AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Jules Verne (2145)


Si le Français est "tout yeux", l'Anglais est "tout oreilles".
Commenter  J’apprécie          90
Il ne faut pas trop se tartariser ! Le beau rôle est encore à ceux dont les armes civilisent.
Commenter  J’apprécie          60
Eh ! Que diable ! Il faut bien bouillir quelquefois ! Dieu nous aurait mis de l'eau dans les veines et non du sang, s'il nous eût voulus toujours et partout imperturbables !
Commenter  J’apprécie          160
En France, on exhibe des farceurs étrangers, et à l'étranger, des farceurs français !

On sait ce qu'est le monde des parieurs en Angleterre, monde plus intelligent, plus relevé que celui des joueurs
Commenter  J’apprécie          70
Le Baïkal est sujet à des tempêtes violentes. Ses lames sont très redoutées des radeaux, des prames, des steam-boats, qui le sillonnent pendant l'été.
Cet immense bassin d'eau douce, alimenté par plus de trois cent rivières, est encadré dans un magnifique circuit de montagnes volcaniques. Il n'y a d'autre déversoir que l'Angara qui, après avoir passé à Irkoutsk, va se jeter dans l'Ienisseï, un peu en amont de la ville de Yeniseïsk.
Les monts qui l'entourent forment une branche des Toungouzes et dérivent du vaste système orographique des Altaï.
Commenter  J’apprécie          40
Rien ne saurait étonner un Américain.
Commenter  J’apprécie          80
Mettez deux navires en pleine mer, sans vent, sans courant, et ils finiront par s'accoster. Jetez deux planètes immobiles dans l'espace, et elles tomberont l'une sur l'autre. Placez deux ennemis au milieu d'une foule, et ils se rencontreront inévitablement. C'est fatal. Une question de temps, voilà tout.
Commenter  J’apprécie          60
Mettez deux navires en pleine mer, sans vent, sans courant, et ils finiront par s'accoster. Jetez deux planètes immobiles dans l'espace, et elles tomberont l'une sur l'autre. Placez deux ennemis au milieu d'une foule, et ils se rencontreront inévitablement. C'est fatal. Une question de temps, voilà tout. "Une ville flottante"
Commenter  J’apprécie          40
Je meurs d'avoir cru que l'on pouvait vivre seul
Commenter  J’apprécie          430
L'île Lincoln n'est pas dans les conditions où sont les autres îles du Pacifique, et une disposition particulière que m'a fait connaître le capitaine Nemo doit amener tôt ou tard la dislocation de sa charpente sous-marine.

— Une dislocation ! L'île Lincoln ! Allons donc !

S'écria Pencroff, qui, malgré tout le respect qu'il avait pour Cyrus Smith, ne put s'empêcher de hausser les épaules.

— Ecoutez-moi, Pencroff, reprit l'ingénieur. Voici ce qu'avait constaté le capitaine Nemo, et ce que j'ai constaté moi-même, hier, pendant l'exploration que j'ai faite à la crypte Dakkar. Cette crypte se prolonge sous l'île jusqu'au volcan, et elle n'est séparée de la cheminée centrale que par la paroi qui en ferme le chevet. Or, cette paroi est sillonnée de fractures et de fentes qui laissent déjà passer les gaz sulfureux développés à l'intérieur du volcan.
— Eh bien ? demanda Pencroff, dont le front se plissait violemment.
— Eh bien, j'ai reconnu que ces fractures s'agrandissaient sous la pression intérieure, que la muraille de basalte se fendait peu à peu, et que, dans un temps plus ou moins court, elle livrerait passage aux eaux de la mer dont la caverne est remplie.
— Bon ! répliqua Pencroff, qui essaya de plaisanter encore une fois. La mer éteindra le volcan, et tout sera fini !
— Oui, tout sera fini ! répondit Cyrus Smith. Le jour où la mer se précipitera à travers la paroi et pénétrera par la cheminée centrale jusque dans les entrailles de l'île, où bouillonnent les matières éruptives, ce jour-là, Pencroff, l'île Lincoln sautera comme sauterait la Sicile si la Méditerranée se précipitait dans l'Etna ! »
Commenter  J’apprécie          250
La porte du cabinet impérial s’ouvrit bientôt, et l’huissier annonça le général Kissoff.

« Ce courrier? demanda vivement le czar.

— Il est là, sire, répondit le général Kissoff.

— Tu as trouvé l’homme qu’il fallait?

— J’ose en répondre à Votre Majesté.

— Il était de service au palais?

— Oui, sire.

— Tu le connais?

— Personnellement, et plusieurs fois il a rempli avec succès des missions difficiles.

— A l’étranger?

— En Sibérie même.

— D’où est-il?

— D’Omsk. C’est un Sibérien.

— Il a du sang-froid, de l’intelligence, du courage?

— Oui, sire, il a tout ce qu’il faut pour réussir là où d’autres échoueraient peut-être.

— Son âge?

— Trente ans.

— C’est un homme vigoureux?

— Sire, il peut supporter jusqu’aux dernières limites le froid, la faim, la soif, la fatigue.

— Il a un corps de fer?

— Oui, sire.

— Et un cœur?...

— Un cœur d’or.

— Il se nomme?...

— Michel Strogoff.
Commenter  J’apprécie          240
Ses membres, bien attachés, étaient autant de leviers, disposés mécaniquement pour le meilleur accomplissement des ouvrages de force. Ce beau et solide garçon, bien campé, bien planté, n’eût pas été facile à déplacer malgré lui, car, lorsqu’il avait posé ses deux pieds sur le sol, il semblait qu’ils s’y fussent enracinés. Sur sa tête, carrée du haut, large de front, se crépelait une chevelure abondante, qui s’échappait en boucles, quand il la coiffait de la casquette moscovite. Lorsque sa face, ordinairement pâle, venait à se modifier, c’était uniquement sous un battement plus rapide du cœur, sous l’influence d’une circulation plus vive qui lui envoyait la rougeur artérielle. Ses yeux étaient d’un bleu foncé, avec un regard droit, franc, inaltérable, et ils brillaient sous une arcade dont les muscles sourciliers, contractés faiblement, témoignaient d’un courage élevé, « ce courage sans colère des héros », suivant l’expression des physiologistes. Son nez puissant, large de narines, dominait une bouche symétrique avec les lèvres un peu saillantes de l’être généreux et bon.
Commenter  J’apprécie          40
C'est de cette époque que date, sans doute l'expression «dire des bêtises»
Commenter  J’apprécie          20
On peut braver les lois humaines, mais non résister aux lois naturelles.
Commenter  J’apprécie          871
-Ce que vous croyez être de la viande, monsieur le professeur, n'est autre chose que du filet de tortue de mer. Voici également quelques foies de dauphin que vous prendriez pour un ragoût de porc. Mon cuisinier est un habile préparateur, qui excelle à conserver ces produits variés de l'océan. Goûtez à tous ces mets. Voici une conserve d'holothuries qu'un Malais déclarerait sans rivale au monde, voilà une crème dont le lait a été fourni par la mamelle des cétacés, et le sucre par les grands fucus de la mer du Nord, et enfin, permettez-moi de vous offrir des confitures d'anémones qui valent celles des fruits les plus savoureux.
Commenter  J’apprécie          80
Lorqu'un voyage commence mal, il est rare qu'il finisse bien.
Commenter  J’apprécie          90
Cette histoire n'est pas fantastique, elle n'est que romanesque. Faut-il en conclure qu'elle ne soit pas vraie, étant donnée son invraisemblance? Ce serait une erreur.
Commenter  J’apprécie          40
Le 24 mai 1863, un dimanche, mon oncle, le professeur Lidenbrock, revint précipitamment vers sa petite maison située au numéro 19 de König-strasse, l’une des plus anciennes rues du vieux quartier de Hambourg.
Commenter  J’apprécie          130
Je puis affirmer que c'est un navire de guerre, car une longue flamme se déroule à l'extrémité de son grand mât.
Commenter  J’apprécie          40
Ce que les joueurs regrettent par-dessus tout, d'ordinaire, c'est moins la perte de leur argent que celle de leurs folles espérances.
Commenter  J’apprécie          662



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs de Jules Verne Voir plus

Quiz Voir plus

Jules Verne

Quel est le premier livres écrit par Jules Vernes?

Robur le conquérant
Les enfants du capitaine grant
5 semaine en balon
L'étoile du sud

5 questions
245 lecteurs ont répondu
Thème : Jules VerneCréer un quiz sur cet auteur

{* *}