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Critiques de Jørn Lier Horst (493)
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Les Chiens de chasse

17 ans après son incarcération pour l’enlèvement et le meurtre d’une jeune femme, Rudolf Haglund est libéré. Son avocat prétend que cette condamnation se serait faite sur la base de preuves falsifiées / créées de toutes pièces. Parce qu’il faut bien un coupable,Wisting, à l’époque chargé de l’enquête se retrouve mis en cause et donc suspendu de ses fonctions jusqu’à nouvel ordre.

Mais, injustement et rapidement condamné par sa hiérarchie et la presse, il va reprendre toute l’affaire de façon officieuse et enquêter en sous-marin avec l’aide de sa fille Line, brillante journaliste d’investigation, dont le flair est aussi développé que celui de son flic de père. Ils vont devoir répondre à deux questions: celui que tout accuse est-il vraiment coupable ? Quel lien avec une nouvelle affaire de meurtre qui vient se téléscoper à cette histoire ?



Comme le précédent (et premier traduit de la série), Les chiens de chasse est un bon polar nordique diablement efficace. Assez classique dans sa construction et son déroulement, l’enquête est néanmoins très bien ficelée et amenée. Je ne sais pas si c’est dû au cv de Jørn Lier Horst (ancien enquêteur spécialisé dans les homicides il me semble), mais j’ai trouvé l’intrigue vraiment crédible. Point de sensationnel, tout me semble assez juste et authentique. Le rythme est bon, le suspense est maîtrisé et subtilement dosé.



Par ailleurs, le tandem père / fille, flic / journaliste fonctionne vraiment bien . Ce duo est attachant, il en émane d’ailleurs je trouve beaucoup de tendresse.



J’ai hâte de poursuivre cette série, qui n’est pas spectaculaire, mais qui, avec sa finesse, m’a vraiment tapé dans l'œil, et que j’aime approfondir un peu plus à chaque fois.

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Les Chiens de chasse

Un roman agréable à lire avec une enquête assez linéaire mais où le duo père-fille fonctionne bien et sonne juste. Je ne suis pas très amateur de littérature Nordique car je trouve que le tout manque vraiment d’originalité et les ressors sont toujours les mêmes. « Les chiens de chasse » est un livre que l’on m’a offert que je n’aurais pas acheté spontanément mais j’ai pris plaisir à lire celui-ci. J’ai été un peu amusé en lisant tous les débuts de chapitre une phrase sur la pluie, le brouillard, etc… Les auteurs Nordiques doivent avoir une série de formules toutes prêtes sur le climat histoire de bien nous mettre à chaque fois dans l’ambiance humide de la région. Cela fait partie de choses qui ont fini par me lasser dans le polar Nordique, ce côté un peu « facile » de plomber l’atmosphère avec des descriptions climatiques et les personnages un stéréotypés. Une bonne lecture néanmoins que ce « Les chiens de chasse » !
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Les Chiens de chasse

Roman policier assez classique mais que j’ai bien aimé. L’enquête policière m’a bien embarquée et surtout, j’ai apprécié de relire un roman policier pas trop tordu, avec des détails sordides comme on nous en propose beaucoup (trop et toujours plus) en ce moment. L’auteur s’attache plus aux protagonistes qu’aux détails monstrueux des faits. J’ai dévoré le livre et je n’ai pas été déçue.
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Fermé pour l'hiver

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de roman nordique et encore plus longtemps que je n'avais pas découvert un auteur norvégien ! 



Ce roman policier très classique nous emmène au bord de la mer du Nord, dans le comté de Vestfold où nombre d'habitants d'Oslo possèdent un chalet d'été.



Mais, comme partout, des habitats occasionnels attirent les cambrioleurs ! 



Et des zones peu fréquentées peuvent également attirer des trafiquants en tous genres ! 



Et c'est ainsi que l'inspecteur Wisring devra démêler les fils embrouillés d'un cambriolage perpétré par une bande lettone et un trafic de drogue à la sauce scandinave.



Une enquête rondement menée avec des personnages attachants et bien campés !



Une première enquête qui m'a donné envie d'en savoir davantage .... Le deuxième opus m'attend :)
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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L'usurpateur

J'aime bien cette série et les personnages, même si l'équipe est pratiquement inexistante par rapport aux tomes précédents. L'histoire est agréable à lire, elle est moins focalisée sur les problèmes de société que les tomes précédents.
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L'usurpateur

J'ai beaucoup aimé les deux premiers livres traduits en français, mais ce troisième volume m'a moins intéressée du point de vue purement "enquête policière". Dans les deux premiers, l'auteur nous offrait, en plus d'une enquête policière rondement menée, une sorte d'étude sociologique du milieu de la police qu'il connaît pour en avoir fait partie. C'est toujours le cas cette fois-ci. De plus, dans le deuxième volume, il dévoilait également par le détail "la mondialisation" de la délinquance.

Dans l'usurpateur, nous nous trouvons plutôt dans une enquête classique, bien qu'exceptionnelle par son ampleur et l'aspect international de la traque. Il y a toujours "l'effet Jorn Lier Horst" qui m'intéresse : nous découvrons avec intérêt une pratique criminelle dont je ne dirai rien ici, mis à part le fait que le titre du livre me paraît trop précis... , et que cette pratique, utilisée par certains criminels pour "s'effacer", une fois dévoilée, trop tôt me semble-t-il, nous n'avons plus grand chose à chercher, si ce n'est un nom parmi d'autres. De plus, les livres de John Lier Horst (en tous cas les trois premiers) suivent le même déroulement : le père, Wisting, est chargé d'une enquête, et sa fille, Line, journaliste, fait parallèlement des recherches pour un article qui semble n'avoir rien à voir avec l'enquête de son père. Or, dans les trois volumes, il apparaît que les deux enquêtes sont liées, et que Line se mettra en grand danger sans le vouloir. Le lecteur habitué pressent donc assez vite (trop vite) ce qui va arriver.

C'est néanmoins un petit bonheur de lecture, comme souvent lorsqu'une série est bien écrite et présente des personnages récurrents auxquels on s'attache. De plus, le pays ("exotique" pour les latins dont je fais partie) offre de quoi rêver : le grand froid de l'hiver est très bien rendu, on en redemande, tant qu'on se contente de l'imaginer depuis sa couette.
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Fermé pour l'hiver

Rien de bien nouveau pour ce polar nordique de Jørn Lier Horst mais un bon roman quand même. Fermé pour l'hiver est le septième volume - mais le premier traduit en français en 2017 - des enquêtes de William Wisting, un inspecteur de la police du comté de Vestfold dans le sud de la Norvège, sympa, efficace et plutôt atypique ; veuf, il mène une vie tranquille avec sa nouvelle compagne, à des relations fortes avec sa fille journaliste, n'est pas dépressif, ne boit pas comme un trou et aime son travail.



A partir de la découverte d'un corps dans le chalet d'un présentateur-vedette de la télévision nationale, vite suivie d'un autre cadavre dans une barque échouée dans le fjord, Wisting et ses enquêteurs vont remonter les filières de cambrioleurs et de trafiquants. Ce qui donne un solide roman de procédure à l'intrigue bien conçue et crédible, menée par des flics efficaces et plutôt sympas. Pas d'états d'âme, pas de guerre des polices, pas de coups fourrés... le lecteur qui trouverait que tout va un peu trop bien dans le meilleur des mondes devra toutefois réviser son opinion avec le roman qui suit celui-ci, Les chiens de chasse, beaucoup plus noir, et dans lequel William Wisting se retrouve lui-même au centre d'une enquête suite à la réouverture d'un ancien dossier.



Le « couple » que forment Wisting et sa fille Line, fait-diversière dans le quotidien local fonctionne bien. Curieuse et efficace mais un effacée dans Fermé pour l'hiver, son rôle sera plus important et même déterminant dans Les chiens de chasse quand elle devra voler au secours de son père.



On regrettera que, côté environnement politique et social, Jørn Lier Horst se livre à des considérations un peu simplistes sur les changements de comportement entraînés par la construction européenne (dont la Norvège est absente), cela à l'occasion d'une mission en Lituanie de Wisting et d'un de ses collègues dans le cadre de l'enquête. Sa description de Vilnius, où les mendiants et les vendeurs à la sauvette semblent disputer l'espace public aux prostituées ne correspond en rien, même en 2011, à la réalité d'une ville qui, certes à ses pauvres et ses nantis, mais qui a bénéficié des largesses communautaires et s'est beaucoup transformée depuis l'Union soviétique.



« Mais la croissance économique ne concernait pas tout le monde. Dans la ville, les contrastes entre les gens étaient plus visibles depuis que la nuit était tombée. La prostitution ouverte et la pauvreté côtoyaient les hommes riches qui sortaient de voitures chères avec des blondes aux jambes longues.

Il lui semblait pouvoir comprendre pourquoi ceux qui ne se voyaient aucun avenir dans cette ville décidaient plutôt de tenter de s'emparer de biens matériels dans d'autres pays. »



Se féliciter de la solidité du modèle nordique - qui a tout de même du plomb dans l'aile - ne doit pas mener à une vison réductrice et à la caricature.

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Les Chiens de chasse

17 ans après la condamnation pour meurtre de Rudolf Haglund, ce dernier libéré engage un avocat afin de prouver son innocence. Une contre enquête est ouverte à la lumière de preuves falsifiées.

William Wisting le jeune policier qui a l'époque a mené l'enquête est démis de ses fonctions. Souhaitant découvrir la vérité sur cette affaire il reprend l'affaire de son côté... Rudolf Haglund, coupable, pas coupable ? C'est en suivant William que vous découvrirez vous aussi le fin mot de l'histoire....
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Les Chiens de chasse

Suite des aventures de Willian Wisting.

Un homme bon ... un homme bien ... qui essaie de faire consciencieusement son boulot d'enquêteur parce que c'est son métier ... c'est ce qu'il sait bien faire ... c'est ce qu'il aime faire.

Nous sommes dans le fjord d'Oslo vers Larvik, loin de la capitale.

Une intrigue compliquée avec beaucoup d'intervenants pour nous laisser incertain quand à l'avenir de l'enquête.

C'est du vrai boulot de policiers, d'enquêteurs inspirés par la solidarité entre ancien et actuel collègues, un but, un seul but, coincer le coupable.

C'est bien écrit, efficace, avec de belles réflexions sur ce qui fait qu'on aime son métier, que l'on tient à le faire bien, juste pour être efficace et pouvoir faire reculer le mal.

Quelques heures plaisantes à côtoyer des assassins malades de la tête et des policiers avec la tête sur les épaules.
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Les Chiens de chasse

J’ai beaucoup aimé. Un très bon polar qui prouve que l’on n’a pas besoin de forcer dans l’horreur et le glauque pour faire un roman policier qui tient en haleine.

Jørn Lier Horst nous offre de chouettes personnages brossés finement et sans caricature, une intrigue bien ficelée, rythmée, crédible et bien menée. Le récit est efficace, sans fausse note, à la fois soigné et assez épuré.

J’ai aimé la fluidité du récit et des enchainements, un peu moins les – petites – lourdeurs dans le style.

Un côté très dépaysant et parfois un peu déroutant avec les lieux cités et décrits comme si on était censé les connaitre (personnellement je ne maitrise pas très bien la géographie de la Norvège !) : les noms de villes, comtés ou encore routes sont abondamment utilisés mais pour moi pauvre française ça ne m’a pas beaucoup aidée à comprendre les itinéraires réels ou supposés des protagonistes. Une petite carte n’aurait pas été de trop, bien que l’on s’y retrouve tout de même !

Un bon moment de lecture, un polar un peu classique, loin des effusions d’hémoglobine et de perversions sexuelles des thrillers contemporains, calme et élégant. Un auteur à retenir et dont je parlerai autour de moi.
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Les Chiens de chasse

Avec Fermé pour l'hiver, premier volume, nous avions fait la connaissance de Wisting, responsable enquêteur dans la police norvégienne, et de Line, sa fille journaliste, envoyée sur les affaires criminelles ; tous deux s'entendent, s'épaulent, prennent soin l'un de l'autre.

Cette fois-ci, Les chiens de chasse, deuxième volume tout juste traduit en français, voit Wisting et Line engagés chacun dans une affaire différente. Du moins jusqu'au milieu du livre.

On passe de très bons moments avec eux. Le suspens est intense, mais l'atmosphère est calme, l'écrivain s'attachant aux gestes habituels, professionnels ou familiers, des deux personnages principaux, au point qu'il est facile de s'identifier à eux. Et puis, comme dans Fermé pour l'hiver, Jorn Lier Horst nous offre une description très précise du travail des équipes d'enquêteurs, des tâches administratives dont on parle peu d'habitude, de la manière dont progresse le raisonnement des policiers, de leurs erreurs. Un froid dans le dos nous prend lorsque nous lisons par exemple qu'"il était impossible pour des enquêteurs de rester objectifs dès lors qu'ils avaient un soupçon". Ce qui mène à condamner quelquefois des innocents... en ayant la conviction qu'ils sont coupables.

C'est tout le dilemme de ce livre.

A plus pour la suite, le livre fait 463 pages, et je n'ai pas envie de les parcourir trop vite ! La solution de l'énigme attire, l'intrigue étant très bien menée, sans un instant d'ennui, mais la découvrir sera en même temps quitter cette Norvège sombre à la mer houleuse, où les feux de cheminée rassurent.



Suite de ma critique : finalement, je n'ai pas pu résister au suspens, et j'ai "avalé" la seconde partie. Plus le livre avance, et plus l'intrigue s'intensifie, s'affole même. Nos questionnements et notre angoisse suivent. Le coeur du lecteur bat plus vite, des découvertes inattendues ouvrent de nouvelles pistes, la chasse à l'homme devient très risquée. Avec habileté, l'auteur fait naître chez le lecteur des soupçons concernant plusieurs personnages.

Tout ne rentrera pas complètement dans l'ordre pour Wisting, policier exemplaire : la morale sera sauve, mais il paiera au niveau personnel le prix de son engagement professionnel.
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La Chambre du fils

Plus je lis cet auteur Jorn Lier Horst et plus j'adore. Ce livre est un bon roman policier, solide, clair, cohérent. On sent d'ailleurs le passé de policier de l'auteur : cette précision, cette rigueur. On mène l'enquête pas à pas avec l'inspecteur William Wisting qui est chargé d'une mission par le procureur de Norvège. Bernhard Clausen, homme politique vient de décéder et l'on découvre chez lui une gigantesque somme d'argent. D'où vient cet argent ? C'est ce que Wisting doit découvrir. Il sera aidé comme d'habitude de sa fille Line qui jongle avec travail et l'éducation de sa fille Amalie. Bientôt d'autres fils se rejoignent : la disparition de ce jeune garçon Simon Meier près du lac Gjersjoen, un braquage le même jour.

An lisant ce livre, on se sent devenir enquêteur aux côtés de Wisting, Mortensen, Line ... Chouette !
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Que le meilleur gagne

Plusieurs personnalités publiques du monde du sport ou de la téléréalité disparaissent ou sont retrouvées mortes. L'enquête est confiée à l'inspecteur Blix, qui s'associe à une journaliste people Emma Ramm.



Je ne suis pas du tout convaincue par ce duo mais l’histoire est intéressante avec une intrigue originale, de l'action et chaque chapitre amène son lot de nouveaux éléments. Le plan est machiavélique, le tueur rusé mais je ne suis pas animée d’un enthousiasme débordant non plus. Je ne suis pas certaine que je vais me jeter sur le 2e tome à sa parution.



Chronique complète sur le blog
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Que le meilleur gagne

Jorn Lier HORST est un auteur norvégien que je suis depuis la parution de son premier roman en France, et ce que j'apprécie beaucoup chez lui, c'est le temps qu'il met pour installer ses personnages, et ses intrigues intéressantes qu'il prend le temps de dérouler tranquillement mais sûrement.

Ici il s'est associé à un auteur que je ne connaissais pas du tout, et qui semble avoir pris l'ascendant, aussi bien au niveau de la description des personnages, très superficielle, qu'à celui de l'histoire, qui se déroule à un rythme trépidant.

Donc ce livre se lit, comme tout bon thriller, très rapidement (chapitres courts, alternance des situations et des personnages, nous procurant l'impatience de savoir ce qui se passera après, ...), mais il manque ce petit je-ne-sais-quoi qui caractérise les thrillers que je classe au sommet de mes lectures.

Je continuerai malgré tout à suivre les aventures de l'inspecteur en chef BLIX, car ce fut une lecture divertissante et captivante.
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La Chambre du fils

Désolé de mettre seulement 3 comme évaluation mais j'ai trouvé le livre bourré d'incohérences.....L'intrigue est séduisante au début mais le comportement des policiers est juste invraisemblable et peu crédible; je suis vraiment étonné que l'auteur soit un ancien flic! Bon bref, ce n'est pas le sujet mais ,pour moi, ces invraisemblances nuisent gravement à la crédibilité de l'histoire...et , hélas , le dénouement est un peu au même niveau....je n'y ai pas beaucoup cru.....tant pis!
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Que le meilleur gagne

J'ai immédiatement été happée par ce thriller, très bien pensé, où une ancienne affaire vient se greffer subrepticement à une nouvelle, sans qu'il n'y ait pour autant de lien entre les deux.



Alexander Blix et sa nouvelle collègue Sofia Kovic sont mis l'affaire de la disparition d'une athlète de haut niveau pour qui tout à réussi, Sonja Nordstrøm, et ce, le jour de la sortie de son livre qui, apparemment va devenir très polémique ; c'est une jeune journaliste qui a prévenu la police. Blix est, de son côté, un peu tourmenté par le fait que sa fille participe à une émission de télé-réalité et il surveille de près les commentaires sur Internet.

Il s'avère que Blix reconnaît la journaliste, Emma Ramm : une affaire qui remonte à 19 ans, mais elle ne le reconnaît pas.

De fil en aiguille, des personnalités, personnes connues, publiques, sont découvertes mortes. Serait-il possible qu'un serial killer s'en prennent aux gens connus ? Sonja Nordstrøm fait-elle aussi partie des victimes ?

Le lien qui unit Blix à Emma l'incite à lui donner des infos plutôt confidentielles sur l'enquête, et même si leurs échanges d'informations font grandement avancer l'enquête, cela pourrait aussi lui nuire, car le chef de Blix, Fosse, très (trop) accro au règlement, pourrait très bien l'évincer de l'enquête.

Ce thriller est une véritable course contre la montre et il est difficile de le lâcher tellement sa narration est bien construite.



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Le Code de Katharina

C’est une enquête policière longue mais bien menée car l’inspecteur Wisgins sait qui est l’assassin mais n’a aucun moyen de le confondre et c’est là après des années que une équipe de Colds cases reprends l’affaire et travaille avec notre inspecteur .

J’ai beaucoup aimé ce livre dans le froid de la Norvège et la façon dont elle est résolu me convient tout à fait car on découvre ce qui c’est passé avec Nadia et Katherina.

Ce qui me gène un peu c’est le rôle un peu trouble de l’inspecteur Wisgins mais bon il faut ce que il faut pour arriver à leur fin et élucider cette vieille affaire.

C’est un bon livre policier qui ne fait pas peur et ne vous effraye pas.
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L'usurpateur

C’est le 3e tome de la série William Wisting traduit en français (mais le 9e en tout) et je suis toujours aussi fan !



Ce tome est mon préféré pour le moment ! Je l’ai trouvé très rythmé. On suit deux enquêtes : l’une menée par William Wisting et l’autre menée par sa fille. J’aime toujours autant leur lien compliqué. Ils s’apprécient énormément. Mais leurs intérêts sont différents avec le père dans la police et la fille journaliste…



J’ai eu peur pour les personnages jusqu’à la fin. Les dernières pages nous plongent dans un thriller, qui m’ont fait penser aux premiers Mary Higgins Clark.



Un excellent tome ! Hâte de continuer la série.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le Code de Katharina

Voici une nouvelle enquête de l inspecteur norvégien Wisting veuf et quinquagenaire.Il a travaillé ,il y a plusieurs années ,sur la disparition d' une certaine Katerina qui a laissé un mystérieux code et une valise prête avant de se volatiliser. 25ans plus tard, grâce aux progrès de la médecine légale et à la création

d 'une unite chargée des cold cases,,une autre ancienne disparition ,semble pouvoir être reliée à celle de Katerina. Avec la collaboration de la presse, l' enquête se met en marche pour valider les nouveaux éléments scientifiques découverts. Tout semble accuser l 'ancien mari de Katerina,Martin Hangen,qui est devenu entre temps ami avec Wisting.

Le piege imaginé par la police et surtout par le responsable des cold cases un certain Stiller- assez peu orthodoxe dans ces méthodes!- va t il se refermer sur le suspect?....pour autant qu 'il soit le seul et véritable coupable des 2 disparitions...

Telle est l intrigue de ce polar très efficace, bien ficelé où l expérience policière de l' auteur J.L Horst prend toute sa mesure.

Sans être exagérément original,ce roman distille habilement la progression de l' enquete, se lit facilement et avec interet.
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Le Mal en personne

Dans cette septième enquête de l'inspecteur Wisting, l'action démarre rapidement et il n'y a pas de temps mort. Ancien policier, Jorn Lier Horst sait faire ressortir tous les détails d'une enquête policière, même les aspects plus terre-à-terre qui pourraient être ennuyeux. Il déroule le récit par petites touches rapides et précises et l'on est sans cesse happé par l'histoire. Avec cette écriture très nerveuse il est cependant plus difficile d'approfondir les personnages et de faire une critique ou une analyse de la société.

Le personnage de Wisting et celui de sa fille, qui prend de plus en plus de place, nous sont familiers et c'est agréable de les suivre. Mais les autres personnages et les criminels pourraient être approfondis. Il y a une intéressante esquisse de réflexion sur le mal dans ce roman, mais elle n'est pas vraiment intégrée aux personnages de Tom Kerr et de « l'Autre ». Les romans de Jorn Lier Horst sont très agréables à lire, mais le considérer comme « le digne héritier d'Henning Mankell » (quatrième de couverture) me semble passablement exagéré.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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