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Citations de Jean Dardi (116)


Très bon thriller. J'ai été conquise par cette histoire dès les premières pages qui nous tiennent en haleine jusqu'au dénouement final. Addictive, efficace, sans temps mort, se lit d'une traite. Je suis prête à embarquer dans un long périple jusqu'à la folie en compagnie du commissaire Dell'Orso. Une belle découverte de ce nouvel auteur. Je le recommande !!
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J’ai peur…J’entends mon cœur cogner fort derrière mes côtes…Qu’est-ce que je vais devoir faire cette fois-ci ? Qu’est-ce qu’on va me faire, cette fois-ci ? Je m’appelle Diane Designe, j’ai onze ans…Je suis ici depuis sept-cent-soixante-six jours…
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– Dans une semaine je la mettrai au taff, je manque de viande fraîche en ce moment. Et je te promets qu’elle sera docile comme un agneau ! Au fait, faudra voir à m’emmener un garçon, un de ces jours.

– C’est pas à moi qu’il faut le dire !

Dialogue surréaliste. Deux grossistes de l’horreur parlant de consommables.
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Voici le tome 5 des enquêtes du commissaire Giovanni Dell'Orso.

Un commissaire bourru mais terriblement attachant. A peine revenu à Paris au terme d'une enquête traumatisante, le voici de nouveau avec un tueur complètement dingue. Il semble vouloir s'acharner sur ses victimes, uniquement des femmes. Il les fracasse avec un marteau à tel point que les victimes ne sont plus identifiables. Quels sont les motivations de ce tueur qui sont emblématique poser d'énormes problèmes au fameux 36 quai des Orfèvres ?

Une enquête qui enchaîne les chapitres à vitesse grand V. Jean Dardi n'a pas perdu de l'efficacité de sa plume.

Cette saga Dell'Orso ne perd en rien de la qualité de l'humour de l'action et du suspens un tantinet british qui font que ces 5 romans sont terriblement addictifs.

Ce que j'aime dans les romans de Jean Dardi c'est que malgré la violence des meurtres, nous sommes loin des effets gores gratuits que l'on trouve un peu trop régulièrement et inutile mental dans certains thriller. J'AI TUÉ MAMAN comporte son lot de violence mais pas de violence gratuite, pas de malsainité.

J'ai dévoré ce livre qui n'est pas mon préféré mais qui reste un formidable thriller. Il n'est pas mon préféré mais ce n'est en aucun cas du à la moindrecherche qualité du livre mais du plutôt à la grande qualité du tome 2. J'ai nommé PARDON.

Par contre, l'auteur nous concocteun final totalement stressant et inattendu.

A noter que les romans sont à lire dans l'ordre que je vais vous citer en fin de chronique.

Les enquêtes n'ont aucun lien entrès elles mais il y a l'évolution et la vie des personnages.

Voici l'ordre de lecture:

1 LES SEPT STIGMATES

2 PARDON

3 CLIVAGE

4 L'OGRE

5 J'AI TUÉ MAMAN

Voilà.

Sur ce je ne peux que vous conseiller de vous ruer dans vos librairies et de tous les commander.

Bonne lecture et à la prochaine
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Comme je vous le demandais avant de commencer mon récit, où se situe donc la frontière entre fiction et réalité ? Entre racontars et authentique ? Faut-il croire à ces « Légendes d’en haut » ? Ou sont-elles simplement le fruit de longues années de superstition et de craintes montagnardes ?...Nul doute qu’en Ubaye, la légende de la Maritorne alimentera encore abondamment nombre de discussions de veillées et que dans les siècles des siècles, moult petits Valeians frémiront de peur aux récits de leurs aïeux…
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Depuis dix ans, il vivait avec ce remord, ce poids trop lourd à porter. Mais jamais, au grand jamais il n’aurait pensé qu’après tant de temps, sa progéniture dut en payer le prix. Il n’était pas mauvais bougre, Franco. Sous des dehors de grizzli, c’était même un brave type. Il compensait le cruel déficit d’éducation par rapport à ses filles en faisant montre d’un abus d’autorité, mais il considérait que cela ne pouvait pas leur nuire.
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Une femme ne disparaît pas sans laisser de traces dans le monde d’aujourd’hui où tout est informatisé, fiché, classifié, codifié… Sans doute rien à voir avec les rapts d’enfants, mais on ne doit rien négliger. La chance va bien finir par nous aider un peu, la garce !
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Le tract anonyme, simple et peu coûteux, est devenu une pratique courante, une manière de régler ses comptes avec tel ou tel avec qui on a un vieux contentieux. La plupart de ces plaintes ne dépassent pas le stade de la main courante. D’autres, plus sérieuses, donnent lieu à des déplacements répétés des forces de l’ordre. Altercations entre voisins, tabassages de quelques pauvres bougres pour délit de faciès, tags injurieux, dégradations de biens, publics ou privés.
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Quand vous appelez les gens par leur prénom, même si vous venez de le découvrir sur le bristol posé devant eux, il se crée un lien affectif instantané. Qu’un commissaire de police, beau comme un dieu de surcroît, vous reconnaisse et vous appelle par votre petit nom, c’est… ! Comment dire, c’est… !
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Certaines personnes ont la rancune tenace ! Ce qui est certain en tout cas, c’est que le jour où je découvrirai leur secret, je serai à deux doigts de débrouiller l’affaire.
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Dell’Orso, paradoxalement, savourait les ires de son chef. Elles faisaient partie intégrante du plaisir qu’il avait à pratiquer son métier, de sa fierté d’appartenir à la vénérable institution. Pour lui, se faire enguirlander par une pointure comme Leroy, c’était presque un privilège. – Je ne vois pas de quoi vous parlez, patron ! Parole ! – Bon, allez, arrête tes conneries ! Accouche ! Tu avances ? Tu me boucles cette affaire quand ? L’« Ogre de l’Ubaye », nom de Dieu ! Ce qu’y faut pas entendre ! Tu te souviens que je t’avais donné un mois ? – Comment l’oublier ? Cela dit, ça ne fait qu’une semaine qu’on est sur le coup.
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Dans ces moments-là, chacun avait une course urgente à faire. Tout, plutôt que de subir les foudres du commissaire divisionnaire. Il faut dire que son physique d’haltérophile, sa coupe en brosse, son regard perçant et sa voix de stentor, inspiraient la crainte.
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...Nous savons tous combien le doute et l’incertitude sont insupportables. Aussi, vous tous, mesdames et messieurs, et plus particulièrement les parents de ces chers enfants disparus, pouvez être sûrs que nous n’aurons de cesse que d’arrêter le monstre froid qui terrorise l’Ubaye.
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– Il a fallu fouiller très loin. Et ruser pour qu’ils se confient un peu sur leur passé. Mais tu connais ma stratégie, quand les gens ne veulent pas parler, je contourne. Je zigzague, je louvoie, je fais des allers et retours… Et ça a payé. Déjà, il ne fait plus aucun doute qu’ils se connaissent. Qu’ils se connaissent même très bien.  Et qu’à une époque, ils se fréquentaient régulièrement. Je n’ai toujours pas découvert le secret qui les lie, mais je ne doute plus désormais qu’il y en ait un.
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Comme toujours, les flics le savent, c’est dans cette pièce que l’on trouve tout le nécessaire pour résumer la vie d’un ado. Ses fréquentations, ses usages, ses secrets, ses goûts, vestimentaires, littéraires, cinématographiques, son ordinateur – une mine de renseignements –, son journal, le cas échéant, encore qu’avec les nouveaux moyens de communication, le succès de ce dernier soit en perte de vitesse…
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Paradoxalement, les reporters arrogants, si prompts d’ordinaire à élever la voix, se taisaient à l’unisson. Tous étaient convaincus que dans la bouche du balèze, ce n’étaient pas des paroles en l’air. De par leur métier, ils avaient côtoyé des escrocs, des politiciens véreux, souvent les mêmes, des gangsters, des psychopathes – de vrais méchants –, mais le danger latent représenté par l’énorme flic en rogne, les paralysait. Les plus téméraires préférèrent disparaître en douce, prétextant une urgence.
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Trouet aimait concentrer l’attention de son auditoire. Il continuait donc de plus belle sa diatribe. Lorsqu’il sentit une main aussi large qu’une raquette de tennis, pourvue de la force d’une machine à broyer, se saisir par l’arrière de son crâne chauve et lui imprimer un lent mouvement de rotation – il aurait pu lui faire accomplir un tour complet sans le moindre effort –, il se demanda qui pouvait bien avoir le culot de…
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Il rêvait comme tous les garçons de son âge du jour où il pourrait satisfaire ses pulsions inassouvies dans le corps d’une femme au lieu de se contenter de sa main gauche et des beautés inaccessibles peuplant son écran d’ordinateur…
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La nature est mal faite, qui dès la puberté, dote prématurément les fillettes d’un corps de femme, avec tous ses attributs, mais d’une libido en veille et a contrario, les garçons d’un corps de gamin à la pilosité à peine naissante mais à la libido trop tôt exacerbée. Qui se mesure souvent au degré d’envahissement de leur visage par l’acné.
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D’une intelligence au-dessus de la moyenne, ils savent qu’ils sont en position de force. Leur vertu cardinale étant la patience, il ne fait aucun doute que pour eux, ce n’est que partie remise…Marion, qui, à force d’entêtement, s’est érigée en meneuse, donne des consignes pour l’avenir. Il est convenu que chacun à son tour, ils vont devoir s’efforcer de rester éveillés, malgré leur extrême faiblesse, pour donner l’alerte en cas de nouvelle attaque…
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