Dernier tome de la série Taupe et Mulot, ce court roman narre l'histoire d'une joyeuse bande d'amis prêts à tout ou presque, au point d'imaginer une kermesse pour aider le pauvre Mulot qui se retrouve sans réserve pour l'hiver.
Aussi pétillant que touchant, ce petit roman pour apprendre à lire, plaira tout autant pour ses illustrations colorées que pour les valeurs qu'il transmet telles que l'amitié et le partage. A lire et à faire découvrir aux enfants pour les mener sur le chemin d'une réflexion par l'échange.
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Encore une chouette histoire de Taupe et Mulot ! Je n'ai pas encore lu toutes leurs aventures, c'est d'ailleurs appréciable de pouvoir les lire indépendamment, et c'est un plaisir de retrouver les personnages. Un coup de cœur pour Taupe qui n'y voit jamais rien, mais qui fait bien rire !
Ce tome, c'est une ode à la générosité et à l'amitié ! Mulot se retrouve fort dépourvu (comme la cigale, oui) à l'arrivée de l'hiver, ce qui ne l'empêche pas de partager son repas avec Taupe qui vient toquer à sa porte. Malgré les protestations de Mulot, Taupe va lui rendre la pareille en organisant un joyeux événement avec l'aide de tous leurs amis, pour remplir de façon détournée les placards de Mulot. Et de nouveau, dans la dernière partie, Mulot fait preuve de partage, en créant un espace où chacun peut déposer et récupérer des objets plus ou moins utiles, parce que ça fait aussi partie des joies d'avoir une jolie famille de copains !
En bref, c'est plein de bons sentiments, et c'est toujours agréable à feuilleter, la couv est pleine de jolies couleurs et l'intérieur l'est tout autant, les dessins sont tout mignons ! Le langage est un peu soutenu, mais ça fait le charme et le style de cette série de premiers romans différents des autres.
Encore meilleur à lire en hiver ;)
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L’amitié est une belle chose dans la vie. Surtout quand les amis habitent au même endroit. Tout le monde se connait. C’est le cas de Taupe et Mulot, deux amis qui n’ont rien de commun, à part leur amitié. Ils s’entraident quand il le faut. Ils s’invitent à dîner ou à souper. Ils sont heureux de passer un bon moment ensemble. Tous les habitants de la forêt les prennent en exemple. c’est ainsi qu’après une belle kermesse, Mulot eut une belle idée, sachant que certains de ses amis étaient dans le besoin: il avait gagné beaucoup de lots à la kermesse et ses amis l’avaient aidé à les transporter. Pourquoi ne pas créer un endroit où tout le monde pourrait tout ce dont ils ne se servent pas? Cela pourrait être utile à d’autres. Où le construire? Qui va l’aider? Ses amis le laisseront-ils faire? Est-ce vraiment utile?
Ce petit album est d’une grande beauté. Il suffit de regarder la couverture. Les croquis sont superbes et ont des couleurs vives. Ce qui attire le regard du jeune lecteur (à partir de 5 ans). Cette belle histoire apprend à l’enfant la notion de partage, d’entraide, de solidarité et d’amitié. Aussi bien avec leurs parents, leur famille, leur maîtresse, les échanges peuvent être intéressants et enrichissants. Nous savons bien que les jeunes lecteurs aiment exposer leurs idées, s’approprier les histoires qui leur sont lues. Ils vont adorer et leur famille avec eux. Ce sera un excellent moment de lecture.
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Un très bel ouvrage, tant pour les illustrations que pour l'histoire.
Humaniste, philosophique, questionnant,...
Un conte, une fable, une vérité... Peu importe dites vous seulement qu'aurait vous fait.. vous ?
Nous faisons tous " des petits pas" qui peuvent être de grands choix.
Un livre qui nous élève d'un pas.
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Une bande d'enfants sur la côte bretonne. Chacun se raconte, à tour de rôle, dans des nouvelles qui dépeignent leurs jeux, confient leurs amours , leurs secrets, et éclairent leur personnalité. Puis, lorsqu'ils décident de passer une nuit dans un vieux phare, chacun va raconter un morceau de ce qui va se passer.
J'ai lu ces nouvelles avec plaisir. L'auteur sait saisir ce mélange de légèreté et de gravité de l'enfance, lorsque le sourire masque le drame, l'importance de l'amitié, les défis qu'on se lance. J'ai aimé aussi les descriptions ; ma lecture était pleine d'embruns.
Mais je n'ai pas réussi à y voir des mots d'enfants, ou de jeunes adolescents. J'aurais peut-être pu y croire si cette histoire avait eu lieu il y a quelques décennies, mais pas alors que les allusions aux consoles et au téléphone portable ne la situe indéniablement dans un cadre contemporain. Dommage, ce sont de beaux textes, émouvants, mais je ne suis pas sûre que les jeunes lecteurs s'y reconnaissent.
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Lorsque l'hiver arrive, Mulot se retrouve fort dépourvu, ce qui ne passe pas inaperçu lorsque son fidèle ami Taupe vient lui rendre visite. Taupe réunit tous leurs amis pour une kermesse hivernale où les lots sont des provisions. Ne reste plus qu'à faire gagner Mulot ! Une première lecture où solidarité, bienveillance et humour sont au rendez-vous !
Ht sur coup de tête Tomb du soir. Miam miam me disais-je. Déception. Texte bien trop sophistiqué chantourné, bourré de pré-requis par rapport à l'âge visé (à partir de 5 ans, what ???) Taupe est masculin (!) Dessins attirants mais en réalité monotones, échelle taille change d'une page à l'autre. Persos idem entassés. Rien ne ressort. Momox.
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Nous retrouvons les deux compères, Taupe et Mulot pour une nouvelle aventure tout en finesse.
Quand Taupe se prend d'affection pour un asticot tombé du nid (alors qu'habituellement il les mange), plus rien ne peut l’arrêter. Il est prêt à tout pour sauver ce petit être sans défense.
Au rythme des deux amis, nous suivons donc l'évolution de Bridinette : de ver à mouche... jusqu'à l'inévitable envol.
Questionnements de grands dans une langue adaptée aux plus jeunes, Henri Meunier et Benjamin Chaud, comme toujours, tombent juste.
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Des textes courts et percutants qui en réalité font une histoire entière.
Je vous conseille vivement d'aller jusqu'au bout, de découvrir l'entièreté des sentiments des ces ados-là qui sous couvert de bons moments partagés, de jeux insouciants cachent des vérités cruelles.
Des récits de vacances en bande, d'échanges de baisers et d'amour, de défis idiots, de sauvetage.
C'est fort bien écrit, un plaisir de lecture à voix haute même s'il existe un léger décalage entre le discours de ces jeunes et l'époque contemporaine dans laquelle ils évoluent.
En début de lecture, on croit presque à un récit un peu daté du fait de certaines expressions utilisées par les jeunes.
Un beau texte, à lire avec des ados.
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Dans la famille Ogre je demande... Un petit bijou de livre qui reprend le principe du jeu de sept famille, en présentant les personnages avec une carte et un petit texte farfelu à chaque fois. Le côté rétro des illustrations et des photomontages, à partir de documents anciens, ainsi que le format minuscule donnent à cet ouvrage une forte personnalité, à la mesure du récit. Car dans la famille Ogre les enfants semblent destinés à une prometteuse carrière, sauf le petit dernier, qui semble-t-il est promis à une autre destinée... Un petit ouvrage drôle et féroce, dont même les pages de garde sont un véritable délice graphique.
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La mer se raconte, le capitaine écoute.
Bonne fille, quand le capitaine part à la retraite et qu'il lui propose de le suivre, elle accepte l'invitation.
C'est une véritable histoire d'amour qui nous est ici contée, celle d'un vieux loup de mer et la mer.
C'est un conte poétique mis en valeur par les illustrations superbes, inspirées à l'illustrateur par les peintres célèbres auxquels il rend hommage pour les oeuvres qui ont nourri son imaginaire.
Mais est-il légitime que le capitaine garde la mer pour lui seul. Que se passe t'il sur les plages, pour les autres marins et les promeneurs? Si la mer a disparu, il ne reste que sable et vent, et désolation.
Alors, le capitaine, comprenant qu'il ne peut priver l'humanité d'une telle ressource lui rend sa liberté. Il n'en garde que quelques gouttes au fond d'un flacon pour continuer à discuter avec elle, a se remémorer ses souvenirs.
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Malheureusement la course des futurs macchabées n'est pas crédible. L'idée de 7 Frankenstein est très bonne, tout part bien ... Très belles illustrations mais cette volonté de réussir leur exploit en Antarctique ne convainc pas ... Incompréhension également sur les rapports entre le père et le fils si prompt à se suicider après le décès de son père et les raisons du conflit ... Et incompréhension totale au niveau du graphisme, des illustrations sur la fin : qui est le sauveur ? Quel est ce homme dans le bureau ? Qui peut m'expliquer la fin de la bd ? Dommage .... Cela promettait ...
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Quel bonheur de retrouver ces deux personnages haut en couleur dans de nouvelles aventures. Ils sont tellement drôles et attachants que le lecteur en redemande.
Poétique tout en étant humoristique, ce petit roman parle à tout un chacun, attendri par l’amitié des deux protagonistes.
Les illustrations sont aussi importantes que le texte ; elles jouent sur l’observation du lecteur pour ajouter du piquant au récit. Une belle complicité donc entre le travail de l’auteur et celui de l’illustrateur.
Un petit bijou !
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"Le casse", c’est une série-concept, genre "Sept", composée de one-shots indépendants, proposés par des auteurs différents et ayant comme sujet commun, le montage d’un casse d’envergure. Après un très bon premier tome signé Christophe Bec et Dylan Teague, ce sont Henri Meunier et Richard Guerineau qui s’attaquent à ce deuxième casse.
En ne proposant pas un véritable casse, mais une revisite de la crucifixion de Jésus de Nazareth, les deux auteurs proposent une approche pour le moins inattendue de ce concept, mais finalement très réussie. Se basant sur un récit et un contexte historique connus de tous, Henri Meunier et Richard Guerineau manipulent l’Histoire au profit d’un récit subtil et finalement aussi drôle que prenant. Transformer le Christ en magot, Marie-Madeleine en chef de gang et Jacques le Juste en complice est déjà assez amusant et osé, mais les auteurs ne s’arrêtent pas en si bon chemin et vont même jusqu’à montrer une Marie-Madeleine légèrement dénudée, proposant un plan à trois à deux gardes romains à l’intelligence digne de ceux d’"Asterix". Désopilant !
Au niveau du graphisme, le style réaliste de Richard Guerineau, rehaussé par les couleurs de Delf, est parfaitement adapté au récit et contribue à restituer l’ambiance antique de l’époque.
Un très bon deuxième tome !
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