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Critiques de Joseph Connolly (74)
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Un roman foisonnant drôle et cruel, So Britsish !
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S.O.S.

Moi qui ai le mal de mer, je me suis totalement laissée embarquée par ce roman… Préparez-vous à un voyage houleux mais très drôle!! Ce livre est peuplé d'une multitude de personnages plus ou moins attachants (le moins s'adressant à certains personnages que l'on serait près à tuer de ses propres mains), avec des personnalités parfois diamétralement opposées, et c'est bien ça qui rend certaines situations désopilantes.



Que l'on ne s'inquiète pas pour autant, pas d'iceberg à l'horizon, le bateau arrivera à bon port. Mais quant à savoir dans les bras de qui?…. ça je vous laisse le découvrir.



Dans mon cas, c'est avec regret que j'ai débarqué à mon tour sur le port de New York, laissant dans les cabines du bateau tous les secrets, les mensonges, les quiproquos et les sentiments des relations humaines (dans tous les sens du terme!!)

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N'oublie pas mes petits souliers

N'oublie pas mes petits souliers est un des rares livres que j'abandonne.

Pourtant, la quatrième de couverture m'avait attirée : une satire de la société contemporaine. Je me suis dit "oh, je vais bien rigoler". Et c'est vrai que tout est amené pour en faire un condensé. Un groupe d'amis se retrouve lors d'un repas et on découvre leur vie : histoire d'amour ou histoire de mec, déboires, choix, relation amicale ou faussée, boulot ou pas de boulot, enfants, alcoolisme, histoire ratée ou réussie. La vie quoi ! Et j'avais trouvé original le fait d'entrecouper tous ces dialogues par les pensées spontanées de chacun après chaque mot prononcé. Parole, pensée, parole, pensée. Et puis, tout çà m'a très vite lassée. Je n'y ai plus trouvé aucun intérêt. Et en sachant que j'en avais encore pour 400 pages...

Désolée pour les inconditionnels de Joseph Connolly, mais pour une premier livre lu de cet auteur, je n'ai pas envie de renouveler l'expérience.
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S.O.S.

C'est hilarant, complétement barré, ça ce lit le matin, le soir, aux toilettes ou au lit.... Et ça détend....
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England's lane

Une lecture laborieuse, qui s'est traînée pendant un temps un peu trop long à mon goût... England's Lane n'a pas vraiment répondu à mes attentes, et qui a failli à plusieurs reprises me laisser sur la touche.

La plongée dans le Londres des années 60 est relativement intéressante, mais pas suffisante pour véritablement apprécier le contenu de ce roman.

Une action molle, des personnages pas très attachants. Je suis restée sur ma faim, peut-être que j'en attendais trop ?!
Lien : http://lesquotidiennesdeval...
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S.O.S.

Huis clos sur un bateau de croisière, humour cinglant, amour et trahison, un bon moment de détente
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S.O.S.

Un livre agréable, qui se laisse lire, sans avoir besoin de trop réfléchir. Comme dans Vacances anglaises Connolly fait preuve d’un humour très grinçant, et pour ne rien gâcher c’est écrit dans un style assez fluide et agréable.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

C'est du niveau d'un roman de plage, parfait pour tromper l'ennui durant les vacances d'été, dont il est d'ailleurs question ici, mais le plus souvent sans aucun intérêt. Sitôt lu, sitôt oublié, à recommander toutefois si vous raffolez des personnages futiles et de leurs histoires de coucheries et d'infidélités….
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Ça ne peut plus durer

Ici les couples se font, se défont, et toujours chez des gens orinaires mais l,alcool, les partys y aident sûrement. Tout ce beau semble ne pas se connaître mais au bout du compte ils ont tous quelqu'un en commun. Drôle , cruel, on ne s'ennuie pas une seconde.
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L'amour est une chose étrange

Jamais vu un narrateur se mettre à ce point dans la peau de ses personnages, surtout du petit Clifford. Je me suis même demandée à un moment si ce n'était pas un enfant qui avait écrit certains passages tellement c'est impossible pour un adulte de raisonner de la sorte
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S.O.S.

Qu’est-ce qui peut bien avoir poussé les passagers du paquebot « Sylvie » à vouloir prendre le bateau pour traverser l’Atlantique de Londres à New-York ?

Parmi eux, quelques couples, des anglais, des américains, des passionnés incollables sur le bateau « Sylvie » lui-même, une mère et sa fille rocks et fauchées, le personnel navigant, le capitaine, et tant d’autres encore qui les entourent.

Une fois embarqués et installés dans leur cabine, leurs activités sont réduites. Fuyant l’ennui et l’angoisse, ils s’ouvrent les uns aux autres et établissent quelques relations, aboutissant presque toutes aux pratiques sexuelles et aux beuveries. Certains errent comme des âmes en peine, ne sachant comment chasser leurs idées noires.

L’auteur réalise des transitions habiles entre la pensée des uns, et le dialogue des autres, maniant le quiproquo avec une maestria totale. C’est drôle de bout en bout et l’on ne s’ennuie à aucun moment.

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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

…Mauvais choix… J’ai même abandonné au bout de 180 pages…alors que j’ai vraiment du mal à renoncer à terminer un livre en général. Je n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire, ni à m’attacher aux personnages. J’ai trouvé le récit ennuyeux, sans intérêt, trop caricatural…

Elisabeth part en vacances dans un hôtel cinq étoiles, exhibe ses tenues luxueuses. Son « amie » Dotty veut la suivre mais sans avouer que les affaires de son mari ne marchent pas et qu’elle n’a plus les moyens financiers de ses envies. Autour d’elles, leurs maris, enfants, amis qui rivalisent de snobisme et de vulgarité : adultères, relations malsaines, rivalités, mensonges, jalousies, mesquineries….

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L'amour est une chose étrange

Immersion (totale) dans une famille anglaise, années 1950. Le point de vue du petit Clifford, personnage principal, ouvre l'histoire. On est d'abord déstabilisé par ce langage enfantin (que l'auteur manie à merveille), cet esprit juvénile qui s'emmêle d'une pensée, d'un sujet à l'autre sans forcément qu'on puisse y voir de liens évidents. On passe à la mère, pour laquelle déjà cet amour pour son fils dérange presque, surtout lorsqu'elle le compare elle-même à celui, beaucoup moins puissant, qu'elle porte à sa fille Annette, et qu'elle se sent obligée de justifier de "Elle ressemble tellement à son père". Le reste de la famille y passe également, le père, la soeur. Il faut lire de nombreuses pages d'affiliées pour comprendre ces changements de points de vue aussi nombreux que soudains, mais qui, on s'en rend compte plus tard, permet de comprendre les divers engrenages qui feront aboutir à un drame final. Et puis les enfants grandissent, les adultes vieillissent. Les points de vue internes permettent de comprendre les changements qui ont pu opérer durant l'ellipse. Seul Clifford reste plus ou moins le même, conservant cette innocence si émouvante de la première partie.

Sur pointe d'humour associée à des sujets qui fâchent (ce qui permet de les appréhender avec une légèreté à laquelle on n'aurait pas pensé), on découvre donc l'amour, le vrai, l'étrange, le maladif, celui qui fait se transformer des femmes soumises et innocentes en Vierges noires, celui qui détruit, mais aussi qui lie un frère et une soeur entre eux.

En somme un livre que je recommande vivement!
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S.O.S.

Un livre agréable, qui se laisse lire, sans avoir besoin de trop réfléchir. Comme dans Vacances anglaises Connolly fait preuve d’un humour très grinçant, et pour ne rien gâcher c’est écrit dans un style assez fluide et agréable.
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N'oublie pas mes petits souliers

Je dois avouer avoir failli abandonner ce roman. Il ne me restait plus grand chose dans ma PAL et donc pas le choix, je l' ai lu.

L' histoire commence sur les chapeaux de roues. Et ce qui est très compliqué, c'est que le lecteur est sans cesse dans la tête des personnages, à suivre leurs pensées de l' un à l' autre et franchement, ça m'a rebutée car je ne comprenais rien.

Et au final, le fait de ne pas avoir eu le choix a été une bonne chose car après ce démarrage difficile, une fois que j' ai compris la logique de l' auteur, j' ai adoré !! C'est drôle, vraiment drôle, bien écrit, bien vu ; le regard de l' auteur est acéré et impitoyable et c'est jubilatoire.

Si vous détestez Noël et les repas de famille, ce livre est fait pour vous !
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Difficile d'écrire un billet de lecture quand ladite lecture n'a pas été enthousiasmante. J'ai l'impression d'être passée à côté du sel de l'histoire en raison d'un sentiment de déjà vu.



Pourtant le sujet abordé me plaisait par son parti pris de comédie estivale au cours de laquelle on peut disséquer les comportements humains.







Quatrième de couverture



« Howard est marié à Elizabeth, il ne pense qu'à téter son whisky douze ans d'âge et à sa maîtresse Zouzou. Le reste du temps, il donne le change avec une humeur toujours égale. Leur fille Katie, 17 ans, montre avantageusement ses seins à qui veut les voir. Des voisins, Brian et Dotty, émergent à peine de la classe ouvrière et sont en admiration devant le faste de leurs amis. Sans oublier qu'ils ont un fils, Colin, 15 ans, dégénéré notoire, qui fantasme sans arrêt sur Katie et sur sa mère, Elizabeth.



Les vacances s'annoncent, on va partir ensemble, les uns dans une suite d'hôtel, les autres dans une caravane… »





Le décor est planté, les personnages prennent rapidement corps et certains m'ont très vite agacée au plus haut point, en l'occurrence Katie, la fille un peu trop perverse à mon gré. Petite fille gâtée-pourrie par ses parents, très aisés, qui lui offrent tout ce qu'elle souhaite au point qu'elle ne se rend plus compte du prix des choses : je vois, ça me fait envie, j'achète sans regarder à la dépense puisque papa-chéri versera de quoi combler mon compte en banque. Dès ses premières entrées en scène, j'ai eu une folle envie de la gifler. Sans doute était-ce l'effet recherché par l'auteur : grossir tellement les traits des personnages qu'ils en deviennent énervants de ridicule.



Joseph Connolly a une écriture pleine de verve, son humour est décapant, le sexe est aussi joyeux que triste, insécure ou doux, tous ces atouts n'ont pas éloigné l'ennui.



La comédie de mœurs est réussie, il y a du rythme, les rivalités entre voisins sont bien vues, lorsque les masques tombent l'empathie n'est pas absente de la part de la lectrice que je suis.



« Sea, sex and sun » … la vie de couple est malgré tout regardée avec désenchantement, l'usure du quotidien écorne les désirs, les envies. Les douleurs incurables dressent des montagnes d'objets collectionnés pour combler un vide sans fond.



Colin, l'ado écartelé entre son snobisme social et scolaire, ses obsessions des poitrines de Katie et d'Elizabeth, tire malgré tout son épingle du jeu : finalement, tomber tout simplement amoureux d'une jeune fille normale est ce qui lui arrive de mieux.



Je mens, tu mens, nous mentons à tout le monde et surtout à soi-même.



Je suis allée au bout de ma lecture sans vibrer.
Lien : https://chatperlipopette.blo..
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Une comédie de moeurs au style original mais dont la fin ne tient les promesses. Style original au sens où dans une même phrase l’auteur mêle paroles et pensées de ses personnages. Promesses non tenues au sens où je m’attendais à une fin bien plus explosive compte tenu des nombreux arcs narratifs ouverts dans la partie précédente.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

J'avoue m'être arrêtée dès les premières pages du livre. Houlà, ça par de c…, c'est quoi ce livre ?? Je l'ai mis de côté un bon moment avant de le reprendre. Et bien, j'ai bien fait de le lire !

J'ai trouvé ce livre jubilatoire ! Pour les fans de Desperate Housewives et série du genre, j'ai retrouvé les mêmes ingrédients.

Les personnages sont tous aussi croustillants les uns que les autres, attachants, drôles, attendrissants. J'étais super déçue de les quitter à la fin du livre !
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Je ne termine pas la lecture de ce livre.

J'ai vu le film que j'avais bien aimé mais lire et connaitre d'avance l'histoire ne m'aide pas à avoir envie de continuer ma lecture et autant en film les aspects bourgeois, pédant et faux culs de tous ces personnages m'ont bien fait rire, à la lecture cela devint lourd et insupportable !



lu en 2008.

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England's lane

England’s lane est une rue commerçante de Londres. Le roman se déroule en 1959 ; la pauvreté et les privations de la guerre et l’après-guerre ne sont plus aussi fortes mais les traumatismes de cette période sont encore présents. C’est une histoire chorale où, dans le même chapitre, l’histoire est racontée par les deux personnes qui l’ont vécue. Bien évidemment, ce procédé laisse à voir les malentendus, les différences d’appréciation d’une même situation. Les habitants de cette rue vivent en vase clos. Tout le monde se connaît et tout se sait. Tout, réellement ??? Non, car bien entendu chacun a sa part de secret et de mystère.



Il y a Milly, son mari Jim qui tient la quincaillerie et leur neveu Paul. Il y a Stan qui tient la boutique de chocolats, son fils Anthony atteint de la polyo et Jane, la mère, qui souffre visiblement d’une grave dépression. Et puis le boucher, Jonathan Barton, qui fait chavirer les cœurs de ces dames. Mais qui est-il vraiment ce boucher ? Ne porte-t-il pas de trop beaux costumes pour n’être qu’un boucher ?



Attention, personnes dépressives s’abstenir ! J’ai trouvé le démarrage du livre pénible par la tristesse qui s’en dégageait. Vous savez, cette tristesse poisseuse des couples mal assortis quand toute la famille est malheureuse. Si j’ai continué, c’est uniquement parce que c’était le seul roman qu’il me restait à lire pour ma semaine !! Bien m’en a pris car les personnages sont finalement attachants et l’histoire prenante. La vie n’est pas divisée en seulement deux couleurs, le blanc et le noir. Ce roman est également très bien écrit. Bon, et puis il y a aussi des situations cocasses qui font sourire....
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