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Citations de Karen Marie Moning (875)


Le peur mène à l'hésitation, et l'hésitation tue.
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Barrons est parti faire... ce qu'a fait Barrons chaque fois qu'il rentre avec le cœur battant et les yeux brillants, sa fureur apaisée. Il ne couchera pas avec moi s'il a faim. J'ai ma théorie sur ses raisons.
Un jour, je lui ai demandé ce qu'il mangeait et il m'a répondu gentiment "Ce ne sont pas vos foutues affaires".
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Ryodan est derrière elle, un bras autour de sa gorge. Barrons se tient devant elle. Je ne l'envie pas, prise en sandwich entre ces deux colosses.
Quoique... Si, peut-être.
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- Il y a une fille dans mon bureau. Avec Lor.
- Et alors ?
- Une Unseelie. Une princesse.
- Je croyais que le roi n'en avait pas créé.
- Vous vous trompiez.
- Bien, où est le problème ? Fichez-la dehors.
- Il est en train de s'envoyer en l'air avec elle. Sur ma table.
- J'ai peur de ne pas comprendre. Que voulez-vous que je fasse ? Que j'arrive avec un paquet de mouchoirs en papier pour essuyer votre bureau quand ils auront fini ?
- Il est enchaîné. Lor ne se laisse pas enchaîner. C'est lui qui enchaîne.
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- Depuis combien de temps êtes-vous à Dublin ?
- Quelques années. Et vous ?
- C'est moi qui pose les questions.
- Seulement parce que je le veux bien.
- Je peux vous emmener au poste, si vous préférez.
- Essayez.
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- Quel est le mot que vous ne comprenez pas ? demandais-je d'un ton suave.
- Arrêtez de regarder mon pénis, grommela-t-il.
Oh oui, c'était définitivement un mirage...
- Barrons adorait que je regarde son pénis, l'informai-je. Il aurait été ravi que je passe ma journée à l'admirer et à composer des odes à sa perfection.
D'un geste fluide, il me prit par le col et me mit sur mes pieds.
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"Pas de berceuses pour endormir les enfants,
pas d'hymnes pour pleurer les morts,
pas de blues pour soulager la souffrance,
pas de rock'n'roll pour rester vivant.
Sans la musique, nous serions tous
des sociopathes ou des macchabées."
Le livre de la pluie
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- Je ne suis pas un héro, Mac. Je ne l'ai jamais été et je ne le serai jamais, mais soyons clairs : je ne suis pas non plus un anti-héro, alors arrêtez d'essayer de découvrir mon potentiel caché. Il n y a rien qui puisse me sauver.
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Qui êtes-vous nom de nom?
Dans une brutale inspiration, je m'assieds sur le lit et j'ouvre les yeux. Il me semble revenir à la vie après avoir été morte et enterrée.
Je suis Mac.
Et je suis de retour.
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Tout à coup Ryodan se tient à quelques centimètres de moi. Il me prend le menton pour m’obliger à lever mon visage vers le sien.
-Tu ne seras jamais « juste » quelque chose. Un tsunami n’est pas juste une vague.
-Lâchez-moi.
-C’est ce qui me plaît, chez toi. Les vagues sont banales. Les tsunamis remodèlent la terre. Voire des civilisations entières, si les circonstances si prêtent.
Je bats des paupières.
-Un jour, Dani, tu seras une femme extraordinaire.
J’ignorais que ma mâchoire était assez flexible pour tomber jusqu’au trottoir. Mes bras ne sont même pas assez longs pour aller la ramasser. Je gobe les mouches ? Tu parles, en cet instant, on pourrait faire rentrer un camion dans ma bouche ! Est-ce que Ryodan vient, genre, de me faire un compliment ? L’enfer a gelé ? Les oiseaux volent à reculons ? Cela me met tellement mal dans ma peau que j’ai envie de me l’arracher. La lune, pleine au trois quarts, passe derrière sa tête, plongeant son visage dans l’ombre.
-Putain, je sais, RY-O. Tout le monde le sait. Je suis la Mega. Comme dans « l’Alpha et l’O ».
Je le repousse et reprends mon chemin, le laissant derrière moi.
Il éclate de rire.
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-je vais vous dire un secret Ry-O. Cherchez-lui des poux dans la tête et Barrons vous tue. (Je passe mon doigt sur ma gorge) Couic ! Vous n’êtes pas si fort que ça. Barrons vous écrase quand il veut.
Il sourit légèrement.
-Je rêve. Tu es amoureuse de Barrons.
-Je ne suis pas…
-Oh que si. c'est écrit sur ta figure tout le monde peut le voir.
-Quelquefois, boss, vous vous fourrez le doigt dans l'oeil.
-Jamais. C'est comme si tu placardais une affiche: "Dani O'Malley pense que Jericho Barrons est sexy." Mon offre d'enseignement tient toujours. Epargne-toi de nouvelles humiliations. Si je peux le lire sur ton visage, il le peut aussi.
-Il n'a jamais rien remarqué, marmonné-je, avant de m'aviser que je viens de l'avouer.
Ryodan a une façon tordue de formuler ses phrases qui vous fait révéler des choses que vous n'aviez pas prévu de dire.
-Je vais peut-être demander à Barrons de m'apprendre, je grommelle en me détournant des marches pour me rendre à son bureau.
Je me cogne à son torse.
-Eh, poussez-vous! J'essaie d'aller quelque part, là.
-Personne d'autre que moi ne sera ton professeur, Dani.
Il me touche avant que je l'aie vu venir et passe sa main sous mon menton pour relever mon visage. Je suis aussitôt secouée d'un incontrôlable tremblement.
-Ce n'est pas négociable...
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-Tu as un petit ami.
Encore une non question, mais en entendant le mot « petit ami » associé à Dancer, je m’écrie :
-Hein ?
Ryodan se lève et me surplombe de toute sa hauteur. Je vis dans un monde où tous les gens sont plus grands que moi, mais Jo dit qu’à son avis, je vais encore grandir. Je me mesure souvent. Je n’ai pas envie de rester coincée toute ma vie à un mètre cinquante-neuf et demi.
-Tu parles de plans. Tu ne dis pas lesquels.
-C’est pas vos oignons.
-Tout est « mes oignons »/.
-Pas ma vie privée. Sinon, elle ne serai pas privée.
-Il s’agit de ton petit copain.
-Ne parlez pas de lui. N’y pensez même pas. Et il n’est pas petit. Arrêtez de dire qu’il est petit. Un jour il sera plus grand que vous. Attendez de voir.
-Ce n’est pas le moment de jouer au papa et à la maman avec un môme qui ne sait même pas quoi faire de sa queue.
Il vient de me faire penser à la queue de Dancer. L’idée est si inconfortable que je me mets à sautiller d’un pied sur l’autre.
-Qui parle de queue ? je veux juste regarder un film, ce soir !
-Lequel.
-Qu’est-ce que ça peut vous faire ? (Il fronce les sourcils.) Scream 4, là, vous êtes content ?
-Pas génial.
-Dancer l’a trouvé bien, riposté-je aigrement.
Est-ce que tout le monde l’a vu sauf moi ?
-Ça montre ce qu’il sait.
-Vous avez un problème avec Dancer ?
-Oui. C’est à cause de lui que tu es hors de toit ce soir, et je dois le supporter. Alors règle la question de ta mauvaise humeur ou je règle la question de Dancer.
Ma main se pose sur la garde de mon épée.
-Ne pensez même pas à essayer de me prendre quelque chose qui m’appartient.
-Ne m’y oblige pas.
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La vie n'est pas noire ou blanche. au mieux, nous pouvons arborer ces couleurs, mais nous ne les incarnons jamais.
page 274
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-Qu’êtes-vous ? demandai-je sans préambule.
Le regard qu’il m’adressa était pure innocence.
-Je ne vous suis pas.
-Vous avez sauté d’une hauteur de dix mètres, dans cet entrepôt. Vous auriez dû vous briser une jambe, voire deux. Alors, je répète : qu’êtes-vous ?
Il esquissa un geste évasif.
-Un type avec une corde ?
-Très drôle, je n’en ai remarqué aucune.
-Alors là, je n’y peux rien.

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Nous avons tous nos petits problèmes et angoisses personnels. Moi comme les autres. Quand j’étais lycéenne, dans les moments de doute, je me rassurais en me disant que j’avais deux solides atouts dans mon jeu : j’étais jolie et mes parents m’adoraient. Avec cela, j’étais capable de tout surmonter. Depuis, j’avais mesuré combien ma première carte était fragile, et combien la seconde résistait mal aux épreuves. Que nous reste-t-il de solide, tout compte fait ? Rien qui touche à notre apparence ni à la certitude d’être aimé ou haï. Notre intelligence – qui, comme la beauté, n’est qu’un cadeau plus ou moins mérité de notre héritage génétique – et nos déclarations d’intention ne valent guère plus. Ce qui nous définit, ce sont nos actes et nos choix. Ce à quoi nous pouvons résister. Ce pour quoi nous donnerions notre vie.
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Il ne suffit pas de poser les yeux sur quelqu'un pour savoir ce qu'il vaut.
Il faut le regarder avec le cœur.
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-Rentrez dans votre pays, mademoiselle Lane. Mariez-vous tant que vous êtes encore fraiche, faites des enfants et vieillissez tranquillement auprès de votre gentil play-boy.
Sa remarque, me fit l'effet d'une giclée d'acide. D'accord, on me considérait comme une jolie fille, agréable à regarder dans le genre blonde et bronzée, et je plaisias aux garçons. D'accord, j'aimais le rose, les bijoux dorés et les talons hauts, et je ne me privais pas d'en porter. Pour autant, je n'étais pas une poupée Barbie, et ce bon vieux Ken me laissait indifférente- surtout depuis que j'avais enlevé son pantalon et vu ce qu'il lui manquait."...
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J'aurais dû vous plaquer contre un mur, vous embrasser jusqu'à perdre haleine et faire tout ce dont j'ai eu envie le jour où je vous ai vu pour la première fois dans cette fichue saleté de librairie.
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« Barrons et moi avions notre façon à nous de communiquer. Nous tenions des conversations silencieuses lors desquelles nous pouvions exprimer par le regard tout ce que nous ne formulions pas à haute voix, et nous nous comprenions à la perfection.
Vous êtes le personnage le plus imbu de lui-même que j’ai jamais rencontré ! Ne m’exclamais-je donc pas.
Si vous massacrez un autre de mes tapis de collection, j’aurai votre peau, s’abstint-il de rétorquer.
Je ne peux pas vous empêcher de fantasmer, ne répliquais-je pas.
Je n’ai que faire d’une gamine comme vous dans mon lit, mademoiselle Lane, garda-t-il pour lui.
Rassurez-vous, ne répondis-je pas. Même si c’était le seul endroit dans tout Dublin à l’abri du haut Seigneur, je ne voudrais pas y aller !
-Vous pourriez bien finir un jour par changer d’avis sur ce point.
Il avait parlé d’une voix si basse qu’elle en était presque inaudible, mais si rauque qu’un frisson nerveux me parcourut. »
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"Même dorée, une cage reste une cage."
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