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Citations de Hugh Howey (453)


p.313.

Elle le gratifia d’un sourire rare et Knox se sentit rayonner en retour. À cet instant, il comprit pourquoi ses employés lui étaient dévoués. Elle avait le même genre d’empire sur les autres que lui, mais pour des raisons différentes. Les gens craignaient Knox et cherchaient la sécurité. Mais ils respectaient McLain et cherchaient à en être aimés.
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Et ça faisait tellement de bien de le dire à un autre être humain. Ca faisait tellement de bien de lâcher ces nouvelles idées à l'air libre. Et elle savait qu'elle avait raison au sujet du coût des dépêches électroniques, qu'ils ne voulaient pas que les gens se parlent. Penser allait encore; on enterrerait vos pensées avec vous. Mais pas de collaborations, pas de groupes coordonnés, pas d'échanges d'idées.
Babel, p.241
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Il y avait des bottes partout.
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On ne vous prépare pas aux petits bruits.
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Je repense aux bruits qui semblaient se carapater à mon approche. Et,brusquement je ne suis plus seul dans la balise. Je scrute les murs de boutons et d'écrans.
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Une immense dévastation dans un silence total, un ballet macabre, un son et lumière sans le son.
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Regardez tout ce néant, vous sentez son regard en retour!
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Mais où étaient ceux dont le boulot était d'éviter les tragédies ?
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Et elle prit conscience du soleil sur sa joue, du sable dans sa bouche, du vent dans ses cheveux. Elle revint à la vie de la même façon qu'on émerge du sommeil. Vivante, mais différente. Une enveloppe vide capable de penser, d'entendre, de réfléchir. De vouloir la mort de certains.
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Les chevrons d'un toit précédent étaient maintenant devenus les solives sous le plancher de l'habitat de Palmer. Depuis longtemps abandonnée sans revendication, la maison d'un inconnu servait maintenant de soutènement à celle de Palmer. Bientôt la sienne deviendrait le sous-sol de la masure d'un autre, et cet endroit une cave emplie de sable. Et cela continuerait ainsi, le sable s'amoncelant jusqu'aux cieux et les maisons se noyant pour rejoindre l'enfer.
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Donald voyait à quoi il faisait allusion. Un site de confinement sous une montagne, La rumeur courait au capitole que le projet de Géorgie avait les mêmes chances de succès. Le dossier pesa soudain plus lourd dans ses mains lorsqu'il s'en rendit compte. On lui demandait de s'associer à cet échec annoncé. C'était carrément son poste qu'il jouait, là.
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Après Silo, Howey imagine un monde futur où le sable est omniprésent.
Ce monde détruit m'a fait penser à la trilogie des Ferrailleurs de Bacigalupi. Que j'ai beaucoup aimé lire.
Les survivants à (? on ne sait quoi ?) ont appris à plonger dans le sable, tout comme Cousteau a mis au point le scaphandre autonome. Ils fouillent des gratte-sol...
J'ai lu ce livre d'une traite, je ne dirai pas en apnée, la ficelle est trop grosse, et pourtant, je me suis surprise à retenir parfois ma respiration.
Pour moi, ce livre a un goût de trop peu. Si jamais l'auteur continue à explorer ce monde sec et violent, j'en serai ravie... J'aurais aimé plus d'infos sur la transition entre notre monde et celui-là, et j'aimerais découvrir un peu plus de ce monde en ruine.
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Elle dormit en serrant un homme dans ses bras pour la première fois depuis des décennies et se réveilla dans un lit ordinairement vide, le cœur exceptionnellement plein.
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"Les yeux rivés au toit du silo 1, il se demanda qui était le responsable de tout ça, et s'ils pouvaient vraiment justifier leurs actes par la contrainte, s'affranchir de toute culpabilité en se disant qu'ils avaient hérité de cette situation, de ce jeu tordu aux règles à la con où presque tous macéraient dans l'ignorance, sous clé.
Mais qui étaient ces gens, bon sang ? Pouvait-il (Lukas) vraiment s'envisager comme l'un d'entre eux ? Comment se pouvait-il que Bernard ne voie même pas qu'il était l'un d'entre eux ?"
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On dit que les tuiles arrivent par trois, mais je ne crois pas que ce soit vrai. Je pense que les tuiles arrivent constamment. Ça n'arrêtera jamais. Simplement, c'est trop déprimant de continuer à compter, alors on recommence à zéro après la troisième. En retenant notre souffle.
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J’arrive à l’âge où on voit ses amis, les gens avec qui on a grandit, tomber comme des mouches, mais où on est encore assez jeune pour faire semblant qu’on ne sera jamais concerné.
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- Tu penses qu'ils ont tué Scottie ? Demanda-t-il. Elle acquiesça.
- Walk, je crois que c'est pire que ça.
Elle se pencha vers lui alors que le compresseur vrombissait, que l'air qui chuintait remplissait la pièce.
- Je pense qu'ils tuent tout le monde.
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Qu'est-ce qu'il se figurait, de toute façon ? Qu'il pouvait améliorer les choses ? Qu'il pouvait réparer un monde à la destruction duquel il avait pris part ? Le monde était irréparable, et depuis longtemps. Un aperçu d'herbe verte et de ciel bleu via un drone, et il avait perdu la tête. Cela faisait désormais si longtemps qu'il avait vu ces couleurs qu'il commençait à douter de leur réalité. Il connaissait la mécanique trompeuse à l'oeuvre dans le nettoyage. Il savait bien qu'on ne pouvait pas faire confiance à la vision d'une machine.
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Je suppose que c'est là l'étrangeté de la maladie dont je souffre : je meurs d'envie d'avoir de la compagnie, quelqu'un à qui parler, mais ce n'est jamais la bonne personne qui se pointe. Et une présence importune est bien pire qu'un pitoyable silence.
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Donald toussa à nouveau, et pensa à toutes les sagas héoriques de l'ancien temps, aux hommes et aux femmes qui se battaient pour la justice, toujours avec une fin heureuse, des chances impossibles de réussite, de la vaste blague. Les héros ne gagnaient pas. Les héros étaient ceux qui, par hasard, gagnaient. L'Histoire racontait leur histoire... les morts ne pipaient pas mot. C'était un vaste mensonge.
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