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Critiques de Harriet Beecher Stowe (90)
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La case de l'oncle Tom

C'est un livre et comme tout livre il peut être une arme pour défendre des idées. Ici la cause est juste car il s'agit de d'abolitionnisme et la guerre de sécession n'a pas encore eu lieu.

Mais la façon de traiter le sujet ne m'a pas vraiment convaincu. le texte est assez mièvre, caricatural et excessivement puritain.



Au 19e siècle, dans le Kentucky, un gentil propriétaire terrien endettée est obligée de vendre des esclaves dont Tom qui est instruit et donc forcément chrétien. Celui-ci, malgré la douleur d'être séparé des siens, accepte son destin avec résignation. Persuadé que Dieu lui viendra en aide, il ne perdra jamais confiance jusqu'à la mort. A côté du christ noir, les autres personnages sont aussi caricaturés, notamment les femmes.



Mais en écrivant « La Case de l'Oncle Tom » en 1852, l'Américaine Harriett Beecher Stowe a sans doute contribué à révéler au monde entier les terribles conditions de vie des esclaves noirs dans son pays. Si c'est le cas, c'est un acte essentiel.





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La case de l'oncle Tom

Ce livre me laisse une impression mitigée. C’est un livre historique sur l’esclavage, puisque c’est un des premiers livres à défendre cette cause. Harriet Beecher-Stowe, fille et femme de pasteur, est imprégnée d’une éducation religieuse. Elle dépeint une petite liste de personnages dont les vies sont entremêlées les unes aux autres. Ceux-ci sont parfois un peu caricaturaux, mais participent à l’ambiance du livre.

Nous découvrons bien sûr Tom, un esclave imprégné de religion, qui est dévoué corps et âme à ses bons maîtres et tends l’autre joue aux mauvais. On découvre aussi d’autres esclaves, on nous décrit leurs drames, leurs frayeurs, leurs destins soumis aux hasards et au bon vouloir des maîtres. On découvre aussi les sudistes possesseurs d’esclaves, tantôt bons envers eux, et pleins de remords sans pour autant agir en conséquence, tantôt franchement sadiques, on nous épargne les détails… Mais on découvre aussi les abolitionnistes pleins de jolis principes contre l’esclavage, mais qui ne supportent pas l’idée de les côtoyer, leur idée serait de les renvoyer en Afrique avec un ou deux missionnaires pour les convertir de loin.

Le tableau est plutôt réussi, les descriptions riches, l’ambiance est là on est plongé au cœur des états esclavagistes du sud des Etats-Unis, plongée dans le petit paradis du domaine des Saint-Clare avec la petite Evangeline qui éclaire la scène, puis dans l’enfer des plantations de coton sous le joue de l’ignoble Legree… Mais mon problème avec ce livre c’est la très lourde pression religieuse de l’auteur, à coup de « Ô monsieur Georges ! quelle chose que d’être chrétien ! », et de l’amour de Jésus Christ par là et de Dieu mon sauveur miséricordieux par là… trop peu pour moi, cela relève de l’endoctrinement judéo-chrétien prêchant d’autoflagellation. De l’assouvissement de masse : contente toi de cette situation dans cette vie, tends l’autre joue, tais-toi et tu seras récompensé dans la suivante. La grande Histoire avec un grand H des religions, la défense des droits des esclaves est là mais complètement à côté de la plaque… Le rachat de l’âme des esclaves par la religion… enfin c’est un autre débat, un avis personnel. C’est bien sûr à replacer dans le contexte de l’époque et intéressant dans ce contexte, cette défense ayant le mérite d’exister.

En tout cas, un classique, qui ouvre la discussion.

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La case de l'oncle Tom

L'esclavage.... Vaste sujet d'écrivains. Mais lorsqu'il s'agit d'un classiques comme La case de l'oncle Tom, nous retrouvons un récit prenant sur les deux personnages principaux, tous les deux très attachants, et dont chacun a perdu leurs "gentils" maitres pour être séparés et tomber pour l'un, très bien et pour l'autre...



Un bon classique et découvrir ou à redécouvrir à tout âge.
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La case de l'oncle Tom

Dans le Kentucky au XIXème siècle, au temps de l’esclavage, Mr Shelby est un riche propriétaire terrien. C’est un homme juste et bon qui traite ses esclaves avec respect et justice. Mais à la suite d’un revers de fortune, il est contraint de vendre le meilleur et le plus fidèle de ses esclaves : le vieux Tom. Le vieil homme accepte son sort avec résignation et ne se révolte pas. Tom part chez son nouveau maitre mais il est rapidement revendu une fois de plus et il part bien loin des siens. Sa rencontre avec la petite Evangeline Saint-Clare va bouleverser son destin.

Ce roman est bouleversant par ce qu’il représente et par l’humanité qui s’en dégage. Tom a une confiance folle dans la vie et dans l’avenir. Ce roman est, malgré le thème qu’il aborde, lumineux.

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Dred ou le grand marais maudit

Nina Gordon, tout juste dix-huit ans, fille du Colonel John Gordon, se retrouve brutalement à la tête de la plantation familiale, à la mort de ce dernier. Son frère ainé, Tom Gordon,(garçon peu sérieux, dépensier et violent) a toujours fait le désespoir de son père … Pour l’aider, Nina peut compter sans réserve sur les compétences d’un métis (Harry) qui n’est autre que le fils illégitime de son propre père (ce qu’elle ignore …) La soeur et la mère de Harry (fille et concubine de John Gordon) ont d’ailleurs été éloignées du domaine, par crainte du scandale … Tom qui – lui aussi – ignore que Harry est son demi-frère, le hait de toute son âme … Une des raisons qui finira par rapprocher le jeune et fier esclave (Harry est le seul à connaitre la vérité …) d’un homme noir (et libre) prénommé Dred, vivant chichement – mais sans contrainte – près du marais.



Nina Gordon, jolie jeune fille pétillante (et au caractère bien trempé !) fait battre le coeur de ses prétendants (et de certains opportunistes …) Trois d’entre eux sortent du lot : mais a-t-elle vraiment envie d’en épouser un, même si le sympathique Clayton semble avoir sa préférence ?…



Non loin de là, la famille Cripps ( de « pauvres blancs ») est dans une grande souffrance : Sue vient de mettre son troisième enfant au monde, en y laissant la vie … Tiff, son vieil esclave (qui fut par le passé entièrement dévoué à la famille Peyton) est en adoration devant la jeune femme, (au point de l’avoir suivie dans la misère, après une mésalliance qui l’a conduite au ban de la bonne société …) Il vénère les enfants de cette dernière et ne veut pas les laisser aux mains de leur incapable de père (John Cripps, un homme alcoolique, égoïste, stupide et paresseux …) qu’il méprise profondément ! Tiff va alors demander de l’aide à la douce et généreuse Nina, réputée pour aimer les esclaves et les malheureux …



Ainsi, comment rester de marbre, en écoutant Milly, esclave de maison, raconter à Nina la souffrance que fut pour elle – tout au long de sa vie – la perte de ses quatorze enfants et de Paul, son mari ?… (Tous vendus, les uns après les autres, par une cupide et insensible tante de Nina, qui fut pardonnée sur son lit de mort par l’admirable Milly …)



Morte à l’âge de quatre-vingt-cinq ans (1811-1896) Harriet Beecher Stowe, fille et épouse de pasteur, est une femme de lettres américaine, philanthrope, militante abolitionniste, également féministe. Deux de ses oeuvres : « La case de l’oncle Tom », puis « DRED », ont été autant d’électrochocs dans la conscience naissante des américains … Un roman à la fois tragique et empli d’espoir, résolument lucide, magnifiquement empathique et surtout compassionnel ! Des personnages inoubliables, aux considérations justes et pertinentes ! Un véritable pamphlet contre l’esclavage !



ÉNORME coup de coeur pour ce sublime chef-d’oeuvre ! Un pavé de 723 pages (hors appendices) dont on ne se lasse pas un seul instant et que je relirai fort probablement !
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La case de l'oncle Tom

Livre qu'il faut je pense avoir lu une fois dans sa vie. Joli plaidoyer contre l'esclavage. La morale chrétienne, necessaire pour faire comprendre au plus grand nombre l'ignominie et l'hypocrisie de l'esclavqge dans une amérique puritaine, fait naître dans le roman quelques longueurs. J'ai sauté quelques passages ce qui ne m'a pas empêché d'apprécier le récit de la vie de Tom et de ses compagnons d'infortunes.
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La case de l'oncle Tom

La Case de l’oncle Tom est un roman d’époque abolitionniste publié en 1852. À la fois réquisitoire contre l’esclavage et récit de fiction, il s’écoule dans l’année suivant sa parution à plus de 300 000 exemplaires et est le roman le plus vendu au 19ème siècle. La genèse de ce roman repose sur plusieurs points : historiques, politiques et religieux mais également sur les inclinations de son autrice Harriet Beecher-Stowe.



Dans une plantation du Kentucky au 19ème siècle, nous découvrons les Shelby, un couple endetté. Pour racheter ses dettes, l’homme se voit obligé de vendre deux de ses esclaves : Tom qui est là depuis son enfance et le fils d’Élisa, la servante de sa femme. Alors que Mr Shelby annonce à cette dernière le marché qu’il a conclu, Élisa qui a pressenti un danger et écouté aux portes prend la fuite avec son enfant. Tom qui est quant à lui très croyant, décide d’accepter son sort et de s’en remettre à Dieu. Le fils de la famille George Shelby apprend la nouvelle et entre dans une colère noire. Profondément attaché à Tom, il lui promet qu’il le rachètera par tous les moyens.



D’un chapitre à l’autre, nous allons suivre le parcours des différents personnages. La romancière mêle plusieurs intrigues et avec elles plusieurs lieux tels que La Nouvelle-Orléans, l’Ohio ou encore la Louisiane. Il est également à noter que La Case de l’oncle Tom était un feuilleton publié dans un journal et que ce genre nécessite de tenir en haleine son lectorat, prouesse que semble maîtriser Harriet Beecher-Stowe tant le besoin de connaître la suite des événements devient pressant.



La Case de l’oncle Tom n’aurait pu voir le jour sans les inclinations de son autrice. En effet, il s’agit d’un thème qui lui tient à cœur et sur lequel elle n’a eu de cesse de se renseigner. En 1833, elle visite une plantation du Kentucky – qui deviendra le berceau de notre histoire – parle avec son frère de ce à quoi il a assisté en ayant vécu à La Nouvelle-Orléans et a lu bon nombre de mémoires et récits d’esclaves.



Fille d’un pasteur calviniste (doctrine théologique protestante et une approche de la vie chrétienne qui reposent sur le principe de la souveraineté de Dieu en toutes choses), l’influence du puritanisme sera constante dans la vie et l’œuvre d’Harriet Beecher-Stowe. Elle écrira dans la préface de l’édition européenne de La Case de l’oncle Tom : « Le grand mystère qui partagent toutes les nations chrétiennes, l’union de Dieu avec l’homme par l’entremise de Jésus-Christ, donne à l’existence humaine sa terrible sainteté et, aux yeux de qui croit vraiment en Jésus, celui qui foule aux pieds les droits de ses frère est non seulement inhumain mais sacrilège… et la pire forme de ce sacrilège est l’institution de l’esclavage« .



Pour toutes ces raisons, la romancière laisse une grande place à la religion et à la perspective morale dans ce récit. De ce fait, elle s’adresse souvent à son lecteur, l’interpelle et lui demande directement de prendre parti à son histoire. La religion et plus précisément l’hypocrisie de certains croyants y est largement dénoncée. Elle remet en cause les pratiques de son pays qu’elles soient politiques, morales ou religieuses. Et quoi de mieux pour cela que de faire de son personnage principal un messie noir, martyre tendant l’autre joue et rachetant nos péchés. La méthode n’est pas des plus subtiles certes mais la symbolique est forte. La Case de l’oncle Tom est un classique à lire tant pour sa construction, son écriture que pour ses thèmes. Il pose d’ailleurs la question de l’après abolition : même si l’esclavage avait lieu dans les États du Sud, il engage la responsabilité de tous les américains dans l’organisation sociale et économique d’une « réinsertion » pour tous les esclaves libres.
Lien : http://ivredelivres.com/case..
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La case de l'oncle Tom

Et je continue mon voyage dans mes premières lectures...



J'ai vécu mon enfance au Sénégal et au Congo. J'adorais ma vie là-bas, j'avais pleins d'amis africains. Très jeune, j'ai été sensibilisée à l'injustice qui règne dans notre monde et mes parents tenaient à ce que je connaisse le dur passé de certaines populations. J'ai donc reçu un beau jour à Noël "La case de l'oncle Tom"...



J'ai dévoré le livre. Je devais avoir 10 ou 11 ans. J'essayais de comprendre et ne comprenais pas. C'est le livre qui m'a ouvert les yeux sur l'injustice en général. J'ai ensuite lu pas mal de livre sur l'esclavage, mais c'est celui qui m'a le plus bouleversée.
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La case de l'oncle Tom

Ma critique n'est pas des mieux renseignées... puisque je n'ai pas réussi à atteindre la page 200 ! Accablée de sentiments mièvres et de bon-dieuseries, j'ai lâchement abandonné. Ce roman a du être très courageux à l'époque, mais il est possible qu'il ait mal vieilli. + quelques détails qui mettent mal à l'aise : par exemple l'une des esclaves du livre est tellement belle qu'elle est justement décrite comme ayant la peau "presque blanche" avec cheveux lisses, narines diaphanes, etc...!
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La case de l'oncle Tom

Pour résumer : un livre très riche dont on peut faire plusieurs lectures, il a certainement permis de faire évoluer les mentalités dans son temps, même s'il a forcément (et heureusement) bien vieilli. Il est avant tout très émouvant et propose une superbe galerie de personnages hauts en couleurs et invite beaucoup à se remettre en question. A lire absolument !
Lien : http://chroniquesdunchatdebi..
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La case de l'oncle Tom

Les noirs et les blancs



Il est étonnant que le plus grand livre sur l’esclavage aux Etats-Unis soit l’œuvre d’un blanc. En l’occurrence, une blanche, puisque Harriet Beecher Stowe raconte le sud des Etats Unis au tournant du XXème.

Le livre connut un immense succès dès sa parution. Il relate, bien entendu, le parcours de noirs (de nègres disait-on à l’époque, même dans la bouche des abolitionnistes) au sein d’une société basée sur l’esclavagisme. Harriet insiste énormément sur le côté humain de ces « choses » : les esclaves noirs étant considérés comme des objets, des meubles, pouvant être vendus en dépit de leurs attaches familiales. Combien de séparations filiales, de vies brisées ? On évoque même la spéculation de certains marchands d’esclaves.

Cette peinture très réaliste d’un monde heureusement révolu (mais en est-on si sûr ? l’esclavage moderne existe bel et bien, il suffit de se pencher sur les conditions de travail dans certains ateliers, mines ou sites réputés dangereux et cela, parfois pas si loin de chez nous) est marqué par plusieurs caractères.

C’est, par ses personnages, que le roman de Beecher Stowe est fondamental.

Elisa, simple bonne, qui ne se résout pas à être séparée de son unique enfant lors de la vente obligée qu’est forcé de consentir son maitre. Car, comme dans la vraie vie, les propriétaires terriens ne sont pas tous des monstres.

Ainsi Saint Clare, idéaliste qui tente d’offrir la meilleure vie à ses « nègres ». Sa sœur, la tante Ophelia, rigoureuse protestante venue tout droit de la Nouvelle Angleterre qui entend bien éduquer Totsy, une sauvageonne jugée irrécupérable (même par elle-même), pour prouver la force d’une éducation religieuse. Mais c’est Eva, la fille unique de Saint Clare qui y parviendra, grâce à son amour, tout simplement.

Ainsi, ce n’est plus un livre sur l’esclavage que nous avons entre nos mains, mais une sorte de bible où la fillette, se sachant condamnée à brève échéance, fait figure d’un Christ moderne. Son plus fervent disciple sera l’oncle Tom. Là, le récit bascule dans une religiosité un peu grossière. Tandis qu’Elisa et George refusent leur sort en prenant leur destin en main, épaulés par une communauté de mormons (là, j’ai vu un parallèle avec l’occupation nazie où Saint Clare serait Schindler et les mormons de Beecher Stowe les héroïques résistants cachant les juifs pourchassés), Tom se résigne à son sort, torturé, cassé, brisé. Lui aussi gagnera sa liberté… dans la mort.

Le pauvre Tom est en réalité tombé chez le pire planteur de coton du grand sud : Legree. Lui n’a aucun état d’âme et seule une quarteronne, la belle Cassy, peut avoir de l’influence sur lui (là encore parallèle avec les nazis qui s’amourachaient parfois des belles juives, provocant d’interminables cas de conscience). Legree est le rebut de l’humanité. Un de ces personnages que l’on aime haïr. Il n’y a rien à sauver en lui.

Cette morale, un peu lourdaude, est le seul point noir du roman. Et également le choix des prénoms, souvent les mêmes pour des personnages bien différents, qui embrouille un peu la lecture avant de pouvoir vraiment entrer vraiment dans l’histoire.

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La case de l'oncle Tom

Ce classique est tout juste un livre pour les enfants, c'est une affligeante collection de bons sentiments, d'un manichéisme désuet, nourri de personnages fort caricaturaux et en trop grand nombre. Voici donc une lecture bien mièvre, heureusement rapide !
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La case de l'oncle Tom

Un grand classique de la littérature américaine, dont j’avais entendu parler à de nombreuses reprises dans ma jeunesse mais qui restait pour moi un mystère. J’appréhendais un peu sa lecture par peur de trouver tout au long de l’histoire un pathos languissant à n’en plus finir.



Je fus au final plutôt surpris par les élans de sincérité qui éclaircissent cette histoire. Harriet Beecher Stowe nous dresse un roman social emprunt de quelques préjugés naifs compensés par des personnages à l’esprit profond et ambigüe qui évite au roman de tomber dans le piège d’un manichéisme simpliste.



Je ne pensais pas y lire également des passages aussi fervent sur la religion chrétienne et sur l’aide et l’appui qu’elle représente pour les hommes noyés dans le désespoir, c’est touchant et très émouvant.



Les différentes scènes qui nous sont proposées sont bien construites et cohérentes. Je reste toujours personnellement attéré devant la notion même d’esclavage et devant la cruauté que les hommes peuvent faire subir à leur semblable. C’est consternant de méchanceté.

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La case de l'oncle Tom

Lu il y a très longtemps, je ne garde aucun souvenir de ce livre, mis à part qu'il m'avait plu (peut-être). Cela dit, je n'avais pas encore développé d'esprit critique à cette époque sur mes lectures.
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La case de l'oncle Tom

Livre lu au collège.

Ce livre raconte l'histoire de l'esclavage, cruauté inhumaine.
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La case de l'oncle Tom

j'ai bien aimé ce gros livre de 706 pages, cette fois ci j'ai trouvé le livre que je cherchais.

j'ai lu les aventures de Tom, Eliza, Georges et leur fils Henri.

le destin tragique de Tom, 2 fois

un peu dur, beaucoup de leçon de morale entre les différents états, on nous montre une solution...penser aussi à la mort, le fait que certains veulent être libre et d'autres rester à vie sur leur lieu de travail.

on nous parle d'un peu de tout. très bien.

contente d'avoir lu ce livre qui est considéré comme un chef d’œuvre.
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La case de l'oncle Tom

Je l'ai lu quand j'étais petite et je n'étais pas encore troublée par l'histoire des USA ainsi que le "traite des Noirs". Mais je me souviens qu'il était très dur et l'ambition des personnages toujours bien menée. Il faudrait que je le relise pour mieux comprendre cette fresque.
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La case de l'oncle Tom

Aucun souvenir de ce livre, c'est d'autant plus frustrant que le sujet me tient à cœur. Mais notre mémoire est parfois bien capricieuse...
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La case de l'oncle Tom

Juste pour le plaisir : offert en "récompense d'une année de bon travail" par mon institutrice de CE2 en 1957 !!

Je ne pensais pas le retrouver ici !
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La case de l'oncle Tom

Une des découvertes de ma jeunesse. Fortement émouvant !
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