Guido Crepax

...le dompteur nous attend.

les deux jours les plus importants de ta vie sont le jour de ta naissance et pourquoi quoi tu es née

mes représentations sont parfois lascives mais jamais vulgaire.
Guido Crepax

Je suis Dracula et je vous souhaite la bienvenue entrez...
L'air de la nuit est froid...

Tu es mal... donnes-moi ton sac !
Et puis tu es trop habillée...

Maintenant tu es prêtes... je te laisse... descends et va sonner à la porte, tu ferras tout ce qu'on te dira... oui oui... je serai là... va !

Si tu m'aimes, tu n'as plus aucune liberté !

En 1919, le KU-KLUX-KLAN brûla vifs quatre nègres en Géorgie, deux dans le Mississippi et un au Texas...
Il lyncha vingt-deux nègres en Géorgie, dix dans l'Arkansas, huit dans l'Alabama et trois dans le Texas...

Mais, tu ne sais pas que j'ai un protecteur ?
Qu'est-ce que tu crois ?
J'en suis une !...
Tu peux être certain qu'il ne me laissera pas tomber!... MOI, JE LUI RAPPORTE !

Crois-moi, mon fils... Nous ne pouvons nous permettre d'avoir de bons sentiments pour les blancs... Nous ne serions pas compris ... Ni des blancs ni des nôtres !

Les blancs ont compris que nous existions... dans l'armée, nous avons tenu bien des postes avancés ! Les bancs ne peuvent plus ignorer NOS DROITS !

En 1919, le KU-KLUX-KLAN brûla vifs quatre nègres en Géorgie, deux dans le Mississippi et un au Texas...
Il lyncha vingt-deux nègres en Géorgie, dix dans l'Arkansas, huit dans l'Alabama et trois dans le Texas...

Mais, tu ne sais pas que j'ai un protecteur ?
Qu'est-ce que tu crois ?
J'en suis une !...
Tu peux être certain qu'il ne me laissera pas tomber!... MOI, JE LUI RAPPORTE !

Les blancs ont compris que nous existions... dans l'armée, nous avons tenu bien des postes avancés ! Les bancs ne peuvent plus ignorer NOS DROITS !

Crois-moi, mon fils... Nous ne pouvons nous permettre d'avoir de bons sentiments pour les blancs... Nous ne serions pas compris ... Ni des blancs ni des nôtres !

Je voulais dire qu'à mon avis, dans la société d'aujourd'hui, en cette fin du XIXè siècle, la femme ne peut être que le tyran ou l'esclave de l'homme, dans sa relation avec lui... Mais jamais sa compagne ! Elle ne pourra le devenir que si elle jouit un jour de droits égaux aux siens... Etudier, travailler, comme l'homme...

Qu'est-ce qui vous prend, Grégor ? Pourquoi me tutoyez-vous ? Vous oubliez notre contrat ?

Je ne l'ai pas oublié mais tu es ma femme, cessons un peu cette comédie... Dis-moi... Tu t'es donnée à lui ?

Et même si c'était vrai ? N'est-ce pas ce que tu désires ?

Ohhh ! Vous devriez être plus discipliné ! Me voilà lasse, par votre faute... Maintenant, écoutez... Dorénavant, vous ne porterez rien sous votre costume et votre chemise... Pour que votre peau se souvienne du fouet !

Très décevant je n'ai pas aimé le graphisme.