Citations de Kaoru Mori (326)
La spécialité de Pariya, c'est le pain...
Amir _ Si seulement tu pouvais mettre un peu ce don à profit...
Pariya _ Et si j'ouvrais une boulangerie ?!
Amir _ Non pour trouver un mari, je veux dire !
_ Oui... J'ai perdu tous les miens... Il ne me reste que ma bru et ce cheval
Smith _ Elle semble beaucoup y tenir !
_ C'est un souvenir de mes fils ! Elle a été mariée à chacun d'eux !
Les pains de la région sont délicieux ! Ceux un peu sucrés aux oignons. Ou ceux à la citrouille, par exemple. Le plus célèbre est le "naan de Samarkand"... C'est une spécialité locale ! Il ressemble à un gros bagel dense et moelleux !
Les bonnes manières quand on mange du pain.
1) Ne pas poser le pain à même le sol. Toujours prévoir un carré de tissu !
2) Ramasser les miettes tombées par terre et les manger. On ne gâche rien !
3) Rompre le pain à la main, sans couteau.
— Normalement, les discussions sont en bonne voie pour nos noces... Sauf que comme tu le sais... ce ne sera pas pour tout de suite... parce qu'avec tout ce qui s'est passé... assembler mon trousseau va prendre un certain temps. Mais... moi... moi, j... j'aimerais vraiment, si c'était possible... m... me marier avec toi !! Alors... est-ce que tu accepterais d'attendre... que j'aie terminé mes broderies ?!
— Est-ce que vous savez comment Soraya a mis le grappin sur son mari ?
— Arrête, ça me gêne...
— Non, comment ?
— Je croyais qu'il lui avait touché la tête...
— Et qu'il avait dû l'épouser pour laver cet affront...
— Exact... Sauf qu'elle l'a piégé !
— Non, ne dis pas ça... Je vais passer pour qui, après ?
— Elle a fait exprès de mal nouer son voile... Elle a guetté le moment où l'autre passait par là... Et bim !! Elle s'est mise à hurler qu'il lui avait touché la tête... Le pauvre était blanc comme un linge !
— Ben oui, mais... l'homme que mon père m'avait présenté n'était vraiment pas attirant... L'autre me plaisait beaucoup plus !
— Tu es diabolique...
— Elle me flanque la trouille !
— Je sais à quoi vous pensez... N'envisagez même pas de l'imiter !
— Ça va mieux ? Tu es rassasiée ?
— Hmm... J'ai envie de beignets, maintenant !
— Ne me dis pas que tu as encore faim !
— Mais les beignets, on n'en trouve qu'aux mariages ! Et moi j'adore ça ! Va m'en chercher !
— Amir, à quoi tu penses quand tu brodes ?
— Toute seule, tu veux dire ?
— Oui.
— ... Au chant ! Quand je travaille seule, je chante !
— Ah bon ?
La coutume des sœurs conjointes ("khwahar khwandah") était pour ainsi dire un second mariage entre femmes ! Cette pratique a existé du XVIIe au XIXe siècle (je crois), mais a maintenant disparu.
Il n'y avait quasiment aucune différence avec un mariage classique, si ce n'est que les deux participantes étaient du même sexe.
Elles organisaient une cérémonie devant une assemblée... Elles partaient en voyage de noces... À la mort de l'une d'elles, l'autre héritait d'une partie de ses biens, elles étaient enterrées ensemble...
D'ailleurs en Asie centrale aussi, on trouve de nombreuses variations dans l'aire couverte par les langues turques.
(Turquie)
Langues turques
Ouzbek
Karakalpak
Kazakh
Kirghiz
Turkmène
Ouïghour
Depuis la formation de l'URSS, le russe est la langue officielle un peu partout.
(Iran)
Langues iraniennes
Tadjik
Langues proches mais de groupes différents.
Un train... quitte Londres pour le littoral, crachant une fumée noire et faisant gronder la terre, ne faisant qu'avancer encore et toujours plus loin.
Un vent froid souffle sur la steppe, les bêtes du troupeau se serrent les unes contre les autres. Les gens font des provisions pour la saison froide. L'Automne est là
“ contre les autres. Les gens font des provisions pour la saison froide. L'Automne est là.
-C'était une erreur de notre part de marier Amir... Nous voudrions la récupérer.
J'ai une faveur à vous demander. Voudriez-vous m'envoyer une mèche de vos cheveux ? Je la mettrai dans le couvercle de ma montre pour qu'elle ne me quitte jamais.
— À Londres... Ils en ont de la chance. J'aimerais bien y aller, moi.
— Ils n'y vont pas pour s'amuser !! Toi, tu ne servirais à rien, là-bas. Londres ceci, Londres cela. Est-ce si bien que ça !? Où qu'on aille, en Angleterre, c'est toujours pareil, non !
— C'est bien parce que tu n'es allée nulle part que tu dis ça !
— Bonjour !!
— Bôjour... Tu n'as pas sommeil, Emma ?
— Je me suis habituée.
— Eh bien pas moi... J'y arrive pas. Mes paupières sont copines... elles s'entendent bien ensemble...
— Tasha ?
— Hein !? Ah oui. Allez, je me lève ! J'y vais !
— Euh... Pardonnez-moi mais êtes-vous maîtresse d'école ?
— Pardon ? Non.
— Dactylographe ?
— Non.
— Gouvernante ?
— ... Non.
— Écrivain, alors ?
— ... Non.
— Alors quoi ?
— Je suis femme de chambre. Enfin, je l'étais.
— Oh !! Comme moi ! Vous n'en avez pas l'air.
— Vraiment ?
— Pas du tout ! C'est que... vous portez des lunettes et vous avez l'air intelligente. Et vous avez l'air si sérieuse ! Et puis vous êtes très jolie ! Je me demandais ce que vous faisiez comme métier.
— ... La même chose...
— Oui, on fait le même métier ! ... Hé, hé, hé.
— ?
— Deux femmes de chambre dans un wagon de première classe, c'est amusant !!
— Oui... C'est vrai, en effet.
- Tu n'appartiens pas au clan ennemi ?
-...
- Un clan n'est pas forcément une seule entité…
- Joruk !
- Plus il y a de gens, plus il y a de dissensions… (p.176)
Tout a commencé quand la fille que les Hargal avaient donné en mariage à Numaji est morte…
Cet homme puissant possédait de nombreux terrains… et les Hargal en avaient l'usufruit tant qu'ils restaient liés à lui par le sang… Ils se partageaient ses biens et ne manquaient jamais d'herbages… Mais ils ne devaient tout ça qu'à la présence de leur fille… sans elle, Numaji n'avait aucune raison de leur allouer quoi que ce soit !
A la mort d'Aterui, il a donc ordonné aux Haegal de s'en aller… plongeant le clan dans un grand désarroi. (p.52-53)
Tu sais, on dit que trop s'inquiéter pour quelqu'un, ça lui pèse plus qu'autre chose ! Et… une épouse ne devrait pas être un fardeau pour son mari ! (p.16)