James Bowen

Ils se sont bien trouvé ses deux là... James et Bob the cat.

Une respiration authentique, sans fioritures. La lecture de certains passages m'ont été jubilatoire.

Il s'agit là d'un témoignage, d'une évocation simple de tranches de vie sans pathos, son oasis après une longue traversée du désert sur laquelle il ne s'étend pas, grand bien nous fasse.

Sa clef du paradis après des années de purgatoire.

Ce lien essentiel qui unis l'homme à l'animal est tendre, sensible.

Ça me semble être un beau récit pour paumé isolé, presque un médicament pour vivant dépendant.

Vraiment excellent! Il trainait sur mes étagères, acheté dans une grande surface pendant des vacances , juste parce que la couverture m'avait intrigué... mais l'essentiel c'est de l'avoir commencé parce qu'une belle rencontre s'y cachait , la leur.

La vie n’a pas toujours été tendre avec James Bowen, c’est le moins que l’on puisse dire. Après le divorce de ses parents, sa mère est partie vivre en Australie emmenant avec elle ses enfants. James, enfant solitaire, s’est dans un premier temps assez bien acclimaté à ce nouveau pays, fait d’étendues sauvages. Mais lorsque sa mère a à nouveau déménagé et qu’il a encore du changer d’école et d’environnements, ça n’a pas été facile. Surtout que James ne se fait pas facilement des amis, est toujours l’étranger et reste un peu sauvage.

A l’adolescence, il décide de rentrer à Londres et d’aller vivre chez sa sœur. Mais il comprend rapidement qu’il dérange. Il revoit son père mais leurs relations sont toujours houleuses et le jeune homme se retrouve à la rue. Musicien autodidacte, il forme un groupe avec des amis, mais il devient rapidement accro à l’héroïne, ce qui mettra un terme à l’entreprise. Pendant plusieurs mois, il va vivre de menus larcins et de la générosité des passants pour se payer sa dose. Heureusement, il finit par avoir le déclic qu’il doit se sortir de là et entreprend un traitement à la méthadone. Dans le cadre de ce programme, il obtient aussi un petit studio dans un immeuble habité par d’autres personnes en situation de réinsertion.



C’est là qu’un soir, il voit un chat roux, un peu mal en point devant une porte. Il s’arrête et cherche à voir à qui il appartient. Les jours suivants, le chat est toujours là, comme s’il l’attendait. James, qui a toujours aimé les chats, s’inquiète pour lui même s’il est conscient qu’il n’est pas raisonnable de s’encombrer d’un compagnon, lui qui a déjà du mal à prendre soin de lui-même. Mais le chat semble l’avoir choisi et James décide de le nourrir et de l’emmener voir un centre de vétérinaires pour démunis car il a une patte blessée. A partir de là, l’un et l’autre vont se sauver mutuellement.



James Bowen raconte dans ce livre sa rencontre avec Bob, le chat qui l’a sauvé de la drogue et qui a été son moteur pour le pousser à sortir de la rue. C’est une histoire magnifique et émouvante qui redonne espoir dans la vie. Dès qu’il commence à s’occuper de cette petite boule de poils, James se sent revivre. Surtout que Bob, en retour, lui témoigne une confiance et un amour illimité. Même une fois soigné, alors que James veut lui rendre sa liberté, Bob n’en a cure et a décidé que sa vie se ferait à ses côtés. Cela donne lieu à des passages drôles mais aussi bouleversants, comme celui où James remet le chat dans la rue et va prendre son bus et où Bob saute dans ce dernier avant qu’il ne démarre.



Ensemble, ils vont traverser de nombreuses épreuves, comme lorsque Bob est malade ou lorsque James fera son sevrage définitif mais leur amour n’en sortira que plus grand. James, qui gagne sa vie en jouant de la musique, va aussi vite s’apercevoir que Bob est un atout. Alors qu’il était invisible dans les rues, il est soudainement arrêté par tout le monde, chacun voulant caresser le beau chat roux qui se perche sur son épaule. Sa recette quotidienne double quand Bob l’accompagne. Et petit à petit, il a même des fidèles qui viennent apporter des cadeaux au chat. Mais chaque médaille a son revers et la jalousie n’est jamais loin …



Le livre se termine quand James s’aperçoit que Bob est devenu une célébrité sur la toile. Aujourd’hui bien sûr, Bob a son twitter, son facebook et même un blog. Qui aurait cru que cette rencontre déboucherait sur une si belle réussite ?
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James Bowen est un ancien SDF et toxicomane qui, lorsqu’il était encore à la rue, a adopté un chat abandonné. Il est roux et a été baptisé Bob. Ce livre clôt plus ou moins une trilogie : James Bowen explique les enseignements qu’il a tirés du comportement de son chat et parfois aussi des comportements humains. Il dit qu’il faut relativiser, savoir passer à autre chose, positiver en gros. Il compare beaucoup la psychologie des chats à celle des humains sauf que la nôtre est un peu plus complexe car notre cerveau est doté de capacités d’analyse différentes de celles des chats.



Je n’ai pas trouvé le livre exceptionnel, je pense clairement que c’est son éditeur qui l’a poussé à écrire cela, c’est moins intéressant que les 2 premiers tomes. Mais les petites illustrations de chats restent sympas, ça se lit (très) vite et je pense sincèrement que James Bowen est une belle personne.

Quelle jolie : histoire ? Biographie ? Conte moderne ? Indiqué comme témoignage. Bref, une histoire qui fait du bien sur une amitié entre un chat et un guitariste qui fait la manche. Il est triste de constater, que dans la rue, les passants s’intéressent au chat en lui donnant à manger, s’inquiète de son confort en lui offrant des vêtements pour qu’il n’est pas froid et à côté de cela, ils ne se préoccupent nullement de l’être humain qui se trouve à côté. Comment un ex drogué, au fond du trou, arrivera à en sortir grâce à ce chat qui le fera exister ? Un plaisir de lecture distillé au fil des pages fait oublier que ce n’est pas de la grande littérature. A savourer, tout simplement… Je n’ai pu m’empêcher de mettre Bob en fond d’écran, grâce aux photos et vidéos que l'on peut trouver sur le Net. Mais chat va pas la tête !

Quand la bonne fortune d'un homme prend la forme d'un chat roux aux yeux verts, et quand la bonne fortune d'un "tom cat" pend la forme d'un ancien junkie...



Je ne sis pas pourquoi ce livre m'a tant plu: la couverture déjà, qui montre un bon gros chat avec... une écharpe autour du cou. Mais d'habitude je ne lis pas ce genre de roman. Alors pourquoi? C'est sans doute parce que cette photo me rappelait mon chat, qui ;me manque beaucoup que je me suis laissée entrainer dans les premières pages... et je ne l'ai pas regretté!!

Le style est simple, mais il va droit au cœur. Cet humain fait tant pour ce petit compagnon, qu'il sauve, qu'il comprend ...

On voit comment un animal redore le concept d'être "humain": il parvient à rendre un humain plus humains pour les autres humains, mais aussi plus humain pour lui-même...

Ce livre rend espoir en notre société, même si tout part du fait que ce chat a sans doute été abandonne par des gens sans cœur. Qui plus est, il fait découvrir le monde de la rue, monde qui nous effraie parfois (oui, je n'ai pas honte de l'avouer, je suis toujours méfiante quand un mendiant ou un artiste de rue s'approche de moi, mais je serai désormais plus attentive aux gens qui vivent de la rue) mais qui a aussi de bons côtés.

La seule chose qui me pousse à m'interroger, après avoir vu des vidéos du couple en question: est-ce que tout ce qui est décrit dans ce livre est bien vrai? N'est-ce pas parfois embelli? Il y a tellement de beaux sentiments qu'on peut se demander! (le scepticisme me tuera... ^^)

Ce livre vous entraînera donc dans un univers et une relation envoûtants, non sans violence parfois, mais avec beaucoup d'amour!

Ah voilà un bon livre à lire aux moments des fêtes de fin d'année ! Des bons sentiments et de l'espoir, mais à aucun moment de la mièvrerie.

Néanmoins, je l'ai moins apprécié que le 1er car j'ai trouvé qu'il n'apportait rien de nouveau. On est toujours dans les galères quotidiennes de Bob et James. Le seul fait nouveau et le livre s'achève dessus, c'est la parution du livre.

J'ai passé un excellent moment (je pense parce que dans les descriptions de Bob, je vois mes chats et je comprends cet amour inconditionnel et cette reconnaissance que ressent James) et je le recommande fortement à tout types de lecteurs car ce livre va aussi permettre de changer le regard sur les SDF.

J'ai une affection particulière pour cet auteur parce que son 2ème roman, "Le monde selon Bob" figure en publicité à la fin de mon 1er roman félin "Les fantastiques aventures de Surcouf". Ensuite parce que le livre raconte l'histoire d'un chat roux exceptionnel, comme a pu l'être Surcouf, mon rouquin aux gants blancs. Enfin, parce que c'est la première fois qu'un livre qui promet une histoire de chat ne se contente pas de lui laisser la portion congrue et que ce n'est pas pour une fois pas une simple psychothérapie pour son auteur. James Bowen et Bob m'ont ému et ils ont su me faire toucher du doigt ce que c'est que de vivre dans la rue et ils ont changé ma vision du monde.
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Excellent ! J'ai adoré ce bouquin qui est écrit avec sincérité, simplicité, respect et tellement d'amour.

Je souhaite longue vie et beaucoup de bonheur à ce couple magnifique uni pour le meilleur et pour le pire.

Autant le dire tout de suite , j'ai adoré ce livre.



C'est à la fois un témoignage sur les bienfaits d'une rencontre entre un homme et un chat , qui ont tous les deux connu la vie dans la rue, un témoignage sur l'attachement d'un matou pour celui qu'il a choisi comme "compagnon" , sur la prise de responsabilité et de conscience que l'arrivée de ce chat provoque chez "son " humain et tout autant, un témoignage sur la difficile sortie d'une addiction à la drogue et en ce sens , le pouvoir de Bob est phénoménal.



Lui, le matou va aider son compagnon à faire fi des difficultés des rapports humains entre "les travailleurs de la rue" et l'aider, d'autant plus, à apprécier les marques de sympathie des passants , par ailleurs, pour l'amener vers le sevrage qu'il n'arrivait pas à décider seul.

Un critique à " chaud " sur ce petit roman: 141 pages, vite avalées en ce qui me concerne et... bof,bof,bof.

J'aime beaucoup les chats j'en ai toujours eu chez moi ,ainsi que des chiens.Et j'ai toujours eu de bons rapports avec les chats .Une bonne intuition en ce qui les concerne et là,,déçue car je m'attendais à ce que l'auteur nous raconte son histoire : étant SDF il s'en est sorti,grâce à la rencontre avec ce chat des rues qu'il a surnommé Bob.Mais ce ne sont que courts chapitres décrivant les différentes attitudes de son chat face à certaines situations et ce petit côté moralisateur ,à la fin de chaque chapitre,m'a énervée. Cela ne pas apporté plus que ce que je connaissais déjà des chats et écrit dans un style assez plat ne m'incite pas à vous le recommander.Je pense qu'il faut lire le 1er roman de cet auteur: Un chat des rues nommé Bob où il raconte sa rencontre .Car dans ce roman ,l'on sent un certain essoufflement d'où mon manque d'intérêt. ⭐⭐

Le Monde selon Bob, publié chez City, est la suite du chat des rues nommé Bob qui a fait un carton il y a 2/3 ans et a été publié chez Pocket. C’est la suite du témoignage de James Bowen, un anglais qui était SDF et qui se droguait et qui, un beau jour, s’est lié d’amitié avec un chat roux.

Il ne voulait pas le garder car un chat, même si c’est mignon, c’est surtout des contraintes. A fortiori lorsque l’on mène la vie de junkie que James mène...



Mais un chat, c’est bien connu, c’est pas vous qui le choisissez mais lui qui vous choisit. C’est une sorte d’alchimie... James l’a donc adopté lorsqu’il a vu qu’il ne le lâchait plus d’une semelle et il nous racontait dans le 1er livre cette magnifique rencontre qui lui avait permis de se sortir de la drogue, de retrouver un logement, un petit boulot (il vend un magazine pour sans-abri à la sortie d’une station de métro avec le chat sur son épaule). Surtout, James retrouve petit à petit une place dans la société et ne se sent plus considéré comme « un moins que rien ». Vous le devinerez, il a prénommé son chat Bob.



Ici, James Bowen nous livre la suite de son récit de vie tout en nous rappelant les grandes lignes du premier tome. Vous pouvez donc lire Le Monde selon Bob sans avoir lu le chat des rues nommé Bob. Chaque chapitre raconte une anecdote qui résonne par rapport à son passé et par rapport aussi à sa relation avec Bob, avec les autres personnes de son (maigre) entourage et avec les passants croisés dans la rue. C’est parfois touchant et beau, d’autres scènes déclenchent plutôt un sentiment de colère (Holly la jalouse, le mépris des gens, les agressions dans la rue).



Je retiendrai la scène où le type fait une overdose sur le palier de James, la marche nocturne dans Londres, le nombre de personnes qui prennent Bob en photo et comment James a été abordé dans la rue par un journaliste puis par un agent littéraire pour préparer son autobiographie. Mais il y a plein d’autres anecdotes intéressantes. C’est un très beau témoignage qui permet de découvrir que les évènements de la vie peuvent faire de celle-ci un véritable enfer mais qu’avoir un chat peut vous changer un homme. En plus il trop beau ce chat roux !!!!!!!!!!!!!!

James ne savait pas que sa rencontre avec un chat abandonné allait bouleverser sa vie…et pourtant…

Se rencontrer dans la rue, se reconstruire mutuellement, veiller l’un sr l’autre, l’auteur prend peu à peu conscience qu’il a une chance à saisir, qu’il n’est plus seul après dix ans de galère.

Un bel hommage à un chat particulier, mais je pense que beaucoup de propriétaire de chat doivent se reconnaitre et se sentir touché.

Il y a quelques années j'ai lu ‘'Un chat des rues nommé Bob'' : un coup de coeur pour le duo James et Bob, leur parcours pour sortir de l'enfer de la drogue pour l'un et de la rue pour l'autre et pour leur très profonde complicité.



‘'Le monde selon Bob'' est la suite… et est très loin d'être à la hauteur du précédent. J'ai la nette impression qu'un éditeur a voulu surfer sur le succès du premier opus en publiant ce deuxième volet qui semble, par moments, un copié-collé du premier. Certes l'entente entre les deux est toujours exceptionnelle et les talents de Bob sont toujours aussi étonnants, mais il y a peu de nouveautés et on a l'impression, la plupart du temps, d'être dans des situations répétitives.



En résumé : le livre de trop, à mes yeux…

"Le monde selon Bob" est la suite du premier récit de James Bowen "Un chat des rues nommé Bob". Un an et demi après la sortie du premier opus, l'auteur nous livre un second témoignage de ses aventures urbaines. Je pensais retrouver les mêmes scènes mais si le premier, très sombre, nous conte les difficultés de se sortir de la drogue, le sauvetage de l'auteur grâce à sa rencontre avec ce rouquin si attachant et les péripéties de leur vie à deux, le deuxième, plus lumineux, raconte l'éclosion et l'élaboration du premier tome, la renaissance et l'espoir d'une vie meilleure, et puis la relation de plus en plus fusionnelle entre ces deux êtres blessés dans une autre vie et qui se retrouve dans celle-là. Une lecture très enrichissante, qui nous fait voir la rue autrement et qui illuminera votre été.
Lien : http://chat-pitre.over-blog...

« Un chat des rues nommé Bob » de James Bowen est une autobiographie où les émotions sont capitales dans le récit. La rencontre entre le chat roux Bob et James, un ancien toxicomane donne lieu à une formidable aventure bienveillante et entourée de beaucoup d’amour.

(chronique complète : https://livrement.com/2016/04/27/un-chat-des-rues-nomme-bob-james-bowen/)
Lien : https://livrement.com/2016/0..

Une belle histoire VRAIE : la rencontre de deux enfers et de deux solitudes : un SDF drogué et un chat errant… Une amitié solide et la sortie de l'enfer pour tous les deux.

Une plongée dans le monde de la rue et des SDF : une vraie jungle.



Émouvant et réconfortant même s'il est certain que tous les SDF n'ont pas le potentiel de résilience de James..





Info pour ceux qui voudraient ajouter l'image aux mots : il y a plusieurs vidéos du duo sur le net

Une fois n'est pas coutume, je vais vous recommander la lecture d'un témoignage...

Un jeune homme balloté d'Australie à Londres qui ne suis pas une scolarité régulière à cause des nombreux déplacements de sa mère, se révolte à l'âge de la fragilité et ment pour rester à Londres : il finit drogué et à la rue.

Il obtient un logement social mais vit dans la précarité la plus totale; un soir en rentrant dans son immeuble il trouve un chat roux qui n'appartient à personne.

C'est le coup de foudre réciproque.....

Le chat devient Bob et James redevient peu à peu un James visible et fréquentable.

Car Bob, une fois soigné par les bons soins de James , l'accompagne partout et rend James visible aux yeux des gens pressés par leur vie quotidienne. Les femmes en particulier s'arrêtent et prodiguent sourires, petits plats et écharpes contre le froid.

Mais c'est l'intelligence de Bob et l'amour fou qu'il a pour James qui va aider ce dernier à se sortir totalement de la drogue, James a la responsabilité de quelqu'un aux yeux de qui il veut être digne.

Il reprend confiance, s'interroge sur ce qui l'a amené à cette dérive et se rend compte qu'il a toujours été en colère, révolté .

Cependant il voit peu à peu qu'il n'a pas toujours essayé de comprendre sa mère , n'y accepter la main tendue.

Dans ce témoignage vous vivrez au rythme de cet amour fou, mais vous découvrirez le monde de la rue et tout cela sans pathos mais avec beaucoup d'intelligence.

Si je devais ajouter une morale :

Votre animal est aussi précieux que votre vie sinon plus.

Ce livre devrait être offert à chaque station service pour qu'il n'y ait plus d'abandon ni de maltraitance ou beaucoup moins....

Cette aventure est très belle et a fait le tour du monde en images sur le net avant d'être écrite.

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C'est un témoignage qu'on nous propose ici, pas de la littérature. Mais c'est criant de sincérité !

Ce gars que personne ne voit est transformé par l'arrivée dans sa vie d'un chat pour lequel il va se faire du souci.

Et en apprenant à s'occuper de Bob, il va aussi se mettre à s'occuper de lui-même. A réfléchir sur sa situation, comment il en est arrivé là et enfin il aura la motivation pour s'en sortir.

C'est aussi une autre façon de découvrir les londoniens. On déambule avec James et Bob dans le vrai Londres. On n'est plus des touristes.

Et si vous avez un chat, vous le reconnaîtrez dans les choix et les attitudes de Bob.

Voilà un super témoignage de vie. James Bowen raconte sa vie de marginal ex junkie dans les rues de Londres, sa rencontre avec Bob et leur vie commune. Ce chat, de part les nouvelles responsabilités qu'incombent la possession d'un animal de compagnie, lui a permis de "garder le cap", de sortir du cercle infernal de la drogue et de vivre mieux.

Ce témoignage est un petit puits de plaisir, un pur bonheur de lecture, on vibre avec ce duo improbable dans les dangers des rues de la grande capitale anglaise. Je dirais même que dans ce roman, il y a trois personnages principaux : James, Bob et Londres.

A lire absolument sans réserve.
Lien : http://mandragot.blog4ever.c..

Un très beau témoignage d'un jeune homme qui s'est sorti de la drogue et de la misère grâce à Bob, le chat qu'il a rencontré. J'ai beaucoup aimé cette histoire vraie pleine d'espoir. Comme quoi les animaux ce n'est pas si anodin que ça et une belle rencontre peut changer une (voire plusieurs) vie(s).