J’aime beaucoup cette saga, c’est frais, coloré, et girly. Dans ce troisième tome, Harriet est passionnément amoureuse de Nick, et elle attend les résultats de ses examens. Bref tout va très bien dans le meilleur des mondes. Du moins en apparence…
Harriet va voir son petit univers tranquille s’écroulait. Déjà, sa pire ennemie lui a piqué son journal intime. Et quand elle rentre à la maison, elle trouve ses parents en train de faire des cartons, son père a retrouvé du travail, mais de l’autre côté de la Terre, à NewYork.
Les parents d’Harriet sont toujours aussi déjantés et à côté de la plaque. Harriet est toujours égale à elle-même et aussi peu sûre d’elle, du coup elle se met parfois dans des situations inextricables, blessant ceux qui l’aiment. On change donc ici de décor, direction la Grosse Pomme.
J’aime toujours autant le personnage d’Harriet. Un personnage original, toujours à la pointe de la connaissance, mais toujours aussi maladroite. Elle est vraiment unique en son genre. Elle ne change pas d’un iota et c’est pour ça qu’on l’aime. Elle est vraiment très crédule et se laisse embobinée très (trop) facilement.
L’ensemble de ce roman jeunesse se lit toujours aussi vite et bien. Une écriture très abordable, des chapitres courts allègrement teintés d’humour en font un excellent divertissement. Ma fille adolescente adore autant que moi, elle l’a d’ailleurs lu dès son arrivée dans ma bibliothèque, avant moi.
Ce troisième tome est vraiment dans la lignée des deux autres et l’ensemble de cette saga ne s’essouffle pas, et c’est tant mieux, puisqu’en juillet une suite sortira sous le titre « Geek Girl, être ou ne pas être ». Nul doute que je vais la lire très rapidement après sa sortie (en même temps ma fille ne m’a pas trop laissée le choix !).
Ce roman est disponible depuis le 9 avril 2015 aux Editions Nathan.
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