AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean-Pierre Alaux (88)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Le sang de la vigne, tome 12 : Vengeances t..

Benjamin Cooker, œnologue et détective amateur à ses heures perdues, continue son tour de France des vignobles français. Dans ce douzième opus, c'est en Alsace qu'il va devoir élucider un nouveau mystère. Même si l'intrigue est parfois artificielle, la lecture de ce roman policier œnologique est très plaisante.
Commenter  J’apprécie          10
Le sang de la vigne, tome 9 : Saint-Petrus ..

Au début, je trouvais ce livre intéressant et captivant. Le rituel des verres de vins autour des corps et l'intersection de l'histoire obscure de Bordeaux pendant l'Occupation et l'intrigue violente, me rappellait le DaVinci Code. Mais c'est devenu assez banal et hâtif, comme si les écrivains se fatiguaient de l'écrire. J'étais bien déçue.
Commenter  J’apprécie          10
Saint Michel, priez pour eux !

Sa série de romans "Le sang et la vigne" récemment adaptée à la télévision et diffusée sur France 3 est un succès. Jean-Pierre Alaux vient de sortir un nouveau polar qu'il situe dans le cadre mystérieux du Mont Saint-Michel.
Lien : http://culturebox.francetvin..
Commenter  J’apprécie          10
Toulouse-Lautrec en rit encore

Mon avis :

 

Ce roman est le premier de ce qui va sans doute devenir une nouvelle série policière. Et, comme pour tout début les contacts ont été un peu difficile. En effet, l'auteur choisit de présenter ses deux personnages principaux dans un prologue, qui tient plus du document figé destiné à se rappeler les caractéristiques des personnages qu'il vient de créer que du réel récit romanesque.

 

Dès que nous entrons dans l'intrigue, c'est à dire très rapidement (p. 25), tout s'éclaircit fort heureusement. sauf pour Dorléac, conservateur de la Berbie, qui vient de se faire voler deux tableaux de Toulouse-Lautrec, alors que son cher musée s'apprêtait à recevoir l'exposition Monet. J'adore ce personnage, tellement naïf, et tellement attachant par son dévouement à sa tâche et son indéfectible honnêteté.

 

Ce que Séraphin et Théo vont découvrir n'est pas joli joli, et les trafics de toute sorte qui gangrènent le palais. Entre une veuve joyeuse, un gardien gigolo, un autre travesti, ils ont largement de quoi démentir leurs prénoms très catholiques. A leur décharge, percer les secrets honteux et patauger dans une affaire scabreuse n'est pas vraiment leur tasse de thé. Défenseur de l'art, ils veulent avant tout retrouver les tableaux et permettre à ce pauvre Dorléac de retrouver sa sérennité et sa chère exposition Monet.

 

L'enquête policière proprement dite est confiée au commissaire Coustot qui accentue à plaisir son côté terrien. Sous ses airs bourrus mais non bornés, il sait mener son enquête de manière efficace, sans négliger aucune piste et sans se laisser abuser par les apparences.

C'est avec plaisir que je retrouverai ces personnages pour une nouvelle enquête.

Commenter  J’apprécie          10
Le sang de la vigne, tome 1 : Mission à Haut-..

La première aventure de l'œnologue Benjamin Cooker, sa rencontre avec son assistant Virgile Lanssien, et leur complicité pour démêler deux "mystères" dans la région bordelaise. En premier lieu, qui pourrait nuire au domaine des Moniales au point de laisser des traces de brettanomyces dans les barriques ? En second lieu, Cooker retrouvera-t-il l'origine du trumeau ? Les réponses sont parfois loin du monde viticole...



La plume des auteurs est précise, notamment en ce qui concerne le vin (et le lecteur se retrouve souvent affamé ou assoiffé lorsque Cooker évoque un pessac-léognan, un haut-brion, un gruaud-larose...), et la région, sans aucunement se perdre, ni parmi les rues décrites ni dans les explications (souvent un peu trop) œnologiques et techniques.



Lecture recommandée. NOTE : avis aux intéressés par le monde viticole.
Commenter  J’apprécie          00
Le sang de la vigne, tome 3 : Pour qui sonn..

J'ai acheté cet opus pour voir ce que donnait, à l'écrit, l'original d'un épisode parmi d'autres du "sang de la vigne" la série télévisée, dont ils sont inspirés. Et, alors que la série se laisse regarder malgré un Benjamin un peu macho et assez décalé pour notre époque, c'est sûrement le seul achat que je ferai !



La 4è de couverture était pourtant prometteuse : un oenologue "dans la tourmente" décide "d'aller trouver la paix" en Touraine, où li va se trouver face à "plusieurs personnages singuliers" dont la liste et la description laisse à penser qu'ils vont largement peupler le récit.



... Sauf qu'on est loin du compte !

Je passe sur "la tourmente" en question... et sur ce que pourrait sous-entendre de traumatisme le fait de devoir aller "trouver la paix". Quant aux "personnages singuliers"... : oui les personnages sont bien là, mais quant à leur singularité, l'auteur n'a pas l'art de suggérer un quelconque "mystère" autour d'eux. Ils passent beaucoup plus discrètement et rapidement que ne l'annonce le fameux texte de couverture (certains simplement sur 2 ou 3 pages, ce qui réduit déjà sensiblement leur intérêt). Jusque dans les pages 130 (sur les 192 du récit) on voit l'oenologue manger, boire, fumer et faire des rencontres d'une assez désolante gratuité apparente, et ce n'est donc qu'au dernier quart du roman que "l'action" démarre.



Je veux bien qu'on soit dans le genre cosy mystery, par définition (purement marketing) "du polar tranquille, sans gros-plan-sur-la-tâche-de-sang", mais ce genre a ses codes, et ils ne sont pas maîtrisés. le dosage entre les éléments "gratuits" et ceux importants pour le "mystère" n'y est pas. L'art de raconter non plus.



Pour ce qui est de l'écriture, elle est de bonne qualité sur la forme, à part de surprenantes abréviations au lieu des mots complets (un "mademoiselle" systématiquement écrit "Mlle", ou avec une faute "Melle"), mais alors le fonds... : pas une description de femme sans qu'elle se limite à ses jambes et à sa "gorge", ainsi qu'à l'effet que cette "gorge 'produit sur la personne qui la décrit (l'oenologue ou son assistant) : on se croirait dans un roman de gare des années soixante, et ça commence dès les premières pages, avec tous les clichés autour de l'infirmière ! Mieux vaut en rire...



Certains détails, très présents, sont un peu lourds : autant il est normal que ceux sur les vins abondent (nom des crus, qualité, effets produits...) car le vin est le fil conducteur de la série, autant pour le reste on a l'impression que l'auteur (les auteurs, en l'occurrence) transpose son petit monde à lui en détaillant les marques de cigare (élément presque aussi présent que le vin), de chaussures ("Voulez-vous les références de mes Lobbs ? [...] Au risque de vous décevoir, ce ne sont pas des Berlutti") ou autres.



Enfin, j'ai parlé du texte de quatrième de couverture : j'allais oublier le visuel de la première de couverture. Le graphiste, qui n'a sans doute pas lu le livre, ou n'a été briefé qu'à grands traits sur l'histoire (comme c'est souvent le cas, j'en parle d'expérience) nous propose l'image angoissante d'une église la nuit, avec multiples nuances de noirs et de gris bleutés, destinée à faire l lien entre angélus et religion. Or, cherchez l'église en question dans le roman : vous ne la trouverez pas.



Conclusion : je me suis sentie bernée et par le texte et par l'image, et cet achat sera le seul concernant le personnage de Benjamin Cooker, que j'ai trouvé beaucoup plus proche du roman de gare que d'autre chose.



Il y a tout de même un vrai mystère, qui est : comment l'auteur s'est retrouvé édité chez Fayard ?! Je connais des tas de "petits polars régionaux", regardés d'un oeil un peu méprisant par les grands éditeurs parisiens, et qui sont largement au-dessus de cette production "nationale".
Commenter  J’apprécie          02
La pomme d'or de Rocamadour



de Jean-Pierre ALAUX " La Pomme d'or de Rocamadour"



J'ai lu ce livre avec plaisir mes souvenirs cheminant dans les rues de Rocamadour et des lieux décrits avec beaucoup de justesse.



Séraphin Cantarel"conservateur en chef des "Monuments français" et son jeune assistant Théo sont des personnages attachant qui ne manquent pas d'humour.



A la recherche de cette Pomme d'or ils évoluent dans un monde de suspicion ou il sera difficile de faire triompher la vérité.



Rocamadour est un village qu il faut avoir vu et ce roman au delà de son histoire par ses descriptions vous y invite.









Commenter  J’apprécie          00
Fontaine, je ne boirai pas de ton sang !

Fontaine, je ne boirai pas de ton sang ! de Jean-Pierre ALAUX (Le geste noir - 313 Pages)



>



> Un roman policier léger et agréable. J'ai retrouvé avec plaisir Monsieur et Madame Cantarel et leur sympathique Théo.



>



> En lisant les livres de Jean-Pierre Alaux nous apprenons toujours sur l'Art, sur l'Histoire, le Vin etc... je déguste en imagination les grands crus avec eux.



>



> Cette fois, nous sommes à Bordeaux, Séraphin Cantarel est chargé d'établir un rapport sur les dégâts que les éléments d'une fontaine oubliée dans un hangar "la fontaine des Girondins " ont subis.



> Elle a bien failli disparaitre à jamais cette superbe fontaine durant la dernière guerre.



> (Je suis allée sur internet l'admirer !)



> Donc quand notre conservateur commence à examiner les 52 tonnes de bronze, il découvre une tête de femme piquée sur un sceptre.



> Evidemment je vous laisse découvrir la suite...



> J'ai passé quelques heures de lecture à savourer ce polar ... Je vous le recommande.

Mireine



>
Commenter  J’apprécie          00
Le sang de la vigne, tome 19 : On achève bien..

On achève bien les tonneaux-(Jean-Pierre Alaux-Noël Balen)-220 pages)



>

Je l'ai lu dans une journée. J'avais vu cet épisode du Sang de la vigne car il se déroulait dans le Lot près de chez moi.

Un bon polar instructif sur le vin de Cahors.

Au fil des pages je retrouvais des lieux et des vieilles connaissances tel que le merveilleux cuisinier, Peĺîssou du Gîndreau, le Balandre etc....

Après avoir refermé le livre vous irait déboucher une bouteille d'un grand domaine de Cahors.

Mais auparavant il faudra résoudre l'énigme. Un cadavre est découvert dans une cuve du Château Chàmp Gréze

Bonne lecture

Mireine
Commenter  J’apprécie          00
Avis de tempête sur Cordouan

Ce roman policier est prétexte à découvrir ce phare, son histoire, de la volonté d'Henri IV à le construire à la volonté de François Mitterand à le sauvegarder. A travers la presse que lit tous les jours le couple Cantarel, on se souvient également des années 70, des Présidents et des Ministres de la Culture. L'intrigue policière n'apporte rien à ce roman, elle permet juste de rencontrer des personnages plus ou moins hauts en couleurs. Agréable à lire mais sans plus.
Commenter  J’apprécie          00
A boire sur paroles

Un livre, plutôt une compilation de rencontres avec des personnalités des arts et du sport, ceux et celles qui boivent du vin car ils aiment cela. Alors chacun parle de sa première fois, de son plus grand vin, des souvenirs et de belles anecdotes.



Simple, divertissant, à déposer dans un coin pour une lecture par épisodes de 5-7mn.
Commenter  J’apprécie          00
Avis de tempête sur Cordouan

En vacances en face du célèbre phare de Cordouan, lire ce livre était de circonstance et a aussi piqué ma curiosité.

Ce roman fait partie d’une série policière qui se passe en Charente-Maritime. Le personnage principal "Séraphin Cantarel" est conservateur des monuments historiques de France. Il est accompagné de son assistant Théodore dit Théo et de sa femme Hélène qui est archéologue. Séraphin Cantarel est missionné pour faire l’expertise du phare de Cordouan afin de mettre en place un projet de rénovation. Le meurtre du fils d’un des gardions du phare va faire se côtoyer le commissaire qui mène l’enquête et Séraphin Cantarel.

Nous sommes en 1974, le président Georges Pompidou vient de décéder. Des nouvelles élections se préparent.

L’auteur nous offre un petit flash bach dans cette France des années 70 et nous fait revivre un peu de ce qui caractérise cette époque. Les passages consacrés á la politique, la musique, la vie sociale, les émissions de télévision... sont assez réussis. Par contre les passages très misogynes m’ont beaucoup fait grimacer. J’espère que l’auteur a juste voulu nous remémorer le climat de cette époque. C’est avec consternation qu’on lit que les filles sont appelées "des pisseuses" mais aussi des 'Marie couche-toi là". Il y a beaucoup de clichés comme par exemple "à la campagne les filles sont plus délurées qu'en ville" et des réflexions medisantes sur une femme bigote et très laide. Sans oublier la femme de Séraphin qui s’inquiète et s’occupe de son mari comme une mère de son fils. S'il n’y avait pas eu l’histoire du phare de Cordouan, ce livre n’aurait eu aucun intérêt pour moi.

Les points forts de ce roman sont les souvenirs que génèrent les passages qui racontent cette époque. Mais c’est surtout l’histoire du phare qui m’a intéressée. Elle est racontée à travers d’infinis détails sur sa construction, l’origine de son nom, son emplacement et par exemple ses premiers gardiens du phare. Ces ermites qui alimentaient le feu en haut de la tour. Unique signal pour guider les marins. C’est aussi intéressant de savoir que c’est grâce à Henry IV que Cordouan est devenu cette citadelle grandiose et unique au monde. Mais il doit aussi son salut au gouvernement de Mitterand qui a mobilisé des fonds pour sa rénovation et sa sauvegarde. Sinon le phare de Cordouan n’existerait plus. L’’enquête policière n’a pas suscité un vif intérêt pour moi ni la recherche généalogique sur Léonie la tante d’Hélène. Peut-être que l’ancienne actrice Margarita, la logeuse de Théo permet de rappeler la vie culturelle royannaise à une certaine époque avec Picasso, Samy Frey...

Le style d’écriture est celui des romans régionalistes. C’est facile à lire...

"Avis de tempête sur Cordouan" est un bon roman de vacances pour celles et ceux qui s’intéressent un peu à l’histoire du phare de Cordouan. Pour les autres, les documentaires sont là pour approfondir le sujet...
Commenter  J’apprécie          00
Fontaine, je ne boirai pas de ton sang !

J'ai trouvé ce livre dans une boite de livres mise à la disposition du public. Heureusement je m'en serai voulu de l'avoir acheté.



Rien de passionnant dans l'enquête (si on peut appeler ça comme ça)



Quel ennui ! J'y ai retrouvé des digressions inutiles dans la même veine que les livres de François Lange (enquête de Fanch Leroy).

Je m'apprêtais à acquérir ''meurtre au pays basque'', mais maintenant j'hésite. Déçu, déçu, décu ....
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          00
La Truffe sur le Soufflé

Alexis Pélissou qui a longtemps dirigé le restaurant le Gindreau à Saint Médard dans le Lot a inspiré ce livre qui est une ode à la truffe en cuisine.
Commenter  J’apprécie          00
Avis de tempête sur Cordouan

Le travail d'expertise de Séraphin Cantarel, inspecteur du ministère du patrimoine, en vue de faire un état des lieux du célèbre phare de Cordouan est perturbé par un double meurtre.



On pourrait classer ce roman parmi les romans historiques (l'histoire se déroule en 1974 au moment de la mort de Pompidou), mais aussi parmi les romans régionalistes et aussi les romans policiers. C'est peut-être justement là que le bas blesse, à trop vouloir en faire l'auteur a difficilement pu développer de façon efficace tous ces éléments. L'intrigue policière est assez banale et les aspects historiques et régionalistes sont ceux qui m'auront le plus plu dans le livre. Il faut ajouter à cela des personnages biens brossés, une écriture efficace, autant d'éléments qui font de ce livre un moment agréable (et instructif) de lecture.



Roman aux multiples facettes (policier, historique et régionaliste) qui peine un peu à trouver sa voie. Une lecture néanmoins fort agréable avec des personnages attachants, suffisamment que pour me donner envie de livre un autre titre de cette série.
Commenter  J’apprécie          01
Avis de tempête sur Cordouan

Quand Séraphin Cantarel débarque dans l'estuaire de la Gironde pour expertiser le célèbre phare de Cordouan, il est loin de soupçonner la tragédie qui se joue non loin de là, dans la presqu'île de Talmont. Killiam, le fils de l'un des gardiens du phare est retrouvé noyé au pied d'un carrelet. Sa fiancée, elle, est portée disparue. Pendant ce temps, à Royan, madame Cantarel renoue avec son passé. La cité balnéaire, rasé par les alliés pendant la seconde guerre mondiale, recèle des mystères bien peu avouables.
Commenter  J’apprécie          00
Avis de tempête sur Cordouan

Fusionnant avec un art consommé de l’intrigue l’histoire du phare et le récit policier (...) Corbeyran nous apporte un récit dense, peut-être un peu trop.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
La pomme d'or de Rocamadour

En 1983, la "Pomme d'or', chef d'oeuvre du Musée d'art sacré de Rocadamour., est volé. Séraphin Cantarel, conservateur du patrimoine, est chargé de faire rentrer ce musée dans le giron du Ministère de la Culture; pour lui l'occasion est trop belle.





Personnages sympathiques, énormement d'humour dans les dialogues, description des lieux et des événements authentique (j'ai adoré perdre du temps sur Wikipidia pour vérifier les informations), et même une enquête policière élaborée, dont on a la conclusion qu'au dernier chapitre. Et pour une fois le namedropping me parfait justifié. Donc un bon roman de la collection "Grands détectives" qui me donne envie de lire les autres livres de la série.
Commenter  J’apprécie          00
Toulouse-Lautrec en rit encore

Au-delà de l'intrigue policière, ce roman est un vrai guide touristique d'Albi : la cathédrale Sainte Cécile, le palais de la Berbie, les berges de la Garonne... Et bien la biographie de Toulouse Lautrec est riche de détails et d'anectodes.
Commenter  J’apprécie          00
Le sang de la vigne, tome 1 : Mission à Haut-..

sans grand suspense un livre gentillet
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean-Pierre Alaux (295)Voir plus

Quiz Voir plus

Au Louvre

Dans quel roman d'Émile Zola peut-on lire une scène dans laquelle se déroule une visite du Louvre le jour du mariage de Gervaise et de Coupeau?

Au bonheur des Dames
L'Assommoir
Nana

8 questions
25 lecteurs ont répondu
Thèmes : louvre , musée d'art moderne de new york , Paris (France) , culture générale , littérature , peinture , peintre , cinema , adaptation , adapté au cinémaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}