Citations de Jacques Cassabois (64)
LE FEU DE BOIS
Écoute bien la fumée.
Des mains y effacent les brouillons des poèmes
Écrits à la sève
De l’arbre
Grignoté par les souris
Du feu.
Ne pense qu'au fardeau de ta vie. Je vais le charger sur mes épaules et et t'aider, provisoirement, à le pousser vers ta destinée...
La mathématiques c’est comme l’univers ,ils y’a des belles choses sans infini .
Il est plus facile de combattre les dragons qu'un adversaire qui se dérobe !
Conçu dans la passion, mûri par la tristesse, tel naissait Tristan.
Le désespoir aplanit la route de la mort.
Les sentiments sont les vêtements indémodables de nos personnalités.
Chaque instant contient une étincelle. Cherche-la et toute ta vie deviendra lumière.
- Rien ne dure éternellement. Ni les maisons qui s'écroulent, ni les royaumes qui tombent en ruine, ni les serments que l'on trahit toujours, ni l'amour, ni la haine... Profite de la vie, plutôt, pendant que tu la tiens.
(Sidouri à Gilgamesh)
Le malheur est toujours pour les autres. Quand on consent à l'envisager pour nous, on imagine qu'on trouvera bien une solution pour se tirer d'affaire... Cette illusion a traversé les millénaires.
(Préface)
Ce soir là, quand la nuit s'installa, on vit des gouttelettes scintiller dans le ciel. Héra et Athéna les avaient allumées en regardant l'Olympe. Elles formaient l'immense chemin d'étoiles d une constellation nouvelle.
Les déesses ramènent Alcès à sa mère. Son petit lui a été rendu avant qu'ils s'aperçoivent de sa disparition. C'est là que Alcmène l'embrassa et réalisa que c'est elle qui a été désigner pour s'occuper de cet enfant. Samir C 5e2
Ces dix Travaux et leur élixir de sagesse l'avaient préparé à la grande confrontation :s'aventurer sur des terres d'où personne n'était jamais revenu. Elisa R 5e1
Gilgamesh maîtrise l'art du pugilat. Il en possède toutes les astuces. Plus fin que son adversaire, il esquive, économise sa force et frappe à bon escient. Enkidou, lui, ne connaît pas la ruse. Il ne feinte pas, ne recule pas, ne se protège pas. Il encaisse et cogne, bélier obstiné, contre le rempart qu'il veut abattre.
- Je voulais être sur que...
- Que ?
- Que vous m'aimiez vraiment, ajoute-t-il à mi-voix. Lorsque vous m'en avez fait l'aveu, j'étais heureux. Mais les mots ne suffisent pas. Tant de gens s'en accommodant en oubliant que les vraies preuves d'engagement sont dans les actes.
L'enfance est vraiment une énigme. Elle contient la clé de tous les mystères.
Le sapin est le gardien de la joie émerveillée, le maître du rire et des yeux écarquillés. Le patriarche de Noël !
L'enfance n'est pas seulement un âge de la vie, c'est un état, une manière d'être. Chacun en reçoit le don à la naissance et il nous appartient d'en nourrir nos coeurs, pour qu'il continue de brûler comme un bon feu de candeur.
- Est-ce que je serai immortel ainsi ?
- Oui, tu seras immortel ! Comme tous ceux qui ont fait briller l'esprit, qui ont accompli une oeuvre juste. Non seulement personne ne t'oubliera, mais chacun portera en lui une part d'humanité que tu auras donnée. Voilà comment tu deviendras immortel !
Terreur-des-bisons était un chasseur redoutable, capable de disparaître des semaines,pistant, traquant, lisant le mouvement des herbes, écoutant les voix portées par la terre, se coulant dans le vent. Il cessait alors d'être un homme. Il devenait fragment de nature, rugueux, primitif, et tout d'un bloc tendu vers sa proie: le bison.
Ses ancêtres lui avaient ouvert la voie, et son avenir se préparait depuis des siècles. Il n'était qu'un bourgeon de cet arbre.