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Citations de Karen Marie Moning (875)


Il avaient tous besoin de moi vivante. J'étais comme Tigrou dans Winnie l'Ourson. J'étais la plus forte!
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Mac est un personnage auquel on ne s'attache pas tout de suite, mais plutôt après avoir suivi ses doutes, son évolution, ses peurs et angoisses. Nous savons alors qu'elle n'est pas la fille superficielle qu'elle laisse paraïtre...
Tous les personnages secondaires de ce roman, eux, sont mystérieux, et nous ne savons toujours pas, en lisant la dernière page, à qui nous fier, à qui faire confiance... (ce qui nous réserve, je pense, de grosses surprises pour les tomes suivants.)
J'ai donc été très agréablement surprise par ce roman., et brûle (fièvre oblige^^) de lire la suite qui, je l'espère, sera à la hauteur.
Trois tomes sont d'ores et déjà sortis en France aux éditions J'ai Lu : Fièvre Noire (DarkFever, dont vous avez la couverture ci-dessus), Fièvre Rouge (BloodFever), et Fièvre Faë (FaëFever), le quatrième tome, non paru en France pour l'instant (pour le 20 octobre 2010 en france !!), se nomme DreamFever et le suivant, ShadowFever sortira en Janvier 2011 aux Etats-Unis...
Vous pouvez retrouver toute l'actualité des Aventures de MacKayla Lane et de Karen Marie Moning sur le site officiel : http://www.karenmoning.com/ .
Et, de mon côté, je vais me replonger dans la bruine et le froid Irlandais, et accompagner Mac dans ses nouvelles aventures...
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Les bons et les méchants ne sont pas aussi faciles à distinguer les uns des autres que je le croyais. Il ne suffit pas de poser les yeux sur quelqu'un pour savoir ce qu'il vaut.
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Nous ne sommes jamais aussi confus que lorsque nous tentons de convaincre notre tête de quelque chose dont notre cœur sait qu'il s'agit d'un mensonge.
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- Ouvrez les yeux, Mac. On peut faire dire ce qu'on veut aux mots; on peut tromper quelqu'un avec de belles promesses qui séduisent l'âme et bercent le cœur. Au bout du compte, les paroles ne signifient rien. Elles ne sont que des étiquettes que nous collons sur les choses, nous autres, pauvres d'esprit, dans une vaine tentative d'en percevoir la nature profonde, mais dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des cas, la réalité est radicalement différente. L'homme sage garde le silence. Plutôt que les paroles de Barrons, considérez ses actes, et jugez-le d'après ça. Il pense que vous avez l'âme d'une guerrière. Il croit en vous. Croyez en lui.
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On se demande toujours comment on se comporterait dans une situation dramatique, si on aurait assez de courage pour se battre, ou si on s'est toujours cru plus fort qu'on ne l'est en réalité. Est-on une force de la nature, solide comme un chêne, ou une fragile orchidée qu'un souffle déracine?
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Je m'aperçois que je porte mon pyjama préféré. Celui en flanelle avec des canards imprimés dessus. Peut-être qu'il n'a pas remarqué ? Je ne supporte pas qu'il soit ici. C'est chez moi. C'est mon espace privé.
- La cabine du capitaine, dit-il. Cossu. Allons-y. On a du pain sur la planche.
Il marche jusqu'à la porte et se dirige vers le pont.
- Joli pyjama, la môme.
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Être forte, ce n'était pas être capable de tout gérer toute seule, mais savoir quand il fallait lancer un SOS, passer outre sa fierté.
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La mortalité est le comble de la faiblesse. Cela façonne toute votre existence. Jusqu'à votre moindre souffle. Comment s'étonner que les faës aient toujours été des dieux pour votre espèce?
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- Chacun de vous sait quelque chose sur l'autre, mais aucun ne crachera le morceau afin de préserver vos petits secrets... Hallucinant ! Vous vous haïssez, et pourtant vous restez solidaires. Eh bien, vous savez quoi? Allez vous faire cuire un oeuf. J'en ai assez, de vous deux !
- De grandes paroles pour un petit bout de femme, commenta V'lane. Tu as besoin de nous.
- Exact, renchérit Barrons. Il faudra vous y faire, Mademoiselle Lane.
Génial ! Voilà qu'ils unissaient leurs forces contre moi, à présent !
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Le sage assure sa survie avant de l'apprécier. Le fou meurt en l'appréciant.
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Vous croyez que la seule chose à faire, avec le bonheur, c'est de le détruire immédiatement. Il y a des gens qui savent apprécier d'être heureux parce que, mec, le bonheur ne dure jamais.
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Je peux supporter les chaînes. Pas l'ennui.
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Conduire un tel bolide, c'est exactement comme le sexe - ou du moins, comme je reste persuadée que le sexe devrait être. Une expérience physique totale, un bouleversement des sens, qui vous propulse en des lieux inconnus, qui vous coupe le souffle et vous fait trembler jusqu'à l'âme. La Viper m'offrait des sensations bien plus puissantes que mon dernier petit copain.
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Papa dit qu'il y a trois sortes de gens dans le monde. Ceux qui ne savent rien et ne savent pas qu'ils sont ignorants. Ceux qui ne savent rien et qui savent qu'ils sont ignorants. Et ceux qui savent mais qui mesurent à quel point ils sont encore ignorants.
Pas évident je sais. Je pense que je venais de passer du camp de ceux qui ne savent pas qu'ils sont ignorants au camp de ceux qui savent qu'ils sont ignorants.
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Prostrée sur le sol je lève les yeux sur lui.
- Vous n'êtes p...pas mort !
Mes dents s'entrechoquaient si violemment que je parvenais tout juste à sortir les mots de ma bouche.
- Désolé de vous décevoir.
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- Votre cas est encore plus désespéré que celui de Saint Thomas, Mademoiselle Lane. Même lorsque vous voyez, vous refusez encore de croire.
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_Ça m'étonnerait. Occupe-toi de tes affaires et fiche-moi la paix. Jessica lui secoua le bras.
―Est-ce que l'un de vous se rend compte de la ressemb...
―Tout ce qui se passe dans cette ville est mon affaire. Vous êtes sur mon territoire, étranger, répliqua le dénommé Dageus.
―Ce territoire était le mien avant ta naissance, rétorqua Cian avec un sourire glacial.
Dageus ne répondit pas immédiatement. Son regard acéré scruta Cian avec une intensité presque douloureuse, et de nouveau, celui-ci perçut une pression sur son esprit, plus subtile que les premiers assauts du Highlander, mais plus résolue.
Il la repoussa avec énergie. Cette fois-ci, une lueur d'alarme s'alluma au fond des étranges yeux dorés de son interlocuteur.
―Je suppose que vous ne voulez pas dire... ce que je pense ?
―Pour penser, il faut un minimum d'intelligence. Je n'en vois pas beaucoup chez toi, rétorqua Cian.
―Regardez-vous dans une glace, et vous en verrez encore moins. À quel clan appartenez-vous ?
―À propos de se regarder dans un miroir, intervint Jessica d'un ton obstiné, vous devriez tous les deux...
―Je vais te le dire, mais tu ne t'en tireras pas comme ça. Mon nom est Keltar. Et le tien ?
―Keltar.
Un silence de mort s'abattit sur leur petit groupe
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―Il y a tellement de questions que j'ai envie de te poser ! Ton âge, par exemple – sans compter les années passées dans le miroir.
―Trente ans. Je venais de fêter mon anniversaire quand j'ai été enfermé. Et toi ?
―Vingt-quatre.
―A mon époque, tu aurais été...
―Une vieille fille, je sais. Tu es pire que ma mère !
―Ce n'est pas ce que je voulais dire. Tu aurais été très courtisée, au contraire. Une beauté comme toi ne serait jamais restée célibataire. Les hommes les plus riches se seraient battus pour t'épouser.
―Une beauté comme... répéta-t-elle d'un ton stupéfait, avant de s'interrompre en rougissant.
Puis elle lui décocha un sourire espiègle et reprit d'une voix très douce :
―Merci. Donc, j'aurais été mariée. Puis veuve. Puis remariée. Puis veuve une fois de plus... Et chaque fois, note bien, sans le moindre héritage qui m'aurait permis de vivre à ma guise. Un frère ou un cousin du défunt m'aurait de nouveau mis le grappin dessus pour éviter que les biens ne sortent de la famille.
Cian hocha la tête
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— Inspecteur... commençai-je en adoptant mon plus bel accent traînant du Sud.
Chez moi, on appelait cela « le glaçage sudiste », et cela consistait à enrober ses paroles d'une sorte de beurre de cacahuète verbal destiné à masquer l'amertume de la vérité que l'on s'apprêtait à énoncer.
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