Critiques de Hirohiko Araki (143)
Dans un 1er temps, ce tome 10 continue et conclut la modernisation du Conte de Cendrillon avec une marraine esthéticienne (manieuse de stand comme il se doit)… Tout est là : la réalisation du voeu et sa contrepartie, la règle brisée et le châtiment qui en résulte, la perte des souvenirs et donc d'identité, le prince charmant, son esprit de sacrifice et la rédemption finale… Je n'aurais jamais imaginé qu'on à ce point moderniser les fables avec autant de fidélité à leur esprit : chapeau l'artiste !
Dans un 2e temps, ce tome 10 connaît une brusque accélération puisqu'en enquêtant sur le serial killer de Morio Jotaro Kujo et Koichi Hirose tombe sur directement sur lui !!! Nos deux héros sont donc confrontés aux pouvoirs de son stand Killer Queen et de son redoutable pouvoir Sheer Heart Attack… Embuscades, fuites, appâts, leurres, pièges, le tout en huis clos avec quelques manipulations du temps avec Star Platinum The World : on est reparti pour les combats stratégiques qui ont fait le succès et la célébrité de la série ! le héros de l'arc 3 grièvement blessé, le jeune Koichi Hirose doit se muer en héros donc c'est tout naturellement que son stand Echoes Acte II disparaît pour laisser la place à Echoes Acte III… Et si c'était lui finalement le personnage principal du show ?
=> To Be Continued
Dans un 2e temps, ce tome 10 connaît une brusque accélération puisqu'en enquêtant sur le serial killer de Morio Jotaro Kujo et Koichi Hirose tombe sur directement sur lui !!! Nos deux héros sont donc confrontés aux pouvoirs de son stand Killer Queen et de son redoutable pouvoir Sheer Heart Attack… Embuscades, fuites, appâts, leurres, pièges, le tout en huis clos avec quelques manipulations du temps avec Star Platinum The World : on est reparti pour les combats stratégiques qui ont fait le succès et la célébrité de la série ! le héros de l'arc 3 grièvement blessé, le jeune Koichi Hirose doit se muer en héros donc c'est tout naturellement que son stand Echoes Acte II disparaît pour laisser la place à Echoes Acte III… Et si c'était lui finalement le personnage principal du show ?
=> To Be Continued
"JoJo's Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Dans ce tome 6 a lieu l'affrontement final entre Josuke et son Crazy Diamond contre le redoutable propriétaire de Red Hot Chili Pepper (remember le film de Wes Craven intitulé "Shocker" et daté de 1989 ^^). Les deux manieurs de stands rivalisent de ruse et stratégie, feintant la défaite et la mort pour contre-attaquer de plus belle… Mais au final, c'est la crétinerie d'Okuyasu Nijimura qui permet de remporter la victoire et de sauver la vie de papy Joestar… La team Josuke récupèrent l'arc et la flèche d'argent, mais la petite ville de Morio et ses nombreux manieurs de stands est loin d'avoir livré tout ses secrets ! ^^
Dans la 2e partie de ce tome, intitulé « On a ramassé un truc chelou ! », Josuke et Joseph essayent de mieux se connaître…. le voyou karatéka de "Battle Tendency" et le technomage aux allures d'Indiana Jones de "Stardust Crusaders" est ici en voie de devenir sénile… Lui et son fils illégitime se réconcilie en essayant de rendre à sa mère un bébé de six mois manieur de stand qui rend invisible tout ce qui l'environne quand il stress… ^^
Dans la 3e partie de ce tome, intitulé « Visite chez un mangaka », Koichi Hirose tombe sous la coupe de Rohan Kishibe, l'alter ego fictionnel d'Hirohiko Araki, l'auteur du manga Pink Dark Boy mais d'abord et surtout, manieur du stand Heaven's Door ! Ce dernier transforme la chair de ses victimes en feuilles que son propriétaire écorche pages après pages. Au fur et à mesure que Rohan Kishibe arrache les souvenirs de Koichi Hirose pour réaliser les planches de son nouveau manga « Diamond is Unbreakable » (celui que nous sommes en train de lire ^^), le pauvre lycéen perd dangereusement du poids. le pouvoir de Heaven's Door permet aussi de réécrire la mémoire de ses victimes : la victime ne peut ni s'en prendre à son vampire littéraire ni appeler à l'aide ses compagnons d'armes, pire il perd le souvenir du danger mortel qui risque de ôter la vie…
Un peu dérouté par l'association entre des personnages dessinées de manière de plus en plus cartoonesque et des décors eux dessinés de manières très réaliste. Mais derrière les bizarreries diverses et variées, on retrouve l'ambiance fantastique et angoissante des premiers ouvrages de Stephen King, et ça c'est cool ! Par contre je ne sais à quoi carbure le mangaka pour inventer autant de trucs de bizarres, mais c'est de la bonne came hein…
To Be Continued ! =>
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Dans ce tome 6 a lieu l'affrontement final entre Josuke et son Crazy Diamond contre le redoutable propriétaire de Red Hot Chili Pepper (remember le film de Wes Craven intitulé "Shocker" et daté de 1989 ^^). Les deux manieurs de stands rivalisent de ruse et stratégie, feintant la défaite et la mort pour contre-attaquer de plus belle… Mais au final, c'est la crétinerie d'Okuyasu Nijimura qui permet de remporter la victoire et de sauver la vie de papy Joestar… La team Josuke récupèrent l'arc et la flèche d'argent, mais la petite ville de Morio et ses nombreux manieurs de stands est loin d'avoir livré tout ses secrets ! ^^
Dans la 2e partie de ce tome, intitulé « On a ramassé un truc chelou ! », Josuke et Joseph essayent de mieux se connaître…. le voyou karatéka de "Battle Tendency" et le technomage aux allures d'Indiana Jones de "Stardust Crusaders" est ici en voie de devenir sénile… Lui et son fils illégitime se réconcilie en essayant de rendre à sa mère un bébé de six mois manieur de stand qui rend invisible tout ce qui l'environne quand il stress… ^^
Dans la 3e partie de ce tome, intitulé « Visite chez un mangaka », Koichi Hirose tombe sous la coupe de Rohan Kishibe, l'alter ego fictionnel d'Hirohiko Araki, l'auteur du manga Pink Dark Boy mais d'abord et surtout, manieur du stand Heaven's Door ! Ce dernier transforme la chair de ses victimes en feuilles que son propriétaire écorche pages après pages. Au fur et à mesure que Rohan Kishibe arrache les souvenirs de Koichi Hirose pour réaliser les planches de son nouveau manga « Diamond is Unbreakable » (celui que nous sommes en train de lire ^^), le pauvre lycéen perd dangereusement du poids. le pouvoir de Heaven's Door permet aussi de réécrire la mémoire de ses victimes : la victime ne peut ni s'en prendre à son vampire littéraire ni appeler à l'aide ses compagnons d'armes, pire il perd le souvenir du danger mortel qui risque de ôter la vie…
Un peu dérouté par l'association entre des personnages dessinées de manière de plus en plus cartoonesque et des décors eux dessinés de manières très réaliste. Mais derrière les bizarreries diverses et variées, on retrouve l'ambiance fantastique et angoissante des premiers ouvrages de Stephen King, et ça c'est cool ! Par contre je ne sais à quoi carbure le mangaka pour inventer autant de trucs de bizarres, mais c'est de la bonne came hein…
To Be Continued ! =>
"JoJo’s Bizarre Adventure", c’est le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
L’action de "Steel Ball Run" se situe dans le monde parallèle créé par Enrico Pucci et Made in heaven à la fin de l’arc "Stone Ocean"… Donc les habitués de la saga ne doivent pas être surpris de voir ici cohabiter des personnages des arcs précédents décédés de longue date ! ^^
Nous suivons dans ce tome 1 le départ de la Steel Ball Run, la traversée à cheval des Etats-Unis, et donc du continent américain, de San Diego à New York. Nous sommes dans un tome d’exposition qui enfile les saynètes nous montrant les différents concurrents de la course, donc du drame à venir… Qui sera le vainqueur de la première Steel Ball Run :
- Jayro Zeppeli, l’étrange bourreau napolitain souhaitant obtenir l’amnistie royale qui sauvera le petit Marco ?
- Diego Brando, l’aristocrate anglais qui veut montrer qu’il est l’homme le plus talentueux du monde ?
- Pocoloco, le paysan afro-américain qui veut montrer qu’il l’homme le plus chanceux du monde ?
- Johnny, l’ancien jockey devenu paraplégique qui a retrouvé l’espoir de remarcher de nouveau ?
- Sandman, l’Amérindien qui veut racheter la terre de ses ancêtres ?
Mais c’est aussi une course contre les assassins du président Funny Valentine, qui souhaite récupérer les reliques de Jésus Christ et leurs mystérieux pouvoirs… Ben oui, sinon le « bizarre » de "JoJo's Bizarre Adventure" n’aurait plus aucun sens ! ^^
Graphiquement, que de chemin parcouru depuis l’héritage de Tetsuo Hara qui transirait dans les 2 premiers arcs. C’est soigné et dynamique, mais un peu chargé donc pas toujours très clair
Après pas toujours fan du charadesign décliné en 3 temps :
Héros est héroïnes sortent tous et toutes du même moule, donc pas toujours faciles de distinguer les uns des autres ces top models androgynes fashion victims : Jayro Zeppeli avec ses lèvres fluorescentes et ses dents gravées à l’or fin d’un « Go ! Go ! Zeppeli », Johnny Joestar avec sa combinaison étoilée et son bonnet péruvien, ou le cowboy Mountain Tim et son très joli ensemble léopard… (Et je ne vous parle même pas des jojo poses gay-friendly !)
Les vilains forment eux une véritable galerie de freaks, et les comics-reliefs une véritable galerie de cartoons…
Et puis avec une imagination aussi débordante, quelques bifurcations étranges donnant lieu à quelques incohérences… Ainsi le fantastique débute avec les techniques de rotation de Jayro Zeppeli (un gros clin d’œil à "Phantasm", la série de films d’horreur de Don Coscarelli ayant débuté en 1979), puis continue sur la Paume du Diable (un Triangle des Bermudes terrestre apparaissant ou disparaissant de sa propre volonté), puis on enchaîne avec les reliques amenées an Amériques par Joseph d’Arimathie qui amène une fois de plus le fabuleux concept des stands
Et puis nos héros se font grièvement blesser, mutiler ou handicaper à chaque épisode, mais repartent magiquement à l’aventure dès l’épisode suivant sans en porter les traces ou les cicatrices… mdr
Un manga qui ne plaira pas à tout le monde, mais entre "Canon Ball" et "Wild Wild West" il s'agit d'un nouvel arc prometteur pour la très chouette saga JoJo !
L’action de "Steel Ball Run" se situe dans le monde parallèle créé par Enrico Pucci et Made in heaven à la fin de l’arc "Stone Ocean"… Donc les habitués de la saga ne doivent pas être surpris de voir ici cohabiter des personnages des arcs précédents décédés de longue date ! ^^
Nous suivons dans ce tome 1 le départ de la Steel Ball Run, la traversée à cheval des Etats-Unis, et donc du continent américain, de San Diego à New York. Nous sommes dans un tome d’exposition qui enfile les saynètes nous montrant les différents concurrents de la course, donc du drame à venir… Qui sera le vainqueur de la première Steel Ball Run :
- Jayro Zeppeli, l’étrange bourreau napolitain souhaitant obtenir l’amnistie royale qui sauvera le petit Marco ?
- Diego Brando, l’aristocrate anglais qui veut montrer qu’il est l’homme le plus talentueux du monde ?
- Pocoloco, le paysan afro-américain qui veut montrer qu’il l’homme le plus chanceux du monde ?
- Johnny, l’ancien jockey devenu paraplégique qui a retrouvé l’espoir de remarcher de nouveau ?
- Sandman, l’Amérindien qui veut racheter la terre de ses ancêtres ?
Mais c’est aussi une course contre les assassins du président Funny Valentine, qui souhaite récupérer les reliques de Jésus Christ et leurs mystérieux pouvoirs… Ben oui, sinon le « bizarre » de "JoJo's Bizarre Adventure" n’aurait plus aucun sens ! ^^
Graphiquement, que de chemin parcouru depuis l’héritage de Tetsuo Hara qui transirait dans les 2 premiers arcs. C’est soigné et dynamique, mais un peu chargé donc pas toujours très clair
Après pas toujours fan du charadesign décliné en 3 temps :
Héros est héroïnes sortent tous et toutes du même moule, donc pas toujours faciles de distinguer les uns des autres ces top models androgynes fashion victims : Jayro Zeppeli avec ses lèvres fluorescentes et ses dents gravées à l’or fin d’un « Go ! Go ! Zeppeli », Johnny Joestar avec sa combinaison étoilée et son bonnet péruvien, ou le cowboy Mountain Tim et son très joli ensemble léopard… (Et je ne vous parle même pas des jojo poses gay-friendly !)
Les vilains forment eux une véritable galerie de freaks, et les comics-reliefs une véritable galerie de cartoons…
Et puis avec une imagination aussi débordante, quelques bifurcations étranges donnant lieu à quelques incohérences… Ainsi le fantastique débute avec les techniques de rotation de Jayro Zeppeli (un gros clin d’œil à "Phantasm", la série de films d’horreur de Don Coscarelli ayant débuté en 1979), puis continue sur la Paume du Diable (un Triangle des Bermudes terrestre apparaissant ou disparaissant de sa propre volonté), puis on enchaîne avec les reliques amenées an Amériques par Joseph d’Arimathie qui amène une fois de plus le fabuleux concept des stands
Et puis nos héros se font grièvement blesser, mutiler ou handicaper à chaque épisode, mais repartent magiquement à l’aventure dès l’épisode suivant sans en porter les traces ou les cicatrices… mdr
Un manga qui ne plaira pas à tout le monde, mais entre "Canon Ball" et "Wild Wild West" il s'agit d'un nouvel arc prometteur pour la très chouette saga JoJo !
Ce tome 2 est vraiment très bien rempli, à des années lumière des shonens de dernière génération où on peut passer des chapitres voire des tomes entiers sans perdre le fil…
JoJo continue dans à Ogre Street sa quête du poison utilisé par Dio et l'antidote qui permettrait de sauver son père… C'est à ce moment qu'il fait la connaissance du criminel Robert Edward O. Speedwagon, qui va devenir son compagnon d'arme, puis le chroniqueur et enfin le protecteur de la famille Joestar. Pour ceux qui suivent mes critiques, JoJo illustre à nouveau la maxime « il n'est pas de meilleure manière de vaincre un ennemi que de s'en faire un ami ». Admiratif du courage et de la générosité de JoJo, Speedwagon va se retrouver contaminé à son tour par la noblesse d'âme de notre héros et va à son tour partir en croisade contre les sombres puissances de la crevardise !
Pendant ce temps, poursuivant ses sinistre desseins, l'ignoble Dio Brando au visage d'ange mais à l'âme de démon perce le mystère du masque de pierre : activé par du sang humain, il transforme son porteur en surhomme invincible qui doit néanmoins s'alimenter de la force vitale de ses victimes tout en restant vulnérable à la lumière du soleil. Et le fait que le masque de pierre ressemble au face hugger de la saga "Alien" n'est absolument pas fortuit du tout… ^^
C'est en présence des forces de polices et de justice que JoJo et Speedwagon confondent Dio, qui tente le tout pour le tout en devant vampire à son tour…
La scène ou Dio annonçant à ses adversaires qu'il se débarrasse des limitations humaines en abandonnant avec joie son humanité est plus que révélatrice, c'est même une critique pas déguisée du tout de la crevardise. Dio était un sociopathe manipulateur n'ayant d'estime pour rien ni personne à part lui-même, sa transformation en vampire ne fait qu'accorder son physique à sa personnalité.
Je reste persuadé qu'un monstre sommeille en chaque petit con, gros con et grand con. Ces crevards sont des pourritures racistes de la pire espèce : pour eux existe une race supérieure à laquelle ils sont persuadés d'appartenir (les forts), et il y a tous les autres qui ne sont que du bétail à exploiter (les faibles)… Donnez un peu de pouvoir à ces gens-là, et ils révèlent rapidement leur véritable nature… Après tout, il faut raisonner comme eux : puisque qu'ils se sentent au-dessus du commun des mortels, traitons-les comme tel, c'est-à-dire comme des parasites qu'il faut circonscrire et non comme de véritables êtres humains.
Sinon, tout le reste du tome n'est que confrontation entre le noble JoJo prêt à tous les sacrifices et l'ignoble Dio prêt à tous les crimes, dans un manoir Joestar devenu un lieu d'horreur peuplé par des créatures de la nuit semant mort et désolation sur leur passage !
To Be Continued => https://www.youtube.com/watch?v=cKr46XveL6w
Niveau dessin, si tout n'est pas encore bien maîtrisé les progrès sont immédiatement visibles, les visages gagnant ainsi nettement en qualité. Quand on voit Dio Brando, on sent bien que le mangaka est le chaînon manquant entre Tetsuo Hara et CLAMP par exemple. Et puis tous ces décors très réussis participent pleinement à l'ambiance gothique de cette réappropriation du "Dracula" de Bram Stoker.
Lien : http://www.portesdumultivers..
JoJo continue dans à Ogre Street sa quête du poison utilisé par Dio et l'antidote qui permettrait de sauver son père… C'est à ce moment qu'il fait la connaissance du criminel Robert Edward O. Speedwagon, qui va devenir son compagnon d'arme, puis le chroniqueur et enfin le protecteur de la famille Joestar. Pour ceux qui suivent mes critiques, JoJo illustre à nouveau la maxime « il n'est pas de meilleure manière de vaincre un ennemi que de s'en faire un ami ». Admiratif du courage et de la générosité de JoJo, Speedwagon va se retrouver contaminé à son tour par la noblesse d'âme de notre héros et va à son tour partir en croisade contre les sombres puissances de la crevardise !
Pendant ce temps, poursuivant ses sinistre desseins, l'ignoble Dio Brando au visage d'ange mais à l'âme de démon perce le mystère du masque de pierre : activé par du sang humain, il transforme son porteur en surhomme invincible qui doit néanmoins s'alimenter de la force vitale de ses victimes tout en restant vulnérable à la lumière du soleil. Et le fait que le masque de pierre ressemble au face hugger de la saga "Alien" n'est absolument pas fortuit du tout… ^^
C'est en présence des forces de polices et de justice que JoJo et Speedwagon confondent Dio, qui tente le tout pour le tout en devant vampire à son tour…
La scène ou Dio annonçant à ses adversaires qu'il se débarrasse des limitations humaines en abandonnant avec joie son humanité est plus que révélatrice, c'est même une critique pas déguisée du tout de la crevardise. Dio était un sociopathe manipulateur n'ayant d'estime pour rien ni personne à part lui-même, sa transformation en vampire ne fait qu'accorder son physique à sa personnalité.
Je reste persuadé qu'un monstre sommeille en chaque petit con, gros con et grand con. Ces crevards sont des pourritures racistes de la pire espèce : pour eux existe une race supérieure à laquelle ils sont persuadés d'appartenir (les forts), et il y a tous les autres qui ne sont que du bétail à exploiter (les faibles)… Donnez un peu de pouvoir à ces gens-là, et ils révèlent rapidement leur véritable nature… Après tout, il faut raisonner comme eux : puisque qu'ils se sentent au-dessus du commun des mortels, traitons-les comme tel, c'est-à-dire comme des parasites qu'il faut circonscrire et non comme de véritables êtres humains.
Sinon, tout le reste du tome n'est que confrontation entre le noble JoJo prêt à tous les sacrifices et l'ignoble Dio prêt à tous les crimes, dans un manoir Joestar devenu un lieu d'horreur peuplé par des créatures de la nuit semant mort et désolation sur leur passage !
To Be Continued => https://www.youtube.com/watch?v=cKr46XveL6w
Niveau dessin, si tout n'est pas encore bien maîtrisé les progrès sont immédiatement visibles, les visages gagnant ainsi nettement en qualité. Quand on voit Dio Brando, on sent bien que le mangaka est le chaînon manquant entre Tetsuo Hara et CLAMP par exemple. Et puis tous ces décors très réussis participent pleinement à l'ambiance gothique de cette réappropriation du "Dracula" de Bram Stoker.
Lien : http://www.portesdumultivers..
Nous avions déjà assisté à la traque de sa proie par le stand Highway Star, mais cette fois-ci il est dans le camp des gentils ! Toutefois Terunosuke Miyamoto dispose de Josuke et Koichi comme otage, et il une fois qu'il a semé ses pièges mortels dissimulés dans des feuilles de papier il attend sagement que Yuya Fungami sous la pression commette l'erreur qui déclenchera automatiquement l'attaque imparable de son stand Enigma… C'est oublier que ce dernier est prêt à perdre pour que la justice triomphe ! C'est court, trop court peut-être, mais intense : la colère de notre héros est terrible et va offrir à la petite ville de Morioh un nouveau lieu hanté…
Dans l'interlude « mon papa n'est pas mon mon papa », le petit Hayato Kawajiri découvre l'horrible vérité sur Kira et pour sauver sa peau essaye de lui faire croire qu'il a fait des sauvegardes de ses enregistrements incriminants … Ah ça, on sent que le mangaka s'est farci des tonnes de biographies de serial killer tant son Kira est à la fois horrible, détestable et flippant à souhait ! (mais on se serait bien passé d'un passage cryptopédéraste)
Pendant ce temps, Rohan Kishibe pensant avoir trouvé un nouvel indice sur la nouvelle identité de Kira mais est la cible du stand autonome Cheap Trick… Décidément il est maudit dans cet arc avec toutes les saloperies qui lui tombe sur le dos, et ici c'est le cas de le dire ! (après tout, il a peut-être épuisé son capital chance en échappant à Kira par le passé ?)
Le nouvel adversaire est un parasite sorti du même moule que le stand Empress de l'arc précédent, mais il est sans doute pire encore… Il ne peut rien faire à part hanter le dos de sa victime, mais il change de victime à chaque fois que quelqu'un regarde leur dos : la nouvelle victime est hantée à son tour, mais l'ancienne victime est vampirisée jusqu'à la moelle durant le transfert… Rohan passe donc la moitié du tome à essayer de convaincre ses amis qu'il a un monstre sur le dos, qu'il ne peut pas montrer sous peine de mourir dans l'instant… et durant des pages et des pages, il traverse la ville de Morioh en sachant qu'à la première erreur c'est la mort ! (d'où les contorsions digne de la saga de L'Exorciste pour ne montrer son dos à personne ! ^^)
Je vous laisse le plaisir de la découverte de la résolution du casse-tête…
Dans l'interlude « mon papa n'est pas mon mon papa », le petit Hayato Kawajiri découvre l'horrible vérité sur Kira et pour sauver sa peau essaye de lui faire croire qu'il a fait des sauvegardes de ses enregistrements incriminants … Ah ça, on sent que le mangaka s'est farci des tonnes de biographies de serial killer tant son Kira est à la fois horrible, détestable et flippant à souhait ! (mais on se serait bien passé d'un passage cryptopédéraste)
Pendant ce temps, Rohan Kishibe pensant avoir trouvé un nouvel indice sur la nouvelle identité de Kira mais est la cible du stand autonome Cheap Trick… Décidément il est maudit dans cet arc avec toutes les saloperies qui lui tombe sur le dos, et ici c'est le cas de le dire ! (après tout, il a peut-être épuisé son capital chance en échappant à Kira par le passé ?)
Le nouvel adversaire est un parasite sorti du même moule que le stand Empress de l'arc précédent, mais il est sans doute pire encore… Il ne peut rien faire à part hanter le dos de sa victime, mais il change de victime à chaque fois que quelqu'un regarde leur dos : la nouvelle victime est hantée à son tour, mais l'ancienne victime est vampirisée jusqu'à la moelle durant le transfert… Rohan passe donc la moitié du tome à essayer de convaincre ses amis qu'il a un monstre sur le dos, qu'il ne peut pas montrer sous peine de mourir dans l'instant… et durant des pages et des pages, il traverse la ville de Morioh en sachant qu'à la première erreur c'est la mort ! (d'où les contorsions digne de la saga de L'Exorciste pour ne montrer son dos à personne ! ^^)
Je vous laisse le plaisir de la découverte de la résolution du casse-tête…
Ce tome 13 développe 2 récits bien différents :
- dans une 1ère partie, Josuke décide d’utiliser les capacités de nouvel ami « extraterrestre » pour arnaquer Rohan Kisibe aux jeux d’argent… S’engage une terrible partie de dés, l’ego surdimensionné du mangaka de Morio ne supportant de savoir que Josuke triche et de ne pouvoir le démasquer… Et les fouettent de plus en plus quand le pigeon non consentant fait appel à Tamami Kobayashi qui l’oblige à continuer à jouer et à tricher tant que la supercherie n’est pas éventée ! On retrouve tous les ingrédients des chapitres D’Arby de l’Arc "Stardust Crusaders" donc c’est la fête…
- dans une 2e partie, Josuke et Rohan désormais réconciliés doivent affronter un nouveau manieur de stand ennemi dans un remake du film "Speed" ! Highway Star est un stand à longue distance qui traque ceux qui pénètrent dans la zone qui lui a été demandé, avant de les vider de leurs fluides vitaux… et il se déplace à 60 km/h, une vitesse pas facile à dépasser en milieu urbain… Pendant que Josuke essaye désespérément à lui échapper en moto, utilisant les pouvoirs de Crazy Diamond pour éviter les obstacles, ses amis recherchent désespérément celui qui le manipule pour le neutraliser !!!
Décidément Hirohiko Araki ne manque pas de bonne came pour booster son imagination : => To Be Continued
- dans une 1ère partie, Josuke décide d’utiliser les capacités de nouvel ami « extraterrestre » pour arnaquer Rohan Kisibe aux jeux d’argent… S’engage une terrible partie de dés, l’ego surdimensionné du mangaka de Morio ne supportant de savoir que Josuke triche et de ne pouvoir le démasquer… Et les fouettent de plus en plus quand le pigeon non consentant fait appel à Tamami Kobayashi qui l’oblige à continuer à jouer et à tricher tant que la supercherie n’est pas éventée ! On retrouve tous les ingrédients des chapitres D’Arby de l’Arc "Stardust Crusaders" donc c’est la fête…
- dans une 2e partie, Josuke et Rohan désormais réconciliés doivent affronter un nouveau manieur de stand ennemi dans un remake du film "Speed" ! Highway Star est un stand à longue distance qui traque ceux qui pénètrent dans la zone qui lui a été demandé, avant de les vider de leurs fluides vitaux… et il se déplace à 60 km/h, une vitesse pas facile à dépasser en milieu urbain… Pendant que Josuke essaye désespérément à lui échapper en moto, utilisant les pouvoirs de Crazy Diamond pour éviter les obstacles, ses amis recherchent désespérément celui qui le manipule pour le neutraliser !!!
Décidément Hirohiko Araki ne manque pas de bonne came pour booster son imagination : => To Be Continued
"JoJo's Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Dans ce tome 9, nous faisons plus ample connaissance avec le serial killer fétichiste… Et par un caprice du destin, l'idiot de Morio se retrouve avec la main pleine de preuve de sa dernière victime dans son sac à sandwich Saint Gentleman ! On multiplie les rebondissements et le suspens est à son comble quand au dernier moment les deux manieurs de stand se font face à l'abri des regards : Shigekiyo Yangu et son Harvest ne peuvent rien contre Yoshikage Kira la puissance de son Killer Queen (rien que le nom déjà ^^, mais pour info il sera copié dans "Yu Yu Hakusho", "Hunter X Hunter", "One Piece", "Naruto", "Bleach", "Fairy Tail"…)
https://www.youtube.com/watch?v=2¤££¤74Josuke Higashitaka76¤££¤
Grièvement blessé, il tente désespérément de rejoindre Jotaro et Okuyasu : jusqu'à la dernière seconde l'auteur nous fait croire qu'il a une chance de s'en sortir… pour montrer Reimi Sugimoto la fille fantôme déplorer une nouvelle victime de son meurtrier…
La guerre est désormais déclarée entre Kira le tueur sans merci qui grâce à son stand peut tout détruire et Josuke qui grâce à son stand peut tout reconstruire mais qui ne peut pas redonner la vie… A ses côté la team JoJo au grand complet : Joseph Joestar (voir Arc 2 : "Battle Tendency"), Jotaro Kujo (voir Arc 3 : "Stardust Crusaders"), Okuyasu Nijimura le nouveau Jean-Pierre Polnareff, Koichi Hirose le sorcier des onomatopées, Rohan Kishibe le mangaka psionique, Antonio Trussardi le cuisiner magicien, une fille yokai, une fille yurei, un ado doppelgänger, un bébé invisible et Quasimodo ! (quand je vous disais que Hirohiko Araki en prenait de la bonne ^^)
La deuxième partie permet de retrouver Yukako Yamagishi l'alter ego ado d'Annie Wilkes, qui pour renouer avec Koichi s'offre un relooking. le managaka revisite alors le mythe de Cendrillon avec une marraine diabolique qui permet aux rêves de devenir réalité pour une durée limitée : si ses victimes veulent que leur bonheur dure, il faut y mettre le prix… Mélanger conte de fée, cosmétique et horreur, il fallait être Hirohiko Araki pour y penser !
Encore une fois, le mangaka connaît ses classiques sur le bout des doigts et maîtrise le suspens aussi bien que feu Alfred Hitchcock, mais j’hésite entre 3 et 4 étoiles et pour trancher j’attends la suite pour voir si le récit monte en puissance…
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Dans ce tome 9, nous faisons plus ample connaissance avec le serial killer fétichiste… Et par un caprice du destin, l'idiot de Morio se retrouve avec la main pleine de preuve de sa dernière victime dans son sac à sandwich Saint Gentleman ! On multiplie les rebondissements et le suspens est à son comble quand au dernier moment les deux manieurs de stand se font face à l'abri des regards : Shigekiyo Yangu et son Harvest ne peuvent rien contre Yoshikage Kira la puissance de son Killer Queen (rien que le nom déjà ^^, mais pour info il sera copié dans "Yu Yu Hakusho", "Hunter X Hunter", "One Piece", "Naruto", "Bleach", "Fairy Tail"…)
https://www.youtube.com/watch?v=2¤££¤74Josuke Higashitaka76¤££¤
Grièvement blessé, il tente désespérément de rejoindre Jotaro et Okuyasu : jusqu'à la dernière seconde l'auteur nous fait croire qu'il a une chance de s'en sortir… pour montrer Reimi Sugimoto la fille fantôme déplorer une nouvelle victime de son meurtrier…
La guerre est désormais déclarée entre Kira le tueur sans merci qui grâce à son stand peut tout détruire et Josuke qui grâce à son stand peut tout reconstruire mais qui ne peut pas redonner la vie… A ses côté la team JoJo au grand complet : Joseph Joestar (voir Arc 2 : "Battle Tendency"), Jotaro Kujo (voir Arc 3 : "Stardust Crusaders"), Okuyasu Nijimura le nouveau Jean-Pierre Polnareff, Koichi Hirose le sorcier des onomatopées, Rohan Kishibe le mangaka psionique, Antonio Trussardi le cuisiner magicien, une fille yokai, une fille yurei, un ado doppelgänger, un bébé invisible et Quasimodo ! (quand je vous disais que Hirohiko Araki en prenait de la bonne ^^)
La deuxième partie permet de retrouver Yukako Yamagishi l'alter ego ado d'Annie Wilkes, qui pour renouer avec Koichi s'offre un relooking. le managaka revisite alors le mythe de Cendrillon avec une marraine diabolique qui permet aux rêves de devenir réalité pour une durée limitée : si ses victimes veulent que leur bonheur dure, il faut y mettre le prix… Mélanger conte de fée, cosmétique et horreur, il fallait être Hirohiko Araki pour y penser !
Encore une fois, le mangaka connaît ses classiques sur le bout des doigts et maîtrise le suspens aussi bien que feu Alfred Hitchcock, mais j’hésite entre 3 et 4 étoiles et pour trancher j’attends la suite pour voir si le récit monte en puissance…
"JoJo's Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Finalement le passage du quartier perdu et de la fille fantôme ne sont que foreshadowing : Rohan Kishibe ne se souvenait plus qu’il est la seule victime du mystérieux serial killer de Morio à avoir survécu grâce au sacrifice de Reimi… Après une chouette scène horrifique représentant le mythe d’Orphée et Euridyce, Rohan et Koichi promettent à l’adolescente damné de confondre l’assassin pour qu’elle puisse trouver la paix…
Le reste du tome est dédiée à la rencontre aux problèmes d’argent de Josuke et d’Okuyasu, qui rencontre Shigechi le manieur du stand télécommandé multiple dénommé Harvest. Cet idiot du village est atteint de la folie des grandeurs avec l’argent récolté par les plans de nos deux acolytes concernant les pouvoirs de son stand. Et l’idiot s’avère plus rusé et retors qu’il n’y paraît quand il décide que c’est à lui que doit revenir l’intégralité d’un grisby de 5 millions de yens…
Aux scénarii comme aux graphismes, le mangaka en prend toujours de la bonne pour avoir autant d’imagination mais je trouve vraiment que "Diamond is unbreakable" manque cruellement de liant car on surfe d’un récit / adversaire à un autre sans aucun fil conducteur ce qui n’était pas et ne sera pas le cas dans les autres arcs de la saga. Certains passages sont bons, d’autres ne le sont pas et au final ce tome 8 est un peu faiblard…
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Finalement le passage du quartier perdu et de la fille fantôme ne sont que foreshadowing : Rohan Kishibe ne se souvenait plus qu’il est la seule victime du mystérieux serial killer de Morio à avoir survécu grâce au sacrifice de Reimi… Après une chouette scène horrifique représentant le mythe d’Orphée et Euridyce, Rohan et Koichi promettent à l’adolescente damné de confondre l’assassin pour qu’elle puisse trouver la paix…
Le reste du tome est dédiée à la rencontre aux problèmes d’argent de Josuke et d’Okuyasu, qui rencontre Shigechi le manieur du stand télécommandé multiple dénommé Harvest. Cet idiot du village est atteint de la folie des grandeurs avec l’argent récolté par les plans de nos deux acolytes concernant les pouvoirs de son stand. Et l’idiot s’avère plus rusé et retors qu’il n’y paraît quand il décide que c’est à lui que doit revenir l’intégralité d’un grisby de 5 millions de yens…
Aux scénarii comme aux graphismes, le mangaka en prend toujours de la bonne pour avoir autant d’imagination mais je trouve vraiment que "Diamond is unbreakable" manque cruellement de liant car on surfe d’un récit / adversaire à un autre sans aucun fil conducteur ce qui n’était pas et ne sera pas le cas dans les autres arcs de la saga. Certains passages sont bons, d’autres ne le sont pas et au final ce tome 8 est un peu faiblard…
"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Tetsuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
Aux Etats-Unis, dans les rues de New York, nous faisons connaissance avec le nouveau héros de la saga Joseph Joestar, dit JoJo, par les yeux du jeune pickpocket afro-américain Smokey Robinson. Après des altercations avec ripoux racistes des mafiosi italiens, on comprend que ce nouveau JoJo n’est pas un gentleman comme son prédécesseur, mais un voyou plein de roublardise (ce qui lui sauvera la vie à de multiple reprise au cours de ses multiples et dangereuses aventures). Il ne craint rien ni personne (à part mamie Erina, rescapée du drame de l’arc précédent ^^), et cela nous est montré durant un flashback racontant un détournement d’avion : dérangé dans sa lecture d’un action comic intitulé « Superman », JoJo à cette époque encore enfant préfère provoquer la chute de l’avion que de céder aux criminels ! (C’est le premier épisode du running gag des atterrissages merdiques qui va poursuivre Joseph Joestar dans l’arc suivant intitulé "Stardust Crusaders").
Au Mexique, dans les entrailles d’un temple aztèque, Robert Edward O. Speedwagon, qui a fait fortune dans le pétrole et a pris la famille du premier JoJo sous son aile, et Straits, qui a remplacé maître Tonpety à la tête du temple tibétain des maîtres de l’Onde, cherchent à percer les mystères du masque de pierre qui a attirer la malédiction sur les familles Joestar et Zeppeli (l’objet par qui le malheur avait été découvert par le père de William, et avait été récupéré par la mère de Jonathan, avant que ce dernier ne l’étudie et que Dio n’en perce les démoniaques secrets… Ah oui, il y avait un peu de H.P. Lovecraft derrière tout cela ^^).
Comme le masque de pierre agissait comme le face hugger d’"Alien", c’est donc naturellement que les entrailles du temple oublié ressemble à celles du vaisseau biomécanique du Space Jockey dans "Alien" ! (D’où quelques jolies à H.R Giger ^^).
C’est avec stupéfaction qu’ils découvrent plusieurs masques de pierre enchâssés dans un pilier dans lequel un être vivant est emmuré…
La majeure partie du tome est donc consacrée à l’affrontement entre JoJo et le représentant de la nouvelle menace vampire… Tous les coups sont permis !
Et à la fin du tome, c’est reparti pour un tour avec Jojo partant délivrer le vieux Speedwagon des nazis du commandant Stroheim qui grâce à un sérum de vérité sait désormais tout des masques de pierre et de l’homme du pilier qu’il s’apprête à réanimer à grands renforts de sang frais !
To Be Continued !
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Tetsuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
Aux Etats-Unis, dans les rues de New York, nous faisons connaissance avec le nouveau héros de la saga Joseph Joestar, dit JoJo, par les yeux du jeune pickpocket afro-américain Smokey Robinson. Après des altercations avec ripoux racistes des mafiosi italiens, on comprend que ce nouveau JoJo n’est pas un gentleman comme son prédécesseur, mais un voyou plein de roublardise (ce qui lui sauvera la vie à de multiple reprise au cours de ses multiples et dangereuses aventures). Il ne craint rien ni personne (à part mamie Erina, rescapée du drame de l’arc précédent ^^), et cela nous est montré durant un flashback racontant un détournement d’avion : dérangé dans sa lecture d’un action comic intitulé « Superman », JoJo à cette époque encore enfant préfère provoquer la chute de l’avion que de céder aux criminels ! (C’est le premier épisode du running gag des atterrissages merdiques qui va poursuivre Joseph Joestar dans l’arc suivant intitulé "Stardust Crusaders").
Au Mexique, dans les entrailles d’un temple aztèque, Robert Edward O. Speedwagon, qui a fait fortune dans le pétrole et a pris la famille du premier JoJo sous son aile, et Straits, qui a remplacé maître Tonpety à la tête du temple tibétain des maîtres de l’Onde, cherchent à percer les mystères du masque de pierre qui a attirer la malédiction sur les familles Joestar et Zeppeli (l’objet par qui le malheur avait été découvert par le père de William, et avait été récupéré par la mère de Jonathan, avant que ce dernier ne l’étudie et que Dio n’en perce les démoniaques secrets… Ah oui, il y avait un peu de H.P. Lovecraft derrière tout cela ^^).
Comme le masque de pierre agissait comme le face hugger d’"Alien", c’est donc naturellement que les entrailles du temple oublié ressemble à celles du vaisseau biomécanique du Space Jockey dans "Alien" ! (D’où quelques jolies à H.R Giger ^^).
C’est avec stupéfaction qu’ils découvrent plusieurs masques de pierre enchâssés dans un pilier dans lequel un être vivant est emmuré…
La majeure partie du tome est donc consacrée à l’affrontement entre JoJo et le représentant de la nouvelle menace vampire… Tous les coups sont permis !
Et à la fin du tome, c’est reparti pour un tour avec Jojo partant délivrer le vieux Speedwagon des nazis du commandant Stroheim qui grâce à un sérum de vérité sait désormais tout des masques de pierre et de l’homme du pilier qu’il s’apprête à réanimer à grands renforts de sang frais !
To Be Continued !
L'affrontement éternel entre le clan des Guerriers de l'Onde et celui des super vampire glam rock est sur le point de toucher à sa fin dans ce tome 6 : de son issue dépendra le futur de la Gemme Rouge d'Asia et donc le destin de l’humanité...
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en mode serious business Hirohiko Araki envoie du bois : ce tome presque intégralement consacré au duel entre JoJo et Wham est aussi dense qu'intense ! Et ce combat des chefs, qui précède l'autre combat des chefs entre Lisa Lisa et Cars, dans les montagnes suisses, à l'intérieur de l'ancestral cercle mégalithique nommé Pierre du Talon-Squelette, va prendre la forme d'une course de chars ! On est dans "Ben Hur", sauf que le guerrier romain est remplacé par un vampire culturiste et le héros juif par un karatéka roublard (et en plus on fait un clin d’œil au comic punk "Slaine" ^^)... Le manga assume de manière totalement décomplexée son côté série B donc c'est le pied ! ^^
Chacun dans leur genre les deux antagonistes sont de grands stratèges et des génies du combat qui pensent plusieurs coups à l'avance, ce qui nous offre moult rebondissements et retournements de situation de derrière les fagots ! Et pour ne rien gâcher, après plusieurs expérimentions graphiques le mangaka revient à ses premières amours en piochant allègrement dans la boîte à outil du duo Buronson / Tetsuo Hara ("Hokuto no Ken") : Wham marche ainsi dans les pas d'un Shuh du Nanto Hakuro Ken, personnage tragique s'il en est. Mon Dieu, si seulement son seigneur en était digne quel excellent vassal !!!
La derrière planche du tome nous offre une magnifique jojo pose où Cars dévoile sa crinière de rock star ! (Tout cela se rapproche chaleureusment du 5 étoiles, mais je vais sans doute rester à 4,5 étoiles... ^^) It's the Final Countdown : To Be Continued =>
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en mode serious business Hirohiko Araki envoie du bois : ce tome presque intégralement consacré au duel entre JoJo et Wham est aussi dense qu'intense ! Et ce combat des chefs, qui précède l'autre combat des chefs entre Lisa Lisa et Cars, dans les montagnes suisses, à l'intérieur de l'ancestral cercle mégalithique nommé Pierre du Talon-Squelette, va prendre la forme d'une course de chars ! On est dans "Ben Hur", sauf que le guerrier romain est remplacé par un vampire culturiste et le héros juif par un karatéka roublard (et en plus on fait un clin d’œil au comic punk "Slaine" ^^)... Le manga assume de manière totalement décomplexée son côté série B donc c'est le pied ! ^^
Chacun dans leur genre les deux antagonistes sont de grands stratèges et des génies du combat qui pensent plusieurs coups à l'avance, ce qui nous offre moult rebondissements et retournements de situation de derrière les fagots ! Et pour ne rien gâcher, après plusieurs expérimentions graphiques le mangaka revient à ses premières amours en piochant allègrement dans la boîte à outil du duo Buronson / Tetsuo Hara ("Hokuto no Ken") : Wham marche ainsi dans les pas d'un Shuh du Nanto Hakuro Ken, personnage tragique s'il en est. Mon Dieu, si seulement son seigneur en était digne quel excellent vassal !!!
La derrière planche du tome nous offre une magnifique jojo pose où Cars dévoile sa crinière de rock star ! (Tout cela se rapproche chaleureusment du 5 étoiles, mais je vais sans doute rester à 4,5 étoiles... ^^) It's the Final Countdown : To Be Continued =>
L'action de "Steel Ball Run" se situe dans le monde parallèle créé par Enrico Pucci et Made in heaven à la fin de l'arc "Stone Ocean"… Donc les habitués de la saga ne doivent pas être surpris de voir ici cohabiter des personnages des arcs précédents décédés de longue date ! ^^
Après un tome 1 consacré à la présentation des différents personnages, on entre dans le vif du sujet avec un tome 2 entièrement consacré aux 15 000 mètres de la première étape du Steel Ball Run qui relient la plage de San Diego à un ranch abandonné dominé par la vieille église catholique de Santa Maria Novela. Et l'intensité dramatique de ce tome est tout bonnement incroyable : il n'y a aucun temps morts, chaque planche et chaque case participant pleinement à l'action, tension et suspens étant palpables du début à la fin !
https://www.youtube.com/watch?v=J3¤££¤45De Santa Maria Novela50¤££¤0
Le lecteur suit à travers les yeux de Johnny Joestar le jockey paraplégique la folle chevauchée du mystérieux Jayro Zeppeli est ses boules d'acier, dont la suprématie est d'abord contestée par Diego Brando, le génie de l'équitation, puis par Pocoloco, l'homme le plus chanceux du monde, enfin par Sandman, l'inhumain sprinter amérindien qui se bat pour l'honneur et l'avenir de tout un peuple ! Et c'est la photo finish qui désignera le vainqueur...
Les rebondissements sont nombreux, très bien mis en valeur par un découpage original qui fait la part belle aux doubles pages, allant jusqu'à développer un nouveau mode de narration visuelle dans l'univers souvent si formaté du manga.
Le tome se conclut par un bonus nous racontant la triste vie de Stephen Steel, l'organisateur de la course, pleine d'heurs et de malheurs, jusqu'au moment où il raconte l'adolescente sosie de sa défunte femme qui va changer pour toujours son existence en lui apportant fortune et gloire…
4,5 étoiles. Seules quelques excentricités propres à l'auteur et à son imaginaire m'empêchent de lui octroyer l'ultime 5e étoile… (Moi aussi, des fois je pinaille ^^)
Après un tome 1 consacré à la présentation des différents personnages, on entre dans le vif du sujet avec un tome 2 entièrement consacré aux 15 000 mètres de la première étape du Steel Ball Run qui relient la plage de San Diego à un ranch abandonné dominé par la vieille église catholique de Santa Maria Novela. Et l'intensité dramatique de ce tome est tout bonnement incroyable : il n'y a aucun temps morts, chaque planche et chaque case participant pleinement à l'action, tension et suspens étant palpables du début à la fin !
https://www.youtube.com/watch?v=J3¤££¤45De Santa Maria Novela50¤££¤0
Le lecteur suit à travers les yeux de Johnny Joestar le jockey paraplégique la folle chevauchée du mystérieux Jayro Zeppeli est ses boules d'acier, dont la suprématie est d'abord contestée par Diego Brando, le génie de l'équitation, puis par Pocoloco, l'homme le plus chanceux du monde, enfin par Sandman, l'inhumain sprinter amérindien qui se bat pour l'honneur et l'avenir de tout un peuple ! Et c'est la photo finish qui désignera le vainqueur...
Les rebondissements sont nombreux, très bien mis en valeur par un découpage original qui fait la part belle aux doubles pages, allant jusqu'à développer un nouveau mode de narration visuelle dans l'univers souvent si formaté du manga.
Le tome se conclut par un bonus nous racontant la triste vie de Stephen Steel, l'organisateur de la course, pleine d'heurs et de malheurs, jusqu'au moment où il raconte l'adolescente sosie de sa défunte femme qui va changer pour toujours son existence en lui apportant fortune et gloire…
4,5 étoiles. Seules quelques excentricités propres à l'auteur et à son imaginaire m'empêchent de lui octroyer l'ultime 5e étoile… (Moi aussi, des fois je pinaille ^^)
"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les joli arrière-plans et le joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Dans ce tome 3, le combat de Joseph Joestar et de ses alliés contre les super vampires glam rock continue ! ^^
Prenant le relais de Caesar Zeppeli, le fan de Jean Gabin affronte le puissant Wham et à force de ruses et de fanfaronnades parvient à la blesser à la tête avec sa technique du Clacker Boomerang ! Mais il ne fait qu’irriter son adversaire qui déclenche alors contre lui sa terrible attaque Kamizuna Arashi !
JoJo est battu à plates coutures, mais en feintant la fuite, il permet à ses amis de s’échapper, et se jouant de sa fierté guerrière il parvient à bluffer Wham : le super vampire lui accorde un sursis d’un mois pour qu’il s’entraîne et fasse une revanche honorable contre lui… Mais deux anneaux empoisonnés sont insérés dans son corps qui libèreront leur poison dans son organisme au bout de ce mois de sursis…
JoJo et Caesar partent alors s’entraîner à Venise sous la houlette de la Maîtresse de l’Onde Lisa Lisa (^^) qui leur raconte l’histoire de la guerre entre les Hommes du Pilier et les Guerriers de l’Onde, les premiers cherchant la gemme Super Asia pour parfaire leur évolution et vaincre la lumière du soleil, les seconds défendant la gemme Super Asia pour les empêcher de dominer le monde.
L’impitoyable sensei les fait directement commencer par la terrible épreuve du Hell Clim Pillar (remember la Tour Karine de "Dragon Ball"), avant de les remettre aux bons soins de ses serviteurs au look de janissaires ottomans : Messina (^^) et Loggins (^^) ! Un entraînement infernal, qui rappelle les belles heures des power up de San Goku sous la houlette de ses coachs successifs…
JoJo s’apprête à subir l’ultime épreuve de son entraînement quand il tombe sur AC/DC en train d’assassiner Loggins…
Du duel avec Wham, au duel avec AC/DC, on est donc bien dans un tome de transition… Un tome un peu moins abouti graphiquement aussi, car l’auteur est en pleine transition également, s’affranchissant du style caractéristique de Tetsuo Hara pour développer son style propre. Du coup personnages et décors s’en ressentent un peu, d’autant plus que le manga était en plein boom et donc le mangaka commençait à subir les pressions des éditeurs et des lecteurs sans forcément avoir les moyens de les affronter…
To Be Continued =>
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les joli arrière-plans et le joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Dans ce tome 3, le combat de Joseph Joestar et de ses alliés contre les super vampires glam rock continue ! ^^
Prenant le relais de Caesar Zeppeli, le fan de Jean Gabin affronte le puissant Wham et à force de ruses et de fanfaronnades parvient à la blesser à la tête avec sa technique du Clacker Boomerang ! Mais il ne fait qu’irriter son adversaire qui déclenche alors contre lui sa terrible attaque Kamizuna Arashi !
JoJo est battu à plates coutures, mais en feintant la fuite, il permet à ses amis de s’échapper, et se jouant de sa fierté guerrière il parvient à bluffer Wham : le super vampire lui accorde un sursis d’un mois pour qu’il s’entraîne et fasse une revanche honorable contre lui… Mais deux anneaux empoisonnés sont insérés dans son corps qui libèreront leur poison dans son organisme au bout de ce mois de sursis…
JoJo et Caesar partent alors s’entraîner à Venise sous la houlette de la Maîtresse de l’Onde Lisa Lisa (^^) qui leur raconte l’histoire de la guerre entre les Hommes du Pilier et les Guerriers de l’Onde, les premiers cherchant la gemme Super Asia pour parfaire leur évolution et vaincre la lumière du soleil, les seconds défendant la gemme Super Asia pour les empêcher de dominer le monde.
L’impitoyable sensei les fait directement commencer par la terrible épreuve du Hell Clim Pillar (remember la Tour Karine de "Dragon Ball"), avant de les remettre aux bons soins de ses serviteurs au look de janissaires ottomans : Messina (^^) et Loggins (^^) ! Un entraînement infernal, qui rappelle les belles heures des power up de San Goku sous la houlette de ses coachs successifs…
JoJo s’apprête à subir l’ultime épreuve de son entraînement quand il tombe sur AC/DC en train d’assassiner Loggins…
Du duel avec Wham, au duel avec AC/DC, on est donc bien dans un tome de transition… Un tome un peu moins abouti graphiquement aussi, car l’auteur est en pleine transition également, s’affranchissant du style caractéristique de Tetsuo Hara pour développer son style propre. Du coup personnages et décors s’en ressentent un peu, d’autant plus que le manga était en plein boom et donc le mangaka commençait à subir les pressions des éditeurs et des lecteurs sans forcément avoir les moyens de les affronter…
To Be Continued =>
"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les arrière-plans toujours superbes, et un joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Dans ce tome 2, c'est un combat à mort. Entre Santana l’indestructible et le monde, il ne reste plus que Joseph Joestar ! Mais comment vaincre un être qui peut déformer son corps à volonté et qui peut vous absorber au moindre contact ? Il faudra toutes les ruses possibles et imaginables au guerrier de l’Onde pour remporter la victoire ! Et encore, de coups de bluff en paris insensé c’est grâce aux sacrifices héroïques du commandant nazi Stroheim que celui-ci parvient à vaincre…
Après les Etats-Unis et le Mexique, le cauchemar continue en Italie puisque derrière la bouche de la vérité trois autres "hommes du pilier" sont sur le point de se réveiller dans les entrailles de la Ville Éternelle ! Mais Joseph trouve un allié de poids en la personne de Caesar Zeppeli, nouveau personnage introduit dans la saga par un fantasque combat de pâtes ^^. Ce puissant guerrier de l’Onde s'avère être le petit-fils de William Zeppeli qui a repris le flambeau de la lutte contre les méfaits du masque de pierre (cf. "Phantom Blood"),
Dans un détournement du final d’"Indiana Jones et les aventuriers de l’arche perdue", Wham, AC/DC et Cars reviennent à la vie en massacrant les soldats chargés de les surveiller. Sous le choc de la mort de son ami nazi Mark, qui devait bientôt rentrer en Allemagne pour se marier, Caesar se lance seul à l’assaut des super-vampires glam rock en déclenchant sa plus terrible attaque : Savon Launcher !!!
To Be Continued =>
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bien les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomise de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les arrière-plans toujours superbes, et un joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Dans ce tome 2, c'est un combat à mort. Entre Santana l’indestructible et le monde, il ne reste plus que Joseph Joestar ! Mais comment vaincre un être qui peut déformer son corps à volonté et qui peut vous absorber au moindre contact ? Il faudra toutes les ruses possibles et imaginables au guerrier de l’Onde pour remporter la victoire ! Et encore, de coups de bluff en paris insensé c’est grâce aux sacrifices héroïques du commandant nazi Stroheim que celui-ci parvient à vaincre…
Après les Etats-Unis et le Mexique, le cauchemar continue en Italie puisque derrière la bouche de la vérité trois autres "hommes du pilier" sont sur le point de se réveiller dans les entrailles de la Ville Éternelle ! Mais Joseph trouve un allié de poids en la personne de Caesar Zeppeli, nouveau personnage introduit dans la saga par un fantasque combat de pâtes ^^. Ce puissant guerrier de l’Onde s'avère être le petit-fils de William Zeppeli qui a repris le flambeau de la lutte contre les méfaits du masque de pierre (cf. "Phantom Blood"),
Dans un détournement du final d’"Indiana Jones et les aventuriers de l’arche perdue", Wham, AC/DC et Cars reviennent à la vie en massacrant les soldats chargés de les surveiller. Sous le choc de la mort de son ami nazi Mark, qui devait bientôt rentrer en Allemagne pour se marier, Caesar se lance seul à l’assaut des super-vampires glam rock en déclenchant sa plus terrible attaque : Savon Launcher !!!
To Be Continued =>
"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d’avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
La famille Joestar est en situation de crise ! Après 61 ans de mariage, Suzie Q découvre que son mari Joseph Joestar l'a trompé avec une étudiante japonaise n'ayant pas le tiers de son âge, et ledit mari volage apprend qu'il est le père d'un enfant de 16 ans... Suite à une dispute familiale digne d'un bon "Dallas", c'est donc à Jotaro Kujo, 27 ans, héros de l'arc précédent, d'annoncer la nouvelle à son oncle de 16 ans... Et Josuke Higashitaka est un lycéen ayant la phobie des reptiles et pétant littéralement les plombs à chaque fois qu'une personne fait un commentaire sur sa coupe de cheveux (une banane sophistiquée dans la plus grand tradition des furyo à l'ancienne ^^), mais aussi depuis l'âge de 4 ans le manieur du puissant stand Crazy Diamond, capable de réparer tout et n'importe quoi (mais pas forcément de remettre les choses dans leur état initial ^^).
Mais la véritable raison de la présence de Jotaro à Morio, c'est que les pouvoirs psychokinésiques de papy Joseph ont révélé qu'Angelo, un criminel psychopathe en cavale doté d'un QI de 160, était dans la ville. Ce tome 1, ou 29 selon qu'on suive ou pas la numérotation d'origine, est donc centré sur l'affrontement entre Angelo et son stand Aqua Necklace, capable de fusionner avec l'élément liquide, et Jotaro détenteur du stand Star Platinum et Josuke détenteur du stand Crazy Diamond...
Alors que les membres de la famille pensent en avoir fini avec leur adversaire, Angelo leur révèle qu'il a obtenu ses pouvoirs grâce à un individu mystérieux qui lui a tiré dessus avec une flèche en argent, et que c'est de cette manière que Dio aurait obtenu son puissant stand The World... Une nouvelle aventure bizarre débute pour la famille Joeystar : après être entré dans l'âge adulte en ayant perdu son grand-père policier lâchement assassiné, Josuke va devoir défendre sa ville et sa communauté contre une invasion de super criminels dirigés par un un gourou serial killer !
To Be Continued =>
PS1 : si le concept de stand est pour vous obscur, je vous expliquerai bientôt tout cela dans mes critiques des tomes de Stardust Crusaders... blink
PS2 :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d’avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
La famille Joestar est en situation de crise ! Après 61 ans de mariage, Suzie Q découvre que son mari Joseph Joestar l'a trompé avec une étudiante japonaise n'ayant pas le tiers de son âge, et ledit mari volage apprend qu'il est le père d'un enfant de 16 ans... Suite à une dispute familiale digne d'un bon "Dallas", c'est donc à Jotaro Kujo, 27 ans, héros de l'arc précédent, d'annoncer la nouvelle à son oncle de 16 ans... Et Josuke Higashitaka est un lycéen ayant la phobie des reptiles et pétant littéralement les plombs à chaque fois qu'une personne fait un commentaire sur sa coupe de cheveux (une banane sophistiquée dans la plus grand tradition des furyo à l'ancienne ^^), mais aussi depuis l'âge de 4 ans le manieur du puissant stand Crazy Diamond, capable de réparer tout et n'importe quoi (mais pas forcément de remettre les choses dans leur état initial ^^).
Mais la véritable raison de la présence de Jotaro à Morio, c'est que les pouvoirs psychokinésiques de papy Joseph ont révélé qu'Angelo, un criminel psychopathe en cavale doté d'un QI de 160, était dans la ville. Ce tome 1, ou 29 selon qu'on suive ou pas la numérotation d'origine, est donc centré sur l'affrontement entre Angelo et son stand Aqua Necklace, capable de fusionner avec l'élément liquide, et Jotaro détenteur du stand Star Platinum et Josuke détenteur du stand Crazy Diamond...
Alors que les membres de la famille pensent en avoir fini avec leur adversaire, Angelo leur révèle qu'il a obtenu ses pouvoirs grâce à un individu mystérieux qui lui a tiré dessus avec une flèche en argent, et que c'est de cette manière que Dio aurait obtenu son puissant stand The World... Une nouvelle aventure bizarre débute pour la famille Joeystar : après être entré dans l'âge adulte en ayant perdu son grand-père policier lâchement assassiné, Josuke va devoir défendre sa ville et sa communauté contre une invasion de super criminels dirigés par un un gourou serial killer !
To Be Continued =>
PS1 : si le concept de stand est pour vous obscur, je vous expliquerai bientôt tout cela dans mes critiques des tomes de Stardust Crusaders... blink
PS2 :
"JoJo’s Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bon les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomiser de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les joli arrière-plans et le joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Un tome 4 particulièrement bien rempli (mais bon, c’est un peu la marque de fabrique de la saga JoJo ! ^^) C’est à la fois une course entre la team JoJo et les super vampires glam rock pour mettre la main sur la gemme rouge d’Asia, et une course contre la montre pour JoJo qui doit récupérer les antidotes d’AC/DC et Wham avant la date fatidique…
Après Wham et ses techniques de contrôle du vent, on met à l’honneur AC/DC et ses techniques de contrôle de la chaleur. Le combat entre JoJo et AC/DC s’annonçait dantesque, mais dans la saga du mangaka la moindre erreur ne pardonne pas et ici c’est un tour de prestidigitation qui décide de la victoire de l’un et de la défaite de l’autre (le mangaka adore les tours de magie… ^^).
Le tome nous fait aussi découvrir Cars et sa technique du sabre prismatique. Une scène nous montre le chef des super vampires glam rock (j'ai déjà vu ce look quelque part, mais où ?) massacrant deux chauffards pour sauver un chiot. Un psychopathe écolo ? Référence à Adolph Hitler qu’on surnommait le cannibale végétarien en raison de son amour des animaux et du peu de cas qu’il faisait de la humaine, ou référence au Satan de Go Nagai dans le manga culte "Devil Man" ?
Entre les deux, JoJo fait la connaissance de Suzie Q (^^) dans un hommage aux "Marionnettes humaines" de Robert Heinlein : on se refait pas, l’auteur est un aficionado des récits horrifiques…
La team JoJo se déplace de Venise en Italie à Saint Moritz pour se voir rejoindre par une vieille connaissance…
Le mangaka Hirohiko Araki poursuit sa mue artistique même si on sent encore tout le poids de l’héritage "Hokuto no Ken". Cela reste un peu bizarre de voir cohabiter des arrière-plans travaillés voir subliment réalistes, et un charadesign qui lorgne vers le baroque et le fantasque même s’il sait se faire très sérieux également…
To Be Continued =>
Avec "Battle Tendency", la série "JoJo’s Bizarre Adventure" entre de plein pied dans l’excentricité qui justifie son qualificatif de « bizarre ». Comment résumer ce deuxième cycle de la saga ? Durant la Grande Dépression, dans une ambiance pulpienne à la "Indiana Jones", nous suivons les aventures de Joseph Joestar, petit-fils du héros de l’arc précédent intitulé "Phantom Blood". Cet adolescent racaille d’1m95 spécialiste en baston, va devoir s’allier à des magiciens italiens et des savants allemands pour combattre des super vampires glam rock prénommés Santana, AC/DC, Wham! et Cars. Ça c’est du délire cool et fun, rendant hommage aux séries B voire à la culture nanar qui sent bon les années 1980 !!!
Niveau graphismes la parenté entre les dessins d’"Hokuto no Ken" et de "JoJo’s Bizarre Adventure" est plus que manifeste : on retrouve les mêmes personnages, les mêmes situations et les mêmes gimmicks dans les deux œuvres. Les dessins d’Hirohiko Araki sont moins fins, moins maîtrisés que ceux de Testuo Hara, et on serait dans le plagiat et si le mangaka plein de bonne volonté et de bonne humeur n’y ajoutait pas son amour des histoires d’horreur et des musiques pop rock ainsi que son expérience de photographe de mode … C’est plus tard que son style va s’autonomiser de son modèle, qui lui-même suivra sa propre voie sans manquer de faire des clins d’œil à son élève autodidacte (mais j’en reparlerai avec Jean-Pierre Polnareff et Charles de Guise ^^).
On notera les joli arrière-plans et le joli travail sur l'anatomie toute en musculature des différents protagonistes qui dans cet arc empruntent peu ou prou au génial Michel-Ange (ah il y a toujours eu dans la saga JoJo un petit côté gay-friendly qui a su faire le bonheur de tous les amateurs de fanfiction yaoistes).
Un tome 4 particulièrement bien rempli (mais bon, c’est un peu la marque de fabrique de la saga JoJo ! ^^) C’est à la fois une course entre la team JoJo et les super vampires glam rock pour mettre la main sur la gemme rouge d’Asia, et une course contre la montre pour JoJo qui doit récupérer les antidotes d’AC/DC et Wham avant la date fatidique…
Après Wham et ses techniques de contrôle du vent, on met à l’honneur AC/DC et ses techniques de contrôle de la chaleur. Le combat entre JoJo et AC/DC s’annonçait dantesque, mais dans la saga du mangaka la moindre erreur ne pardonne pas et ici c’est un tour de prestidigitation qui décide de la victoire de l’un et de la défaite de l’autre (le mangaka adore les tours de magie… ^^).
Le tome nous fait aussi découvrir Cars et sa technique du sabre prismatique. Une scène nous montre le chef des super vampires glam rock (j'ai déjà vu ce look quelque part, mais où ?) massacrant deux chauffards pour sauver un chiot. Un psychopathe écolo ? Référence à Adolph Hitler qu’on surnommait le cannibale végétarien en raison de son amour des animaux et du peu de cas qu’il faisait de la humaine, ou référence au Satan de Go Nagai dans le manga culte "Devil Man" ?
Entre les deux, JoJo fait la connaissance de Suzie Q (^^) dans un hommage aux "Marionnettes humaines" de Robert Heinlein : on se refait pas, l’auteur est un aficionado des récits horrifiques…
La team JoJo se déplace de Venise en Italie à Saint Moritz pour se voir rejoindre par une vieille connaissance…
Le mangaka Hirohiko Araki poursuit sa mue artistique même si on sent encore tout le poids de l’héritage "Hokuto no Ken". Cela reste un peu bizarre de voir cohabiter des arrière-plans travaillés voir subliment réalistes, et un charadesign qui lorgne vers le baroque et le fantasque même s’il sait se faire très sérieux également…
To Be Continued =>
Un tome qui empreinte plus que jamais à "Hokuto no Ken" avec ce mélange entre kung-fu et pathos shakespearien. JoJo affronte le chevalier noir Brudford, tandis que sous la menace de Tarkus Speedwagon tente de dégeler le bras de Zeppeli grâce à sa chaleur corporelle (serait-ce un passage repiqué à Masami Kuramada ? ^^).
L'asservissement de Dio n'étant pas parvenu à anéantir l'esprit chevaleresque de Brudford, c'est d'égal à égal que les deux guerriers s'affrontent. Brudford possède l'avantage avec sa Machabhair, la danse des cheveux qui lui octroie le bénéfice d'une troisième main (la chevelure vivante, c'est un immense classique du fantastique asiatique, mis en scène par le personnage de Sire Nenki dans "Shinobi" de Fûtarô Yamada, immense classique de la culture populaire japonaise). Mais JoJo compense par de nouvelles utilisations de la magie de l'Onde : scarlet overdrive, turquoise blue overdrive, metal silver overdrive, sun yellow overdrive…
Dans ses derniers instants, Brudford retrouve son humanité et confie à JoJo sa légendaire épée LUCK (= chance), renommée PLUCK (= courage) pour l'occasion, avant de rejoindre avec joie sa reine bien aimée Mary Stuart dans l'au-delà… Cela pleure de tous les côtés, tandis que Tarkus le colosse entre en scène !
La team JoJo tente de fuir leur monstrueux adversaire par la voie des airs grâce à la magie de l'Onde, mais c'est pour mieux tomber dans ses pièges et JoJo coupé de ses amis se retrouve enfermé dans la salle du dragon bicéphale.
OMG William ! Cela pleure de tous les côtés, y compris du mien…
En route pour le château de Dio (qui décidément ressemble beaucoup à ceux de la saga vidéoludique Castlevania), la team JoJo se voit rejointe par les renforts appelés par Zeppeli : Maître Tonpetty (^^) et ses meilleurs disciples Dire et Straits (^^). S'ensuit quelques passages où le mangaka nous montre à quel point Dio est cruel et sadique…
C'est the Final Coundown avant l'ultime affrontement !
To Be Continued => https://www.youtube.com/watch?v=MnqYwcuIjPM
Lien : http://www.portesdumultivers..
L'asservissement de Dio n'étant pas parvenu à anéantir l'esprit chevaleresque de Brudford, c'est d'égal à égal que les deux guerriers s'affrontent. Brudford possède l'avantage avec sa Machabhair, la danse des cheveux qui lui octroie le bénéfice d'une troisième main (la chevelure vivante, c'est un immense classique du fantastique asiatique, mis en scène par le personnage de Sire Nenki dans "Shinobi" de Fûtarô Yamada, immense classique de la culture populaire japonaise). Mais JoJo compense par de nouvelles utilisations de la magie de l'Onde : scarlet overdrive, turquoise blue overdrive, metal silver overdrive, sun yellow overdrive…
Dans ses derniers instants, Brudford retrouve son humanité et confie à JoJo sa légendaire épée LUCK (= chance), renommée PLUCK (= courage) pour l'occasion, avant de rejoindre avec joie sa reine bien aimée Mary Stuart dans l'au-delà… Cela pleure de tous les côtés, tandis que Tarkus le colosse entre en scène !
La team JoJo tente de fuir leur monstrueux adversaire par la voie des airs grâce à la magie de l'Onde, mais c'est pour mieux tomber dans ses pièges et JoJo coupé de ses amis se retrouve enfermé dans la salle du dragon bicéphale.
OMG William ! Cela pleure de tous les côtés, y compris du mien…
En route pour le château de Dio (qui décidément ressemble beaucoup à ceux de la saga vidéoludique Castlevania), la team JoJo se voit rejointe par les renforts appelés par Zeppeli : Maître Tonpetty (^^) et ses meilleurs disciples Dire et Straits (^^). S'ensuit quelques passages où le mangaka nous montre à quel point Dio est cruel et sadique…
C'est the Final Coundown avant l'ultime affrontement !
To Be Continued => https://www.youtube.com/watch?v=MnqYwcuIjPM
Lien : http://www.portesdumultivers..
"JoJo's Bizarre Adventure", le manga fleuve qui a changé à jamais le visage du shonen :
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Ce tome 7 est partagé en 3 temps :
- dans un premier temps la team est toujours confrontée au talentueux mangaka Rohan Kishibe (on t’a reconnu Hirohiko Araki !) qui transforme ses victimes en esclaves incapabler de se défendre, de s’enfuir ou d’appeler à l’aide pendant qu’on vampirise leurs souvenirs destinés à devenir des aventures sur papier… Il y a un côté Persée contre Méduse puisque puisqu’il suffit de croiser de regard d’Heaven’s Door pour tomber sous sa coupe (ou plutôt de croise les planches du mangaka que nous sommes en train de lire ^^), mais heureusement nous découvrons l’origine l’attachement de Josuke à sa coupe de cheveux quand il passe en mode berserk.
Et le mangaka nous annonce clairement qu’avant la fin de l’arc, il y aura une histoire de voyage dans le temps !
- dans un deuxième temps, Jotora et Josuke partent régler leurs comptes aux cobayes d’Akira Otoishi, mais dans un ferme isolé ils tombent sur des rats manieurs de stand adeptes du tir en embuscade capable sde faire fondre leurs cible… les chasseurs deviennent alors des proies !
On reprend un schéma de film d’horreur déjà usité dans l’arc "Stardust Crusaders", mais quand c’est aussi bien fait c’est très cool !
- dans un troisième temps, Koichi Hirose et Rohan Kishibe, désormais un allié, font la rencontre d’une adolescente fantôme et de sa famille dans un quartier maudit de la ville de Morio dont ils ne parviennent pas à s’échapper…
Décidément les aventures des membres de la famille JoJo méritent bien leur qualificatif de bizarre !^^
To Be Continued =>
Après Jonathan Joestar, Joseph Joestar et Jotaro Kujo, la saga "JoJo Bizarre's Adventure" continue avec Josuke Higashitaka, et après avoir voyagé de par le monde dans l'arc culte "Stardust Crusaders", qui mélangeait aventure, fantastique et horreur, ce nouvel arc intitulé "Diamond is Unbreakeable", qui mélange lui policier, thriller et horreur, se déroule intégralement dans la petite ville de Morio, 58713 habitants, située dans le région de Sendai et qui présente l'étrange particularité d'avoir un nombre de disparitions 8 fois supérieur à la moyenne nationale du Japon... L'auteur Hirohiko Araki ne cache pas qu'il pioche allègrement dans sa propre vie : Morio est un détournement de sa ville natale, située elle aussi dans la région du Sendai (durement touchée par le tsunami de 2011, mais il en reparlera dans l'arc intitulé "Jojolion"), Josuke est son héros préféré, Kira son méchant préféré (remember "Death Note" ^^), et c'est dans cet arc qu'apparaît Rohan, son très prétentieux alter ego fictionnel, manieur de stand comme il se doit...
Ce tome 7 est partagé en 3 temps :
- dans un premier temps la team est toujours confrontée au talentueux mangaka Rohan Kishibe (on t’a reconnu Hirohiko Araki !) qui transforme ses victimes en esclaves incapabler de se défendre, de s’enfuir ou d’appeler à l’aide pendant qu’on vampirise leurs souvenirs destinés à devenir des aventures sur papier… Il y a un côté Persée contre Méduse puisque puisqu’il suffit de croiser de regard d’Heaven’s Door pour tomber sous sa coupe (ou plutôt de croise les planches du mangaka que nous sommes en train de lire ^^), mais heureusement nous découvrons l’origine l’attachement de Josuke à sa coupe de cheveux quand il passe en mode berserk.
Et le mangaka nous annonce clairement qu’avant la fin de l’arc, il y aura une histoire de voyage dans le temps !
- dans un deuxième temps, Jotora et Josuke partent régler leurs comptes aux cobayes d’Akira Otoishi, mais dans un ferme isolé ils tombent sur des rats manieurs de stand adeptes du tir en embuscade capable sde faire fondre leurs cible… les chasseurs deviennent alors des proies !
On reprend un schéma de film d’horreur déjà usité dans l’arc "Stardust Crusaders", mais quand c’est aussi bien fait c’est très cool !
- dans un troisième temps, Koichi Hirose et Rohan Kishibe, désormais un allié, font la rencontre d’une adolescente fantôme et de sa famille dans un quartier maudit de la ville de Morio dont ils ne parviennent pas à s’échapper…
Décidément les aventures des membres de la famille JoJo méritent bien leur qualificatif de bizarre !^^
To Be Continued =>
Après avoir soigné ses blessures grâce au cheval zombi offert par le roi de Naples (^^), Jayro, toujours accompagné de Johnny, poursuit sa route à travers le désert de l'Arizona pour remporter la 2e étape du Steel Ball Run…
A travers les yeux du couple Steel, nous découvrons le président Funny Valentine (^^) et ses assassins, qui sont à la recherche des reliques de Jésus Christ dispersées et cachées à travers tous les Etats-Unis par Joseph d'Arimathie…
Et après un moment fanservice avec la tentative d'assassinat perpétrée par un dénommé Stroheim (voir Battle Tendency ^^), le premier des sicaires du président à s'en prendre à Jayro et Johnny, détenteur de la main momifiée du Christ qui dans s'est incrustée dans son bras gauche, est Pork Pie Hat Kid et son étrange stand Wired.
Toujours ravi par le mélange entre action, aventure, horreur volontiers gore et humour volontiers burlesque. Toutefois, je ne sais pas si c'est l'auteur ou le traducteur qui colle l'adjectif « terroriste » à tous les adversaires de Jayro et Johnny, mais c'est assez naze. C'est des assassins point ! Pourquoi avoir recours à la novlangue néo-cons américaine ?
To Be Continued =>
A travers les yeux du couple Steel, nous découvrons le président Funny Valentine (^^) et ses assassins, qui sont à la recherche des reliques de Jésus Christ dispersées et cachées à travers tous les Etats-Unis par Joseph d'Arimathie…
Et après un moment fanservice avec la tentative d'assassinat perpétrée par un dénommé Stroheim (voir Battle Tendency ^^), le premier des sicaires du président à s'en prendre à Jayro et Johnny, détenteur de la main momifiée du Christ qui dans s'est incrustée dans son bras gauche, est Pork Pie Hat Kid et son étrange stand Wired.
Toujours ravi par le mélange entre action, aventure, horreur volontiers gore et humour volontiers burlesque. Toutefois, je ne sais pas si c'est l'auteur ou le traducteur qui colle l'adjectif « terroriste » à tous les adversaires de Jayro et Johnny, mais c'est assez naze. C'est des assassins point ! Pourquoi avoir recours à la novlangue néo-cons américaine ?
To Be Continued =>
La 2e étape du Steel Ball Run continue à travers le désert de l'Arizona et Jayro, Johnny, Mountain tombent dans le piège tendu par la famille Boom Boom, tandis que tous tombent dans le piège de la Paume du Diable… C'est donc tout naturellement que les stands font leur grande apparition :
- la famille Boom Boom possède collectivement le stand « Tomb of the Boom », qui permet de manipuler le magnétisme
- Mountain Tim possède le stand « Oh Lonesome Me »
- en passant lui aussi par la Paume du Diable, Johnny Joestar prend possession du Tuske
Au point de contrôle de l'étape nos héros affrontent Oyecomova, un terroriste européen qui possède le stand « Listen to My Rhythm » qui lui octroi le pouvoir de tout transformer en bombes à retardement. Son look est assez cool : il s'agit d'une version glam rock de Johnny Deep dans le film Jim Jarmusch "Dead Man" (1995)…
Jayro veut remporter la victoire pour apporter la gloire à son pays, et donc obtenir l'amnistie royale qui sauvera la vie du petit Marco, mais les opposants au roi veulent qu'il échouent pour apporter la honte à la dynastie qui gouverne leur pays… Pour quelqu'un qui aime autant l'Italie que lui, il en connaît mal l'histoire : son royaume napolitain uchronique ne tient pas la route… Cela n'impact pas beaucoup l'histoire, mais c'est dommage.
Le mangaka continue d'approfondir le personnage de Jayro Zeppeli, dont initia on en savait absolument rien du tout, à la manière de Sergio Leone, c'est-à-dire par une série de flashbacks qui au fil du temps font de plus en plus sens. J'adore Jayro, à la fois badass et otomen. Je ne devrais pas, parce que je sais qu'il n'échappera pas à la malédiction des Zeppeli et que tout cela finira encore une fois dans larmes…
To Be Continued =>
- la famille Boom Boom possède collectivement le stand « Tomb of the Boom », qui permet de manipuler le magnétisme
- Mountain Tim possède le stand « Oh Lonesome Me »
- en passant lui aussi par la Paume du Diable, Johnny Joestar prend possession du Tuske
Au point de contrôle de l'étape nos héros affrontent Oyecomova, un terroriste européen qui possède le stand « Listen to My Rhythm » qui lui octroi le pouvoir de tout transformer en bombes à retardement. Son look est assez cool : il s'agit d'une version glam rock de Johnny Deep dans le film Jim Jarmusch "Dead Man" (1995)…
Jayro veut remporter la victoire pour apporter la gloire à son pays, et donc obtenir l'amnistie royale qui sauvera la vie du petit Marco, mais les opposants au roi veulent qu'il échouent pour apporter la honte à la dynastie qui gouverne leur pays… Pour quelqu'un qui aime autant l'Italie que lui, il en connaît mal l'histoire : son royaume napolitain uchronique ne tient pas la route… Cela n'impact pas beaucoup l'histoire, mais c'est dommage.
Le mangaka continue d'approfondir le personnage de Jayro Zeppeli, dont initia on en savait absolument rien du tout, à la manière de Sergio Leone, c'est-à-dire par une série de flashbacks qui au fil du temps font de plus en plus sens. J'adore Jayro, à la fois badass et otomen. Je ne devrais pas, parce que je sais qu'il n'échappera pas à la malédiction des Zeppeli et que tout cela finira encore une fois dans larmes…
To Be Continued =>
Rohan Kishibe est japonais et dessinateur de manga. Chez sa grand-mère qui tient une auberge, Rohan rencontre une femme étrange. Avant de disparaître mystérieusement, elle lui parle d’une toile qui aurait des pouvoirs étranges, maléfiques… Dix ans plus tard, Rohan se rend au Louvre, à la recherche de ce tableau.
Le graphisme et les couleurs de ce manga sont plutôt agréables. Le début de l’histoire, résumé ci-dessus, est accrocheur et intéressant. Puis les choses se gâtent, avec l’entrée en scène de phénomènes surnaturels outranciers qui donnent finalement une histoire insensée et dénuée de crédibilité.
- C'était mon premier manga !
Le graphisme et les couleurs de ce manga sont plutôt agréables. Le début de l’histoire, résumé ci-dessus, est accrocheur et intéressant. Puis les choses se gâtent, avec l’entrée en scène de phénomènes surnaturels outranciers qui donnent finalement une histoire insensée et dénuée de crédibilité.
- C'était mon premier manga !
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Listes avec des livres de cet auteur
Auteurs proches de Hirohiko Araki
Lecteurs de Hirohiko Araki Voir plus
Quiz
Voir plus
A la croisée des mondes 1 : Le Royaume du nord, de Phil Pulman
Comment se nomme le héros de l’histoire ?
Iorek BYRNISON
Lyra BELACKA
Marissa COULTER
7 questions
206 lecteurs ont répondu
Thème : À la croisée des mondes, tome 1 : Les royaumes du Nord de
Philip PullmanCréer un quiz sur cet auteur206 lecteurs ont répondu