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Critiques de Joseph Connolly (74)
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N'oublie pas mes petits souliers

Je dois avouer avoir failli abandonner ce roman. Il ne me restait plus grand chose dans ma PAL et donc pas le choix, je l' ai lu.

L' histoire commence sur les chapeaux de roues. Et ce qui est très compliqué, c'est que le lecteur est sans cesse dans la tête des personnages, à suivre leurs pensées de l' un à l' autre et franchement, ça m'a rebutée car je ne comprenais rien.

Et au final, le fait de ne pas avoir eu le choix a été une bonne chose car après ce démarrage difficile, une fois que j' ai compris la logique de l' auteur, j' ai adoré !! C'est drôle, vraiment drôle, bien écrit, bien vu ; le regard de l' auteur est acéré et impitoyable et c'est jubilatoire.

Si vous détestez Noël et les repas de famille, ce livre est fait pour vous !
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England's lane

England's lane, c'est une petite rue commerçante du nord de Londres. Les familles y vivent et y tiennent une boutique. Ce sont des gens ordinaires qui ont une vie ordinaire... Mais, vous vous en doutez, les choses ne sont pas exactement ce qu'elles semblent être.

Dans cette comédie de mœurs l'auteur utilise plusieurs voix sans dire qui parle et c'est au cours de la lecture que l'on sera capable d'identifier chaque personnage.



Mariée sans amour pendant la guerre à Jim, qui tient la quincaillerie, Milly s’occupe de Paul, son neveu, qu’elle a adopté.

Stanley, marchand de tabac et de friandises vit avec sa femme Janey, dépressive, et leur fils Anthony, que la polio a laissé handicapé.

Jonathan, boucher au passé trouble, a aménagé avec sa charmante épouse et leur fille Amanda.

Au premier abord, les personnages de ce roman ont l'air de vivre chacun de leur côté. Les relations vont se construire au fil des pages avec son lot de coups de théâtre, mensonges, trahisons, infidélités.. et meurtres.



Ce roman est très visuel: on imagine facilement les scènes et les dialogues font mouche. La galerie de portraits est très réussie et les touches d'humour et de provocation apporte de la saveur au récit.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Un roman à l'immoralité grinçante... et dont la lecture est jubilatoire!



Une bourgeoise oisive et sa copine fauchée, un dragueur invétéré et une midinette, un père raté et un fils impatient de vivre ses premiers émois, un jaloux compulsif et une femme désabusée, une mère célibataire et son bébé braillard... Par leurs contextes sociaux, existentiels et culturels, les personnages qui vont se croiser lors de ces vacances anglaises n'ont apparemment pas de point commun. A la lecture de ces portraits, on plonge dans une comédie de mœurs où luxure, snobisme et adultère règnent en maîtres.

Et derrière le vaudeville léger se cache une réflexion (pas très optimiste) sur les rapports amoureux.



Le langage est souvent cru (le livre débute par "lèche (...) lèche-moi", ça met dans l'ambiance!) mais l'humour omniprésent et les nombreux rebondissements rendent cette galerie de portraits très sympathique... d'être aussi pathétique.

J'ai suivi cette intrigue tourbillonnante, surprenante et drôle avec grand plaisir.



Ce roman a été adapté par Michel Blanc (dans un film choral au casting de choix).
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L'amour est une chose étrange

Si l'amour est une chose étrange, ce livre l'est tout autant.



Déroutant par sa forme tout d'abord. le narrateur change constamment et souvent sans prévenir. le phrasé est rapide, en particulier lorsque c'est le petit Clifford qui s'exprime, enchaînant les anecdotes et les associations d'idées. le premier chapitre s'appelle "Le fin" et le dernier "Le commencement".



Le fond ensuite. L'histoire réserve son lot de surprises. Au départ, il s'agit de la description du quotidien d'une famille modeste au modèle patriarcal. Puis, on découvre que le père impassible est en fait dépassé et que la moralité et la bienséance ne sont qu'illusion (et le mot est faible!).

Certains passages m'ont mis mal à l'aise tant ils sont crus et directs (notamment ceux traitant de l'inceste parent-enfant et frère-soeur). Les faits sont énoncés simplement par plusieurs des personnages du roman, comme s'ils allaient de soi. Ces personnages que l'ont pouvaient considérer comme ordinaires, voire banals vont révéler leur pire facette et ça en est parfois glaçant.



Difficile d'écrire une critique de ce livre sans dévoiler une grande partie de l'histoire. Sachez juste que lorsque le vernis craque, le résultat est impressionnant!

Arthur, le père de famille strict n'est qu'un alcoolique incestueux accroc aux prostituées. Suite à un événement inattendu, sa femme Gillian, discrète et soumise va avoir une révélation et changer diamétralement de personnalité. Sa fille Annette, élevée par des bonnes soeurs, va faire fortune dans un commerce peu recommandable (je n'en dirai pas plus). Quant au garçonnet innocent qu'est Clifford, son destin, toujours lié à celui des femmes qui l'entourent, va prendre un tournant… renversant.



Bref, si le début du roman paraît bien sage, cette idée sera plus que démentie par la suite. Ce livre est pour le moins surprenant et, à la fois réticente et intriguée, j'ai finalement pris beaucoup de plaisir à suivre cette famille au parcours vraiment atypique.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Connolly tire une galerie de personnages en s'emparant de leurs travers so british. Les destins se croisent et se heurtent. Certains se retrouvent dans des situations impossibles d'où ils vont tenter de sortir en devant encore plus bizarres voire antipathiques qu'auparavant.

Certains y voient le summum de l'humour anglais et du non sens (que j'apprécie également). Je reconnais avoir souri parfois mais je ne m'extasie pas non plus. Un peu long de plus.
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Drôle de bazar

Livre assez confus, le dénouement heureusement, rattrape l'ennui de la majeur partie du récit, les personnages sont trop caricaturaux et les situations souvent grotesques.

Je ne sais pas si cela vient de la traduction ou si l'on trouve des oh! my god (oh! mon dieu),deux cent trente mille fois dans la version originale, mais j'ai trouvé cela parfaitement inutile et lassant.

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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

J'ai eu peur à la sortie du film que ce dernier ne soit pas à la hauteur du chef d’œuvre de Connoly. Parce que j'estime que ce livre est un véritable chef d’œuvre dans son genre. Obligation à le posséder dans sa bibliothèque et à le relire quelques soirs de spleen.

Ne serait-ce que certains passages, considérés comme cultissimes pour tout amateur de littérature à l'humour so british.

Quant au film, j'ai aussi passé un bon moment à le visionner. Et à le revisionner quelques années plus tard.
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S.O.S.

S.O.S de Joseph Connolly ( Editions de l'Olivier - 477 pages )



Un livre prêté donc je l'ai lu.



Cette histoire peut plaire à ceux qui aiment l'humour noir un peu déjanté. Je pense que ce roman vous coupera votre envie de croisière sur un énorme paquebot !



Les passagers sont presque tous pour moi infréquentables.



Nous avons des alcooliques, des sujets à des addictions, des dépressifs, des lubriques et j'en passe.



Des familles au bord de la rupture.



Une semaine de croisière d'Angleterre à New-York où tout ce beau monde se fréquente ou se fuit.



La fin nous offre un bouquet final de situations burlesques.



J'étais heureuse de débarquer du bateau.



Bonne lecture



Mireine
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Partir en vacances avec ses voisins, ce n'est pas toujours la bonne idée. Mais comme chaque année, Elizabeth va encore se vanter de ses vacances, de sa météo, du charme de son lieu, du luxe de son hôtel... Dotty ne le supporte plus alors c'est simple et c'est décidé, ils passeront leurs vacances ensemble comme ça pas de comparaison possible. Seulement voilà, son mari Brian lui ayant caché que leurs finances étaient au plus bas, elle devra se résoudre à les passer dans une caravane. D'ailleurs Brian ne lui cache pas que ça. Et puis le mari d'Elizabeth, Howard, qui a une maîtresse, cherche des subterfuges pour passer le moins de temps possible avec eux. Et la pauvre Melody, célibataire avec un bébé, ne va tout de même pas rester seule. Et ce n'est sans compter Colin et Katie, les enfants des deux couples dont cette dernière a une relation avec un employé d'Howard...



Bref, vous aurez compris que le roman de Joseph Connolly est un vrai Vaudeville où les comiques de situation s'enchaînent.

J'ai apprécié cette lecture divertissante et chapeau à l'auteur pour imaginer une multitude de situations entremêlées et complexes en retombant toujours sur ses pattes. Derrière cette histoire fantasque et légère se cachent des personnages soignés, hauts en couleur, pas si heureux que çà voire dans une profonde solitude.



La plume de Joseph Connolly est anglaise et son humour nous le rappelle.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Difficile d'écrire un billet de lecture quand ladite lecture n'a pas été enthousiasmante. J'ai l'impression d'être passée à côté du sel de l'histoire en raison d'un sentiment de déjà vu.



Pourtant le sujet abordé me plaisait par son parti pris de comédie estivale au cours de laquelle on peut disséquer les comportements humains.







Quatrième de couverture



« Howard est marié à Elizabeth, il ne pense qu'à téter son whisky douze ans d'âge et à sa maîtresse Zouzou. Le reste du temps, il donne le change avec une humeur toujours égale. Leur fille Katie, 17 ans, montre avantageusement ses seins à qui veut les voir. Des voisins, Brian et Dotty, émergent à peine de la classe ouvrière et sont en admiration devant le faste de leurs amis. Sans oublier qu'ils ont un fils, Colin, 15 ans, dégénéré notoire, qui fantasme sans arrêt sur Katie et sur sa mère, Elizabeth.



Les vacances s'annoncent, on va partir ensemble, les uns dans une suite d'hôtel, les autres dans une caravane… »





Le décor est planté, les personnages prennent rapidement corps et certains m'ont très vite agacée au plus haut point, en l'occurrence Katie, la fille un peu trop perverse à mon gré. Petite fille gâtée-pourrie par ses parents, très aisés, qui lui offrent tout ce qu'elle souhaite au point qu'elle ne se rend plus compte du prix des choses : je vois, ça me fait envie, j'achète sans regarder à la dépense puisque papa-chéri versera de quoi combler mon compte en banque. Dès ses premières entrées en scène, j'ai eu une folle envie de la gifler. Sans doute était-ce l'effet recherché par l'auteur : grossir tellement les traits des personnages qu'ils en deviennent énervants de ridicule.



Joseph Connolly a une écriture pleine de verve, son humour est décapant, le sexe est aussi joyeux que triste, insécure ou doux, tous ces atouts n'ont pas éloigné l'ennui.



La comédie de mœurs est réussie, il y a du rythme, les rivalités entre voisins sont bien vues, lorsque les masques tombent l'empathie n'est pas absente de la part de la lectrice que je suis.



« Sea, sex and sun » … la vie de couple est malgré tout regardée avec désenchantement, l'usure du quotidien écorne les désirs, les envies. Les douleurs incurables dressent des montagnes d'objets collectionnés pour combler un vide sans fond.



Colin, l'ado écartelé entre son snobisme social et scolaire, ses obsessions des poitrines de Katie et d'Elizabeth, tire malgré tout son épingle du jeu : finalement, tomber tout simplement amoureux d'une jeune fille normale est ce qui lui arrive de mieux.



Je mens, tu mens, nous mentons à tout le monde et surtout à soi-même.



Je suis allée au bout de ma lecture sans vibrer.
Lien : https://chatperlipopette.blo..
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Une comédie de moeurs au style original mais dont la fin ne tient les promesses. Style original au sens où dans une même phrase l’auteur mêle paroles et pensées de ses personnages. Promesses non tenues au sens où je m’attendais à une fin bien plus explosive compte tenu des nombreux arcs narratifs ouverts dans la partie précédente.
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

J'avoue m'être arrêtée dès les premières pages du livre. Houlà, ça par de c…, c'est quoi ce livre ?? Je l'ai mis de côté un bon moment avant de le reprendre. Et bien, j'ai bien fait de le lire !

J'ai trouvé ce livre jubilatoire ! Pour les fans de Desperate Housewives et série du genre, j'ai retrouvé les mêmes ingrédients.

Les personnages sont tous aussi croustillants les uns que les autres, attachants, drôles, attendrissants. J'étais super déçue de les quitter à la fin du livre !
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

l'humour anglais n'est décidément pas ma tasse de thé (désolée pour le jeu de mots), sans être désagréable pour autant cette histoire rocambolesque ne m'a pas fait rire. Les personnages ne sont pas attachants et les situations vraiment trop tirés par les cheveux, mais ceux qui cherchent une lecture détente, simple trouveront leur bonheur avec ce livre.
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S.O.S.

Londres-new-York : 6 jours sur le Transyslvania - un paquebot de croisière !



Nicole a gagné la « croisière de sa vie » et embarque mari (alcoolo) et 2 ados à bord. Tom a perdu son épouse Mary et embarque seul.

Dwight et Marlene rentrent à New-York avec leurs deux ados après un périple autour du monde

Aggie et Nobbie, retraités, embarquent enthousiastes pour leur 17eme croisière.

Jennifer et Stacy (mère et fille) ont choisi de se rendre au mariage de la soeur de Jennifer, qui réside à New-York

, en bateau car Jennifer est « phobique en avion »

Jilly et Sammy sont en couple et tous les deux barmaid et barman sur le Transylvania.

Steward est l'assistant du capitaine du navire (au bord de la dépression).

J'ai beaucoup ri avec ce roman : il y a une reconstitution de scène du film Titanic (pour Jennifer et Earl) , des (mini)drames de la cinquantaine (Dwight, l'américain millionnaire et David l'anglais complètement fauchés sont « gratinés »), des quiproquos en tout genre entre les protagonistes, des amours éphémères qui se jouent lors de ses 6 jours.

Le ton est délicieusement ironique : Chacun en prend pour son grade et on se demande qui va finir par dessus bord avant l'arrivée à New York ....
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

C'est du niveau d'un roman de plage, parfait pour tromper l'ennui durant les vacances d'été, dont il est d'ailleurs question ici, mais le plus souvent sans aucun intérêt. Sitôt lu, sitôt oublié, à recommander toutefois si vous raffolez des personnages futiles et de leurs histoires de coucheries et d'infidélités….
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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Je ne termine pas la lecture de ce livre.

J'ai vu le film que j'avais bien aimé mais lire et connaitre d'avance l'histoire ne m'aide pas à avoir envie de continuer ma lecture et autant en film les aspects bourgeois, pédant et faux culs de tous ces personnages m'ont bien fait rire, à la lecture cela devint lourd et insupportable !



lu en 2008.

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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Elisabeth part en vacances au bord de la mer (hôtel 5 étoiles)…elle a tellement besoin de « faire un break !», ce qui étonne beaucoup Howard, son mari, qui se demande « un break, mais par rapport à quoi ? Qu'est-ce que tu fais Elisabeth ? Je me suis souvent posé la question ». Bien élevé, il n'insiste pas et garde sa question pour lui ; de toute façon il s'arrange pour ne pas faire partie du « break », contrairement à leurs voisins et amis Brian et Dotty, (surtout Dotty, parce que Brian, ruiné par la moquette qu'il n'a pas fumée mais sur laquelle il a tout misé, pense que les vacances, même dans la caravane pourrie qu'il a louée pour une misère, sont un luxe qu'ils ne peuvent plus s'offrir) qui s'arrangent pour partir au même endroit et au même moment.

Une collection de plaques d'égout, une pastille de menthe qui ne passe pas, une machine à écrire défaillante retapée par un bricoleur compulsif, un bain de boue pris en plongeant la tête la première du haut d'une falaise, un bébé à prêter pour l'été (ou à donner si affinité), un vol transatlantique délicat, du shopping compulsif, beaucoup (trop) de champagne, un mari jaloux, vraiment très jaloux…complètement taré en fait…bienvenue dans l'univers loufoque de Joseph Connolly où les portes et les claques…claquent !

C'est distrayant, et très drôle, certains passages sont hilarants.
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S.O.S.

Qu’est-ce qui peut bien avoir poussé les passagers du paquebot « Sylvie » à vouloir prendre le bateau pour traverser l’Atlantique de Londres à New-York ?

Parmi eux, quelques couples, des anglais, des américains, des passionnés incollables sur le bateau « Sylvie » lui-même, une mère et sa fille rocks et fauchées, le personnel navigant, le capitaine, et tant d’autres encore qui les entourent.

Une fois embarqués et installés dans leur cabine, leurs activités sont réduites. Fuyant l’ennui et l’angoisse, ils s’ouvrent les uns aux autres et établissent quelques relations, aboutissant presque toutes aux pratiques sexuelles et aux beuveries. Certains errent comme des âmes en peine, ne sachant comment chasser leurs idées noires.

L’auteur réalise des transitions habiles entre la pensée des uns, et le dialogue des autres, maniant le quiproquo avec une maestria totale. C’est drôle de bout en bout et l’on ne s’ennuie à aucun moment.

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Vacances anglaises (Embrassez qui vous voud..

Je ne peux que remercier l'auteur qui réussit dans ce livre à réveiller tout l'agacement que j'ai pu avoir pour ces personnages en particulier Katie et Norman.
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N'oublie pas mes petits souliers

J'avoue que j'ai beaucoup ri à la lecture de ce livre. Ce n'est pas si courant. Cela dit ce n'est pas toujours "de la dentelle", mais c'est vraiment très drôle. Lire d'abord "Vacances anglaises" à mon avis.
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