une jouissance. Je ne sais pas si Lin Baba a vécu tout ce qu’il raconte mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’a pas pu l’inventer tant sa description de l’Inde et son fonctionnement hors norme est précis et véridique. Le tempérament curieux des indiens, le fameux balancement de la tête, les conflits inter-religieux, la mousson, les chiens errants, l’humour, la frénésie, la circulation chaotique, les odeurs…tout y est et il le raconte avec sang et sueur. Si vous connaissez un peu les mœurs de ce pays ou que vous y êtes déjà allés, vous serez scotchés et bluffés par la façon dont l’auteur s’en est imprégné.



Ce type a vécu autant de vies qu’il y a de chapitres dans son livre. De la guerre d’Afghanistan aux bidonvilles, de la pègre à Bollywood, on ne sort pas indemne de cette histoire car inévitablement, on s’imagine être à sa place. Et on se dit parfois qu’on serait mort 10 fois avant d’arriver à la moitié du livre ! Un roman autobiographique qui vous contamine, vous donne l’envie de voyager toujours plus, de sortir de votre zone de confort, de relativiser vos déceptions et vos galères. Shantaram est bien plus efficace que le meilleur des livres sur le développement personnel. A lire avant de mourir, à lire de suite.


Lien : https://www.facebook.com/lam..
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Shantaram

Un pavé sur l'inde à lire pour se plonger du côté obscure du grand pays tout en étant guidé par sa découverte.

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