John Grisham

C'est dommage que dans les 100 premières pages, ce soit si long et que l'histoire ne démarre pas. Par contre, quand ils vont enfin mettre leur arnaque en place, on ne decroche plus et on voit les 3 protagonistes s'enfoncer de plus en plus dans l'escroquerie et se venger de cette école de droit privée américaine qui les a endettés jusqu'au cou. Assez jouissif, finalement !

J’ai choisi de lire Le cas Nelson Kerr de John Grisham aux éditions JC Lattès car c’est l’un de mes auteurs de thrillers chouchou. Je pensais retrouver un avocat en guerre contre des injustices comme c’est souvent le cas dans ses livres.



Mais j’ai eu une belle surprise. Oui, il y a quelques avocats dans l’histoire (on ne se refait pas), mais ici, c’est un libraire, un peu filou, qui enquête sur la mort d’un ami, qui est un écrivain à succès, mort en Floride pendant un ouragan. Est-ce à cause du roman qu’il était en train d'écrire ?



John Grisham aime traiter les sujets qui fâchent : la peine de mort, la pollution, les injustices.... La liste est longue. Là, il s’attaque au scandale des maisons de retraite prêtes à tout pour gagner de l’argent. Un sujet étrangement d’actualité en France !



Comme d’habitude, j’ai beaucoup aimé le style de l’auteur, vif, incisif, qui nous donne envie de continuer à tourner les pages. Le livre se lit facilement, il est bien écrit et les chapitres sont courts.



On s’identifie bien avec le libraire, exaspéré de la lenteur de la police, plein de défauts, mais voulant à tout prix rendre justice à un ami. Pour cela, il est prêt à tout.



C’est un bon roman de Grisham, même si je le trouve très différent des autres. Je vous le conseille.


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Je ne connais rien au basket, mais j'ai lu passionnément ce livre de John Grisham qui décrit longuement des matches avec tout le vocabulaire et toutes les règles de ce sport. Il faut être un conteur hors pair pour accrocher ainsi une lectrice ignorante. Depuis, j'ai envie d'assister à un match et je suis les performances de Vistor Wembayama aux US, c'est dire la puissance de conviction d'un bon auteur.
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Peut-être le premier thriller judiciaire pour moi; je ne saurais dire si dans mon parcours de lectrice , j'ai déjà lu ce type de roman. Je dirais que oui mais qu'ado, je l'aurais qualifié plus de polar. J'avoue qu'à l'époque, je me souciais pas trop des différents sous genre.



Ce fut une excellente lecture, bien documenté, sur les organisations américaines qui aident les détenus qui clament leur innocence. Dans cette intrigue, l'agence "Anges gardiens" reçoit beaucoup de demandes; à eux, la petite équipe qui travaille "presque" bénévolement (les fonds proviennent de dons principalement) de décortiquer les affaires et de voir ceux ou celles qui sont réellement victime d'une erreur judiciaire.



S'ensuit dès lors, le parcours du combattant pour trouver de nouvelles preuves, faire appel aux témoins. C'est incroyable comme la justice peut être lente même quand les preuves de non culpabilité sont là. Ici, il y a deux affaires dont l'une va être rapidement résolue et puis , l'autre, celle de Quincy en prison depuis 23 ans, injustement accusé du meurtre de son avocat. L'équipe des Anges gardiens est composée d'un ex-avocat/prêtre et de différentes personnes avec des spécificités propres.



J'ai trouvé le livre très facile à lire, même si au départ j'aurais peut-être dû noter les nomes des protagonistes. Il y en a pas mal mais, en même temps, l'auteur, au fil du livre, rappelle les faits (pas tous) et donc, cela remet un peu les idées en place. On pourrait dire que c'est un livre assez "lent" , perso, cela ne m'embête pas mais je sais que certaines personnes, cela les rebute ;) et il n'y a pas de gros twist. C'est un livre qui prend son temps, qui montrent les évènements quand c'est le bon moment.



Le style est vraiment agréable à lire et c'était bien construit. Donc, une très bonne lecture pour moi :)

Addictif et bien documenté .



Inspiré, comme souvent, de l’expérience réelle de John Grisham, il nous fait vivre le combat intérieur que Jack Brigance ressent .



On veut voir cet enfant être reconnu plus victime que coupable, et que cette douloureuse expérience lui permette d’aller vers une maturité apaisée.

Une avocate,membre d'un bureau de surveillance de la justice,enquête à la demande de la fille d'une victime qui pense qu'un juge est tueur en série.

Pour un polar,je l'ai trouvé un peu plat ce roman . Finalement il n'y a pas de suspense, et la fin manque de rebondissements.

John Grisham, célèbre auteur américain dont plusieurs romans ont été portés à l’écran (La firme, L’affaire Pélican, Le maître du jeu, etc.) est quelque peu spécialisé dans le roman judiciaire. Dans « L’accusé », il nous relate par le détail la gloire naissante d’un jeune joueur de base-ball, sa déchéance physique et mentale, et le parcours judiciaire de plus de dix ans qui l’amènera dans le couloir de la mort.

Ce livre basé sur des faits réels porte une réflexion forte sur les conditions exigeantes de la justice…

L'auteur est manifestement en panne. On est loin, très loin, des grands Grisham. Si vous attendez qu'il se passe quelque chose, vous serez déçus. Des meurtres, un méchant juge criminel qui se cache et qui finit par être découvert, et... Et c'est tout. N'attendez rien d'autre, il n'y a rien en magasin. Passez votre chemin.

J’ai été une des fans finis dès les débuts littéraire de Grisham. J’ai enchaîné plusieurs de ses livres jusqu’à ce que … j’en ai eu assez. Ce n’était pas que je ne trouvait plus bon ses romans mais un moment donné, avec les adaptations cinématographiques, je me suis senti submergé par John Grisham. Il faut quand même lire autre chose !



Mais voilà que je tombe sur ce titre et … un thriller dans le milieu des manuscrits et des livres rares, pourquoi pas ? Et je ne le regrette aucunement. J’ai bien aimé me laisser entraîner dans cet univers, et quelle histoire !



Cinq manuscrits originaux de l’écrivain américain Francis Scott Fitzgerald ont été volés de la voûte très sécurisée de la bibliothèque de l’Université de Princeton. Tout de suite, Bruce Cable, le propriétaire d’une librairie de Santa Rosa en Floride, devient le suspect numéro 1. La raison ? Parce qu' à côté de ses ventes en librairie, Cable fait commerce de première éditions de livres anciens et ça rapporte gros. On demande à l’écrivaine Mercer Mann, qui a une petite maison sur l’île de Camino, de s'infiltrer auprès de l’entourage de Cable afin de découvrir … Est-ce lui qui est en possession des précieux manuscrits ?



Roman très agréable, léger, une bonne reprise dans l’univers Grisham.

Lacy Stoltz, qui travaille au sein du BJC (Board on Judicial Conduct) – le bureau de l’Inspection judiciaire – reçoit un appel peu banal. Une jeune femme qui se présente sous le pseudo de « Margie » lui donne rendez-vous dans un pub proche de son bureau pour une affaire très importante dont elle ne peut pas parler au téléphone. Elle lui expliquera qu’un juge de sa juridiction (la Floride) est en réalité un meurtrier … La jeune femme dit s’appeler Jeri Crosby et lui affirme que son père fut l’une des six victimes (qu’elle a, jusqu’à présent, réussi à répertorier …) Un juge-serial killer, qui tue depuis une bonne vingtaine d’années, pour se venger (d’une humiliation ou d’un acte malveillant, subis il y a quelques semaines, aussi bien qu’au cours de son enfance …) Un juge-assassin qui semble avoir un listing …



Son nom : Ross Bannick …



Seulement voilà : Lacy Stoltz (dont le petit ami travaille pourtant au FBI) est aussi effrayée que Jeri Crosby. Leurs noms ne risqueraient-ils pas de se retrouver rapidement sur la liste noire de ce psychopathe, qui n’a jamais été soupçonné ?



Encore une intrigue de John Grisham qu’il nous est bien difficile de lâcher avant la dernière ligne ! Lacy Stoltz, son « héroïne », est une protagoniste d’un de ses précédents romans : (« L’informateur » – 2017) Le BJC est chargé de vérifier la probité des magistrats américains, ce qui n’est pas une tâche de tout repos, comme nous l’explique John Grisham … Encore un bon moment de lecture !

Je viens de constater que j'ai commencé ce bouquin en Octobre. Nous sommes Février ! J'adore Grusham, mais ce roman là a été une vraie torture à terminer, tellement je l'ai trouvé long et peu intéressant. Pourtant il y aurait eu matière à faire avec le sujet. Encore aurait-il fallu choisir le sujet. Le meurtre ou le scandale dans les maisons de retraites. J'avoue avour choisi ce livre pensant retrouver un peu l'univers des scandales des grosses entreprises à monopoles qui osent tout et je me suis retrouvée avec polar de moyenne facture. Cependant il se laisse lire. Ce n'est de loin pas le plus mauvais livre que j'ai lu, mais jusqu'à présent, le pays mauvais Grisham.

John Grisham n’a plus à faire la preuve de son talent dans l’écriture de polars ou de thrillers mais d'un autre côté, l’enjeu pour lui est grand de continuer à surprendre et attirer les lecteurs ! Dans ce roman, dont j’ai découvert qu’il était un second tome (sans que cela ne gêne ma lecture !), l’auteur met en scène Lacy Stoltz, une avocate travaillant pour le Bureau de l’Inspection Judiciaire, en charge des plaintes émises à l’encontre des magistrats de l’État de Floride. Son quotidien un brin routinier se voit bouleversé lorsqu’une femme mystérieuse, Jeri Crosby, la contacte pour lui faire part de plusieurs meurtres commis sur plusieurs années par un Juge réputé siégeant en Floride.



Donc, dans ce thriller, pas de véritable suspens autour du coupable : il nous est livré dès les premiers chapitres ! C’est notamment ce qui fait l’originalité de ce roman qui va donc s’articuler autour des différents meurtres qui sont progressivement dévoilés et expliqués, de l’enquête qui va être menée pour apporter les preuves nécessaires à inculper notre magistrat - serial killer, et la traque que va mener en parallèle l’assassin pour apprendre qui l’a découvert et dénoncé et quels sont les éléments à charge contre lui. Les chapitres vont alors alterner entre les points de vue des différents protagonistes, les 2 enquêtes et leur progression parallèle.



C’est un roman original et habilement construit, qui entraîne le lecteur, avec ce qu’il faut de tension, de suspens, de rebondissements ; mais je n’ai pas été complétement séduite ! Peut-être le fait d’introduire régulièrement dans le récit des passages de vie, plus personnels, en totale déconnexion avec l’intrigue ? Peut-être aussi la fin, ou plutôt les fins, qui donnent l’impression que Grisham s’est ravisé sur l’issue, la morale qu’il souhaitait donner à son roman ? Je ne sais pas vraiment ce qui m’a donné ce sentiment d’insatisfaction ! Mais, pour être honnête, ce roman n’en reste pas moins une lecture sympathique et distrayante, entre 2 romans plus sombres ou profonds !

John Grisham est connu pour ses polars juridiques. "Le cas Nelson Kerr" est un peu différent et beaucoup plus facile d'accès. Pour ceux qui voudraient découvrir l'auteur, je conseille celui-ci que j'ai beaucoup aimé.



L'histoire se passe en grande partie sur une ile où vivent des écrivains et un libraire qui organisent des séances de dédicaces et autres événements autour du livre. Le livre est donc omniprésent dans le récit.



Une tueuse à gages profite d'un cyclone qui dévaste tout sur l'ile pour tuer un avocat autour de livres qui dérangent. Ce type, Nelson Kerr, est donc un lanceur d'alertes qui a écrit quelques best-sellers et dont le dernier manuscrit n'a pas encore été envoyé à son éditeur.



Pourquoi a-t-on tué cet homme? Est-ce pour l'empêcher de publier son roman au thème dérangeant qu'on l'a assassiné?



Les flics ne bougent pas beaucoup; aussi ce sont quelques amis de l'avocat qui vont enquêter sur le meurtre. Finalement, le cas tombera entre les mains du FBI...



Je vous dévoile le thème principal en essayant de ne pas trop en dire : (ne lisez pas plus loin si vous voulez avoir le plaisir de la découverte)



un médicament qui prolonge la vie, c'est chouette, non? Mais si ce médicament n'agit que sur des personnes démentes, atteintes de la maladie d'Alzheimer, grabataires, est-ce encore aussi bien? Et si ce médicament provoque plein d'effets secondaires dont la cécité., faut-il encore l'utiliser?



Sachez que ça peut rapporter gros de prolonger la vie de quelqu'un...



Un des meilleurs Grisham selon moi et j'en ai lu une trentaine.
Lien : http://phildes.canalblog.com..

Roman basé sur une histoire vraie, les Anges Gardiens, est une fondation qui tente de réparer les erreurs judiciaires et de sauver des innocents et les oubliés.



Le véritable nom de cette fondation est "Centurion Ministries", encore active aujourd'hui.



J'ai passé un excellent moment de lecture, seul John Grisham, peut rendre aussi simple l'univers juridique.



Les personnages sont attachants, humbles et on arrive à rire avec eux.

On reconnaît l'écriture de JG, ses décors et on entends l'accent de l'Alabama.

Pas d'énormes surprises, mais une réelle envie de voir les histoires bien se terminer, et donc on tourne avec frénésie les pages tout en croisant les doigts (pas facile je vous assure !)



Quelques passages m'ont touchés et j'ai beaucoup aimé ce principe de tenter de sauver les prisonniers victimes d'erreur judiciaire et ça me donne envie moi-même de soulever toutes les pierres pour tenter de découvrir des pépites et venir en aide "aux oubliés".

J'ai adoré ce roman... tout simplement magistral!!! Je l'ai lu au début du mois de janvier, et il m'arrive encore aujourd'hui d'y penser.

J'ai notamment apprécié la manière avec laquelle John Grisham use de son talent d'écrivain pour nous sensibiliser à des causes importantes, telles que les guerres, les migrations, mais surtout la drogue...

Je vous conseille vivement ce livre si vous souhaitez vous plonger dans un univers tout aussi réaliste qu'émouvant. Je souhaite aussi souligner mon admiration pour la maniere dont John Grisham met en avant l'incroyable force de caractère qui anime le personnage principal, et qui finalement anime chacun d'entre nous...

Sur ce, bonne lecture... vous ne serez pas déçus!

1946

Clanton, Mississippi



Pete Banning quitte sa ferme. il se rend à l'église méthodiste de la ville où il abat le pasteur Dexter Bell de trois balles de revolver, sans raison apparente.

Il est arrêté par le shérif, mis en prison.

Il ne dit mot de la raison de cet assassinat.

Il est jugé condamné à mort et électrocuté sans avoir ni regretté ni expliqué son geste à qui que se soit, pour le moins en apparence, notamment à ses deux enfants.



C'est un résumé très succinct de la première partie du livre.



La seconde partie retrace le passé militaire de Pete Banning, lieutenant du 26ème de cavalerie de l'armée américaine, pendant la guerre du pacifique contre les japonais. Il participe aux Philippines, ile de Luçon, à la fameuse bataille de Bataan et à la déroute de son armée qui s'est rendue et aux affres des prisonniers, le Japon de Hiro Hito, ce criminel de guerre, n'ayant pas signé les accords de Genève relatifs aux prisonniers. Malgré des conditions épouvantables il survivra et regagnera son pays en piètre condition.



Et la dernière partie est relative, après l'exécution de Pete Banning au sort de ses enfants, de son épouse, de sa soeur et de l'exploitation de coton familiale. Le dénouement, et la raison de son acte, est particulièrement déroutant.



Dans un style impeccable (parfois pas forcément trop bien traduit) John Grisham nous conte cette histoire qui rappelle, par sa qualité, ses meilleurs livres, "la firme", "le client", "l'affaire pélican", etc.

J'ai beaucoup aimé ce roman qui m'a enthousiasmé par l'histoire et la façon qu'il raconte. Le livre est envoutant tant et si bien qu'il fut bien difficile de le quitter, ne serait-ce que pour quelques heures de repos. La maitrise du récit, présent, passé, puis à nouveau présent est pour beaucoup dans son succès.

En fin de livre, l'auteur raconte la genèse de cette histoire.


Lien : https://www.babelio.com/livr..

Ce livre tient le lecteur en haleine jusqu'au bout.

l'Affaire Pélican est un thriller politique plutôt correct et contient son lot de révélations.



John Grisham sait toujours faire apprécier pleinement sa connaissance du milieu des avocats.



J'avais également beaucoup apprécié le film tiré de ce polar.

Je ne suis familière des thriller policiers mais celui-ci m'a plu parce que tout ce qui se passe dans le monde des livres me plait.

Dans le cas Fitzgerald, il s'agit de se mettre sur la piste de voleurs de livres, pas n'importe quels livres : des manuscrits originaux du célèbre auteur Francis Scott Fitzgérald. Entre voleurs, receleurs, police, FBI et détectives privés qui retrouvera ces précieux ouvrages. Le tout sous le soleil de Floride, sur l'ile de Camino où vit un cercle fermé d'artistes infiltrés par la charmante Mercer? Mais vient elle faire dans cette histoire?

📚 Avis - 😀 💙



Imaginez, un juge, tueur en série, incroyable ! et pourtant !



Des meurtres parfaits, classés car pas de mobiles, aucune empreinte....



Comment prouver la culpabilité de ce magistrat ?



Cette enquête est passionnante et pleine de dangers, d'autant plus que l'homme est très intelligent, et connaît la loi sur le bout des doigts. Une histoire captivante, qui se lit d'une traite. N'hésitez pas ! 💦

Je viens de terminer "L'affaire Pélican" de John Grisham. Ce roman est sorti en 1992. Il date un peu, et je l'ai ressenti tout au long de cette lecture.



Mais c'est très bien écrit, la tension est palpable tout au long du récit. On est tenu en haleine dès la première page et je ne me suis jamais ennuyé durant cette lecture.



Deux juges de la Cour Suprême des Etats-unis sont assassinés par un tueur à gage redoutable. Ce double assassinat va entraîner Darby Shaw, une étudiante en droit, dans un engrenage infernal où elle va risquer sa vie ainsi que celle de ceux qui l'entoure pour avoir compris ce qui jouait derrière ce drame avant tout le monde.



On est plongé dans les méandres du pouvoir, de l'argent, des magouilles politico-financières dans un milieu où les égos des uns et des autres passent avant tout le reste.

Dans ce milieu, on tue ou on peut être tué, selon le cas, pour avoir vu ou entendu quelque chose que l'on aurait pas dû. L'auteur est très critique, très cynique parfois avec ce milieu. Il y dénonce les jeux de pouvoir, l'individualisme exacerbé, le mensonge et la manipulation. L'élection ou la réélection qui a plus de valeur qu'un vie humaine.



Après, ce roman reste très classique dans sa conception, on sent venir les choses. C'est un roman des années 90, les personnages manquent de densité. C'est un peu dommage.



Mais, malgré tout, la lecture est agréable et j'ai passé un bon moment. Je recommande ce roman, l'univers dans lequel il se déroule mérite tout notre intérêt. On se dit que les choses n'ont pas forcément beaucoup évolué depuis le temps et les arcanes du pouvoir reste bien sombre et bien opaque.