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Critiques de Hugo Pratt (571)
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Faisant suite à la parution du tome 15 des aventures de Corto Maltese, qui, selon l’éditeur serait le préquel de celui-ci (le seul vrai préquel c’est l’album intitulé « La Jeunesse » c.-à-d. le tome 9), j’ai relu « La ballade ... » que j’avais lu pour la première fois à treize ou quatorze ans. Que cet album soit le premier « Roman dessiné » m’importe peu, ce qui est sûr c’est que son scénario est au niveau de grands romans d’aventure comme ceux de R.L. Stevenson ou J. Conrad. Hugo Pratt est d’abord un grand conteur. Quant aux dessins, même si on y trouve encore l’influence des Petits Formats « cheap » de l’école argentine (La Ballade est parue en 1967 en Italie), ils sont déjà superbement expressifs et les contrastes en noir & blanc sont admirables. D’ailleurs le dessin de Pratt a évolué tout au long de sa carrière. Cette histoire n’était pas prévue pour avoir une suite, mais déjà, le caractère de Corto se détachait, aventurier pragmatique et romantique, libre, curieux, et pratiquant l’ironie. D’autres personnages animent ce roman : Raspoutine, l’âme noire de Corto, plus « méchant » ici que dans d’autres albums, le seul salopard qu’on puisse trouver sympathique. Et puis Le Moine, autre bandit « roi des mers » dont Pratt nous dit le secret en 3 cases (dont 2 identiques) sans dialogue ! p.88 (du pur génie). Il y a aussi les cousins Groovesnore, Pandora et Caïn, le lieutenant Slütter et Cranio, qui eux, finiront mal ... Ce que j’aime le plus chez Pratt, ce qu’il y a de « magique », c’est le mélange de l’Histoire vraie (les dates, la chronologie, certains personnages réels ...) et de la fiction (l’imagination, le rêve et le romanesque) l’une validant l’autre. Hugo Pratt était un artiste libre, qui s’était donné les moyens de l’être et il a construit ce qu’on appelle une Œuvre. Et la différence entre une œuvre et un produit marketing (le tome 15), c’est ça : un océan, celui qui nous dit au début de ce chef-d’œuvre : « Je suis l’Océan Pacifique et je suis le plus grand ... ». Allez, salut et bon voyage.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Un classique de la BD des années 80. Un classique tout court du genre qui continue d'ouvrir la voie pour un art du récit pas du tout mineur.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Océan pacifique, 1913, Corto Maltese est retrouvé en mer attaché à un radeau par le pirate Raspoutine. Tous deux servent sous les ordres du Moine. On suit différentes histoires dans cette océan avec une atmosphère mystique;



Sous la forme d'un carnet de voyage, Hugo Pratt dessine un classique de la bande dessinée et du roman graphique avec des histoires mystérieuses et pleines de philosophies en insérant plein de références culturelles plus ou moins célèbres.

L'histoire raconté paraît presque être un prétexte à la ballade et la découverte de l'univers de l'auteur
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Première incursion vers Corto Maltese pour ma part. Il était plus que temps!

Avant tout, il s'agit d'une BD, et donc la place du graphisme est majeure. J'ai beaucoup apprécié les dessins , l’atmosphère qu'ils décrient ou suggèrent.

Quant à l'histoires et les personnages, n'y cherchons pas la profondeur d'un roman structuré. Mais pour autant, je me suis laissé emporté par le cadre marin et aventurier de l'histoire, dont l'accrochage à des éléments historiques accroît la prégnance. Cela faisait indirectement écho aux aventures de Henry de Monfreid , qui m'ont fait voyager et r^ver l'adolescent que j'étais à l'époque de leur lecture, et m' a laissé un souvenir agréable post lecture.

Je lirai surement le tome suivant!
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

avec aquarelles de Hugo Pratt.

Une version coloriée de Corto avec en avant-goût une série d’aquarelles d’individus de Polynésie et de Mélanésie.

Une aventure où apparaît pour la première fois Corto Maltese le pirate à la solde ou/et associé plus ou moins du «Moine» mystérieux personnage dont on ne voir jamais le visage et dont personne ne connaît l’identité. Une apparition pour le moins surprenante car il dérive attaché sur une croix en plein Pacifique comme un christ : un personnage né du néant et qui va nulle part mais de par cette crucifixion maritime intrigante, on sait qu’il a été, est et sera voué aux ennuis. Dans cette aventure Corto se trouve associé à Raspoutine pirate et assassin passablement fou et assoiffé d’or. Premières confrontations avec celui-ci avec lequel il a semble-t-il des relations paradoxales, amitié ou quelque chose qui y ressemble et haine ou rivalité sentiments qui sont réciproques mais les deux sont liés et le resteront longtemps.

Premières amours avec la jeune Pandora. Première pensées altruistes de Corto Maltese pour les peuples colonisés, ici ceux du Pacifique, pensées d’indépendance qui collent bien à son esprit libre, ni dieu ni maître sans être à aucun moment idéologiquement libertaire. Ces belles pensées ne l’empêchent pas d’être un malfrat qui court après un trésor ainsi qu’un mafieux traficotant avec les allemands pendant la guerre. Son aura pour ce début d’aventures est celle d’un truand ni plus ni moins il ressemble à Raspoutine avec un coté fleur bleue la naïveté en moins.

On constate qu’il a déjà des amis ou du moins des gens qui le respectent et ce sans qu’on sache d’où cela vient: il a déjà un vécu qu’on ignore. Apolitique et aventurier il mène sa barque entre les écueils sans choisir un camp d’ailleurs le seul respect qu’il manifeste dans ce tome va vers un officier allemand. Il est à contre-courant mais il réussit à échapper aux sanctions des vainqueurs on constate son opportunisme car il n’a pas fait grand-chose et ce qu’il a fait de positif ce n’étaient pas sans arrières – pensées.

Graphiquement les traits des personnages sont plutôt lourds, brouillons et disgracieux il lui faudra quelques tomes pour arriver à une image plus dépouillée, stylisée et aristocratique. A ce stade il a tout du ruffian mais il a la jeunesse et on lui pardonne beaucoup, toutefois Corto reste un personnage ordinaire il n’a pas encore d’épaisseur. Il est encore loin d’être un gentleman légendaire. Les décors semblent un peu vides il manque quelque chose mais quoi?

Une couverture bâclée et grossière et si la couleur verte bleutée est sympathique elle est très mal mariée avec un «le moine» au premier plan pachydermique en noir et blanc et surtout la grosse tâche noire du capuchon. C’est assez laid et ça jure avec les aquarelles qui suivent et sont tout en finesse.

Des langueurs dans le texte Pratt fait durer l’histoire un peu inutilement bref ce sont peut-être les îles paradisiaques qui imposent ce rythme et une certaine moiteur: on tourne en rond et on attend la suite. On va dire qu’il est bavard et ne permet pas l’onirisme qui caractérise le Corto véritable. Le contexte qui entoure Corto est essentiellement historique et politique à peine mâtiné de romance aventurière du style «l’île au trésor» avec pirates modernes on dirait aujourd’hui «terroristes».

Une bonne BD.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

ah Corto...l'amant idéal
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

J'ai découvert Corto Maltese seulement maintenant... Je ne me sentais pas attiré pour une raison obscure mais je savais que c'était un classique incontournable. Belle surprise de ces personnages, de cette ambiance délirante, avec un dessin vif même si parfois approximatif, et surtout beaucoup d'humour dans les réparties et les situations.

Beaucoup d'exotisme également et cette mer omniprésente. M'a donné envie de lire la suite.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Début de la grande guerre dans le Pacifique. Des pirates, des militaires allemands, anglais et japonais, de jeunes cousins, des îles et des navires. La première aventure de Corto Maltese est dépaysante. L'intrigue avance lentement, Corto subit les événements sans vraiment les maîtriser. Les dessins de Hugo Pratt sont superbes.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Dans le deuxième tome de cette collection en format de poche qui retrace les aventures de Corto Maltese dans leur ordre chronologique, on retrouve Raspoutine et Corto en 1913, au milieu de l’Océan Pacifique.



Alors que cette histoire éditée pour la première fois en 1967 est précédée par « La Jeunesse » dans cette collection, elle est en fait la première histoire de Pratt où apparaît Corto Maltese.



Alors que dans « La Jeunesse », Corto n’apparaît que vers la fin de l’histoire, on le retrouve ici dès les premières pages de ce récit d’environs 250 pages. Mais malgré son rôle plus important, il ne constitue toujours pas le personnage principal de cette histoire, tant cette aventure regorge de personnages clefs.



Pour voler la vedette au flegme et au cynisme de notre sympathique pirate, il y a toujours la folie et l’opportunisme de Raspoutine, mais également ce moine mystérieux qui règne sur les mers du Sud ou cette femme au charme insolite et au caractère fort, qui se retrouve prisonnière de ces trois individus. Au fur et à mesure de cette histoire parsemée de romantisme et d’humanité, ces nombreux personnages vont prendre de l’ampleur.



Malgré certaines longueurs, cette histoire bourrée de suspense et d’aventure va connaître plusieurs rebondissements qui vont balader le lecteur au milieu d’un océan qui s’amuse à alterner le calme et la tempête, afin de jouer avec le destin de personnages hauts en couleurs.

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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

QUOI ! 2 ETOILES SUR 5 SEULEMENT !

Ben oui... Je sais, je sais : Corto Maltese, un bijou du 9eme art, un livre agréable passionnant, un personnage épique, bref un petit chef-d'oeuvre

Mais, pour moi, non. Désolé. J'admets que c'est une BD bien ficelée. J'admets que l'histoire est bonne. Mais vu les compliments élogieux dont le livre a été entouré, pour moi, il ne vaut pas 5 étoiles.



Pourquoi ? Je n'ai pas aimé les dessins, si propre à Hugo Pratt. En revanche, le noir et blanc, ça m'a bien plu. Et puis je trouve que l'histoire tourne vraiment autour du pot. Trop longue à mon goût, et avec plein de détours inutiles qui auraient pu être évités. Exemples ?
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Je redoutais ma rencontre avec ce marin légendaire dont l’image est placardée même sur les pyjamas homme de nos surfaces commerciales. J’ai maintes fois repoussé la lecture des œuvres d’Hugo Pratt. J’avais peur de trouver une œuvre plate emplie de poésie de façade et baignant dans un ésotérisme niais. J’avoue que je croyais fermement que le récit des aventures de Corto était totalement dépassé par toutes les productions actuelles. Certaines critiques très cinglantes de ce site avaient totalement achevé de me convaincre. Et pourtant…



Comme il ne me restait plus grand chose à lire et à emprunter à mes bibliothèques, je me suis dit qu’il fallait quand même que je prenne mon courage à deux mains. Corto déchaîne les passions. C’est un fait. Après ; il faut se faire soi-même son idée. Je découvre un héros mythique pas du tout stéréotypé comme je me l’imaginais. Dans « la ballade de la mer salée », il n’est pas montré à son avantage ce qui rend le personnage intéressant. En effet, il écume les mers du Sud au profit des forces navales allemandes qui préparent la guerre en 1913.



On fait la connaissance de méchants plutôt charismatiques et qui ont une logique de raisonnement. Ils peuvent même paraître attachants par moment. Les liens qu’entretiennent les personnages entre eux sont souvent complexes. Cela ajoute au fait que cela rend cette série passionnante à souhait. Les aventures nous entraînent dans tous les coins du monde. Il y a toujours un contexte historique et on prend plaisir à découvrir les modes de vie des différentes peuplades sans être abasourdi par des explications trop détaillées.



Nous avons une œuvre intelligente et mâture compte tenu de l’époque de publication. La violence cruelle est présente ce qui tranche totalement avec une série naïve comme Tintin par exemple. Je regrette maintenant d’avoir découvert aussi tard les aventures de Corto. C’est incroyable comme cela peut nous faire rêver. Je dois bien avouer que je serai passé à côté d’un véritable monument de la bande dessinée.



Même les versions colorisées ne me font pas horreur, au contraire. Je ne trouve pas le dessin brouillon comme certains lecteurs ont pu le considérer. J’ai vu bien pire avec le style minimaliste qui s’est imposé sur la bande dessinée ces dernières années. Graphiquement, c’est même beau.



Au final, je vais rejoindre ceux qui pensent que Corto aura influencé incontestablement la bd moderne et qu’il restera toujours un personnage mythique. Son créateur aujourd’hui malheureusement décédé a d’ailleurs adopté une position inverse d’Hergé car il souhaite que Corto vive toujours même sous la plume d’autres auteurs. On attend la suite avec impatience.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Récit d’aventure faisant écho à Conrad, La Ballade de la mer salée est peut-être (comme finalement tous les autres) le plus beau de tous les Corto Maltese.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Peu habituée à ce genre de lecture, les premières pages m’ont assez déroutées. J’ai pourtant persévéré dans ma lecture, intriguée par l’histoire et le style et j’ai finalement apprécié cette découverte. Les dessins, bien qu’en noir et blanc retranscrivent très bien les paysages et la luminosité de l’océan Pacifique et de ses îles.

L’histoire est complexe à l’image de la réalité de la piraterie et des guerres qui se sont déroulées dans cette partie du globe au début du XXème siècle. Mais je me suis laissée prendre par l’histoire des personnages, leurs caractères et leur mystère. Corto Maltese qui m’est apparu comme un personnage secondaire au début, gagne en étoffe et devient un véritable aventurier solitaire au fil du récit.

Je ne sais pas si je lirai la suite des aventures mais je suis contente d’avoir fait cette lecture qui m’a permis de sortir de ma zone de confort et de mes habitudes.
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Une série qui m'émerveille toujours autant, bien que sa lecture ne soit pas facile au début; on se sent désarçonné par tant de légèreté, de subtilités, de réflexions et réponses laissées au lecteur...
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Le festival d'Angoulême existe depuis 1974 et le meilleur album est récompensé depuis 1976, mais à travers diverses formules, avec l'instauration depuis 2008 du Fauve d'Or.



La ballade de la mer salée, premier tome de Corto Maltese faisait partie des toutes premières récompenses d'albums en 1976, alors forcément quand on s'attaque à sa lecture, c'est avec une certaine attente.



Corto Maltese est un pirate qui navigue, dans cet épisode, sur l'océan Pacifique, tout comme Raspoutine, et le « Moine », leur chef dont personne ne connaît l'identité.



Que d'aventures à l'approche de la Première Guerre Mondiale ! Un sous-marin allemand, des troupes japonaises, l'amirauté britannique, des alliances avec les populations locales, deux jeunes naufragés, héritiers d'un armateur de Sydney, un cousin intrépide et sa cousine dont Corto, qui a tout du parfait héros - beau, plein d'humour, baroudeur au grand coeur - tombera amoureux…



Les personnages d'Hugo Pratt, tout comme leurs péripéties, m'ont fait passer un agréable moment !

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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

première aventure de corto qui déjà

réunit tous les ingrédients qui feront le

succès de la série.exotisme, humour,

et la soif de liberté de corto .
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Hugo Pratt, c'est un peu le Blaise Cendrars de la bande dessinée: toujours à la frontière entre fiction et réalité, baroudeur des mers, poète, fuyant les liens tout en montrant une amitié indéfectible.

Tout en reconnaissant sa qualité, le trait d'Hugo Pratt ne m'attire pas: il me faut pas mal d'efforts pour me lancer dans l'une de ses oeuvres, et ce côté "mâle détaché de tout" m'ennuie pas mal, m'agace même... et pourtant, persévérante, j'ai fini par me laisser happer par ce récit de pirates en pleine guerre mondiale, aux fins fonds de l'Océan Pacifique. Car les personnages, tous sans exception, ne manquent pas de personnalité ni de complexité, au fond, et que ça m'a permis de m'accrocher.

Et puis ce Corto, c'est vrai, quel bel homme! Quelle prestance!

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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

"La ballade de la mer salée" est le premier Corto Maltèse. Un grand récit d'aventure maritime qui nous emporte sur l'Océan Pacifique au milieu de ses iles inconnues et de ses peuples autochtones parfois encore cannibales!

Nous sommes au début de la première guerre mondiale, Raspoutine et Corto sont deux capitaines travaillant pour "le moine". Ils ravitaillement illégalement les allemands en charbon.

Une grande et belle aventure avec des liens d'amitié complexes, des batailles, des naufrages... Corto Maltèse y apparait avec son charme désormais légendaire. Il n'a pas vraiment une place de héros. C'est ici un pirate qui est surtout épris de sa liberté, qui n'a aucune envie de prendre des responsabilités. Mais il garde une âme d'ange gardien et un honneur que ne peut comprendre Raspoutine à la folie si particulière.

Ai-je vraiment besoin de dire que le trait de Hugo Pratt est à découvrir? Je ne pense pas...
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Alors que le Capitaine Raspoutine et son équipage fait cap sur Kaiserine pour y rencontrer un certain Von Speeke, son catamaran croise une chaloupe voguant paisiblement sur l'océan Pacifique après la tempête.

Dedans, deux jeunes gens : un garçon appelé Caïn et une fille du nom de Pandora.

Peu après, Raspoutine découvre ce bon Corto Maltese, ligoté à une planche de bois. Il décide de le sortir de ce mauvais pas, bien que l'occasion soit tentante de le laisser crever.
Lien : http://bendis.uldosphere.org..
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Je me suis lancée dans la lecture des aventures de Corto Maltese pour ma culture, en pensant que je n’allait pas aimer, méfiante du dessin en noir et blanc…



Même si ma lecture a été un peu longue (le récit est dense!) elle n’a pas été désagréable : l’aventure de deux enfants dans les mers lointaines, enlevés par de méchants pirates, pour être rançonnés; en toile de fond: la guerre mondiale, les îles du pacifique, les indigènes, et un certain Corto Maltese.



Contre toute attente, car je ne pensais pas être sensible au dessin, il me reste après quelques semaines des images indéniablement gravées dans la tête de magnifiques indigènes.



De ce que j’ai compris c’est la bascule d’Hugo Pratt vers la confirmation de son personnage principal. Il est là sans être là car les deux héros sont encore les enfants, Cain et Pandora.



Bref, il n’est pas impossible que je poursuive ma découverte du ténébreux Corto.
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