Hirohiko Araki

MANGA FANTASTIQUE / THRILLER.

Nous sommes donc au bout du chemin et je comprends maintenant que le malheur et la calamité sont les thèmes majeurs de cet arc. Tous les personnages cherchent à échapper au malheur (c’est les « gentils ») ou à exploiter ceux qui cherchent à échapper au malheur (c’est les « méchants »), des thèmes d’actualité par ailleurs.

C’est ainsi incarné par le boss de fin qui veut délivrer l’humanité du malheur mais son stand ne peut pas faire autre chose que semer le malheur et la calamité partout où il passe en trichant avec le destin et la fatalité. Et on sait comment finissent ceux qui trichent avec le destin dans la saga JoJo ! C'est donc plus que jamais To Be Continued !!!
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Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. Avec ce tome 20, les mêmes causes produisent les mêmes effets : le mangaka est toujours aussi confusant sur le long terme et toujours aussi passionnant sur le court terme… Ici on emprunte "horriblement" au Body Horror de David Cronenberg, et on n'en finit plus de trembler pour deux femmes victimes d'un médecin psychopathe, qui considère la gent féminine comme un réservoir de cobayes pour ses fantasmes déviants déguisés en délires scientifiques. Remember le criminel contre l'humanité Shirô Ishii, gracié par ces gros connards d'Etats-Unis !
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Dans ce tome 12 de "Jojolion" le détournement seinen de "Diamond is Unbreakable" continue de manière plus déjantée que jamais ! La famille Higashitaka est rassemblée pour un grand événement : Hato la fille aînée qui travaille comme mannequin veut présenter son fiancé. Ce dernier qui prétend avoir 23 ans est petit, gros, chauve, poisseux et ringard au possible. Quand les membres de la maisonnée se mettent à fondre les uns après les autres, Josuke comprend immédiatement que ce dernier est un manieur de stand… L'ambiance fantastique et horrifique est graphiquement glaçante à souhait, et cela serait absolument génial si le mangaka n'avait pas été trop loin dans le baroque pour ajouter la touche tragique et/ou épique qui rendrait le résultat parfait !

Les révélations de Tamako Damo sur son stand Vitamin C et sur ses motivations déclenchent un flashback super-intéressant… Nous y voyons Kira médecin de marine et son stand Killer Queen qui découvrent l'existence des hommes de pierre, avant de sauver sur ordre de sa mère un enfant livré à lui-même par sa pétasse narcissique de génitrice… Des années plus tard c'est deux hommes que tout oppose qui s'allient pour réaliser l'impossible : Kira veut sauver la vie de sa mère Holy Joestar, et Josefumi veut sauver la vie de celle qu'il considère comme sa mère à savoir Holy Joestar… C'est ainsi que les ennemis de l'Arc "Diamond Is Unbreakable" partent ensemble en croisade contre le trafic d'Aishô Dainenjiyama pour découvrir les secrets des hommes de pierre et de l'arbre alchimique Rokakaka… C'est vraiment plus bizarre que jamais mais aussi c'est vraiment plus que jamais To Be Continued !

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Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. Mais ici entre horreur médicale et horreur familiale nos héros font face à un adversaire aussi fort que la Mort en personne. Dommage que personne dans la famille Higashitaka ne leur fassent confiance et ne s'allient à eux contre le boss de fin... (boss de fin qui veut racketter toute l'humanité en lui vendant une fausse panacée capable de réveiller les pires instincts des hommes et des femmes) To Be Continued certes, mais c'est frustrant qu'il y ait eu autant de tours et de détours auparavant !
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Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. Avec ce tome 19, les mêmes causes produisent les mêmes effets : le mangaka est toujours aussi confusant sur le long terme et toujours aussi passionnant sur le court terme… Et après l'apocalypse du verger de la famille Higashitaka, Yasuho tombe sur un médecin maudit et sa patiente névrosée qui a 31 ans se croit trop vieille et trop laide pour quoi que se soit. Le cliffhanger de fin est tellement chelou que je suis obligé d’écrire To Be Continued !!!
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J'avais écrit à la fin du tome 12 « l'ambiance fantastique et horrifique est graphiquement glaçante à souhait, et cela serait absolument génial si le mangaka n'avait pas été trop loin dans le baroque pour ajouter la touche tragique et/ou épique qui rendrait le résultat parfait ! » Ne jamais sous-estimer le génie de Hirohiko Araki, l'un des mangaka les plus talentueux de sa génération : ce tome 13 illustre à merveille ses grandes qualités, mais aussi ses petits défauts qui l'empêchent de tutoyer la perfection… On alterne le passé où Kira et Josefumi affrontent Tamaki Damo pour sauver Holy, et le présent où Josuke qui ne sait toujours pas qui il est affronte Tamaki Damo pour sauver la famille Higashikata  : le rythme est excellent pour ne pas dire nec plus ultra ! Entre Norisuke prêt à se sacrifier pour défendre ses enfants, et Hato coincé entre sa famille et son couple le suspens est à son comble, mais la supracoolitude vient du fait que l'auteur met en scène dans les flashbacks tout ce que l'amnésique Josuke recherche depuis 12 tomes : le faction émotion géré de main de maître devient ici exponentiel !!! "Diamond Is Unbreakable" opposait un individu égoïste capable de tout détruire et un individu altruiste capable de tout réparer et on se demandait quel monde ils auraient pu créer ensemble au lieu de se combattre l'un l'autre jusqu'à la mort : dans "Jojolion" qui est le détournement de "Diamond Is Unbreakable" Kira qui n'aime rien à part sa mère Holy s'associe à Josefumi qui ne croit plus en rien à part Holy qui a toujours cru en lui… Ils sont rattrapés pour ne pas dire frappés par le destin, mais en se sacrifiant l'un pour l'autre ils donnent naissance à un justicier amnésique qui pourrait bien être un nouveau messie humaniste : Josuke ! To Be Continued !!!

Je suis obligé de signaler que tout cela n'arrive pas au bout de ses ambitions car le mangaka se lance tout le temps dans des séries à mystères sans savoir vraiment où il veut aller, et qu'à force de changer son fusil d'épaule les incohérences pointent le bout de leur nez dans l'auteur finit par gâcher ses effets… Mais quand les planètes s'alignent et que les astres sont propices, tout se transforme en pure tuerie génialement coolisssime !





PS : le mangaka est toujours aussi génialement barré quand il se permet le luxe d’un détournement de la Pieta de Michel l’Ange ^^

Dans ce tome 4, Josuke est poursuivi par le stand Born This Way, un motard fantôme (remember "Sleepy Hollow" ^^), capable de sortir de n’importe où et de n’importe quoi (remember l’épisode 1x19 de la série "Histoires Fantastiques" scénarisé par Steven Spielberg et réalisé par Martin Scorsese, excusez du peu !), et de transformer son environnement en enfer glacial… Son seul espoir est de faire confiance au stand Paisley Park qui s’est emparé de son téléphone portable et qui possède un pouvoir de précognition limité dans l’espace et le temps mais extrêmement puissant (à l’image de celui du redoutable et redouté John Taylor de la saga "Nightside" de Simon R. Green ^^)…

Le mangaka est un aficionado de culture horrifique, et il s’en donne à cœur joie en mélangeant plusieurs influences majeures du genre tout en multipliant les clins d’œil… Mais ce n’est rien par rapport aux twists de ouf qui nous révèlent l’identité des propriétaires respectifs de Born This Way et Paisley Park, et les révélations suivantes sont encore plus ouf !!! Josuke découvre le grand secret de Morio : le séisme de 2011 n’a fait que faire remonter à la surface les étranges capacités du sous-sol de la ville capable de mélanger ce qui y est enterré…

Notre héros se découvre une mère vampirisée corps et âme par un ennemi inconnu, ainsi qu’une sœur qui est incapable d’identifier distinctement l’être qui s’est emparé de l’âme, du corps et des pouvoirs de Yoshikage Kira… Notre héros jusqu’alors persuadé d’être lié à Yoshikage Kira qu’il redoutait d’être un serial killer violent et sadique n’est peut-être que l’amalgame de deux êtres dont il ne sait rien, ou pire il n’est peut-être rien du tout ! Et ne parlons de la dynastie Higashitaka qui a peut-être assuré sa fortune et sa gloire en volant à ses dépends les capacités surnaturelles de la dynastie Joestar…

Pour Josuke amnésique toujours en pleine crise d’identité, les vérités qui lui sont révélées sont encore pires que tout ce que lui ou nous aurions pu imaginer !!! Toujours est-il qu’en fin de tome lui et Joshu Higashitaka traversent l’allée des chantages qui sont un écho de Tamami Kobayashi et The Lock de l’Arc "Diamond Is Unbreakable"…



J’ai du mal à adhérer aux graphismes qui semblent sponsorisés par Jean-Paul Gaultier et Karl Lagerfeld, mais le thriller fantastique reste autant ambitieux et que passionnant bien que plus bizarre que jamais, ce qui quelque part est digne de la saga "JoJo’s Bizarre Adventure" ! To Be Continued !!!

Après quelques tomes plus baroques et bizarres que jamais, je retrouve enfin tout ce qui me plaît dans cette saga fleuve qui a dépassé les 100 tomes depuis pas mal d'année déjà...

Les jours du petit travesti Tsurugi sont menacés par la malédiction d'une maladie de pétrification, et son grand -père Norisuke est prêt à donner sa vie pour lui ! Jobin détient le secret qui pourrait sauver son fils et son père, mais il en a strictement rien à secouer : c'est donc tout naturellement que Tsurugi s'allie à Josuke et Yasuho pour le lui dérober... Et l'opération « Mission Impossible » prend la forme d'un homérique combat de lucanes qui se transforme vite en machiavélique combat de stands !

Je ne lâche pas les étoiles parce que le background de ce nouvel arc de la saga est trop baroque et trop bizarre pour moi, par contre Delcourt / Tonkam passe aux couvertures en papier glacées et ça c'est cool pour les lecteurs tactiles ^^

Ce tome 14 conclue la partie « Highway Star », et perso j'ai trouvé la résolution bien en deçà de tout ce qui avait été excellemment mis en place pour en arriver là…

Kira obligé de jouer le bon père de famille commence à ressentir d'étranges sentiments, alors que son épouse alibi tombe follement amoureuse du serial killer et que son fils alibi qui a découvert la vérité craint désormais pour sa vie… Mais l'essentiel est consacré aux tribulations de Kira confronté à Stray Cat, un British Shorthair psionique réincarné en plante mutante style "La Petite Boutique des horreurs"… Attention monsieur le mangaka, l'abus de substances psychotropes est dangereux pour la santé mentale ! ^^

Ce tome 14 initie aussi la partie « Pylône tout confort », où la team Josuke renforcée par Mikitaka le vrai-faux extraterrestre au look d'Elric de Melniboné lycéen doit échapper au piège de Toyohiro Kanedaichi et son stand Superfly… ^^ => To Be Continued !

Malgré ses défauts / limitations, il est très fort cet Hirohiko Araki. Au compte à rebours de la récolte du nouveau rokakaka, il ajoute en foreshadowing un nouveau compte à rebours : manipulé par son père victime devenue bourreau adepte du reagano-thachéro-macronisme, un enfant va tuer celui qui a tout sacrifié pour le sauver...



Il y a toute une partie horreur scolaire avec une élève gravement blessée dont on accuse une mère ou son enfant d'être la cause son « accident ». Alors nous avons les enfants harceleurs qui adorent torturer psychologiquement leurs victimes, les enfants harcelés qui ne rêvent que d'infliger à leurs bourreaux les mêmes souffrances qu'ils subissent eux-mêmes en tant que victimes, les parents qui se crêpent le chignon à longueurs de temps, les enseignants qui ne peuvent pas faire autre chose que compter les coups car les enfants comme les parents sont en embuscade pour les planter à la première occasion avec la complicité pour ne pas dire les encouragements de la hiérarchie bien planquée derrière ses tableurs excel et ses diaporamas powerpoint. Cela me donne l'occasion de parler des recteurs, véritables « Ponce Pilate » de l'Éducation Nationale, lieu de perdition qui considère le vice comme vertu et la vertu comme vice. Je pourrais parler de Jean-Michel Blanquer, ancien recteur de l'Académie de Créteil bien connu pour avoir baissé son froc devant tous les lobbies possibles et imaginables à commencer par celui des fondamentalistes musulmans. Je pourrais aussi parler de Charline Avanel qui voulait condamner Samuel Paty pour « non respect de la laïcité et de la neutralité » suite aux gesticulations du militant islamiste Abdelhakim Sefrioui aujourd'hui mis en examen « complicité d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste ». Samuel Paty a été décapité par un illuminé pour avoir défendu la liberté d'expression, mais Charline Avanel est toujours en poste et continue de penser qu'il a ceux qui sont tout et ceux qui ne sont rien, le tout aux frais du contribuable bien évidemment. Mais on pourrait aussi cité Christian Philip qui comme n'importe quel dictateur asiatique s'est moqué de l'immolation par le feu d'une enseignante au lycée Jean-Moulin de Béziers. Et c'est partout comme cela en France, donc on comprend pourquoi tout fout le camp dans ce pays dirigé par une toute une caste de Tigellin prêts et au reste pour le pouvoir et l'argent quitte à sacrifier le monde entier dont ils n'ont que faire. Quand les gens ne se laisseront plus faire, il va avoir pénurie de goudron et de plumes...





Il y a aussi tout une partie horreur médicale dont j'ai déjà largement parlé précédemment. La Team Josuke continue ses investigations à l'hôpital universitaire TG, et après les morts de Poor Tom, de Tomoki Wu et de Ryo Shimosato, elle se met en quête du mystérieux directeur Satoru Akefu. Malgré tous leurs efforts, le vieil homme âgé de 89 semble toujours leur échapper. Pire, on dirait que ce dernier les laisse le traquer pour mieux les attaquer. Josuke, Yasuho, et Mamezuku ne comprennent absolument rien au fonctionnement du stand qui les assaille : OMG on dirait Silver Chariot Requiem en pire ("Vento Aureo", les vrais savent)… Si l'un des stands les redoutables de la saga "JoJo's Bizarre Adventure" passe du Côté Obscur de la Force, nos héros vont en baver hein ! Donc, c'est To Be Continued !!!



On se doute bien que Toru toujours au mauvais endroit au moment mauvais à faire sa langue de vipère est plus louche tu meurs, mais l'auteur continue à introduire ici et là de nouveau personnages dans la dernière ligne droite de son récit. Donc il est toujours aussi passionnant à court terme, toujours aussi confusant à moyen terme, et toujours aussi incohérent à long terme...
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Le problème avec le mangaka Hirohiko Araki, c'est qu'il a trop d'imagination pour suivre une ligne directrice claire au-delà de quelques tomes… Donc les mystères s'enchaînent et s'ils ne sont pas incohérents entre eux ils ne sont pas non plus raccords entre eux. Ici après le mystère des murs qui voient, le mystère de la malédiction de pierre voici le mystère du fruit de l'échange équivalent !



On nous explique que le business du rokakaka, fruit qui exhausse un souhait en échange d'une malédiction (#l'argent), était le fait de deux équipe indépendantes : une qui s'occupait du matériel, une qui s'occupait du financier… Maintenant que les hommes-rochers de l'équipe matérielle sont éliminés, il va falloir les très malins homines crevarices de l'équipe financière. Sans surprise le fils aîné dealer et maître chanteur collabore avec sa mère criminelle, les deux étant prêt à sacrifier le reste de leur famille pour continuer à faire du pognon (#l'argent). Sauf qu'avec Josuke toujours habillé par Jean-Pau Gautier, Yoshikage Kira et Josefumi Kujo ont involontairement trouvé un nouveau moyen d'utiliser le fruit de l'échange équivalent, et que les deux compères y voient un nouveau moyen davantage prospérer « l'entreprise familiale » (#l'argent). Josuke veut y mettre fin, et il doit trouvé l'arbre greffé par ses géniteurs dont il a pris les corps mais perdus les mémoires : Norisuke le met sur la piste d'un botaniste de génie au service de la famille Higashitaka, mais Jobin met sur sa piste à lui Dolomites, un homme-tronc appartenant au peuple des hommes-rochers…



Après plus de 100 mangas, le mangaka est obligé de recycler ses meilleurs idée : ici il reprend son trop du missile à tête chercheuse, de la fuite éperdue pour lui échapper, et de la nécessité du trouver et éliminer le manieur de stand qui le contrôle avant de se faire rattraper et de se faire tuer… Et ici en plus du tome de cavale, idée génialissime, le missile à tête chercheuse est une chaîne sans fin de zombies ! Josuke est plus malin et plus rapide, mais le zombie lancé à ses trousses peut passer le témoin à n'importe laquelle de ses victimes, et du coup la menace peut venir de n'importe qui donc de n'importe où ! Va-t-il s'épuiser et lui-même se faire zombifier ? To Be Continued !



Cet arc de "JoJo's Bizarre Adventure" est trop bizarre pour moi, mais c'est du bel ouvrage quand même.

Le problème avec le mangaka Hirohiko Araki, c'est qu'il a trop d'imagination pour suivre une ligne directrice claire au-delà de quelques tomes… Donc les mystères s'enchaînent et s'ils ne sont pas incohérents entre eux ils ne sont pas non plus raccords entre eux. Ici après le mystère des murs qui voient, le mystère de la malédiction de pierre voici le mystère du fruit de l'échange équivalent ! Et après les hommes-rochers qui se faisaient un pognon de dingues avec les miracles médicaux du rokakaka voici la société secrète qui veut prospérer grâce au business de l'immortalité… C'est donc une course contre la montre entre la Team Josuke et les nouveaux super-vilains, et elle passe par le botaniste surdoué et excentrique Rai Mamezuku...



Le problème avec ce tome c'est qu'il commence fort avec la fin de la partie zombie du "Lagon bleu de Dolomites" où quand tout semble gagné tout est perdu et quand tout semble perdu tout est gagné, qu'il finit fort avec le début de la partie télésiège de "Rai Mamezuku, botaniste (31 ans)"…

Entre ces deux moments le mangaka parvient quand même à faire le lien :

- grâce au droit de quota de flashbacks, on nous montre pourquoi la matriarche de la famille Higashitaka a passé 15 ans en prison… car elle a endossé le meurtre commis par son fils le jour où il a découvert son stand, et qu'il a tué son harceleur qui voulait l'obliger à tuer la seule personne qui l'avait jamais défendu (décidément le scoutisme semble attirer un nombre incroyable de pervers)

- comme on passe à la moulinette l'arc précédent "Diamond Is Unbreakable", on nous mène en bateau en nous faisant croire à un nouveau remake du film d'action "Speed"… Oui mais non, on passe directement à la un remake de « l’homme du pylône électrique » !

MANGA FANTASTIQUE / THRILLER.

Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. D'un côté le père offensif et le fils défensif qui officient en duo pour assassiner les outsiders qui veulent s'emparer du fruit du miracle. D'un autre côté Josuke et mamuzake qui ne savent plus quoi faire pour échapper aux pouvoirs du stand du boss du fin... Boss de fin qui semble avoir compromis son identité, ou pas, parce que Yasuhiho ne se caractérise guère par son instinct ?





PS : dans le tome précédent j’avais évoqué dans la partie horreur scolaire fictionnelle l’horreur scolaire IRL… Et bien force est de constater que l’école de la confiance de Blanquer fait plus de ravages que jamais :

- lundi, un collégien rue de coup le visage de sa prof de maths jusqu’a le mettre en sang parce qu’elle avait touché toujours sa trousse et sa calculatrice pour l’obliger à faire ses exercices : aucune réaction du ministre, du recteur, et du chef d’établissement tous en mode « autruche » puisqu’aucune image n’a filtré de l’événement…

- mardi des lycéens tirent au mortier dans leur établissement et les agents d’entretien et les pompiers n’arrivent pas à éteindre les débuts d’incendie car tous les extincteurs ont été sabotés… Aucune réaction du ministre, du recteur, et du chef d’établissement tous en mode « autruche » puisque les images ont filtré mais ont ne voit pas personne dessus et elles n’ont pas provoqué de polémiques…

- mercredi, après plusieurs avertissements, un enseignant d’EPS est obligé d’exclure un lycéen en le prenant par le bras… le lendemain il est convoqué par son chef d’établissement pour une mise à pied à effet immédiat de 15 jours décidée dans la nuit par la grâce du Saint Esprit par le recteur sans aucune enquête sur les faits concernées. Donc il se torche le cul avec la présomption d’innocence, et pour un représentant de la République bafoue toutes les lois de la République, et puis c’est dingue toutes ces racailles qui parviennent à joindre le rectorat à toutes heures de la nuit et du jour tous les jours de la semaine alors que ces mêmes gens ne répondent à leurs salaries qu’au bout de deux mois comme le préconise la Loi Macron II)

Je vais être clair et net : je prédis une pénurie de goudron et de plume pour quand tous ses gens ne seront plus protégés par Banquer le paratonnerre de Jupiter ! L’école publique est déjà morte, mais elle ne le sait pas encore. Merci qui ? Merci Oncle Fétide alias Banquer issu des business schools ultralibérales qui veulent tout privatiser et qui sévit dans les couloirs du ministère depuis 2009 (là où les choses ont commence à se dégrader à grande vitesse) après avoir baissé son froc devant tous les lobbies extrémistes de l’Académie de Créteil (il aurait même reçu un prix d’islamisme de la part des salafistes locaux, c’est dire à quel point ce mec est un paillasson en plus d’être un traître à la nation !!!)…
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MANGA FANTASTIQUE / POLAR.

Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. Mais l'auteur a le talent et la passion pour nous plonger dans un bouillon de suspens à tout moment. Dans le verger de la famille Higashitaka lieu de tous les dangers, 5 personnages aux motivations différentes appartenant à au moins 3 camps différents sont pris au piège d'une course contre la montre mortelle !
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MANGA FANTASTIQUE / POLAR.

Décidément cet Arc 8 souffle le chaud et le froid. Ici l'auteur recycle un passage culte de l'Arc 5 mais avec des personnages moins attachants, et une intrigue pas super claire remplie de personnages aux motivations floues. Cette réécriture de l'Arc 4 dans un monde parallèle ne vaut pas l'Arc 4 lui-même...
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Ce 14e tome est divisé en 3 parties :

- dans une 1ère partie, il ne reste que Hato pour sauver les Higashitaka du cruel et sadique Damo

La puissance d’une stand dépend de la volonté et du tempérament de son détenteur (c’est pour cela que Star Platinum était aussi fort dans "Stardust Crusaders", car il était le reflet de la volonté inébranlable, des nerfs d’acier et du sang froid de Jotaro Kujo), et c’est pour cela que malgré sa colère la faible et fragile Hato n’aurait aucune chance si elle ne pouvait compter sur l’aide que Josuke peut encore lui apporter...

- dans une 2e partie, le mangaka démontre une fois de plus qu’il est un des plus grands connaisseurs du genre fantastique puisqu’il reprend et transforme la nouvelle "Le Veston ensorcelé" de Dino Buzatti

Joshu hérite malgré lui de l’argent du Milagro Man et quoiqu’il fasse il ne peut rien dépenser et n’arrête pas d’en gagner. Au départ c’est grisant, mais il comprend vite le gros paquets d’emmerdes qui va vite arriver avec : il lui faut briser au plus vite la malédiction avant qu’il ne soit trop tard…

- dans une 3e partie, nous découvrons Kaato Higashitaka 52 ans, épouse et mère de famille qui vient de sortir de prison après avoir purgé sa peine de 15 ans pour homicide volontaire ans, et qui compte bien reprendre la place qui a été et qui est toujours la sienne… qu’est-ce que le mangaka va encore bien nous inventer !!!



Dans ce tome la transformation du héros amnésique est radicale : il sait désormais qui il est, d’où il vient, et ce qu’il lui reste à faire (découvrir le fruit de l’échange, neutraliser les hommes-rochers, sauver Holy Joestar). Josefumi a mis fin à sa vie pour celle de Kira continue, mais le fruit de l’échange est capricieux… L’âme de l’un aurait pu vivre dans le corps de l’autre, mais les deux êtres ont fusionné pour en devenir un nouveau vierge de tout souvenir et de toute personnalité. Enfin presque, car c’est néanmoins celui qui avait le plus soif de vivre qui a donné au nouvel être le plus de lui-même : ce qu’est devenu Josefumi Kujo doit apprendre à se reconstruire, car il a désormais un destin à accomplir ! Un justicier est né et c’est le pied !!!

Hirohiko Araki le mangaka aux idées folles nous offre un tome 15 partagé en 2 parties :



- 1ère partie

La team Josuke est prise au piège du stand autonome Superfly qui fonctionne comme le puits et la prison du jeu de l’oie : pour en sortir, il faut que quelqu’un vous y remplace ! Mikitaka l’extraterrestre autoproclamé au look d’Elric de Melniboné est près à se sacrifier pour ses nouveaux amis, mais Josuke préfère tout risque de d’abandonner l’un des siens ! Sauf que comme la force est inutile, puisque Superfly absorbe et renvoie tous les coups qui lui sont portés, il va falloir recourir à la ruse pour l’emporter sur celui qui est censé le contrôler…

On est bien dans les stratégies barrées qui ont fait la renommée de la série, mais pour le coup j’ai trouvé ça moins réussi que d’habitude… Mithridatisation ? Graphismes trop baroques ? Pathos des situations pas assez intenses ? Je ne sais pas finalement.



- 2e partie

La team Josuke fait la rencontre de Terunosuke Miyamoto, le BG fétichiste de la peur qui en traque les tics chez ses ennemis pour déclencher la terrible attaque de son stand Enigma qui transforme ses victimes en êtres en 2 dimensions ne pouvant plus interagir avec le monde réel… (attaques qui prennent le forme des illusions optiques à la Maurits Cornelis Escher Escher : ce mangaka est autant génial que frappadingue ^^) Josuke qui craint pour la vie de ses amis finit par se trahir et succombe à la malédiction… Yuya Fungami le manieur du stand Highway Star décide immédiatement de changer de camp pour rejoindre le Côté Clair de la Force : quoi qu’il puisse lui en coûter, il sauvera Josuke qui dans sa générosité lui avait déjà tout pardonné !!!

Le héros qui change ses ennemis en amis, c’est un archétype du shonen, mais dans la saga JoJo c’est presque un leitmotiv… Mieux, il y a presque un côté messianique en Josuke agent de la destinée transformant à répétition ses ennemis acharnés en alliés indéfectibles !





Je m’aperçois que l’Arc "Diamond Is Unbreakable" est assez proche de la partie égyptienne de l’Arc 3 "Stardust Crusaders", sauf qu’effectivement on joue une partie de jeu de l’oie live et que plus on s’approche de Kira et plus on a de chance de devoir reculer… Mais le manga touche bientôt à sa fin, et l’affrontement entre le super-héros qui peut tout réparer et le super-vilain qui peut tout détruire est inévitable !

Tout a commencé avec la jeune et sémillante Yasuho Hirose tentant d'échapper à son ami d'enfance teubé, violent, et follement amoureux d'elle… C'est ainsi qu'elle découvre un inconnu agonisant dont elle va tenter de découvrir la véritable identité. Celui qu'elle a choisi d'appelé Josuke n'a aucun souvenir de son passé, mais est détenteurs de tocs (manie de tout mesurer, de dormir sous compression) et d'étrangers pouvoirs qu'il manipule à la perfection (grâce à son stand Soft & Wet ^^)… Et la route menant à Kira Yoshikage et son passé est semée d'embûche !



Ben oui, le mangaka revient dans sa région d'origine sauf que depuis elle a été frappée par un séisme, un tsunami et l'explosion d'une centrale nucléaire… La paisible cité touristique et technopolitaine est devenue une shrinking city en crise avec le départ d'une partie de la population de la ville voire de la région… Il lui ajoute les étranges « murs qui voient » et une pléthore de manieurs stands tout droit sortis d'un film d'horreur… le mangaka a définitivement rompu avec le Weekly Shonen Jump (qu'il a quitté en forts mauvais termes avec pas mal de collègues), puisque que les héros lycéens sont ici remplacés par un marin amnésique et une étudiante en sociologie… Pas toujours fans des délires graphiques et scénaristiques de l'auteur qui se laisse parfois déborder par son imagination délirante et par ses nombreuses références populaires (depuis l'Arc "Vento Aureo" on a parfois l'impression que Jean-Paul Gautier et Karl Lagerfeld ont pris le pouvoir ^^).





Dans ce tome 3 suite et fin du « mind game » entre entre Daiay l'adolescente et malvoyante qui veut vamper l'amnésique Josuke en volant grâce à ses pouvoirs le peu de souvenirs qu'il lui reste… Décidément l'auteur maîtrise à la perfection les duels de « je sais que tu sais que je sais que tu sais… » remplis de rebondissements pas piqués des hannetons ! ^^

La suite du tome est plus calme à court terme en naviguant entre transitions et révélations, car Josuke l'amnésique découvre que le fameux Yoshikage Kira avec lequel il partage un lien de nature encore indéterminée est lui-même lié à la famille Higashitaka par le biais de famille Joestar métisse et cosmopolite, et avec Yasuho Hirose il part à la recherche d'Holly la mère de Kira descendant de Suzy Q et Joseph Joestar, lui-même descendant George Joestar III et Elisabeth (ces noms ne diront rien au néophyte, mais les connaisseurs de la saga vont se régaler ^^)… Sauf qu'en route pour le Sanctuaire des Six Murs rencontre à la fois ennemis et alliés potentiels, vu qu'il est poursuit pas un stand qui semble capable de provoquer la malchance et de déclencher des blizzards localisés, et vu qu'il est aidé par un manieur de stand qui lui indique comment se sortir ce guêpier à travers son téléphone portable...

Les liens sont évidents avec "Diamond is Unbreakable", dont on retrouve l'ambiance et les codes du thriller, le mangaka s'amusant comme un fou à redistribuer les cartes avant de brouiller les pistes puisque nous sommes dans l'univers parallèle créé à la fin de "Stone Ocean" : jamais la saga "JoJo's bizarre adventure" n'aura été aussi bizarre et aussi étrange ! blink

A l'image de son idole Stephen King, Hirohiko Araki est sans doute passé de l'horreur pure et dure au fantastique plus au moins onirique, mais il n'est jamais aussi fort que quand il retrouve sa zone le confort : la cavale hitchcockienne associée à mind game machiavélique, ce qui nous donne des escape games hallucinés et hallucinants !

Dans ce tome 10 la quête du fruit de guérison continue, et la belle Yasuho et le petit travesti Tsurugi filent le dénommé Aishô Dainenjiyama qui travaille au stade de Morio. Ils découvrent non seulement que ledit fruit échange une bénédiction contre une malédiction (remember le principe de l'échange équivalent de "Fullmetat Alchemist" ^^), voyant ainsi un vieillard retrouver sa jambe pour perdre ses yeux, mais aussi qu'il le fruit d'un juteux business mafieux... le duo est pris en chasse par le dealer de miracles qui lance à leurs trousse son « horla » Doobie Wah !, un tourbillon aveugle déchiquetant la matière en fonction de sa taille et de sa force dépendantes elles-mêmes du nombre de respirations de ses proies qu'il repère à leur souffle ! le piège est d'autant plus diabolique que ce stand n'a pas portée, donc que la seule manière de s'en débarrasser est de vaincre son propriétaire... Et force est de constater que la victoire est remportée de manière fort astucieuse, puisqu'avec son pouvoir de manipulation de la réalité à courte portée Yasuho gagne du temps pour que Tsurugi puisse SPOILER

Tsurugi peut manipuler la mémoire visuelle de ses adversaires / victimes, et ici il remplace chez Aishô Dainenjiyama l'image des bus de la ville par celle de son père Jobin qui est censé collaborer avec lui... Et arrive le moment où il s'en approche pour lui demander des explicitations, il se fait écraser comme une grosse merde ! Finalement, il est génial ce pouvoir de manipulation mentale ^^

Je ne lâche pas les étoiles parce que le background de ce nouvel arc de la saga est trop baroque et trop bizarre pour moi, surtout avec ses flashbacks / flashforwards qui nourrissent des mystères lostiens bien chelous

"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :

- les légendaires JoJo poses, aujourd’hui objet de concours lors des rassemblements de cosplayers

- les nouveaux usages des onomatopées utilisées comme éléments de mise en scène voire de narration

- les clins d’œil permanents aux grands classiques de la littérature horrifique et/ou du cinéma horrifique

- l’immersion de tous les instants dans la popculture mondiale qui transpire dans l’intégralité du naming

- l’application des techniques des photographes de mode au charadesign, au cadrage et à la mise en scène

- les cliffhangers de ouf suivi du légendaire « To be continued » (à ma connaisse c’est le seul manga qui fasse ça)

- les supervilains mémorables mais tous plus psychopathe les uns que les autres (le mangaka a lu des biographies de serial killers jusqu’à la nausée pour travailler la caractérisation de ses méchants)

- la révolution copernicienne des combats car ce n’est plus le plus fort, le plus rapide ou le plus courageux/déterminé qui gagne, mais les plus intelligents et les plus malins… ainsi les affrontements ne sont plus seulement des épreuves de force, physique ou morale, mais aussi des énigmes à résoudre (le mangaka est fan de "Sherlock Holmes" et de "Columbo", et parfois ça se sent bien ^^)

Son influence sur l’actuelle génération de mangaka est immense : CLAMP ("X"), Watsuki Nobuhiro ("Kenshin le vagabond"), Yoshihiro Togashi ("Yuyu Hakusho", "Hunter X Hunter"), Hiroyuki Takei ("Shaman King"), Kazuki Takahashi ("Yu-Gi-Oh !"), Eiichirô Oda ("One Piece"), Masashi Kishimoto ("Naruto"), Taito Kubo ("Bleach"), Hiro Mashima ("Fairy Tail")… lui ont emprunté peu ou prou, et parfois presque tout ! ^^

Et son l’influence s’est également largement répandu dans les univers vidéoludiques, puisque moult personnages des premiers jeux de bastons ("Street Fighter", "King of Fighter", "Fighting Vipers"…) sont calqués sur ses créations, tombant parfois dans le plagiat, et tout au long de ses nombreux épisodes la saga "Castlevania" n’a cessé de lui rendre hommage…





L’action de "Jojolion" se situe comme celle de "Steel Ball Run" dans le monde parallèle créé par Enrico Pucci et Made in Heaven à la fin de l’Arc "Stone Ocean"… Donc les habitués de la saga ne doivent pas être surpris de voir ici cohabiter des personnages des arcs précédents, et de passer du XIXe au XXIe siècle ! ^^



Dans ce tome 1, la jeune et sémillante Yasuho Hirose tente d’échapper à son ami d’enfance teubé, violent, et follement amoureux d’elle… C’est ainsi qu’elle découvre un inconnu agonisant dont elle va tenter de découvrir la véritable identité. Celui qu’elle a choisi d’appelé Josuke n’a aucun souvenir de son passé, mais est détenteurs de tocs (manie de tout mesurer, de dormir sous compression) et d’étrangers pouvoirs qu’il manipule à la perfection (grâce à son stand Soft & Wet ^^)… Rapidement ils remontent la piste d’un dénommé Kira Yoshikage avant de tomber dans un piège !



Ben oui, après l’Arc "Diamond is Unbreakable" le mangaka revient dans sa région d’origine sauf que depuis elle a été frappée par un séisme, un tsunami et l’explosion d’une centrale nucléaire… La paisible cité touristique et technopolitaine est devenue un shrinking city en crise avec le départ d’une partie de la population de la ville voire de la région… Il lui ajoute les étranges « murs qui voient » et une pléthore de manieurs stands tout droit sortis d’un film d’horreur… Le mangaka a définitivement rompu avec le Weekly Shonen Jump (qu’il a quitté en forts mauvais termes avec pas mal de collègues), puisque que les héros lycéens sont ici remplacés par un marin amnésique et une étudiante en sociologie… Pas toujours fans des délires graphiques et scénaristiques de l’auteur qui se laisse parfois déborder par son imagination délirante et par ses nombreuses références populaires (depuis l’Arc "Vento Aureo" on a parfois l’impression que Jean-Paul Gautier et Karl Lagerfeld ont pris le pouvoir ^^), mais les derniers chapitres étaient excellent : le remake de "Saw" avec des sorciers vaudous ! Pas de doute, l’affrontement entre le héros altruiste et humaniste et l’ignoble serial killer sera de nouveau au cœur de ce dernier arc en date de la saga "JoJo’s Bizarre Adventure" !