Citations de Ilona Andrews (327)
- Tu ne l'aimes vraiment pas ?
Une ombre traversa le visage d'Andréa.
- Je ne veux pas être son CCBQJNPEB.
- Ca veut dire quoi, ça ?
- Cette Chose Bizarre Que Je N'ai Pas Encore Baisée.
Je faillis m'étrangler avec mon kebab.
-Je pourrais donner quelque chose.Autre chose que sang ou salive.
Je me penchai vers lui jusqu’à ce que nos regard se croisent.
-Merci.Mais je ne suis pas disponible.
-Accouplée ?
-Non,occupée.
J'étais assise à table dans ma cuisine sombre, les yeux rivés sur une bouteille de Citronnade Forte Boone's Farm quand il y eut une brusque fluctuation magique.
C'était drôle comme le monde pouvait s'arrêter quand il m'embrassait. A chaque fois.
Mon amour pour lui était si intense qu'il en était presque douloureux. Je chérissais tout de lui : la manière dont ses iris s'éclairaient quand il riait, se couvraient d'or quand il me désirait, le mouvement de ses sourcils lorsqu'il était en colère, son nez cassé qui ne s'était jamais réparé correctement, les poils sur ses joues, la ligne dure de ses mâchoires. J'aimais qu'il ose me dire quand je dépassais les bornes. Je gloussais à ses blagues et adorais qu'il s'esclaffe aux miennes. Et j'aimais que quel soit l'enfer dans lequel je me retrouvais, il vienne me chercher et m'aidait à me tailler un chemin vers la sortie.
Les gens peuvent te blesser, mais ils sont aussi très doués pour t'aider à guérir.
Les gens doivent faire leurs propres choix, même si ce sont des mauvais choix. Sinon, ils ne peuvent pas être libres.
Tout en retournant à la civilisation, je réalisai une chose : pour la première fois depuis six mois que je connaissais Curran, nous avions réussi à avoir une conversation et à nous séparer sans avoir envie de nous étriper l'un l'autre. C'était très perturbant.
― Je ne le prends pas avec moi. C’est un gosse.
― C’est un bouda mâle âgé de quinze ans. Il soulève jusqu’à cent soixante kilos au développé-couché et son alpha assure qu’il a une forme intermédiaire correcte.
― Curran !
― J’adore t’entendre prononcer mon nom. C’est tellement sexy.
― J’enquête sur des personnes qui sacrifient des tueurs expérimentés en offrande à des divinités obscures.
― Parfait. Ça l’occupera.
Aaargh.
― Non.
― Il a besoin d’un exutoire pour toute cette énergie, et il peut t’être utile.
― À quel titre ?
― En tant qu’appât.
Pourquoi moi, pourquoi ?
― Je te déteste.
I leaned forward and gave the leader ghoul my hard stare. “You look plump. You’ve been raiding the countryside and growing fat from gorging yourself on the people you’ve murdered. I gave you a chance to leave. Now it’s too late. Pay attention to this moment. Look at the stars. Breathe in the cold air. This is your last night. These are the last breaths you will take. I will kill every one of you.”
The leader ghoul snarled, dropping all pretense. “You and what army?”
I began pulling magic to me. This would hurt. This always hurt. “That’s the great thing about werelions. You don’t need an army. You just need one.”
The ghoul twisted his face. “You’re not a werelion, meat.”
“I’m not.” I nodded behind them. “He is.”
The leader ghoul spun around.
«Dans le doute, quand tu as besoin d'informations, cherche un indic et presse-le comme un citron.» C'était l'une des rares techniques d'investigation que je maîtrisais, avec « emmerde tout le monde jusqu'à ce que le coupable tente de t'assassiner ». Pousse-toi de là, Sherlock.
-Pourquoi lui ? gronda-t-il. De tous les hommes que tu pourrais avoir, pourquoi l'as tu engagé pour ça ?
-Parce qu'il possède le meilleur équipement de la ville et qu'il sait s'en servir.
Dès que j'eus prononcé ces mots, je me rendis compte de ce qu'il allait comprendre.
Un autre rugissement inhumain mourut sur les lèvres de Curran. Il me dévisagea, muet.
Oh, c'est trop bon. Je levai les bras au ciel.
-Son labo ! Je parle de son labo, pas de sa bite, abruti.
- Voyons si j'ai bien compris : tu as tué tes enfants et tu as piloté leurs corps non morts.
- Oui. Ça te choque ?
- Non. Tu es une psychopathe.
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
Je me levai et lui apportai le dictionnaire. Elle lut la définition.
- Ça résume assez bien, oui.
J'étais chez moi. Mon appartement, mes odeurs, mon tapis familier sous mes pieds, ma cuisine, mon Curran sur une chaise dans ma cuisine...Attendez une minute...
- Toi!
J'allais à la bataille en bus. L'Univers avait un sens de l'humour caustique.
"Je rêvai que Curran et moi tuions un dinosaure et faisions l'amour dans la pousière..."
Que veux-tu plus que tout ? Dis-moi, et je remuerai ciel et terre pour te l'apporter.
Je serai toujours là. N'importe où tu auras envie que ce "là" soit.
Les légendes naissent de manière très douloureuse.
Quand ils auraient finalement achevé la construction, ils devraient changer de nom. "Donjon" faisait un peu étriqué. Un truc comme "Bastion de la Mort et de la Supériorité Changeforme".