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Citations de John Norman (116)


L’homme possède la femme par nature ; dans un monde où il y a des lois et un droit de propriété, l’esclavage des femmes, en tant que fait juridique, n’est pas surprenant ; il existera dans toutes les sociétés ayant gardé un contact avec les vérités de la nature.
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Je savais qu’il y avait un marché aux esclaves, sur les quais. J’y avais autrefois acheté une femme panthère, brune, nommée Sheera. Je lui avais rapidement appris la signification de son asservissement. Quelques mois plus tard, je l’avais affranchie. Comme j’avais été stupide ! Ce n’était pas une erreur que je commettrais à nouveau avec une femme. Qu’elles restent esclaves. Le collier est ce qu’il leur faut.
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Il la tira violemment en arrière, dénudant la femme. Elle était très belle. Elle gisait derrière elle, sur ses poignets enchaînés. Du pied, il l’obligea à écarter les genoux. Puis il s’accroupit derrière elle, la tenant par les avant-bras. Elle se débattit. Elle se mit à hurler pitoyablement, la tête rejetée en arrière, elle ferma à nouveau les genoux. L’homme au fouet, furieux, monta sur l’estrade. À coups de pied, il l’obligea à les ouvrir à nouveau. Elle sanglotait et hurlait. Les spectateurs riaient.
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Presque toutes les femmes, sur les estrades, sont exposées nues et enchaînées. Quelques-unes, en revanche, sont habillées, généralement de courtes tuniques qu’il est possible d’ouvrir. On pense qu’une femme habillée attire parfois davantage l’acheteur. Quand il avance et demande à voir la femme, et que la tunique est ouverte, il est déjà là, bien entendu, et intéressé. Le Marchand d’Esclaves, ou son employé, peut alors parler avec lui, discuter, vanter et montrer les avantages de la marchandise. Cela n’aurait pas été possible si le client potentiel n’avait fait que la regarder brièvement en passant. Il est extrêmement rare que les femmes soient vendues habillées. On dit que seul un imbécile achèterait une femme habillée. C’est certainement vrai. Achèteriez-vous une femme que vous n’auriez pu examiner en détail ?
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J’entendis les lamentations de femmes enchaînées.
Il faut comprendre clairement que la vie d’une esclave, naturellement, est souvent bien peu joyeuse.
Après tout, c’est une esclave. Sa volonté ne signifie rien.
On peut l’acheter et la vendre.
Elle est exposée au fouet, à la torture et même à la mort, si son maître le souhaite.
Elle ne sait pas qui l’achètera.
Sa condition est objectivement dégradante.
Souvent, elle doit travailler à la perfection pour faire plaisir à un maître brutal pour qui elle n’est rien.
La gloire de l’esclave réside dans sa condition ; et la misère de l’esclave réside également dans cette condition.
Mais, l’un dans l’autre, les chaînes conviennent aux femmes. Elles sont bonnes pour elles.
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L’interdiction de la violence, dans le cadre des Sardar, ne s’étend naturellement pas aux esclaves. Ici comme ailleurs, on peut les fouetter, les torturer et les tuer, selon ce que désire le maître. Ce sont des esclaves.
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Nous entendîmes l’esclave hurler dans le couloir, puis elle poussa un cri de douleur et se tut. Les gardes, las de l’entendre hurler, l’avaient giflée pour la faire taire. Parfois, les femmes sont autorisées à crier. Parfois, elles ne le sont pas. Cela dépend de la volonté de l’homme. Lorsqu’elles sont marquées au fer rouge, les femmes sont en général autorisées à crier, du moins pendant quelque temps. Mais nous n’entendrions pas ce hurlement-là car, lorsque cela serait fait, elle se trouverait en bas, dans les cages
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Ensuite, repris-je, tu seras violée et tu apprendras ta féminité. Quand tu connaîtras ta féminité, tu seras enfermée dans une cage. Ensuite, tu seras vendue.
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Les tuniques d’esclave ne permettent guère aux femmes de cacher leur sexe.
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C’était vrai. Si un invité avait manifesté de l’intérêt pour Vella, Élizabeth, ancienne secrétaire de la Terre, une de mes esclaves, je la lui aurais certainement donnée pour le plaisir de sa nuit. Et, s’il ne s’était pas déclaré totalement satisfait, j’aurais fait fouetter l’esclave, au matin.
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Chez la femme, à mon avis, le sexe est une affaire plus compliquée que chez l’homme. si elle est correctement traitée, et, par correctement traitée, j’entends pas traitée avec courtoisie et gentillesse mais, plutôt, conformément à ce que désire sa nature, elle est encore plus intensément soumise à son pouvoir que l’homme. Le sexe, chez la femme, est une chose très subtile et profonde; elle est capable de plaisirs intenses et soutenus pouvant susciter la jalousie de tout organisme énergique. L’homme, bien entendu, peut se servir de ces plaisirs pour en faire sa prisonnière impuissante et son esclave. Peut-être est-ce pour cette raison que les femmes libres se prémunissent tellement contre eux. L’esclave, naturellement, ne peut pas se prémunir contre eux, car elle est à la merci de son maître, qui la traitera non comme elle le souhaite, mais exactement comme lui le souhaite.
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Le sexe est un moyen de contrôler les esclaves. Il est aussi utile que les chaînes et le fouet.
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On prend les esclaves quand on veut, et comme on veut.
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Je pivotai et sortis, suivi à deux pas de Vika, comme sa condition l’exigeait.
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Elle gardait la pose de l’Esclave de Plaisir, mais elle avait inconsciemment retourné les paumes vers moi, et son corps ne reposait plus sur ses talons. Mais, sous mon regard sévère, elle reprit la position classique, tête basse, le regard fixé sur la semelle de plastique de mes sandales
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Sur Gor, la possession totale de diverses femmes ne m’avait pas embarrassé plus que ça, mais je n’avais jamais beaucoup aimé que l’on appelle " Maître ".
Il me suffisait de l’être.
Les femmes qui m’avaient appartenu, Sana, Talena, Lara, d’autres dont je n’ai pas parlé, Esclaves de Passion louées à l’heure dans les Tavernes à Paga de Ko-ro-ba et d’Ar, Esclaves de Plaisir que l’on m’offrait en gage d’hospitalité pour une nuit à passer sous le toit d’un ami, toutes avaient bien su que j’étais le maître, et c’était suffisant.
D’autre part, je ne m’étais jamais trop opposé à ce titre parce que je n’étais pas sur Gor depuis longtemps quand il m’était apparu que le terme " Maître " peut donner un plaisir indescriptible à une fille quand il lui monte aux lèvres – pour le moment aux lèvres d’une esclave – quand elle sait qu’il exprime la vérité. Qu’il en soit de même ou non pour les filles de la Terre, je l’ignore.
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- Toute femme désire au fond du cœur porter les chaînes d’un homme, ajouta-t-elle.
J’en doutais.
- Bien sûr, reprit-elle, nous aimerions choisir notre homme.
Cela me parut plus probable.
- Et c’est toi que je choisirais, Cabot.
- Les femmes désirent avant tout être libres, répondis-je.
- Oui, nous souhaitons aussi la liberté. (Elle sourit : ) Il y a en toute femme une part de Libre Compagne et une part d’Esclave.
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Je me demandais comment la fière Vika aurait réagi à ce geste effronté. Je souris intérieurement en songeant que je pourrais toujours lui dire, et sans mensonge, que, lui ayant sauvé la vie, elle était mienne selon la loi goréenne, malgré sa récente liberté, et qu’il m’appartenait désormais de décider de l’ampleur et de la nature de ses vêtements, et même de la faire aller nue s’il m’en chantait.
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Ces véritables bijoux sont normalement faits à la mesure du cou de la fille. On les considère non seulement comme signe d’esclavage et moyen d’identification du propriétaire, mais aussi comme un ornement. C’est pourquoi le maître goréen a le souci que le bandeau de métal ne soit ni trop serré ni trop large. En principe, il est si bien ajusté qu’un coup de laisse un peu sec fait beaucoup souffrir la femme qui le porte.
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Si j’avais eu le temps, s’il n’y avait pas eu des affaires plus urgentes, j’aurais pu la punir moi-même sans pitié, pour lui apprendre ce que signifiait son collier, en me servant d’elle aussi indifféremment et brutalement qu’elle le méritait, selon la méthode de discipline du maître goréen envers son esclave traîtresse
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