Johanna Zaïre

isbn:9791092640045

Un départ sur les chapeaux de roue !

Une histoire haletante, "hors des clous" qui tient en haleine tout le long !

Et ceci n'était qu'un premier tome. Il y en a deux autres si je ne m'abuse. En tout cas, j'ai le tome 2 en ma possession et je pense le dévorer bientôt !



Cette dystopie est vraiment prenante, les personnages sont travaillés en profondeur, les lieux évoqués semblent tellement... réels !

Quand la folie des hommes incluent la prise de pouvoir par les nouvelles technologies... Ca crée des armées d'Humanobots.

Le peuple se sépare en plusieurs clans, des frères se déchirent et c'est surtout la folie d'un vieil homme qui va tout déclencher à cause de manipulations abjectes...



Je n'avais jamais lu un premier tome si "vivant" ! L'auteure, Johanna Zaïre a su évoquer un monde tel qu'il pourrait devenir si l'humanité ne fait pas attention. Elle décrit tellement bien les effets bénéfiques autant que néfastes d'une World War Web !



A suivre dans les prochains tomes, à cause du super cliffhanger de la fin de ce premier opus !

❤❤❤🖤🖤



{Sanatorium/Johanna Zaïre}



Coucou la compagnie, j'ai englouti ce petit roman rapidement lu et que dois-je en dire... l'écriture est très "auto-édité" j'ai eu bien du mal....

L'histoire oui bon, ça passe, mais la fin pffffff j'étais déçue et dégoûtée 😆🤣

Lisez-le, histoire que je ne sois pas la seule à finir comme deux ronds de flan, mais ne m'en voulez pas, vous aurez été prévenus 😅
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Une dystopie terriblement réaliste à l'heure où nous sommes pratiquement tous ultra connectés. L'autrice a réussi à créer son propre univers, mettant en scène des personnages attachants, un décor angoissant et un sentiment d'urgence présent du début à la fin. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié qu'elle mette dans les dernières pages, les photos des lieux qui lui ont inspiré le décor de son histoire. En quelques pages, j'ai été prise dans le récit et je n'ai pas trouvé une seule ligne inutile.



Côté personnages, si j'ai eu quelques préférences, ils sont tous bien travaillé et ont chacun une place importante. L'autrice a fait le choix judicieux de ne pas tourmenter que les personnages secondaires ce qui m'a empêché de deviner le dénouement et surtout les survivants de tous ces événements. D'ailleurs, certaines scènes sont émouvantes tant, elles sont impossibles à prévoir.



C'est une plume fluide et agréable que je découvrais, et même si ce n'est pas le genre de lecture que j'affectionne habituellement, il n'empêche que j'ai passé un très bon moment !



En bref, vous l'aurez compris, c'est une réussite. Si vous aimez le genre, ou si vous voulez le découvrir, c'est un roman que je vous conseille vivement.


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Une bande de jeunes voulant se faire peur dans un sanatorium abandonné le soir d'Halloween vont finir tous tués sauf une jeune fille, Judith. Mais est ce que les choses se sont bien passées de cette manière ?



Le lecteur passe de rebondissements en rebondissements, surpris et bernés pour se retrouver face à un final superbe.



Gros coup de coeur que je recommande aux fans de thriller psychologique, même s'il reste assez soft il vaut le détour.

J'ai été touchée par l'autobiographie de l'autrice, parfois ça été éprouvant, j'ai été en colère contre certaines situations et personnages du récit. je l'admets, cela m'a beaucoup parlé et je me suis un peu retrouvée en Johanna. j'ai passé un agréable moment de lecture, je lis rarement des non-fiction et cela aurait été dommage d'avoir loupé ce roman, qui transmet de l'espoir, de l'amour de soi pour se reconstruire.

✨Ceci est un roman court fantastique/horrifique.



✨Quand je me suis lancée dans la lecture, je me suis dit que cela serait une histoire « banale ». Un groupe d’amis qui vont dans un sanatorium le soir d’Halloween. Ils leur arrivent tous quelques choses dans ce lieu, les actions vont très vite. J’étais donc un peu perplexe. Puis, l’enquête sur ce qui s’est déroulé commence… Ils recherchent des témoignages du lieu lorsqu’il était encore en fonction et nous découvrons donc l’histoire du passé. J’ai donc été agréablement surprise !



✨Une belle plume, fluide et agréable. Des chapitres court, ce que j’apprécie. L’histoire est prenante. Mais surtout, la chute de l’histoire… Je ne m’y attendais absolument pas !



✨J’ai beaucoup apprécié cette lecture. Elle se lit très vite, mais est bien sympathique !
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Il s'agit d'un roman assez court (113 pages) qui nous conduit à suivre le fil d'une histoire plutôt inattendue 🧐.



Je n'ai pas mis 5 étoiles car il ne s'agit pas à proprement parlé d'un coup de cœur et l'histoire aurait sans doute mérite quelques pages de plus pour parfaire l'intrigue.



Le thème du Sanatorium m'a évidemment beaucoup plu mais j'ai encore plus aimé les rebondissements et surprises dans le déroulé de l'histoire.



Vous pensiez avoir tout compris et avoir anticipé le dénouement ? Vous risquez d'être surpris(es) !


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J’ai eu la chance de voir naître le projet de ce livre. En effet, Johanna est une artiste que je suis depuis quelques années et c’est lors d’un salon où Thibault et elle étaient présents que j’ai pu voir la toute première bande annonce de Nightmare . Je me rappelle une vidéo très mystérieuse mais qui annonçait déjà une oeuvre vraiment pas comme les autres.



Dans un monde aux allures post-apocalyptique, deux inconnus s’éveillent chacun de leur côté. Leurs derniers souvenirs sont flous, mais une chose est sûr, ils ne reconnaissent pas le monde qui les entoure. Très vite ils vont se rencontrer et commencer l’exploration de ces terres désertiques. Il feront la connaissance en chemin de Max, Glenn et Alice, trois jeunes enfants, qui eux aussi ne se souviennent pas comment ils se sont retrouver dans cet endroit.



Le début met un petit peu de temps à démarrer. Mais à partir du moment où ce petit groupe va rencontrer l’énigmatique Spencer, le récit va véritablement se lancer. Et là, Johanna ne s’arrête plus, sa plume virevolte sur le papier afin de faire vivre de véritables aventures à ses personnages. On ne peut s’empêcher de retenir son souffle, trembler, s’émouvoir et avoir le cœur battant à chaque moment de cette histoire. Johanna maîtrise son histoire jusqu’au bout en distillant des indices par-ci, par-là mais on ne saura le fin mot de l’histoire que dans le livre 2 qui devrait bientôt arriver. En tous cas, ce monde qui peut nous éblouir parfois s’avère plus cauchemardesque qu’on ne le voudrait.



Johanna et Thibault nous livre un véritable roman graphique. Un roman hybride qui combine le récit de Johanna avec les magnifiques dessins et planches de Thibault. En même temps que le lancement du livre, j’avais pu aller à l’exposition des œuvres liées à Nightmare et si j’avais déjà été conquis par le travail d’illustrateur de Thibault, je ne m’attendais pas à contempler autant chaque page de l’ouvrage.



On est totalement transporté dans le livre. Ça me fait penser à un film que j’avais vu enfant : Richard au pays des livres magiques. L’histoire d’un gamin qui après un mauvaise chute dans une bibliothèque, se retrouve entraîné dans l’univers animé et féerique des livres. Et bien, j’avais la même sensation. Je me suis retrouvé happé dans l’histoire grâce aux illustrations de Thibault. Chaque page, chaque planche est un véritable tableau et contribue à faire vivre sous nos yeux le récit de Johanna.



Que ressent-on à la fin de ce premier livre ? Et bien, on en redemande. Et j’ai hâte d’avoir le deuxième livre dans mes mains. Je vous recommande vraiment ce livre car c’est une pépite.
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Sanatorium est un court thriller que je qualifierais de novela avec ses 130 pages, que vous allez dévorer.



A lire au second degré : ça fait un peu "Série B", mais c'est franchement bien.



Une fin époustouflante : Johanna est une petite coquine, elle vous baladera jusqu'à la toute dernière page.



Personnellement, j'ai beaucoup aimé et je me suis bien faite avoir !

Johanna est une artiste complète que j’affectionne particulièrement. Elle écrit, chante, joue la comédie et peint également. Je lui avais promis lors de notre première rencontre que je chroniquerai ce livre. Promesse tenue plutôt deux fois qu’une Johanna, puisque je republie mon avis que j’avais écrit pour mon ancien site qui est aujourd’hui fermé.



Johanna a eu l’idée de ce roman, dans le métro, en voyant une pub pour une montre connectée. A partir de cela, elle construit une dystopie autour d’une montre connectée qui assujettie une partie de la population mondiale. Ce roman se trouve être une critique de la société de consommation. En effet, il nous faut toujours le dernier téléphone à la mode ou la dernière montre connectée, etc. Mais imaginez que ces appareils nous transforment en esclave. Ce thème n’est pas nouveau, Zola critiquait déjà la société de consommation dans son livre Au bonheurs des dames et pour ce qui est de l’esclavage par les objets, Stephen King transformait les accros du téléphone portable en zombies dans son livre Cellulaire.



Johanna réussit son pari de transposer une dystopie en France. La dystopie est en genre littéraire plutôt américain, peu d’auteurs prennent le risque d’en écrire et de prendre la France comme lieu d’action. J’ai totalement adoré son univers parisien tel une forteresse et les banlieues décrites comme des no man’s land. La description que Johanna fait des différents lieux contribue à nous immerger dans son univers.



Les personnages sont un autre point fort du roman. La petite touche personnelle de Johanna, que l’on retrouve dans ses roman, est qu’elle donne à tous ses personnages des prénoms américains. Ca peut faire bizarre surtout que l’action se passe à Paris mais on s’y fait vite. On s’attache facilement à l’ensemble de ses personnages : Rebecca, l’héroïne, n’est pas mon personnage préféré même si c’est un personnage avec beaucoup de poigne, à l’instar d’une Katniss Everdeen. Mon personnage préféré reste Tyler. Il est assez énigmatique et oscille beaucoup entre le bien et le mal. J’ai beaucoup aimé toute la tendresse que Johanna a mis dans ce personnage mais aussi toute cette colère. Je vous laisse vous faire votre propre avis sur les personnages.



L’action est omniprésente dans ce roman et notamment grâce à une scène d’ouverture dans le commissariat de police assez haletante. Johanna a un style très cinématographique qui nous plonge directement dans l’action. On rit, on tremble, on a parfois le souffle coupé mais c’est un tel régal qu’on en redemande.



La lecture de ce roman est une bouffée d’oxygène. On ne peut qu’adorer ce livre. D’ailleurs je l’ai prêté plusieurs fois et tous ont adoré. Donc n’hésitez pas surtout que la version de 2019 est une réédition du roman d’origine avec quelques ajouts.
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La première réflexion qui m'est venue à l'esprit lorsque j'ai commencé ce livre, c'est "Tiens, en 2035, on aura tous des noms américains": Jimmy, Rebecca, Jed, Howard, Tyler, Kaci et autre Spencer sont, il est bien connu, dans le top ten des prénoms des petits Français/Parisiens. Autre réflexion: en-dehors de Paris, point de salut, la France n'existe pas - sentiment que nous autres Provinciaux connaissons bien lorsque nous regardons le journal TV. Cela donne envie de dire à l'auteur de sauter dans un train pour vérifier si quelque chose existe en-dehors de la grande couronne, mais bon, pandémie oblige, je m'abstiendrai.

Ce n'est pas un livre désagréable, je n'ai pas eu de mal à aller au bout, mais il y a des incohérences dans le récit, le point de vue de l'histoire change souvent et rapidement, ce qui est quelque peu déroutant. J'ai bien aimé par contre le fait que la ligne entre les 'bons' et les 'méchants' soit plus perméable qu'on le pensait au début. L'action est rythmée.

Un livre pour les amateurs de Terminator.



Challenge ABC 2020/2021

Un plaisir visuel et intellectuelle, un hybride parfaitement équilibrer!!!!

J'ai rencontré Johanna Zaïre lors de ma visite au Salon Fantastique 2017 de Paris. J'ai tout de suite accroché à l'univers de son stand, sombre, emprunt de magie et à la fois accueillant. Elle m'a présenté ses oeuvres, et c'est sur le T1 des Roitsy de Magara Kisi que mon oeil s'est attardé. Le résumé m'a tout de suite intriguée. Pourtant je ne suis pas une grande adepte du genre dystopique mais vous me connaissez, il suffit d'un peu de fantastique ou de fantasy pour me séduire. Et ce premier tome en contient effectivement, même si c'est en petites touches et surtout sur la fin. Ce qui laisse présager d'une suite qui en regorgera très certainement.



Mais je n'ai encore rien dit sur l'histoire. Nous suivons les aventures de Soulia (prononcé Solia) et de son petit ami Liam, deux jeunes gens qui vivent tranquillement leur petite vie dans la ville de Magara Kisi. Alors que d'étranges phénomènes météorologiques apparaissent et détruisent une grande partie du monde, Soulia se demande si les hommes n'auraient pas attiré l'îre de Gaïa, la planète Terre personnifiée. Sans vouloir trop vous en révéler, Soulia et Liam vont devoir suivre à la lettre les recommandations de leur amie Edna, sans toutefois savoir vraiment où cela va les mener ni même ce qu'ils vont devoir faire pour sauver l'humanité.



Ce premier tome est assez sombre. On ne sait pas du tout ce qui attend nos protagonistes, ce qu'ils vont devoir faire ou qui ils vont croiser sur leur chemin. Allant de découvertes en découvertes, de rencontres en rencontres, les pièces du puzzle vont se disperser de plus en plus sans qu'aucun d'eux ne sachent comment les assembler. Seul espoir, retourner sur ses pas et aviser une fois arrivés. C'est assez angoissant de les voir partir à l'aventure sans savoir ce qui les attend. Evidemment leur voyage ne se fera pas tranquillement, de nombreux ennemis vont croiser leur route et leurs intentions ne seront pas des plus claires. C'est ce qui tient en haleine le lecteur, le fait que l'on ne sache pas ce que veulent les ennemis ou même ce que sont sensé faire les héros de l'histoire. Le T1 se termine sur de nombreuses questions qui ne peuvent que donner l'envie de continuer et de dévorer le T2.



Les personnages principaux sont assez surprenants. Soulia est une jeune femme d'une vingtaine d'années, pas vraiment farouche, mais éperdument amoureuse de Liam. Elle n'a pas de capacités particulières, mais elle sait ce qu'elle veut et a un sens aigu des responsabilités. Même si ça ne lui plait pas, même si elle a peur, elle accepte son rôle et fera ce qu'il faudra. Liam quant à lui, a un caractère bien trempé, et n'hésitera pas à faire l'impossible pour celle qu'il aime. C'est tout logiquement qu'il la suit, parce qu'il l'aime et parce qu'il veut la protéger. On est face à une relation très fusionnelle. Je ne suis pas fan des petits surnoms qu'ils ne cessent de se donner l'un à l'autre, mais je trouve tout de même que leur relation est bien amenée et ne prend pas le pas sur l'aventure ou l'action proposée par l'histoire. Et c'est tant mieux. Un peu de romance, c'est très bien, mais j'aime l'action, les péripéties et surtout le côté trépidant et dynamique de l'histoire. Je pense que Soulia a encore énormément de choses à nous révéler et que Liam aura un grand rôle à jouer également.





En conclusion



Les Roisty de Magara Kisi, c'est l'histoire de la fin du monde tel que nous le connaissons. Mais devant tous ces différents cataclysmes, un ennemi attend, tapis dans l'ombre. Et c'est sur les épaules d'une jeune femme qui n'a rien demandé à personne que repose le destin de l'humanité. J'ai vraiment aimé suivre les aventures de Soulia et Liam et j'attends avec impatience de me procurer le tome 2 pour percer les mystères autour de l'héroïne. Si vous aimez le fantastique et les dystopies, cette saga est faite pour vous, sans la moindre hésitation !
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Troisième lecture du club lu ! Pfiou, j’ai cru que je ne la lirai pas ou que je serais hyper en retard, parce que j’ai la sensation que le mois d’Octobre passe à une vitesse… Je vous ne raconte pas !



Je vous présente l’un de mes plus vieux livre de ma pile à lire. Je l’ai acheté au tout début de mon blog, il y a quatre ans et j’avoue que ça me fait un petit quelque chose de l’avoir enfin luuuu !



Je me souviens vaguement de la présentation que Johanna m’avait faite au moment de mon achat et depuis, j’ai toujours eu du mal à m’en souvenir… C’est affreux, je vous assure !



Enfin, bref !



Ça fait 5 jours que je l’ai fini et je ne sais toujours pas comment vous en parler ! xD



Je me suis plongée sans trop savoir à quoi m’attendre, je me suis laissé bercer par l’ambiance, l’univers, les personnages ! J’ai juste ADORÉ ! Clairement, je veux savoir la suite, parce que c’est obligé qu’il y est une suite ! La fin m’a tellement chamboulé que quand j’ai fini, le livre j’étais à la fois triste, heureuse, et mélancolique…. Bref, je suis passée par toutes les émotions possibles et inimaginables ! ❤



Je ne peux que vous recommander ce livre !!!!!!!! ❤ ❤
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Découvert lors du salon de Rochefort en Charente maritime . J ai eu la chance de rencontrer les auteurs et Avoir une dédicace .

Visuellement très beau livre hybride . J en suis au chapitre 13 pour Halloween 🎃. Je rejoins le commentaire précédent , on est entre du harry potter et du tolkien . L aventure met un peu de temps à se dessiner puis deviens prenante . Un monde imaginaire sombre et passionnant . J ai déjà hâte de pouvoir posséder le volume 2 .excellente mise en bouche .

Aussitôt réceptionné, aussitôt dévoré ! Nightmare est le genre de livre que l’on ne laisse pas trainer de côté. C’est le genre d’ouvrage qu’on ne peut s’empêcher de feuilleter, d’admirer… et de lire pour avoir le loisir de tourner chacune des pages à son aise. Profiter des couleurs, du récit, de la forme si originale du livre en tant qu’objet. Bref, Nightmare, c’est avant-tout un projet porté par deux personnes motivées, créatives et diablement talentueuses : Johanna Zaïre, auteure, et Thibault Colon de Franciosi (que je découvre avec cet ouvrage), illustrateur.



Nightmare porte la jolie mention « Tome 1 – Le réveil ». Cela annonce donc une suite et j’en suis ravie ! Ce premier volume introduit les rêveurs dans un monde post-apocalyptique où il est crucial d’avoir les nerfs bien accrochés. Ce n’est clairement pas un livre pour enfants (ou pour les mauviettes!). Un livre tout simplement idéal à lire en période d’Halloween car croyez-moi, vous allez être heureux d’être tranquille à la maison en lisant ce livre et non perdu dans ce monde désertique, un peu magique et totalement dangereux. Des monstres sortis de nulle part, des personnages a qui on ne peut pas toujours faire confiance, des pouvoirs insoupçonnés… et du danger là où on ne s’y attend pas. Nightmare, c’est tout ça à la fois.



Un roman hybride mêlant à la fois texte, illustrations et bande dessinée… inutile de choisir, vous avez tout ça dans un seul ouvrage. Et le mélange détonne. La voix de Johanna est, comme dans ses autres titres, accrocheuse, intriguante et rythmée. On saute d’événement en événement, s’accrochant aux personnages pour essayer de ne pas tomber dans les abysses. Grâce au trait de crayon de Thibault, on plonge encore plus profondément dans cette histoire à faire peur. On se familiarise d’autant plus vite avec les différents protagonistes et on s’enfuit dans son décor coloré priant pour s’en sortir vivant.



Petit à petit les pièces du puzzle se mettent en place pour nous permettre de comprendre où ces héros se trouvent. Où plutôt… quand ! Les personnages sont nombreux et c’est parfois un peu difficile de s’y trouver. Ils n’ont pas tous droit au même « temps sur le devant de la scène » et c’est compréhensible. Heureusement, le fait qu’il s’agisse d’un tome d’introduction nous porte à penser que l’on retrouvera nos survivants un jour… En tous cas, je serai certainement présente au rendez-vous si cela se produit. Car bien que ce livre soit auto-édité, il n’en est pas moins un ouvrage graphique de très haute qualité. Tant dans son fond que dans sa forme originale, Nightmare est un livre que je vous recommande. Que ce soit pour découvrir les oeuvres d’art de Thibault ou l’intrigue particulière de Johanna, ce beau bébé vaut son prix et mérite toutes les louanges que les lecteurs lui offriront.



Petit bonus à la fin en prime ! Les auteurs nous font la joie de partager quelques croquis et commentaires sur la réalisation du livre. De quoi prolonger l’aventure Nightmare pendant quelques pages supplémentaires. Un plaisir pour les yeux et une preuve que ce projet marinait depuis un long moment. Thibaut et Johanna n’ont pas abandonné et peuvent maintenant souffler en attendant les retours de leurs fans qui, selon moi, devraient être nombreux ! N’attendez plus et commandez-le ! ❤
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Un ovni littéraire, un bel ouvrage, une fraîcheur, un roman, un comics, un roman graphique, Nightmare est tout cela et même plus. Inclassable, fantasy, post-apocalyptique, young adult à lire de 12 à 99 ans, aventure… J’ai rarement eu entre mes mains une œuvre aussi complète. Johanna Zaïre et Thibault Colon de Franciosi incarnent le courage dont font preuve les personnages de ce roman en s’étant lancés dans cette aventure de création d’un univers. Et à l’image de l’étendu de cet univers, ils ont fait ce travail en s’appropriant tous les rôles, de la création à la diffusion de cet ouvrage en passant par son édition. Sans exagérer, nous ne sommes pas très éloignés du génie d’un Tolkien ou d’un Burton. Vous êtes septiques ? Foncez l’acheter et vous verrez !!!

Pour l’histoire, Eve, 20 ans se réveille près d’une vieille ferme abandonnée, un décor sinistre recouvert de cendre, d’arbres morts. Un lieu qui ne lui est en aucun cas familier. A ce moment précis, c’est Théo, 19 ans qui sort également d’un état d’endormissement dans un lieu inconnu, un lac abandonné où même la faune a déserté les lieux. Leur point commun, ils ne se rappellent de rien et ne savent pas ce qu’ils font là. Chacun partira sans le savoir à la rencontre de l’autre dans ce monde rempli d’étrangetés, de bizarreries et surtout de dangers.

Suite à leur rencontre, le besoin de comprendre, d’appréhender ce nouveau monde, les amènera à se lancer dans son exploration. Ils se rendront vite compte qu’ils ne sont pas seuls. Seulement voilà, que cachent les rencontres ? Où est le bien, le mal ? La confiance s’accorde telle facilement ? Faut-il ne chercher que sa propre survie ou est-il plus important de protéger ces enfants rencontrés sur les chemins, tels Alice 5 ans accompagnée de Diego son ours en peluche, Glenn 7 ans myope comme une taupe, Max 9 ans qui voient des choses que les autres ne voient pas. Et tout cela sans compter Spencer, Cyannelle et beaucoup d’autres.

Pour faire honneur à tout bon roman de fantasy ou aux comics qui ont inspirés les créateurs de Nightmare, nous aurons le droit à une bonne dose de pouvoirs que possèdent et apprennent à maîtriser nos protagonistes.

Sur le fond, vous l’aurez compris j’ai tout simplement adoré me plonger dans l’univers Nightmare. La forme est la cerise sur le gâteau. Le livre est magnifique, la couverture d’abord, sublimée par un verni sélectif, le papier de très bonne qualité aux douces couleurs donnant des illustrations en aquarelles que l’on ne se lasse pas d’admirer. Et ce mélange entre pages de textes, illustrations et planches dessinées nous émerveille à chaque page.

La générosité de Johanna et Thibault étant aussi grande que leur talent, ils nous offrent en plus des 350 pages que comportent l’histoire, des croquis, des illustrations supplémentaires réalisées par des amis artistes, la description des lieux qui leur ont inspiré certains décors. Il ne manque que la bande originale mais si vous vous balader sur le net et que comme moi vous écoutez de la musique en lisant, vous tomberez sur des œuvres musicales de Johanna.

Ce livre mérite sa place dans chacune de vos bibliothèques. Je suis impatient de trouver le tome 2 dans mes mains. Pour patienter, je pense m’attarder un peu sur les œuvres passées de ces créateurs géniaux.


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Je n'évaluerai pas cet ouvrage parce qu'il est une confidence. Dans ce livre, Johanna nous écrit qui elle est et pourquoi elle l'est. C'est son histoire donc il n'y a aucune note à y mettre.

Rebirth, nous permet de comprendre qui est Johanna, comment elle fonctionne, quelle artiste "touche à tout" elle est.

Johanna est une personne "solaire". La 1ére fois que je l'ai vu en salon je me suis dit :"Oh, elle est trop Choupette ! Et ses lunettes, et son style.....trop classe !" J'ai senti qu'elle avait certainement vécu des choses pas drôles et effectivement, elle a eu un sacré chemin de vie déjà !

Je n'ai qu'un souhait pour elle.....que Johanna soit dans "son haut" le plus longtemps possible, qu'elle kiffe sa vie avec ses rires, ses larmes, son "hyper-tout", qu'elle soit heureuse et qu'elle vive encore plein de belles choses seule et avec son homme, son Thib, son tout 💕

Dans la pléthore d’autofictions dont la sincérité et la droiture peuvent laisser à désirer, le témoignage de Johanna Zaïre, Rebirth, dénote par sa franchise à toute épreuve, son côté cash et sa facture : le récit d’une trajectoire édifiante de la dépression vers une incroyable reconstruction grâce aux arts. "Un jour, j'ai entamé une descente aux Enfers et je me suis perdue. J’ai cherché à partir et je suis restée. Combattre mes démons, essayer de comprendre, me sentir différente, être différente, me battre pour être enfin moi-même et m'en sortir."

Cette différence porte un nom : "surefficience mentale". Johanna Zaïre résume cette caractéristique psychologique ainsi : "Je ne suis pas plus intelligente que toi ou quiconque, rien à voir avec le fait d’être surdoué, c’est plus compliqué que ça. Pour résumé, je dirais simplement que contrairement à « la norme », je fonctionne davantage avec mon cerveau droit, hôte de l’imagination, l’intuition, la créativité, les émotions et les pensées foudroyantes… Je ne supporte pas la lumière, ni les goûts extrêmes (acide/amer), ni les fortes odeurs… C’est ce qu’on appelle l’hyperestésie : la sensibilité accrue aux sens."

Hyperestésique et surefficiente, la jeune femme doit faire face dès son adolescence à une double épreuve : l’accident mortel de son petit copain et le suicide quelques jours plus tard d’un de ses meilleurs amis. Ces deux drames, coup sur coup, marquent le début d’une "descente aux enfers" marquée par la dépression, les conduites à risque et les tentatives de suicide. "Tombera ou tombera pas ? (…) Comment prévenir une chute ou une descente aux enfers ?" résume l’auteure en toute fin de son livre, qui est autant le témoignage d’une jeune fille rongée intérieurement que le récit d’une lente reconstruction.

Johanna Zaïre se lance à corps perdu dans les arts – la musique, la littérature puis le cinéma – qui vont finir par devenir indispensables à l’équilibre de la jeune femme : publications (Sanatorium, World War Web ou Les Roitsy de Magara Kisi), compositions, concerts ou tournages rythment une vie trépidante, marquée également par des déceptions personnelles, sentimentales et artistiques comme par les impératifs professionnels.

Véritable récit thérapeutique, Rebirth est un livre confession total dans lequel se succèdent sans fard ses souvenirs non-édulcorés, ses accusations adressées à d’anciens proches, des photos, des reproductions de courriers ou de textes manuscrits et surtout des flash-codes invitant le lecteur à découvrir quelques-uns de ses titres ou des vidéos (dont le clip World War Web, sélectionné dans plusieurs festivals internationaux). Rebirth est complété par des illustrations de Thibault Colon de Franciosi.

"De la cendre… C’est ce que j’étais il y a treize ans" confie Johanna Zaïre. En véritable artiste qui a choisi la liberté, hors de toute structure, pour bâtir une œuvre sans limite, mêlant musiques, littérature et vidéo. Un témoignage à lire, à vivre et à suivre.