Citations de Isabelle Alexis (148)
… le monde est beau, l’instant présent est précieux. Il est tout ce que nous possédons,…
Ils passèrent en revue les relations humaines celles qui naissent celles qui se renforcent celles qui se distendent celles qui se noient.
La vie nous offre des cadeaux qu il faut savoir accepter. Je me laisse toujours porter par elle.
Pour passer le temps, elle examine les nombreux livres mis à disposition dans la grande bibliothèque. Voyons... Tonie Behar, Isabelle Alexis, Adèle Bréau, Marie Vareille... Très bien, mais déjà lus.
Elle est lamentablement échouée au sol, piégée par ces grandes planches qui pendent au bout de ses pieds, incapable de bouger, comme une tortue qu'on aurait laissée sur le dos, agitant ses petits pieds dans le désespoir le plus total.
- Ah, ma chérie, alors, tu l’as trouver, ce brie ? – Zut… le brie.
qu’une gourde au magasin nous avait enfermés, qu’elle ne m’attende pas. Le message avait été envoyé par une certaines Marie. Une gourde jolie ?
Il faut savoir que quand un ado utilise quelque chose, il ne le range jamais. On a l’impression qu’ils obéissent tous à une sorte de décret, de charte invisible qu’on ne connaît pas : « Ne remets jamais à sa place quelque chose que tu as pris. » Ranger est un gros mot. Débarrasser la table, n’en parlons pas ! En Adoland, on ignore tout du lave-vaisselle qui n’a pas encore été inventé.
Ce livre m'a porté bonheur. Je te le confie. Prends-le, lis-le, mais après, surtout, ne le garde pas! Offre-le à quelqu'un d'autre.
« En quoi est-ce un problème de ne pas être mariée à 35 ans ? Tout le monde n’est pas fait pour le modèle classique, le fiancé, la maison en banlieue, les deux enfants et le travail stable. »
« C’est fou comme le fait de prononcer, ou non, certains mots a le pouvoir de changer le cours de la journée. »
« Ô mon bel arbre ! Roi majestueux des forêts ! Rends-moi l’esprit de Noël ! Puisse ta grâce naturelle partout infuser ! »
Je rêve d’une vie avec elle. Une grande aventure, sans orgueil et sans préjugés.
Tout était minuté, le temps était devenu si précieux, que l’idée d’en gaspiller la moindre minute l’angoissait. Comment faisaient les autres pour s’en sortir ? Pourquoi était-ce si difficile ?
Une journée rien que pour elle. Elle en rêvait tellement souvent. Elle prendrait un bain, lirait un livre, regarderait une série, ferait une sieste. Peut-être même, pour une fois, arriverait-elle à boire son café avant qu’il ne soit complètement froid. Elle écouterait le silence et redécouvrirait pendant quelques heures ce luxe inouï qu’elle avait largement sous-estimé dans sa jeunesse : n’avoir à s’occuper que de soi-même.
Alors, à quoi ça servait d’être Superwoman si c’était pour se réveiller tous les matins tellement épuisée qu’elle attendait toute la journée le moment où elle pourrait aller se coucher ?
Bertille regarda sa petite dernière comme rarement elle l’avait fait auparavant. Elle ne voyait décidément pas grandir ses filles, tandis qu’elle se sentait encore la petite fille de sa mère.
Ce qui n’est pas sans me rappeler mon proverbe préféré : « Un pessimiste est un optimiste bien informé. »
Il faudrait que j’embrasse Claude sans lui demander son avis, comme tu l’as fait avec le Toubib. Je n’ai jamais fait ça. Trop la trouille de me prendre une veste. Tu vois ? Un râteau à cause d’une pelle, ce serait bête.
-Stop ! cria-t-elle.
-On y est pas encore ! Dis le chauffeur de taxi.
-Non, pardon, ce n’est pas à vous que je m’adressais. C’est à mon cerveau…