Citations de Karen Marie Moning (875)
— Et je n'étais pas en train de l'embrasser !
[......]
— Dans ce cas, que faisait sa langue dans votre bouche ? J'imagine qu ' il voulait tester votre réflexe de contraction du larynx...
Recevoir une marque de tendresse de la part de Jéricho Barrons est une expérience unique et inoubliable. Cela vous donne le sentiment d'être unique et inoubliable.
Je ne suis pas réfractaire à toute allégeance.
C'est juste que très peu de gens en sont dignes.
Peu importe l'endroit d'où vous venez. Ce qui a du sens, c'est là où vous allez.
Extrait du journal de Mac
BARRONS, JERICHO : pas l'ombre d'un indice. Il me sauve régulièrement la vie. Je suppose que c'est suffisant en soi.
"- J'ai eu l'impression d'être un objet.
- Certaines femmes aiment ça.
- Moi pas.
- Cela dépend peut-être du propriétaire ?
- Permettez-moi d'en douter. Je ne pouvais même pas respirer.
- Peut-être qu'un jour, mademoiselle Lane, vous embrasserez un homme sans qui vous ne pourrez plus respirer, et vous vous apercevrez que ce n'est pas si important que cela.
- C'est ça, et un jour mon prince viendra."
L'espoir est aussi vitale que l'oxigène.Sans lui, nous ne sommes rien. L'espérance forge la volonté. La volonté forge le monde. Mon optimisme avait été broyé, mais pas détruit. Il me restait encore une furieuse envie de vivre et une ultime chance.
Je ne lui demanderais pas comment Barrons m'avait regardée.
-Eh bien, comment m'a-t-il regardée?
-Comme si c'était son anniversaire et que tu étais le gâteau.
Il me regarda. Je frissonnai. Je ne me lasse pas de lui. Je ne me lasserai jamais de lui.
Il vit.
Il respire.
Je le veux. Lui. Toujours.
Du feu sur la glace. De la glace sur ma fièvre.
- Vous me détestiez en arc-en-ciel, repris-je, et maintenant, vous ne m'aimez pas en cuir. Y a-t-il quoi que ce soit qui vous plaise, sur moi ?
- Le HS comme vous l'appelez, a envoyé ses princes vous violer et il l'a peut-être fait lui-même, et vous m'annoncez d'un ton léger qu'il vous a... comment dites-vous ? rendu visite ? Vous a-t-il apporté des fleurs ? Et la réponse est : votre peau et rien d'autre, Mademoiselle Lane.
"- J’ai aimé, Mademoiselle Lane, et même si cela ne vous regarde pas, sachez que j’ai perdu. Bien plus que vous ne pouvez l’imaginer. Je ne suis pas comme mes concurrents, et encore moins comme V’lane. Quant à mes érections, je vous rassure, elles n’ont rien d’occasionnel. Il se pressa contre moi, m’arrachant un petit soupir de surprise. Il arrive même que ce soit pour une gamine insolente qui n’a rien d’une femme. Dernier point, c’est moi qui ai tout cassé au magasin, en ne vous trouvant pas."
Papa me disait toujours cette phrase lorsque j’essayais de le convaincre que le D que m'avait donné la maîtresse était très proche d'un C: " 'Proche', mon bébé, ça ne compte que pour la pétanque et les grenades à main."
-Doutez-vous que je vois les faës ou que je sois un homme? Il me semble que pour le premier point, vous avez pu juger sur pièces. Dois-je fournir des preuves quant au second?
Tout en parlant, il avait posé les mains sur la boucle de sa ceinture.
-Ne vous donnez pas cette peine, répliquai-je avec un soupir de lassitude. Vous portez à gauche, Barrons.
-Touché, murmura-t-il.
— Respirez lentement et profondément, mademoiselle Lane. Vous allez vous y faire, ce n'est qu'une question de concentration.
J'ouvris la bouche et pris une grande bouffée d'air, sans le moindre résultat.
— Je vous ai dit de respirer, dit Barrons. Pas d'imiter un poisson hors de l'eau.
"Ses yeux se posèrent sur mon décolleté, où ils s'attardèrent quelques instants. Lorsqu'il reporta son attention sur la cassette, je laissai échaper un long soupir, comme si, sans m'en rendre compte, j'avais retenu mon souffle. Puis je demeurai immobile, en proie à un trouble indescriptible.
Barrons venait de poser sur moi le regard le plus brûlant, le plus sensuel, le plus sexuellement explicite que j'aie jamais vu...et j'étais à peu près certaine qu'il ne s'en était même pas rendu compte.
Quant à moi, j'avais les joues en feu, le souffle court, les seins envahis d'une chaleur lourde. Ce qui n'avait aucun sens. Car même si Jéricho Barrons n'avait que sept ou huit ans de plus que moi, même si je n'étais pas aussi insensible que je l'aurais voulu à son physique de beau ténébreux, nous ne fesions pas partie du même monde. Les gazelles ne fraient pas avec les lions, surtout lorsqu'ils sont affamés de chair fraiche..."
" Aimer " est un mot tellement puéril ! Ce sont les gens médiocres qui aiment ceci ou cela. La seule question ayant du sens sur le plan émotionnel est :
" Pouvez-vous vivre sans ceci où cela ? "
Le plus dur, quand on perd quelqu'un que l'on aime - à part la souffrance de ne plus jamais le revoir - , ce sont les choses que l'on n'a jamais dites.
Je me couche et m'étends à ses côtés. Je plaque mon corps contre le sien et je reste immobile.
Je le serre dans mes bras comme jamais je ne me suis autorisée à le faire lorsqu'il était vivant.
Jusqu'à ce que je ne sache plus où il finit et où je commence.
Je ne suis jamais restée indifférente à son charme.
J'ai seulement expérimenté différents degrés de déni.
Décidément, Jéricho Barrons exerçait une très mauvaise influence sur moi. En l'espace d'une soirée, je m'étais habillée comme une poule de luxe, transformée en as de la cambriole, et voilà que je jurais comme un charretier.
-Merde ! m'exclamai-je en détalant.