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Critiques de Jean Failler (374)
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 25 : La var..

Quand on est attaqué il faut rebondir et c'est ce que fait Jean Failler en nous offrant un très bon Mary Lester, Mary qui prend ici les commandes de la narration.

Elle est en pleine forme et s autorise même un langage à la Fortin pour notre plus grand plaisir.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 5 : Le mano..

Quel beau cadre que le château de Trévarez pour une nouvelle enquête de Mary Lester!

Les croyances anciennes se mêlent à la tragique histoire de ce domaine qui tente de retrouver son aura passée grâce aux expositions.

Oui mais voilà....les rancoeurs enfouies vont ressurgir et Mary devra une fois encore comprendre les desseins cachés et se faire entendre envers et contre tous.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 17 : La régat..

Dans "aller simple pour l' enfer" Mary Lester nous faisait trembler dans son enquête sur un 55m dans le grand Nord.

La mer est une nouvelle fois au centre de ses attentions mais cette fois ci le jeune lieutenant de police a décidé de prendre 3 jours de congé pour participer à une régate côtière à la Trinité.

Mais où passe Mary les cadavres s' entassent! Et la voilà de nouveau embarquée dans trois affaires de meurtres. Cependant, elle n' en ressortira pas indemne confrontée aux rouages écrasant de la politique où il ne fait pas bon d' être trop honnête et avide de vérité.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 40 - 41 : L..

Mary Lester enquête à Paimpol et à Jersey sur plusieurs meurtres incompréhensibles.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/08/04/note-de-lecture-la-croix-des-veuves-mary-lester-40-41-jean-failler/

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Les enquêtes de Mary Lester, tome 39 : Le vis..

La pointe d’Arradon en automne, et une affaire de voyeur peut-être pas aussi simple qu’en apparence.



Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/08/02/note-de-lecture-le-visiteur-du-vendredi-mary-lester-39-jean-failler/

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Les enquêtes de Mary Lester, tome 3 : La mort..

J'avais déjà lu ce roman il y a plusieurs années et je l'avais beaucoup apprécié, du coup, quand j'ai du trouver un livre « mort » pour le challenge Un mot, des titres de Calypso, j'ai tout de suite pensé à celui-ci.







Bon, honnêtement, l'intrigue n'est pas ma préférée de tous les Marie Lester que j'ai eu l'occasion de lire. Personnellement, les histoires de chasse, ça ne me parle pas plus que ça !

Cependant, il est vrai que l'intrigue est très habilement menée et qu'elle ne manque pas de sel. Par contre, je ne sais pas si c'est du à la relecture ou non, mais je trouve que l'identité du coupable est assez facile à deviner...

Marie, le personnage central, me plaît beaucoup : j'aime beaucoup sa fraîcheur, son ironie ainsi que son amour pour Mozart. Je trouve qu'elle a un côté décalé et surréaliste très agréable, un peu comme si elle était trop belle pour réellement exister !







Je trouve l'écriture de Jean Failler des plus agréables : j'aime beaucoup la façon dont il parle de la Bretagne. On sent qu'il apprécie vraiment sa région et donne vraiment l'impression au lecteur de se balader sur la côte. Quand il parle des endroits que je connais, j'ai toujours l'impression d'être de nouveau là-bas ;)

La mort au bord de l'étang est une lecture agréable.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 28 : Boubou..

J'ai largement préféré Bouboule est mort à La mort au bord de l'étang. L'intrigue me parle davantage avec son café mal famé et les voyous de la région nantaise, bien plus que ces scènes de chasse qui ne m'intéressent pas plus que ça.

J'aime beaucoup cette histoire car elle est vraiment très approfondis et les personnages sont assez multiples. Je trouve très agréable que des pistes sont lancées à certains moments de l'histoire et que l'on a une conclusion pour chacune d'elles et même pour quasiment tous les personnages. Je trouve ça assez original d'autant plus que ce n'est pas vraiment courant dans ce genre de livre.







Bon, par contre, je dois reconnaître que la majorité des personnages ne m'est pas vraiment sympathique. Sauf Mary et son partenaire, Fortin, dont j'apprécie beaucoup l'humour.

La vieille dame – la maman de Bouboule – et la jeune Bamako m'ont également beaucoup touchée : j'aime vraiment beaucoup la touche d'humanité qu'apporte leur histoire à l'intrigue et notamment à sa conclusion.







Encore une fois, j'ai trouvé l'écriture de Jean Failler – OUPS ! Mary Lester ;) - très agréable. J'aime beaucoup cette façon de décrire le décor de façon que l'on a l'impression d'y être véritablement. D'autant plus que je n'ai encore jamais mis les pieds à Saint-Brieuc ;)

Bouboule est mort est un roman policier des plus agréables.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 24 : Les fa..

C'est sans doute parce que le précédent roman était particulièrement étoffé et se déroulait dans le milieu de la pèche que celui-ci est bref et se déroule dans le milieu des gens de lettres. Jean Failler, comme dans Le manoir écarlate, n'est pas particulièrement tendre avec eux. L'exemple le plus frappant est sans doute ce Lammé-Bourret qui donne son nom au roman et autorise un jeu de mots avec le titre d'un roman célèbre d'Emile Zola. Je qualifierai presque ce personnage de caricature s'il ne ressemblait à certains écrivains contemporains imbus de leurs personnes et particulièrement illisibles. Morceaux choisis :

"On se plaint de la désaffection pour la lecture, mais si on n'avait plus que du Lammé-Bouret à lire, moi aussi je passerais plus de temps devant le petit écran ! "

Le cher homme est pourtant membre de l'académie française, que dis-je, il est nobélisable, et avoir un français prix Nobel de littérature ferait un bien fou à la culture française (ne nous plaignions pas. De mémoire, nous avons Gide, Mauriac, Anatole France, Sully Prudhomme, Frédéric Mistral, Sartre (qui l'a refusé), Camus, Le Clézio, Romain Rolland (et j'en oublie), nous n'avons pas à nous plaindre. Cette nobélisation est pourtant au coeur de l'intrigue puisque le dernier manuscrit de ce prestigieux écrivain a disparu. Mobile du crime ? Sans doute.

Comme de coutume, Mary Lester a du mal à enquêter. D'abord, parce qu'il ne semble y avoir strictement rien à dire sur la victime, qui menait une vie paisible, réglée comme du papier d'imprimerie. Ensuite parce que les voisins n'ont rien vu - qui pouvait imaginer qu'un crime allait se produire ? Enfin, il est certaines personnes qu'il ne faut pas déranger. Les notables. Ce n'est pas nouveau. Les nobélisables. Ce n'est pas leur faute si un ouvrier octogénaire était meilleur correcteur que les meilleurs logiciels. Ne pas déranger, donc, mon petit. Cette dernière formule a le don d'exaspérer Mary Lester, sauf si elle est prononcée par Fortin, l'homme aux cinq cents mots de vocabulaire). Elle agit comme une allumette sur une mèche et produit les mêmes conséquences. C'est le commissaire Fabien qui va être content.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 35 : Casa d..

Mary Lester doit mener une enquête sur l’Île de Noirmoutier sur une tentative d'empoisonnement.

Comme à son habitude, elle doit passer incognito, et rencontrer Mme Helder à "la Moineaudière", la belle-mère du sénateur Bélier, ami personnel du ministre de l'Intérieur. C'est dire si elle doit marcher sur des oeufs.

Car la servante de Mme Helder, Denise le Roy, a failli être empoisonnée.

Mais elle rencontre en premier Marie-Ange Marescot qui est la vraie propriétaire de la villa "la Moineaudière". Elle habite près de la propriété dans la "Casa Del Sol" construite par un ami Vénézuelien après la mort de son Mari, Jules qui était le frère de Mme Helder et héritier de cette propriété.

Bien entendu le niveau social de ces deux personnes n'est pas le même, et Mme Helder de famille aisée conteste l'héritage de Marie-Ange, et c'est de ce postulat que toute l'histoire en découle.



Avec son style, ses précisions, son univers, Jean Failler nous montre une rivalité entre des personnages que l'on pourrait rencontrer près de chez soi. Son héroïne, Mary Lester est une célébrité dans le monde policier et on est derrière elle quand elle "houspille" les gendarmes avec qui elle est très souvent amenée à collaborer.

Dans cette enquête, pas de coup de feu, pas de coup tout cours, mais de la déduction et de la logique serviront à la mener à bien.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 3 : La mort..

Une bonne surprise!



Le genre de roman policier que j'aime bien : propre et net. Jean Failler n'essaie pas de faire du pseudo américain à sensation avec du sang, du sexe, des complots internationaux. Non, ici, ça sent le terroir, le cousu-mai, le "made in France".



une lecture bien agréable et je vais voir s'il y a en a d'autres disponibles...
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 53 : Le vau..

Allons faire un petit tour en Bretagne pour une enquête de Mary Lester. C'est léger, il y a beaucoup de dialogues, on retrouve les personnages habituels. Par contre, il aurait peut être été possible de faire un seul tome, car le premier tome s'interrompt brutalement.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 2 : Les dia..

Clairement, il était évident qu'en me lançant le défi de lire un tome de Mary Lester par semaine, j'allais rapidement me laisser déborder... Bon, par contre, je n'avais pas pensé que je prendrais du retard dès le deuxième tome !

J'avais déjà lu Les diamants de l'Archiduc il y a très longtemps, une dizaine d'année au moins si ce n'est pas plus... Du coup, je ne gardais aucun souvenir de l'intrigue en tête, même s'il me semble que je l'avais plutôt bien aimé. Etonnamment, le personnage de l'Archiduc m'a évoqué quelque chose mais rien de bien concret : j'ai donc relu ce roman comme si c'était la première fois.



J'ai été positivement étonnée avec cette histoire de ne pas retrouver l'ambiance misogyne du premier tome. Si ce n'est le côté malaisant en moins, j'ai trouvé que cela donnait tout de suite plus de modernité au texte. Bien que le vocabulaire soit toujours aussi recherché, ce second tome a mieux vieilli que le premier et l'on oublierait presque que cette enquête se déroule dans les années 90 tant les repères présents sont toujours d'actualité.

J'ai également bien aimé le fait que cette investigation policière n'en soit pas vraiment une. C'est presque davantage un conte à la Shéhérazade que l'on nous raconte un petit peu tous les soirs que réellement un bouquin policier. J'attendais donc avec impatience les rencontres avec l'Archiduc pour en connaître la suite même si Mary cherchait aussi de son côté à en apprendre plus. Ce format est assez déstabilisant mais c'est ce qui en fait son originalité et cela reste plutôt agréable. Cela joue aussi beaucoup sur la sympathie ressentie pour les différents personnages : les rencontrer à travers des personnes qui les apprécient plutôt que de les voir à travers les soupçons des policiers les rendent touchants, notamment Hubert.

La fin est originale mais elle m'a un peu déçue. J'aime bien le fait qu'elle ne soit pas conventionnelle et qu'elle sonne comme le début d'une nouvelle aventure mais j'ai cependant trouvé qu'elle donnait un peu le mauvais rôle à Mary et à ses collègues. Si on découvre cette histoire avec la jeune femme, elle n'y joue aucun rôle et j'ai trouvé ça assez frustrant. Même si Jean FAILLER nous fait un final assez spectaculaire, ce n'est pas franchement le genre de conclusion que j'attendais pour une enquête policière. Elle m'a donc laissée sur ma faim, même si j'en ai apprécié l'originalité.



J'ai bien aimé la nouvelle facette de la personnalité de Mary que l'on découvre dans Les diamants de l'Archiduc. Si l'on connaissait déjà sa curiosité et sa combativité, j'ai aimé la bienveillance dont elle fait preuve avec Fernand. De même, j'ai trouvé intéressant de la découvrir plus jeune grâce aux souvenirs de moments passés à Quimper avec ses grands-parents.

J'ai presque été déçue de retrouver Fortin aussi vite alors que j'étais frustrée de ne pas le croiser dans le premier tome ! En fait, je m'imaginais faire d'autres commissariats et rencontrer d'autres collègues avant de le revoir... Après, vu que je l'apprécie, j'étais tout de même contente de le redécouvrir : c'est assez drôle parce que je ne l'imaginais pas vraiment comme ça. J'ai l'impression de le voir jeune homme alors que, finalement, je ne suis pas sûre que Mary ait tant vieilli que ça entre ce tome et les derniers que j'ai eu l'occasion de lire.

J'ai bien aimé le personnage de l'Archiduc. Son originalité assumée et sa décontraction me plaisent beaucoup. Il est assez perturbant entre ses bonnes manières et sa vie anarchique qui font que l'on ne sait pas très bien sur quel pied danser avec lui.

Fernand m'a beaucoup touchée : malgré son âge avancé, il y a une fragilité chez lui qui nous donne envie de le protéger. D'une certaine manière, il m'a fait penser à Laurent de L'amour est dans le pré par sa sensibilité. Cela dit, j'ai été un peu gênée par moment par le vocabulaire utilisé pour décrire Germaine, la sœur de celui-ci, qui pourrait être grossophobe par moment (c'est là que l'on voit à quel point la société a évolué en trente ans - même si on a l'impression que c'est toujours lent...) : bien qu'elle ne soit pas particulièrement sympathique, j'ai trouvé dommage de l'appeler uniquement par ce trait physique.



J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture de Jean FAILLER. J'ai particulièrement apprécié l'ambiance à des années lumières du tome précédent qui nous fait voir une nouvelle facette de son talent. Si le vocabulaire un peu ancien donnera de l'urticaire à certains, j'ai apprécié découvrir de nouveaux mots et expressions peu habituels. Cela est loin d'être rebutant tant la lecture reste agréable grâce à la narration simple et efficace.

Une relecture plaisante.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 18 : Le tes..

Chère Mary Lester, que pourrait-elle faire sinon enquêter, malgré sa très fraîche démission? La naïveté et la confiance en elle d'Henri Coppeau - " comme un copeau mais avec deux p" -, l'idée ensuite qu'une innocente reste en prison, et sans doute plus fort que tout le désir de mettre un coupable hors de nuire, tout l'amène à enquêter sur la mort de Louise Duchien.

Sa demeure bien protégée par le chat Mizdu, elle peut partir à Huelgoat.

Les rôles habituels sont distribués, les bons, les méchants, le gendarme buté, le gendarme coopératif, l'hôtesse aimable de la crêperie, les renseignements finissent pas tomber, toujours, même sans le soutien de la "carte officielle" :)

Une petite description en plus, vous ne connaissez pas Huelgoat? Courez-y vite! ^-^

Et si vous n'avez encore jamais lu d'enquête de Mary Lester, pas de souci, le chemin est balisé, l'auteur Jean Failler ne vous laissera pas vous perdre :)))
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 62 : Le châte..

(Attention risque de divulgation). Tréguier, petite localité tranquille des Côtes d'Armor vit sous tension depuis qu'un de ses habitants, même pas un gars du coin, a fait déplacer une statue de mère Térésa qui empiétait sur un espace public. Le sieur Flairius, laïc extrémiste et procédurier ne s’arrête pas là et cherche noise à la mairie. Le commandant Mary Lester est venue pour tenter de régler la situation, mais Flairius est intraitable et infatigable dans sa lutte contre toute once de religion. Rentrée à Quimper, Mary est rappelée lorsque Flairius disparaît. Pas sûr qu'il manquera à quelqu'un, mais un homme qui ne donne plus signe de vie depuis quelques jours mérite une enquête.



Tome 2 aussi léger et plaisant que le précédent, le Tome 1 donc, même si cette fois, on entre dans une enquête plus traditionnelle sur une disparition. Mary Lester est toujours aussi cinglante dans ses réparties. L'ironie et le sarcasme font partie de sa panoplie d'enquêtrice, et si cela ne plaît pas toujours à ses interlocuteurs, eh bien, tant pis pour eux. Parce que Mary est aussi une flicque redoutable, surtout lorsqu'elle est secondée par son adjoint, le capitaine JP Fortin -un colosse adepte de techniques de combat, de défense... qu'il enseigne à des collègues- comme dans le tome 1 ou par la lieutenante Gertrude Le Quintrec -la meilleure élève du sus-nommé.



Et c'est toujours une joie que de retrouver la belle langue de Jean Failler, émaillée d’imparfaits du subjonctifs, de bons mots, de belles tournures, preuve qu'un polar peut se la jouer littéraire : "N'ayant vu personne de suspect, il ferma soigneusement la porte et revint prendre place dans son trop grand fauteuil qui aurait accueilli deux flics comme lui sans qu'ils se gênassent. D'un geste de la main, il montra la chaise disposée devant son bureau. Mary s'y posa et attendit. [...] Sans s'offusquer du ton comminatoire, Mary saisit le feuillet, le déplia et prit le temps de le lire posément. " (p.39)



Et l'intrigue, me demanderez-vous. Et bien, elle réserve quelques surprises, des fausses pistes, des rebondissements, bref de quoi tenir le lecteur qui aurait pu se satisfaire de la bonne ambiance, du ton et de la belle écriture de Jean Failler, mais à qui elle fait bénéficier d'un supplément d'intérêt évident.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 58 : En sec..

Fidèle à lui-même, Jean Failler nous fait découvrir un nouveau coin de la Bretagne au côté de son incontournable Mary Lester accompagnée dans cette aventure par son amie Amandine.



Avec En secret à Belle-Île, cette enquêtrice à l'intelligence aussi fine que celle des plus grands enquêteurs et à l'humour caustique essaie de résoudre la mort accidentelle (rien n'est moins sûr !) d'une directrice d'hôtel.



L'ouvrage débute avec l'épilogue de la précédente enquête qui a particulièrement affectée notre héroïne. Obligée de s'éloigner de la ville pour se faire oublier de sa hiérarchie, Mary Lester s'embarque pour un séjour sur Belle-Île où ce qui devait être une petite enquête de routine l'attend.

C'est un plaisir de retrouver le style de Jean Failler et de son ineffable héroïne que je suis depuis déjà plusieurs années.



J'ai déjà hâte de m'attaquer aux prochaines aventures !
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 39 : Le vis..

Ce tome apparaît, à mes yeux du moins, comme un tome de transition après Villa des quatre vents et avant La croix des veuves. Le commissaire Fabien s'inquiète un peu pour Mary Lester, après ce qu'elle a vécu. Il lui conseillerait bien de changer d'air mais... c'est délicat. Justement, en parlant d'affaire délicate, le commissaire de Vannes en a une, il lui faudrait une enquêtrice. Et si le commissaire Fabien détachait le capitaine Lester ? Aussitôt dit, presque aussitôt fait, parce que l'intrigue est tout de même un peu longue à démarrer.

D'ailleurs, l'enquête est-elle vraiment le sujet de ce livre ? Mary Lester m'a semblé à un tournant de sa vie sentimentale dans ce tome, entre une rupture par abandon de son partenaire de longue date, et des liens qui se nouent avec quelqu'un d'autres, rencontré à la fin du tome précédent, nous passons beaucoup de temps avec elle, mais pas forcément à enquêter. J'ai eu l'impression qu'il fallait attendre plus de la moitié du roman pour que l'on entre enfin dans le vif du sujet, et si l'on ne nous rejoue pas la guerre police/gendarmerie, en revanche, la guerre des polices est là !

Pour conclure, certains n'apprécient pas que l'on vive différemment, que l'on cherche à s'affranchir de ce qui semble nécessaire ou indispensable à certains. Vivre comme on l'entend, selon ses convictions, sans faire de mal aux siens et encore moins aux autres, que demander de mieux ?
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 39 : Le vis..

Une enquête qui a du mal à démarrer, des personnages peu attachants, des dialogues pas très naturels, un brin vieillots. L'histoire devient intéressante au trois quart du livre. Enfin, intéressante... Il se passe quelque chose mais comme un soufflé, ça retombe vite.
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 38 : Villa ..

Tout ce qui est dit sur ma critique du Tome 1 peut être reproduit à l'identique pour le Tome 2. Il n'y a pas que Failer qui peut remplir des pages sans se casser la tête n'est ce pas ? On sent le filon à bout de course. C'est très decevant. Les Mary Lester n'étaient pas des merveilles de la littérature policière régionale mais se lisaient avec un gentil plaisir. Là on s'ennuie en fait. J'en ai récupéré un certain nombre ...on verra si certains échappent à mon zéro pointé...
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 37 : Villa ..

Mary Lester reste une héroïne plutôt sympathique et on aime bien la Bretagne mais soit Jean Failer voit son imagination s'épuiser, soit il joue sur la facilité et écrit au kilomètre...L'intrigue est bien moyenne, on a l'impression qu'il ne fait pas attention à l'époque et écrit ce qui lui passe par la tête sans travailler un peu sa documentation. On connait peu dans les années 2000 de jeune fille de 25 ans se prénommant Ginette ou Solange ni de commissaire portant un feutre mou qu'il accroche sur une porte manteau verni....C'est Maigret dans les années 50. Et je passe sur les incohérences....Vite lu, vite oublié...

Et cela vaut pour les 2 tomes !
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Les enquêtes de Mary Lester, tome 2 : Les dia..

lire ce roman presque trente ans après sa parution, et après avoir lu déjà plusieurs enquêtes de Mary Lester, retrouver la jeune et néanmoins très valeureuse policière à ses débuts à Quimper est un moment agréable. les "passages obligés" habituels ne sont pas encore de rigueur, on assiste plutôt à leur installation - Fortin qui lit le journal des sports par exemple- en même temps qu'à l'installation de Mary dans son appartement. la voisine qui lui concocte des petits plats, le chat ne sont pas encore là...

l'intrigue est intéressante dans la mesure où il ne s'agit pas d'une enquête officielle, d'ailleurs la police a classé l'affaire.

bien entendu, Mary trouve sur son chemin celui qui tire un peu les ficelles avec malice et bonhommie (ou bonhomie comme vous voudrez) ... et si elle parvient à démêler les fils de cette histoire incroyable, l'Archiduc contrôlera tout de même le tempo.

ne pas prévoir un temps de lecture très long :) ce n'est pas nécessaire.
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