Jean-Côme Noguès

Cette histoire est intéressante. J’ai aimé le personnage de Molière et celui de Gabriel. C’est l’histoire de Gabriel, un orphelin de neuf ans qui vit sur le pont Neuf. Il est engagé par Bepino, un Vénitien venu à Paris. Gabriel est loin de se douter de l’aventure qu’il va vivre. Je n’ai pas aimé le personnage de Croque-Maille car il fait peur. J’ai appris la vie sur le pont Neuf à Paris. J’ai pris plaisir à lire cette histoire captivante. Ce livre m’a fait comprendre qu’avant les enfants étaient maltraités. Ce livre m’a fait rêver car l’histoire de Gabriel est fascinante. Ce qui m’a le plus marquée, c’est le moment où Gabriel tombe d’un arbre sur le dos de La Fontaine. Je conseille vivement de lire ce livre.



Sarah. A

J'aime cet auteur qui nous fait revisiter l'histoire de belle façon.

Petit roman sur le destin de Gabriel, enfant de la balle qui se donne en spectacle sur le Pont Neuf, sa rencontre avec Molière qui lui fait miroiter un fabuleux destin.

Cette histoire est tirée de faits réels

"Comme on peut le constater, Baron, enfant de la balle, formé par Molière lui-même, et qui fut sans doute l'acteur le plus doué de son temps, a largement inspiré le personnage de Gabriel, le héros de notre roman (son statut d'orphelin, sa vivacité, son goût précoce pour le théâtre, jusqu'à la gifle reçue d'Armande !)".

Ce roman au style simple permet de découvrir le Paris du XVIIe siècle à travers les aventures de Gabriel, enfant des rues. Il présente également de nombreuses personnalités de l'époque (Molière, Fouquet, Colbert, La Fontaine, Louis XIV,...) et peut donner envie aux jeunes lecteurs (12/13 ans) d'en savoir un peu plus.

On va suivre dans cette courte BD Gabriel, jeune homme sans le sou et qui rêve de devenir comédien. Il fait parfois de petites représentations dans la rue pour gagner son pain, et le petit chanceux va se faire repéré par Molière en personne qui va lui demander de rejoindre sa troupe ! Les dessins sont assez jolis, même si ce n'est pas un trait graphique que j'aime particulièrement, c'est pleins de couleurs et agréable à lire et à regarder. C'est assez court, et je pense que ça aurait sans doute mérité 2 tomes, mais pour les enfants cela peut-être une bonne manière de les intéresser au roman dont il est adapté et au théâtre classique ! J'ai passé un bon petit moment en lisant cette BD, et je la recommande d'autant plus pour les enfant pour son petit livret en fin de BD où il y a des petites biographies, des mots croisés, des questions sur les personnages du Roi soleil etc...elle a donc un côté didactique qui peut attiser la curiosités !

Dans cette bd, on a pour décor le règne de Louis XIV. On y découvre les débuts d'un certain Jean-Baptiste Poquelin, on assiste à la trahison de Fouquet envers le Roi on y croise un certain Jean de la Fontaine cherchant l'inspiration en déambulant dans les jardins de Vaux-le-vicomte.

C'est vraiment le genre de livre que j'aime parce qu'il permet de découvrir l'histoire sans en avoir l'air. Elle permet de transmettre aux jeunes ce qu'ils ont tant de mal a comprendre dans les cours d'histoire.

Les 5 dernières pages sont consacrées à des précisions sur l'auteur ainsi que sur principaux personnages que sont Molière, Fouquet et les autres. Et comme pour être certain que tout est bien compris, on a droit à un petit test et des petits jeux de compréhension dans le dernier volet.

Coté graphisme, les dessins sont assez doux et bien colorisés ce qui rend la lecture fluide et agréable.

Un petit roman jeunesse plein de fraîcheur, d'innocence et de profondeur.



A suivre Rémi, jeune adolescent bourgeois dans le sud-ouest de la France, on en vient par ses rêveries, ses pensées à se poser nous aussi ces questions qui ont taraudé de tout temps l'âme juvénile : qui suis-je ? Qu'est-ce que l'amour ? L'amitié ? La famille ? Que vais-je faire de ma vie ? Vais-je y réussir ? ou au contraire échouer ?



Toutes ces angoisses, ces espoirs, ces craintes et ces réflexions se font jour ici sur fond d'hiver rigoureux, de neige abondante et de loups en maraude.



Entre roman du terroir et roman initiatique, Monsieur NOGUES nous entraîne dans cette histoire "du temps où les loups rôdaient encore en Languedoc".

J'ai bien aimé ce roman qui aborde plusieurs thématiques.

Adélaïde a déménagé avec sa famille pour suivre son père qui change de poste. Elle manque de confiance en elle et est persuadée de sa laideur, ce qui fait d'elle une cible de choix pour les garçons moqueurs qui l'ont rebaptisée "Adélahideuse" détournant son prénom qui la complexe beaucoup.

Un mercredi, en se promenant, la fillette découvre un petit garçon dans le parc d'un château, un petit garçon aveugle, et elle décide de devenir son amie en s'inventant un personnage. Elle sera la belle Manon....

Dans ce roman jeunesse, nous suivons trois enfants : Christian (Pistou), Nicolas et Cécile. Ces trois-là ont des passions qui prennent trop de place dans la maison selon leurs parents : les animaux, les timbres et les plantes. Alors, ils vont trouver la solution en investissant une maison abandonnée.

Un roman jeunesse sympathique mais d'une autre époque où les enfants avaient une vie et des préoccupations bien différentes de celle qu'ils mènent aujourd'hui.

Martin, fils de serf, travaille : il ramasse du bois pour le seigneur Guilhem. Alors quand ce dernier fait construire un moulin à vent, il se doute bien qu'il ne sera pas le futur menier. Et pourtant, il deviendra très vite son second et cela changera à jamais sa vie.



Je dois dire que lorsque j'ai reçu ce roman jeunesse dans ma BAL, j'ai été un peu surprise étant donné qu'il s'agit du dernier tome du Faucon Déniché et que je n'ai pas lu les deux précédents... Après réflexion, je me suis décidée à le lire et même si l'auteur fait parfois référence à des personnages ou des évènements liés aux tomes précédents, j'ai réussi à comprendre l'histoire et à connaitre le personnage de Martin.



Grâce aux superbes illustrations de Jérémie Fleury, présentes à chaque début de chapitres, il est très facile de se représenter les décors (la forêt, la cour du seigneur, le moulin,...) ainsi que les personnages. Même si elles sont crayonnés et en noir et blanc, elles n'en restent pas moins magnifiques !



En ce qui concerne l'histoire, on rentre assez facilement dans l'univers de Martin. Un jeune homme au passé mouvementé qui s'engage dans l'avenir grâce à une très belle opportunité qui lui ait faite ! J'ai trouvé l'écriture parfois un peu difficile, surtout pour un public jeune à partir de 11 ans. Mais peut-être est-ce aussi dû au fait que je ne lis pas assez de romans jeunesses classés en aventure. Et oui, parce qu'il s'agit bien d'un roman situé au Moyen-Âge et rempli d'aventures. En tout cas, j'ai cru comprendre que les deux précédents tomes semblaient assez mouvementés.


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Sur un coup de tête – et surtout pour ne pas se laisser surpasser par le seigneur voisin – le seigneur Guilhem ordonne la construction d’un moulin à vent. Martin regarde ce projet se concrétiser avec envie sans pour autant y espérer une place, n’étant qu’un serf. Mais contre toutes attentes, il y est assigné comme apprenti. Une nouvelle vie s’ouvre à lui, s’il saisit l’opportunité qui lui est offerte…



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Le livre «Le chemin des collines» est une aventure que j'ai bien aimée. En plus, on voit des mots qu'on a appris en histoire.Je vous conseille de le lire.

Jean-Côme Noguès nous charme avec cet ultime épisode.



Un vent nouveau souffle sur le village de Soupex : le seigneur Guilhem a décidé de faire construire un moulin. Qui en sera le meunier ? Et si le chemin des collines menait à quelque chose que Martin n’avait pas cru possible ? …



De sa plume toujours alerte, l’auteur achève ici la narration des aventures de Martin qui sensibilisent le lecteur à la rude condition des serfs au Moyen-Âge. Riche en rebondissements, le récit s’ancre dans un contexte bien décrit de lutte quotidienne pour améliorer ses conditions de vie.



Courage, audace, mais aussi persévérance sont mis à l’honneur et couronnés de succès dans un dénouement résolument optimiste.



Des chapitres courts, un style fluide, une pointe d’humour et de dérision, une intrigue bien menée, du suspense… tous les ingrédients sont là pour satisfaire les jeunes lecteurs, même les moins chevronnés !



Les illustrations en noir et blanc, des crayonnés étonnamment saisissants, aident à appréhender l’histoire.

Martin est un des fils du bûcheron Brichot : les ventres crient souvent famine dans l’humble demeure et il faut travailler durement pour gagner son pain. Cela n’empêche pas le jeune gardien d’oies d’avoir un rêve, « cette grande envie qu’il avait, lui, pauvre petit paysan, de posséder un oiseau qui lui appartiendrait, un oiseau magnifique qui ne tuerait que pour vivre et qui ne se poserait sur le poing que pour obéir à l’amitié. » (p. 15) Le jour où il déniche un jeune faucon, il décide de le garder en secret et de l’élever libre pour qu’il partage ses jeux. Hélas, le fauconnier du château ne le voit pas de cet œil : le faucon hobereau en question est un superbe animal qu’il destine au seigneur Guilhem. Il va en faire une machine à tuer sur commande. Séparé de son cher oiseau et jeté dans une geôle, Martin est malheureux et révolté par tant d’injustice. Quel besoin le seigneur a-t-il d’un autre faucon ? Est-il juste que les nobles du château tuent pour se distraire des dizaines de lièvres et de perdrix alors que les serfs, au village, ont faim et subissent la menace des envahisseurs ? L’audace et le courage de Martin n’auront alors d’égales que sa tristesse et son amitié perdue.



J’ai lu ce roman en CM1 avec une enseignante qui était très exigeante, passionnée par son métier et dotée d’une forte volonté de transmettre. Cette « maîtresse » n’est pas pour rien dans ma passion des livres : elle m’a poussée vers une version jeunesse de La chanson de Roland et a souvent encouragé mon envie d’écrire. Je n’ai jamais oublié ce roman de Jean-Côme Noguès et je savais que je voulais le relire. Le voilà qui tombe dans mes mains et je reviens des années en arrière, dans une classe d’école primaire où j’avais tout à apprendre. Le plaisir et l’émotion de la lecture sont intacts et j’ai savouré ce très bon texte pour enfants. Avec son vocabulaire riche et sa grammaire complexe mais accessible, Le faucon déniché prend les jeunes lecteurs pour ce qu’ils sont : des esprits curieux et intelligents qui peuvent comprendre un texte même si des mots ou des tournures de phrases leur échappent. Non à l’abêtissement ! Et une chaude recommandation pour ce roman qui parle d’amitié animale, de courage et d’injustice.

Lu en primaire... Il me faudrait le relire pour rédiger une critique un tant soit peu en lien avec ma lecture.

Martin est un jeune serf, fils de Brichot le bûcheron. Toute la journée, il garde les oies ; son rêve est de posséder un faucon pour s'en faire un compagnon et ami. Cependant au Moyen-Age, les faucons sont des oiseaux réservés aux seigneurs et il est interdit à quiconque d'autre d'en posséder un.

Un jour, l'enfant déniche un jeune faucon, le cadre et avec patience et tendresse l'apprivoise peu à peu. Martin est surpris par le fauconnier du château qui, le soupçonnant de braconnage, arrache à l'oiseau trois plumes pour qu'il ne puisse plus voler. Il est jeté en prison aussitôt, sans pitié pour son jeune âge, on lui confisque aussitôt le faucon. La cellule dans laquelle il se retrouve enfermé, froide, sale, humide et infesté de rats.

De sa geôle, Martin peut chaque matin voir le fauconnier dresser son faucon à la chasse afin d'en faire un oiseau de proie féroce, le plus avide et le plus cruel de la fauconnerie...

Un jour, le château de Soupex est attaqué sans que les gardes ne réagissent ; Martin ...

Je pense que ce livre cette lecture a été très agréable. L'histoire est bien menée. Il n'y a aucun temps mort, il faut dire que le roman est court.



Anaëlle.S

Ce livre est une bonne approche du Moyen-Age pour les élèves de 5ème.Non seulement il présente clairement le monde féodal à travers le regard d'un jeune serf, Martin, mais il y associe une belle histoire d'amitié entre le garçon et un faucon, déniché parce que cela est interdit à d'autres que le seigneur d'en dresser un.Justement, Martin ne veut pas qu'il tue pour le plaisir. Sa transgression découverte par le fauconnier, qui joue dans l'histoire le rôle du " méchant" va le conduire en prison mais l'amènera aussi à sauver le château du seigneur, grâce à son courage et sa réactivité. La fin est assez cruelle et cependant réaliste. Un roman court et intéressant, mêlant sentiments, action et découverte de l'univers médiéval.

Lectrice adulte de ce roman jeunesse, mon avis s'en ressent peut-être.

Autant il donne des informations sur la vie pas facile de cette époque, autant je trouve que le thème principal de l'histoire, le jeune et le faucon, est finalement peu présent.

Livre qui reste intéressant pour un jeune adolescent je pense.

[...] J'ai beaucoup aimé ce titre ! Très court, il se lit en deux heures à tout casser. Le jeune héros, Martin, est attachant : il est courageux mais têtu et passioné, ce qui peut lui valoir des ennuis. Ce qui est surprenant dans ce récit, c'est qu'il est construit pour apprendre des choses sur le Moyen-Age aux jeunes lecteurs, mais que c'est si bien fait qu'on n'est pas gêné comme parfois dans ce genre de livres. On comprend parfaitement les relations entre les paysans, les serfs et le Seigneur et ses alliés comme le fauconnier. Il y a également une bataille qui permet de voir comment on défendait et attaquait un château-fort. Bien sûr, tout cela est teinté de bons sentiments car le Seigneur est bon (contrairement au fauconnier) et finalement Martin est assez libre.

La fin est tout simplement tragique, je ne m'y attendais pas c'est même presque gore par rapport au reste du roman. J'espère que ça ne choque pas trop le jeune lecteur ?! Mais ça permet de bien montrer les conditions de vie des paysans à cette époque.



Une lecture sympathique ! [...]
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Au temps du Moyen-Age, un jeune garçon s'est pris de passion pour la fauconnerie, sauf qu'il n'a pas le droit, ni l'autorisation de garder sous son aile, un jeune faucon.