Hafsah Faizal

Une superbe découverte en matière de roman ! "Chasseurs de Flamme" fut une chouette lecture pour ma part, j'ai adoré me plonger dans cet univers avec une ambiance du Moyen-Orient. L'auteure a su créer un univers vaste qu'on arrive à bien imaginer. La plume est très agréable et riche.



Nous sommes plongés dans une aventure pleine d'action et de rebondissements avec des personnages super attachants, incroyable et bien développé (autant les principaux que les secondaires). Gros coup de coeur pour les perso principaux, Zafira et Nasir, que j'ai adoré. Les deux m'ont beaucoup touché et leur relation : incroyable ! Le mélange ennemis to lovers, slowburn et proximité forcée, tout pour me plaire ^^



Une chose qui m'a un peu perturbé au début (je n'ai pas l'habitude aussi) c'est que le récit est à la 3ème personne mais aux files des chapitres je n'y suis habituée. Le début de livre pourra paraître long pour certaines personnes mais l'auteure à prit le temps de développer et introduire son histoire.

Malheureusement, cette histoire ne l'a pas fait avec moi. J'avais en tête un peu une course-poursuite, un cache-cache entre les protagonistes étant donné que Nasir est tueur 👀 mais ce n'a pas été le cas et j'ai été prise de cours par l'intrigue.



Ensuite, j'ai vu des CENTAINES d'avis positifs donc une attente de fou de mon côté, et même si ma lecture n'est pas catastrophique, c'est forcément décevant.



Je me suis également déçue par l'enemies-to-lovers. Je n'ai ressenti aucune alchimie spécifique entre Nasir et Zafira et les moments de rapprochement arrivaient comme un cheveu sur la soupe.



J'ai aussi eu l'impression que les personnages principaux avaient vécu UNE scène traumatisante dans leur existence et qu'elle dictait leurs actions au long de TOUTE leur vie.



Les révélations de fin sont assez cocasses et clairement TROP, j'aime l'inattendu, mais lorsque c'est rationnel.



Cependant, je lirai la suite avec plaisir et curiosité parce qu'il ne manque vraiment pas grand-chose (surtout des détails, par-ci par-là) pour rendre le livre addictif (à mes yeux)

J'ai surtout hâte de voir l'évolution Nasir et Zafira et de leur relation.

J’attendais avec impatience la sortie de ce roman mais avec les nombreux délais repoussés, la sortie c’est faite en plein milieu d’une de mes pannes de lectures. Je pensais que ce roman arriverait à m’en sortir mais ça n’a pas été le cas, j’ai été assez déçu car pour moi certaines parties de l’univers n’étaient pas assez détaillées.

Avec toute la hype autour de cette saga en VO, j’avais énormément d’attente sur ce livre. Mais elles n’ont pas vraiment été atteintes malheureusement.



Les personnages ne m’ont pas forcément convaincue. J’ai trouvé qu’il manquait de travail sur leur construction ainsi que sur leur histoire.



Côté romance, je suis un peu déçue de cet enemies-to-lovers que l’on peut finalement comparer à une « attirance physique » et c’est tout ! Car bon… S’échanger 4-5 phrases tout au long du livre et parler de « romance » bof bof.



J’ai également eu du mal avec une bonne du livre. L’introduction est assez longue sans pour autant approfondir l’histoire des personnages.



Ma lecture est donc assez mitigée mais je lirai tout de même le second et dernier tome afin de lui laisser sa chance.

En espérant que les révélations seront moins tirées par les cheveux car bonjour les révélations à la fin qui tombent de nulle part…


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pour ma part, je ne suis pas loin du coup de cœur. J’ai vraiment aimé cette histoire et nos deux personnages principaux. Je trouve qu’ils ont tous les deux une belle évolution, et j’ai pris plaisir à les suivre. Leur romance est toutefois un peu répétitive, et certains éléments sont devinables dans le récit. Toutefois, l’écriture de l’autrice est fluide et immersive, et l’on est vraiment plongé dans un autre monde qui fonctionne très bien. C’est une très belle découverte pour ma part et j’ai hâte de découvrir la suite. Je ne peux donc que vous conseiller sa lecture.
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Coup de cœur énorme pour ce roman!



Tout d'abord l'univers est très intéressant, et je trouve assez peu représenté dans l'univers fantaisie. On se trouve dans un monde inspiré de l'orient, avec certaines croyances et mythes de cette culture. J'ai trouvé ça passionnant, bien que les quelques mots arabes placés çà et là ne soient pas toujours dans le glossaire, ce qui a un peu ralenti ma lecture.



Les personnages quant à eux, sont assez bien décrits, je me suis attachée à plus d'un. Zafira porte avec elle un véritable combat féministe, qui remet en question la place de la femme dans son royaume et ça m'a beaucoup plus également. Chacun d'entre eux est doté d'un humour noir et piquant, mêlant cynisme et ironie, qui m'a valu plus d'un sourire. On a également une romance slooooow burn qui rajoute un peu de tension.



L'écriture en elle-même est très fluide, les chapitres sont assez courts ce qui rend le tout très dynamique et la plume est d'une poésie... magique. Les descriptions sont détaillées sans être lourdes, il est très simple de visualiser le monde de Hasfah Faizal et de se projeter aux côtés des personnages. J'ai adoré la tournure des phrases, les métaphores et autres subtilités si douces à l'oreille.



Enfin pour ce qui est de la trame du roman en elle-même, j'ai trouvé certaines péripéties un peu forcées et d'autres instants un peu languissants, sans pour autant que cela ne m'ait dérangé. Ce livre m'a rendu complètement accro, et les révélations et autres retournements de la fin étaient géniaux!



En bref, je vous le recommande, tête baissée!

Après avoir vu que des avis dithyrambiques sur ce livre, j’étais persuadée d’adorer, et pourtant se fut une belle déception!

Si le début était plutôt prometteur, mon enthousiasme est vite retombé face à la lenteur du récit!

Pour moi, ce roman souffre de longueurs à foison, il faut bien attendre 250 pages avant qu’il daigne se passer un peu d’action et que les personnages principaux se rencontrent enfin!

Personnages principaux plutôt intéressants malgré tout notamment avec Zafira qui se bat en tant que femme pour sa liberté, chose peu aisée dans cet univers phallocrate. On comprend à travers ce personnage, ce que souhaite dénoncer l’auteure.

Nasir quant à lui est un peu plus fade, assez peu charismatique! Je lui ai préféré Altaïr, plus agréable à suivre.

Zafira et Nasir qui ont très peu d’interactions, vont être attirés l’un par l’autre très rapidement, de ce fait, à aucun moment leur relation n’est crédible. Je n’ai pas ressenti une seule once d’alchimie entre eux.



Mais finalement je n’ai tout simplement rien ressenti en lisant ce livre, sauf de l’ennui. Même les scènes se voulant émouvantes ne m’ont pas touchée.



Ce livre a indéniablement un bon potentiel, avec de belles descriptions et références, mais il est mal exploité à mon sens!

Si j’ai plutôt apprécié le côté mythes et légendes d’Orient ainsi que le folklore autour de l’Arz, j’ai trouvé le tout assez survolé et brouillon. Certains événements s’enchaînent et se passent sans que cela n’ai de sens, certains personnages sortent de nulle part ou arrivent comme un cheveu sur la soupe… bref je n’ai pas apprécié cette lecture et je ne lirai pas la suite!

Aaah Chasseurs de flammes. S’il y en avait bien un dont j’attendais la traduction, c’est ce livre.

La fantasy orientale me plaît beaucoup et n’ayant pas l’habitude, je la trouve très dépaysante.



Ça partait vraiment bien : des personnages forts et tourmentés, une jeune femme qui, pour sauver son peuple, se grime en homme parce que si non, elle n’aurait pas le droit de faire ce qu’elle fait. Un prince assassin qui essaie de réprimer les élans de son cœur pour suivre ses ordres. Une quête pour rechercher un artéfact pour sauver le monde. Des créatures magiques, certaines horribles et monstrueuses, d’autres absolument féeriques. Un groupe qui peut pas se blairer mais dont chaque membre se retrouve à se battre aux côtés des autres.



J’ai adoré la plume aussi. Elle fait participer le lecteur, lui laissant comprendre par lui-même certaines choses sans lui donner tout, cuit dans le bec. Elle traduit bien les émotions de chacun et nous fait comprendre leurs motivations et leurs sentiments sans superflu.

Le folklore est très présent. J’ai été confrontée à tout un tas de créatures magiques, certaines que je connaissais, d’autres qui ont été découvertes.



Toute la première moitié du livre, j’ai été très plongée dans l’histoire. Mais la deuxième moitié, surtout la fin en fait, m’a laissée confuse. Tout allait trop vite a mon goût. Je ne comprenais plus trop les actions et les revirements ni même l’enjeu de la quête et le fonctionnement de la magie et il y avait beaucoup (trop) de révélations dont certaines m’ont semblé sorties du chapeau.

J’ai gardé une impression de précipitation qui me fait dire que je devrais relire certains passages quand la suite sortira. Parce que je lirai la suite, pour sûr !

Ça ne m’arrive presque jamais d’abandonner un livre, je n’aime pas faire ça et pourtant, j’ai pris la décision d’arrêter celui-ci, alors que j’en étais au 3/4.



J’ai déjà expliqué un peu pourquoi en story, mais comme c’est éphémère, j’ai décidé de quand même faire un post pour expliquer le pourquoi de ma décision.



J’ai lu le livre en anglais, mais celui-ci doit être traduit par Desaxus cette année. Ainsi, tu pourras te faire ton propre avis à ce moment là.



Quand on commence un nouveau livre de Fantasy, on sait que l’on va devoir passer par la phase worldbuilding, afin de mieux visualiser l’univers que l’auteurice a imaginé. Mais quand on se tape des mots de vocabulaires à droite à gauche en arabe, sans aucun lexique pour nous aider…



J’ai lu quelque part quelqu’un qui disait qu’il en existe un, mais pas dans la version reliée. Pardon, mais si je paie plus cher pour avoir une jolie version reliée, je m’attends à avoir aussi le droit au lexique.



Ensuite, quand arrivée à la page 140, ce qui est écrit dans le résumé n’est toujours pas arrivé…



Et puis alors, j’adore les ennemies to lovers, c’est certainement mon trope préféré, mais c’est amené n’importe comment… à croire que l’autrice a juste voulu faire plaisir aux gens.



Un ennemies to lovers, pour que ça fonctionne, il faut que ça prenne son temps pour installer une tension entre les personnages, pour qu’on comprenne bien pourquoi on part d’une relation d’ennemies. Et puis, AVEC LE TEMPS, les deux personnages vont apprendre à se connaître et petit à petit se rapprocher, pour finir par réaliser qu’ils ont des sentiments l’un pour l’autre.



Dans ce livre, il se passe un truc. Quelque chose qui, sur le moment, m’a fait dire que ce n’était pas possible d’avoir une romance entre les deux. Et si ça avait pris son temps, ça aurait été bien d’exploiter tout le côté psychologique du poids de la culpabilité de la personne qui tombe amoureuse d’une personne qui lui a fait quelque chose d’horrible.



Mais là, tout va vite et en 2 jours, la fille se dit déjà « c’est un meurtrier ! Oui, mais… »



Oui, mais non. Moi ça ne passe pas. D’où mon abandon…

𝗖𝗮 𝗮𝘂𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗽𝘂 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝗲𝗺𝗶𝗲𝘀-𝘁𝗼-𝗹𝗼𝘃𝗲𝗿𝘀, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗰̧𝗮 𝗻𝗲 𝗹'𝗮 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗺𝗼𝗶.

Zafira est Le Chasseur. Déguisée en homme, elle brave la forêt maudite des Arz pour nourrir son peuple. Nasir, lui, est le Prince de la Mort, assassin pour le compte de son père, le Sultan. Zafira va partir à la recherche d’un artefact qui empêchera au monde d’être englouti dans les ombres des Arz, et Nasir va la pourchasser.

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J’avais des attentes vraiment hautes pour ce livre. Mais elles n’ont pas été atteintes du tout malheureusement.

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Que ce soit l’introduction dans l’univers qui fait 33% du livre, comme la difficulté avec les mots arabes (pas de glossaire dans la version Hardback) ou la difficulté de l’anglais… j’ai du recommencer 3 fois le début avant de vraiment me lancer dedans.

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Ce que j’ai le moins aimé c’est le manque de construction des personnages principaux. Leur passé se résume à 1 (ou 2) événements marquants qui guident 100% de leur vie. On a l’impression qu’ils sont des pages blanches auxquelles aucun passé n’est vraiment arrivé.

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Je n’ai cru à aucun moment à la « romance » qui aurait pu être un exemple enemies-to-lovers. Pour moi on ne peut pas parler de romance !! Uniquement d’attraction physique, ça ok. Mais PAS de là à parler d’amour - ils s’échangent littéralement 4 phrases avant que l’un d’eux ne se disent « oh mon dieu je l’aime ». C’est quoi ça ?

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J’ai détesté le fait que le livre contienne tous les clichés possibles et imaginables des YA (tropes). Comme si l’autrice avait voulu tout rentrer en un seul récit. J’ai fini par me faire un bingo mental où toutes les cases ont été cochées et plus encore.

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Pour moi c’est un livre qui veut tout faire mais qui n’a pas une base assez solide pour que ça m’ait vraiment pris au cœur et aux tripes. Une déception 😢 Je lirais surement la suite un jour, pour avoir le fin mot de l’histoire.
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Ce livre est creux... c'est le seul adjectif qui me vient à l'esprit pour le qualifier. L'intrigue pourtant promettait : une Angletterre de fantasy (mais très reconnaissable), un groupe de 5 personnages hérétoclites qui se réunissent pour faire tomber un monarque tyrannique, du thé, des vampires, une arme magique.

Et pourtant, le soufflé ne prend pas. Pire, il met du temps à cuire. Les personnages sont effleurés, comme les thématiques qui se dessinent. De toute ce petit monde, seul Jin et le très oublié Matteo ont retenu mon attention. L'action décolle vraiment à partir du dernier tiers et la fin laisse plus de questions que de réponses.

Bref, la lecture n'était pas désagréable, mais elle laisse un arrière-goût de pas assez.

Des personnages hauts en couleurs ainsi que des messages intéressants mais je n'ai pas su accrocher à l'intrigue autant que je l'aurais voulu. Je me suis à peine attaché aux protagonistes encore trop peu exploités comme la principale. Petite déception même si ce fut loin d'être une lecture désastreuse.

Arthie Casimir est la propriétaire du Spindrift, salon de thé le jour et bar à sang la nuit. Dans ce Londres historique, les vampires sont redoutés, le salon est alors un refuge pour cette population en danger. Mais lorsque le salon de thé est menacé, Arthie doit rassembler une équipe de marginaux et de criminels pour un braquage qui pourrait peut-être tout changer.

Entre alliances, trahisons et rebondissements, la vérité derrière ce braquage se révèle peu à peu. Arthie se retrouve au milieu d’une conspiration menaçant son existence – et le monde tel qu’elle le connaît.



“ 𝐼𝑡’𝑠 𝑡𝑒𝑎 𝑡𝑖𝑚𝑒, 𝑆𝑐𝑜𝑢𝑛𝑑𝑟𝑒𝑙𝑠 ! ”



☕️ Prenez Six of Crows, Peaky Blinders, la Légende du Roi Arthur avec une touche de vampires et vous avez A Tempest of Tea. Il y a du crime, de la vengeance, de la trahison, du found family et un peu de romance.



Contrairement à d’autres avis, j’ai trouvé le personnage d’Arthie intéressant. Elle se dévoile au fil des pages et s’avère être un peu moins un copié collé de Kaz Brekker (Six of Crows) que je ne le pensais. Mais ce sont les personnages secondaires qui lui volent la vedette, surtout les personnages masculins qui apportent de l’humour et du charme !



L’intrigue politique se dévoile au fur et à mesure du roman, avec l’aspect principal du colonialisme. Ce roman parle des familles immigrées et de la façon dont ils voient le monde et leurs colonisateurs ainsi que du racisme et du colorisme.



Le gros point négatif c’est que le roman est assez mal rythmé. Les deux premiers tiers sont lents, avec une présentation des personnages, de l’univers et la préparation du braquage. Le dernier tiers quant à lui s’accélère d’un coup, et nous tient en haleine avec un enchaînement de trahisons et de plot-twists. C’est parti en cacahuète d’un coup, j’étais pas prête !



En bref, une fantasy mêlant complots et trahisons avec un intrigue politique intéressante qui mérite d’être plus développée. Un premier tome plutôt introductif mais qui annonce une suite prometteuse.
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Le dernier roman de Hafsah Faisal est enfin là et je vous livre donc mon avis tout à fait honnête sur ce que j’en ai pensé.



Bon, le premier point que je tiens à évoquer est ce que j’ai eu un peu de mal sur le début du roman, on nous avait promis un univers mêlant salon de thé et vampire et je dois dire que j’étais fortement intrigué. Mais finalement le salon n’est que peu mis en avant (surtout au début du récit) on se concentre ensuite bien plus sur le plan du vol. En soit ce n’est pas un défaut, mais je dois dire que je m’attendais à quelque chose et que finalement, j’ai lu quelque chose de totalement différent.



Comparé à chasseurs de flammes, j’ai trouvé que le rythme dans cette nouvelle série s’est nettement amélioré, l’action est soutenue tout au long du récit et le fait que le livre ne fasse que 300 pages permet d’aller directement à l’essentiel. La plume en Vo est très belle mais pas contre ce n’est pas un Anglais “facile”, le vocabulaire est très riche. Le ton du récit était assez sombre et énigmatique, ce qui n’était pas pour me déplaire.



Arthie la personnage principale du livre est tout à fait fascinante. Elle est déterminée, ingénieuse, elle aime intensément ceux qu’elles considèrent sa famille. Elle oppose une voix et des actions fortes envers le colonialisme qui a ruiné sa vie et celle de tant d’autres personnes. L’autre personnage que j’ai beaucoup apprécié est Jin, un personnage a priori un peu dragueur, il cache lui aussi un passé douloureux et j’ai beaucoup aimé sa relation fraternelle avec Arthie.



L’intrigue du livre et son propos sur le colonialisme sur fond de vampire et de retranscription d’une Angleterre fictive était vraiment très intéressant.



Malgré tout j’ai été un peu déçu du développement de la relation des personnages, si j’adore le found family ici le récit était plus tourné sur la mise en place et le déroulement du cambriolage et moins sur le développement de la relation des personnages. Je dois ajouter que certains retournements de situations étaient également assez prévisibles.

Vous me connaissez, je suis incapable de résister à une belle couverture. Si, en plus, on me promet du thé et des vampires, je ne réponds plus de rien. Même si, pour être tout à fait franche, cela faisait longtemps que je n’avais pas lu ou vu d’histoire mettant en scène les créatures de la nuit aux dents longues. Adolescente, je ne jurais que par le Dracula de Coppola, Entretien avec un vampire de Neil Jordan et, bien entendu, Buffy contre les vampires. Et je m’étais pris une véritable claque avec Lestat le vampire d’Anne Rice. (Je verserai éternellement des larmes de sang à l’idée que Tom Cruise n’ait pas pu ou pas voulu reprendre son rôle. Il était et restera toujours à mes yeux la parfaite incarnation de Lestat.)



Tout ça pour dire que j’ai abordé A Tempest of Tea avec un mélange d’impatience et de méfiance, la littérature vampirique étant capable du meilleur comme du pire. (Oh, ça va, vous me voyez venir, vous n’allez pas m’obliger à citer le nom de la saga dont je m’applique consciencieusement à ignorer l’existence. I mean, des vampires boule à facette, seriously?)



Mais, A Tempest of Tea, c’est d’abord et surtout l’histoire d’Arthie, une jeune orpheline qui a vu sa famille massacrée et son pays ravagé par les armées coloniales d’Ettenia. Bien décidée à se venger, elle s’est entourée de jeunes gens qui, comme elle, n’ont pas la « bonne » couleur de peau ou sont des parias pour d’autres raisons. Franchement, j’adore ces nouvelles voix de la fantasy qui reprennent des tropes bien connus pour explorer les ravages du colonialisme, du racisme et du capitalisme. J’ai vibré de colère avec Arthie. J’aurais voulu réconforter Jin, le frère adoptif qu’elle sauvé d’un incendie quand ils étaient gamins. Et j’ai eu envie de crier sur Flick, la petite aristocrate privilégiée qui met un certain temps à ouvrir les yeux et choisir ses priorités.



J’ai beaucoup aimé l’ambiance victorienne de White Roaring et la manière habile dont Hafsah Faizal s’empare des mythes anglais les plus connus. J’ai aimé aussi le côté clinquant des vampires et le mystère qui plane autour d’eux, lié notamment à une série de meurtres non résolus. Et je n’ai pas vu venir le twist final, qui m’a beaucoup plu et me donne très envie de lire la suite.



En revanche, j’ai passé une partie de ma lecture à lever les yeux au ciel à cause des interactions romantiques entre les personnages. Certes, ce sont pour la plupart des adolescents bourrés d’hormones. Mais j’ai trouvé qu’il y avait un décalage entre le ton parfois très dur de certaines scènes (notamment les souvenirs d’Arthie) et les interrogations typiques de la littérature YA d’aujourd’hui, en mode « Oh là là, il/elle me regarde, est-ce que je lui plais ? » Au bout d’un moment, j’avais envie de leur donner une tape à l’arrière du crâne en leur disant : « Hé, on se concentre, c’est votre vie qui est en jeu, là. »



[Après, je suis peut-être injuste. N’est-ce pas typiquement ce que font Buffy, Willow & co ? Oh mon dieu, je suis devenue Giles, c’est ça ?]



Heureusement, mon âge canonique ne m’a pas empêché d’apprécier ce roman. Encore une fois, j’ai beaucoup aimé l’ambiance, les décors et les personnages. Arthie, contrairement à Flick, a le sens des priorités, comme le prouve une de ses répliques que j’ai envoyée à une copine en disant : « Voilà une héroïne qui sait me parler ! » Et j’ai souri en voyant que c’était cette même réplique que De Saxus avait choisi de mettre en exergue pour annoncer la parution prochaine de A Tempest of Tea en français: "Pourquoi sauver le monde quand on peut prendre le thé ?"



Car oui, très bonne nouvelle pour les lecteurices français.e.s, c’est bien De Saxus qui sortira ce roman au mois de juin sous le titre Un thé avant la tempête. A n’en pas douter, la version collector sera sublime (et je devrai probablement me retenir de la racheter). Si, comme moi, vous aimez le thé, les vampires et les orphelines badass (et si les hormones en ébullition ne vous découragent pas), je vous conseille de vous jeter dessus !
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Deuxièmes tomes vraiment beaux ! On se replonge bien dans l’univers.



Des larmes, mais aussi des moment de doutes tout au long de ma lecture.



C’est une romance Treeees Slow burn comme on l’ai aime.



La chasseuse et l’assassins, tout deux sont de beaux personnages que j’aime beaucoup et qui on des histoires touchantes.

Après en avoir beaucoup entendu parler dans la sphère anglophone et au vu du résumé je me suis laissée tenter ! Après un presque abandon et une mise en pause, j'ai finalement réussi à aller jusqu'au bout mais malheureusement ça ne l'a pas fait pour moi et je suis dégoûtée car j'aurais aimé apprécier ce roman. J'ai eu du mal à rentrer dans le récit car j'ai trouvé le début lent, trop lent et même après la rencontre des protagonistes (qui arrive presque à la moitié du roman) ce n'était toujours pas ça.

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On tourne un peu en rond, la seule action qui se passe est quand ils se font attaquer assez régulièrement sur I'île par des créatures, on ne voit pas de réelles progressions dans l'intrigue. Il faut attendre les dernières pages pour que quelque chose se passe enfin et bien que ça m'a rendue un peu curieuse c'est loin d'être suffisant pour que je me procure la suite.

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On reste sur une fantasy young adult classique. J'ai bien aimé Nasir et Zafira mais leur relation va beaucoup trop vite et arrive un peu comme un cheveu sur la soupe... J'ai beaucoup aimé Altaïr, personnage secondaire qui apporte un peu de légèreté au récit. Je ne vois pas ce que je pourrais développer de plus mais ce roman a été un total flop pour moi alors que j'en attendais beaucoup..

Note : 5/10

Belle fin. Dans cette suite, on va suivre Zafira et Nasir qui tente de finir la mission qu’ils ont commencé : ramener la magie. Mais rien n’est facile. J’ai aimé l’évolution de la relation entre Zafira et Nasir. Mais surtout celle entre Nasir et Altaïr. Bref, je trouve que les relations des personnages sont le point fort du livre. L’intrigue est très lente et j’ai moins aimé que le premier mais il reste un bon livre. J’aurais aimé que la fin soit un peu plus étoffée. Sinon, j’ai aimé cette histoire et ses personnages.

Un retour assez mitigé, globalement j'ai été un peu déçue par certaines intrigues qui à peine mise en place étaient déjà résolues.

De plus, les personnages secondaires sont peu détaillés alors que l'autrice essaie tout de même de leur donner de l'importance dans l'histoire. D'autant plus avec la fin du 1 qui laisse penser qu'ils ont une place essentiel dans le développement de l'intrigue.



Il a tout de même su me charmer par bien d'autres aspect! L'écriture est fluide avec autant d'actions que de descriptions (pour le bien du worldbuilding) et j'ai pu apprécier certaines scènes de combat (et de flirt!).



Je me fie également beaucoup à ce que je ressens et (sans forcément pouvoir l'expliquer) j'ai eu énormément de mal à le lâcher à partir de la deuxième partie. Pour moi, l'autrice a donc accomplie sa mission et je lirais le tome 2 avec plaisir!