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Citations de John Norman (116)


Alors que la peur est préjudiciable aux performances sexuelles du mâle, les rendant impossibles parce qu’elle neutralise l’agression, essentielle au pouvoir du mâle, la peur, chez la femme, un certain degré de peur, pas la terreur, peut, bizarrement, augmenter sa sensibilité, peut-être en facilitant sa soumission, et peut alors la conduire à des orgasmes multiples. C’est, incidemment, une des raisons qui poussent les Goréens à asservir les femmes désirables; l’esclave sait qu’il lui faut plaire à son Maître et qu’elle sera punie, peut-être durement, si tel n’est pas le cas; non seulement cela la pousse à faire l’impossible pour plaire à la brute qui la caresse, mais cela la conduit également à avoir peur de lui; cette peur, en ce qui la concerne, augmente sa sensibilité et l’ampleur de ses réactions; et si elle ne connaît pas la peur, peu importe; toute femme, si son Maître le souhaite, peut apprendre la peur
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Dagmar avait, deux mois plus tôt, volé une morceau de fromage à Jolies Chevilles; elle avait été battue, attachée au poteau par Ottar, avec une badine, par Jolies Chevilles, jusqu’au moment où Jolies Chevilles en eut assez; en outre, quelques rameurs de Forkbeard ne l’avaient pas trouvée assez agréable; par conséquent, étant une fille de mauvaise qualité, elle devait être vendue
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" Aucune femme ", dit-on, " ne sait vraiment ce qu’elle est avant d’avoir porté le collier ". Quelques femmes libres, apparemment, ont peur du sexe parce qu’elles estiment qu’il rabaisse la femme. C’est tout à fait exact. Rares sont les relations humaines fondées sur l’égalité, à supposer qu’il en existe. Les tensions subtiles de domination et de soumission, universelles dans le monde animal, restent dans notre sang; on peut les atténuer et les inhiber mais, atténuées et inhibées, elles demeurent néanmoins. C’est la nature de mâle, chez les mammifères de dominer, c’est celle de la femelle de se soumettre
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Au pied de l’escalier conduisant à l’estrade, Forkbeard s’arrêta et s’inclina profondément. Je m’inclinai également. Les esclaves tombèrent à genoux, baissant la tête, Gunnhild parmi elles.
- Quelle honte ! dit la femme libre avec gravité.
Les esclaves étaient prosternées à ses pieds. Les esclaves ont très peur des femmes libres. Tout se passe comme s’il y avait une guerre secrète entre elles, comme si elles étaient des ennemies mortelles. Dans cette guerre, ou cette inimitié, naturellement, l’esclave est complètement à la merci de la personne libre; ce n’est qu’une esclave. La plus grande frayeur des esclaves, c’est d’être vendues à une femme. Les femmes libres traitent leurs esclaves avec une haine et une cruauté incroyables. On dit que c’est parce que les femmes libres sont jalouse du collier des filles et souhaitent également porter un collier, être complètement à la merci d’un Maître
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L’asservissement soyeux et parfumé du Sud leur faisait peur; dans le Sud, le joug de l’esclavage pèse beaucoup plus lourd sur les épaules des femmes; son asservissement est beaucoup plus abject; bien souvent elle n’est, aux yeux de son Maître, qu’un objet de plaisir; il n’est pas rare que le maître du Sud aime davantage ses sleens domestiques que ses femmes.
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Dans certaines cités, quotidiennement, les filles doivent se mettre à genoux et embrasser le fouet avec lequel, si elles ne procurent pas à leur maître tout le plaisir qu’il attend d’elles, elles seront battues.
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- Apporte le fouet à cinq lanières, dit Ivar Forkbeard à Gunnhild.
…… Le premier coup la jeta contre le poteau; je vis la stupéfaction, dans ses yeux, puis la douleur; la fille de Thorgard de Scagnar parut paralysée; puis elle hurla pitoyablement; c’est seulement à ce moment-là qu’elle comprit ce que le fouet pouvait faire à une fille.
- Je t’obéirai! cria-t-elle. Je t’obéirai!
Ivar Forkbeard, qui avait l’expérience des captives récalcitrantes, ne frappa pas pendant une ehn. Elle hurla inlassablement qu’elle lui obéirait. Puis il frappa à nouveau. Son corps, une nouvelle fois, fut jeté contre le poteau; ses poignets tirèrent sur la lanière de cuir; son corps tout entier se frottait contre le poteau sous l’effet de la souffrance, se pressant contre lui; les larmes jaillirent de ses yeux; elle était sur la pointe des pieds, serrée contre le poteau; mais le poteau ne céda pas; elle était attachée à lui. Puis il frappa encore. Elle se tordit, tira sur ses liens et hurla.
- Je demande seulement à t’obéir! cria-t-elle. Je supplie de t’obéir.
Quand il frappa à nouveau, elle ne put que fermer les yeux sous l’effet de la douleur. Elle pouvait à peine respirer. Elle hoquetait. Elle ne pouvait plus ni crier ni hurler. Elle se crispa, les dents serrées, son corps tout entier n’étant qu’un hurlement silencieux. Mais le coup ne s’abattit pas. La punition était-elle terminée? Puis elle fut frappée à nouveau. Les cinq derniers coups s’abattirent alors qu’elle se laissait pendre à la lanière de cuir, le corps pressé contre le poteau, le visage contre le flanc de celui-ci. Quand on la détacha, elle tomba à quatre pattes. La punition avait été légère, seulement vingt coups. Néanmoins, à mon avis, la fille de Thorgard de Scagnar n’avait pas la moindre envie d’être à nouveau attachée au poteau. La punition, quoique légère, avait parfaitement rempli son office, à savoir : enseigner le fouet à une captive.
Les femmes n’oublient jamais
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Elle ferma les yeux et respira profondément, impatiemment.
Elle ouvrit les yeux et secoua la tête.
- Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle.
- Du parfum de capture, répondis-je.
Je lui pris les avant-bras. Ivar Forkbeard, rapidement, s’empara de ses bagues et de ses bracelets. Puis il lui prit ses chaînes en or. Je la fis lever, la tenant par les poignets, Ivar arrachat le filet d’or qui retenet ses cheveux. Ils tombèrent, blonds, jusqu’à ses reins. Il déchira le haut col de sa robe de velours vert, découvrant son cou.
- Qui êtes-vous ? souffla-t-elle.
Il referma les menottes de fer noir sur ses poignets. Ceux-ci, par les menottes et leur unique maillon, étaient immobilisés à une dizaine de centimètres l’un de l’autre.
- Qui es-tu ? souffla-t-elle.
- Un ami de ton père, répondit-il.
Il se débarrassa, rapidement, de la robe des Parfumeurs, en soie jaune et blanche. Je quittai également la robe des Parfumeurs.
……. – Faut-il lui faire respirer à nouveau le flacon ? demandai-je.
Un morceau de tissu et une écharpe, imprégnés du liquide et maintenus sur le nez et la bouche d’une femme peuvent lui faire perdre connaissance en cinq ihns. Elle se débat vigoureusement pendant une ou deux ihns, puis faiblement, avant de s’effondrer. Les Tarniers utilisent parfois cette méthode; les Marchands d’Esclaves l’emploient souvent. On se sert également, parfois, de fléchettes enduites d’anesthésique, pour capturer les femmes; on peut les lancer ou les enfoncer dans le corps; elles font effet en approximativement quarante ihns; la victime reprend connaissance, nue, dans une cage
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Pendant un festin, Marlenus, désireux d’offrir un traitement de faveur à ses officiers supérieurs, leur présenta une danseuse aux oreilles percées. Elle portait, symbole de son humiliation, des anneaux d’or aux oreillles; elle n’avait pas pu aller au terme de la danse; sur un signe de Marlenus, elle avait été saisie, jetée sur le dallage sur lequel elle dansait et violée par plus de cent hommes
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- Et Lèvres Boudeuses ? demanda une autre jeune femme, tombant à genoux devant lui, levant la tête vers lui.
Parfois, on donne des noms descriptifs aux captives. Elle était blonde; elle sentait le verr; c’était probablement elle que j’avais vue, sur la pente, gardant un troupeau de verrs……
- N’oublie pas Jolies Chevilles, Jarl ! s’écria une autre fille, délicieuse petite chose qui n’avait sans doute pas plus de seize ans.
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- Tu le mangeras, dit Forkbeard, sinon tu seras déshabillée et attachée sur la rame…. Dans ce châtiment, la femme, nue ou habillée, est solidement attachée à une rame, les mains dans le dos, la tête en bas, vers la pelle. Quand la rame sort de l’eau, elle s’efforce de respirer, mais se retrouve presque aussitôt plongée dans l’eau. Les filles récalcitrantes passent parfois plusieurs heures sur la rame. Néanmoins, cette forme de punition comporte des dangers car les sleens marins et les requins blancs du Nord tentent parfois de s’attaquer à la fille attachée à la rame. Lorsque la nourriture manque, les hommes du Torvaldsland utilisent souvent une captive, lorsqu’ils en ont une sous la main, comme appât, de cette manière. On utilise toujours la femme la moins séduisante. Cette pratique, naturellement, pousse les captives à faire tout leur possible pour plaire à leurs maîtres. Une ahn sur la rame suffit généralement pour transformer la femme la plus froide et orgueilleuse en captive obéissante, prête à tout pour plaire. La seule technique qui soit considérée comme supérieure est le fouet goréen à cinq lanières, utilisé également dans le Sud, et ce que les Torvaldslandais appellent le Fouet des Fourrures, méthode aux termes de laquelle le Maître, avec son corps, enseigne irrémédiablement son asservissement à la femme
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Les femmes poussèrent des cris de désespoir. Entrer dans le cercle, lorsqu’on est une femme, selon les lois du Torvaldsland, c’est reconnaître qu’on est captive. Naturellement, il n’est pas nécessaire que la femme y entre volontairement. On peut la jeter à l’intérieur, nue et attachée. Quelle que soit la manière dont elle entre dans le cercle, volontairement ou sous la contrainte, libre ou attachée, elle en sort, conformément aux lois du Torvaldsland, captive.
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Aucune femme, incidemment, ne peut devenir Initiée. En conséquence, aucune femme ne peut accéder à la vie éternelle
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- Ces deux femmes, lui dis-je, étaient libres. Par conséquent, dès qu’elles porteront le collier, force-les à boire le vin des esclaves.
- Oui , Capitaine, répondit-il avec un sourire.
Le vin des esclaves est amer, intentionnellement. Ses effets durent plus d’un mois goréen. Je ne voulais pas que les femmes conçoivent. Les esclaves ne cessent de boire le vin que lorsque leur maître a l’intention de leur faire porter un enfant.
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Sur Gor, l’esclave – n’était pas légalement une personne – n’a pas de nom en propre, tout comme sur Terre nos animaux domestiques qui ne sont pas des personnes devant la loi n’ont pas de nom. En fait, du point de vue goréen, une des choses les plus terribles de l’esclavage, c’est qu’on perd son nom. Ce nom que l’on a eu de naissance, par lequel on s’est appelé et connu, ce nom qui est une si grande part de la conception de soi, de sa véritable et intime identité – ce nom disparaît.
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Je regardai la jeune femme, maintenant captive, après ses longues journées de souffrances et de fuite, ses minces poignets encerclés finalement par les bracelets détestés de Thorn, des bracelets magnifiquement travaillés comme beaucoup, ornés même de pierres précieuses, mais en acier impossible à rompre.
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On comprend mieux la nature de l’institution de la capture et l’attitude des Goréens à cet égard quand on sait qu’une des premières missions d’un jeune tarnier est souvent de s’emparer d’une esclave pour sa propre maison. Lorsqu’il ramène chez lui sa captive, liée nue en travers de la selle de son tarn, il la remet joyeusement à ses sœurs pour qu’elle soit baignée, parfumée et revêtue de la courte livrée des esclaves de Gor.
Ce soir-là, au cours d’un grand festin, il exhibe la captive, maintenant habillée comme il se doit par ses sœurs du costume de danse de Gor en soie écarlate et diaphane. Des clochettes ont été attachées à ses chevilles et elle a les poignets pris dans les bracelets d’esclave. Fièrement, il la présente à ses parents, à ses amis et à ses compagnons d’armes.
Puis, au son des flûtes et des tambours, elle s’agenouille. Le jeune homme s’approche, portant un collier d’esclave où sont gravés son nom et celui de sa ville. La musique se fait plus intense et atteint un crescendo barbare accablant qui s’arrête avec soudaineté. Le silence règne dans la salle, un silence total à l’exception du cliquetis décisif de la serrure du collier.
C’est un bruit que la jeune fille n’oubliera jamais.
Aussitôt la serrure fermée, une formidable acclamation s’élève pour congratuler et fêter le jeune homme. Il retourne à sa place parmi les tables qui bordent la salle au plafond bas où sont suspendues des lampes de cuivre allumées. Il se place au milieu de sa famille, de ses intimes, de ses camarades de combat, assis sur le sol en tailleur à la manière goréenne derrière la longue table basse en bois, chargée de vivres, qui se trouve au haut de la salle
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Elle frémit. Je la considérai. Peut-être lui ferais-je donner une formation d’Esclave de Plaisir, experte dans les danses sensuelles et les mille arts du plaisir. elle pourrait être envoyée, formée, parfumée et vêtue de soie, à un féroce rameur du Torvaldsland. Peut-être Ivar Forkbeard, mon ami, aimerait-il qu’elle lèche ses bottes. Les femmes sont de beaux cadeaux. J’en gardais toujours quelques-unes, dans ma Demeure, que je destinais à cet usage.
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- Je peux te vendre pour me procurer de l’argent, repris-je. Je peux te vendre parce que j’en ai assez de toi. Je peux te vendre parce que cela m’amuse. je peux te vendre parce que j’ai envie de voir quelle allure tu as, nue sur la sciure de l’estrade.
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- L’assurance de la chaleur d’une femme, dans certaines villes, expliquai-je, est parfois fournie, avec la garantie du Marchand d’Esclaves, avec les documents de la vente. Son degré de chaleur, dans une telle situation, serait également indiqué, bien entendu, avec ses autres propriétés, sur les feuilles de vente, affichées à proximité des cages d’exposition, vingt ahns avant la vente. Il serait également annoncé, dans une telle situation, en même temps que son poids, sa taille de collier et d’autres choses, sur l’estrade, pendant la vente.
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