Karine Martins

Une découverte totale grâce à l’autrice Marie Reppelin (alias la booktubeuse Muffins and books) lorsqu’elle a présenté le troisième tome dans ses envies d’achats pour 2024. A sa manière d’en parler, j’avais l’impression d’avoir une histoire captivante et atypique, proche de l’Epouvanteur avec un mélange entre histoire et polar. Il n’en fallait pas plus pour piquer ma curiosité et m’empresser d’aller l’emprunter à la médiathèque.



Aussitôt en main, lu dans la foulée et je suis très embêtée. Ma médiathèque n’a pas la suite et la saga n’existe pas en poche, quant à mon budget livres, j’ai déjà le livre du mois que je compte acheter de planifier pour les prochains moins… Donc je vais devoir patienter. Parce nous avons là un très bon premier tome qui donne très envie de se jeter sur la suite !



Le mélange entre historique, polar et fantastique fonctionne totalement et en 300 pages, tout est super bien rythmé entre questions et révélations, mauvais indices et vrais coupables, trahisons et faux semblants, fil rouge pour la trilogie et intrigue propre au premier tome, émotions et actions, tension et humour. Il y avait de tout et tout était bien dosé pour ne jamais s’ennuyer, j’ai lu en deux sessions de lectures ce roman que j’ai trouvé prenant et soigné.



L’atmosphère du Finistère, l’ambiance très poisseuse dans ce village perdu et marqué par des meurtres en série, la traque des Egarés – ces humains maudits qui deviennent des créatures fantastiques, la chape de plomb que représente cette société secrète pour laquelle Gabriel Votz travaille (l’Ordre de la Sainte-Vehme), les ténèbres et la nuit, la chasse à la sorcière, c’est hyper tendu et pesant, parfait pour un univers sombre, mature et violent sans pour autant verser dans la glorification de l’horreur et du vulgaire.



Par ailleurs, j’aime énormément l’humour au poil, acerbe et piquant, avec des répliques bien écrites de la part de tous les protagonistes composés par l’autrice. Tout comme l’attitude de dandy irrévérencieux de Gabriel, c’est ce qu’il faut pour arracher un sourire, pour alléger l’ambiance, pour rire aux dépens des travers des uns et des autres. Le texte est vraiment écrit pour être soigné, fin, agréable à lire, avec de très bonnes descriptions, des émotions bien posées et des actions bien menées. Je suis admirative du travail fourni par Karine Martins.



Les personnages sont d’ailleurs nombreux et passionnants, le premier tome nous les présente et les fait déjà évoluer, gagner en profondeur. On s’y attache facilement, les liens sont fascinants autant que les histoires personnelles, il reste des mystères à résoudre et des questions en suspend, mais je suis persuadée que toutes les réponses seront faites avec les tomes suivants. L’autrice a su les décrire, les faire interagir entre eux, j’aime particulièrement le lien entre Votz et sa protégée, Rose, tout comme j’ai adoré la relation amicale et sincère entre Rose et le père Anselme. Et que dire de ces joutes verbales entre Votz et le père Anselme, ça vaut tellement son pesant de cacahuètes.



Gabriel Votz est fascinant, agaçant et irrévérencieux, il sait être aussi fier, orgueilleux que touchant et sensible, il est plein de nuances et ne semble pas être un héros ou un antihéros, juste un homme atypique qui veut des réponses à sa quête personnelle. C’est mon personnage préféré, parce qu’il a su être captivant du début à la fin. Rose est une jeune adolescente incroyable, têtue et débrouillarde, qui n’a pas sa langue dans sa poche, qui a une manière de parler à Votz qui m’a bien fait rire. J’ai aimé son évolution, j’ai adoré les péripéties vécues et sa sensibilité aux forces occultes qui la rend attachante et fragile. Encore une fois, c’est un personnage tout en variations. Le père Anselme, Grégoire de son petit nom, n’est pas en reste, là où je voyais un protagoniste secondaire, quelle excellente surprise au fil du récit, que de vérités à son sujet et quelle force de caractère également !



Quant aux autres personnages, c’est tout l’intérêt du récit, nous sommes tout de même dans une enquête très bien ficelée où chaque rencontre permet d’alimenter en bien comme en mal l’intrigue. Chacun a son rôle à jouer, ses indices, ses alibis, ses motivations et enjeux à collaborer ou pas avec Votz, donc était minutieusement travaillé et distillé pour garder l’attention à son maximum. J’ai d’ailleurs bien aimé l’univers que l’autrice a su mener, nous sommes bien en 1889 et en France, nous sommes bien dans un polar haletant et dans un monde fantastique avec ces créatures fantastiques, ces esprits et ces malédictions, ces forces occultes et ces sociétés secrètes. C’était dense et complet, j’en garderai un excellent souvenir.
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Ce troisième opus de Ceux Qui Ne Peuvent Pas Mourir, clôture à mon sens, parfaitement cette série qui m’a complètement conquise depuis ses débuts. Ça fait toujours quelque chose de dire au revoir à un univers surtout quand celui-ci nous fait passer par une multitude d’émotions.



La gorge s’est serrée, j’ai paniqué, j’ai été soulagée, surprise, choquée, j’ai même ri plus d’une fois ! Cette lecture ne m’a pas laissée impassible ! J’ai trouvé les personnages fidèles à eux-mêmes tout en évoluant, j’ai adoré leurs alliances aux égarés, auxquels on s’attache contre toute attente !



L’action s’enchaîne dans les derniers chapitres, c’est à en perdre haleine et les révélations sont très chouettes ! Et cet épilogue… Les réponses à tous ces mystères nous sont enfin données, tout en laissant place à l’imagination concernant certains détails et les possibilités d’avenirs.



Bref, ce fut une sacrée intrigue menée de manière rocambolesque par ces bras cassés ! Vraiment un tome improbable et pourtant si parfait pour clôturer cette saga !

Fin XIXe siècle. Gabriel Voltz est un enquêteur atypique, et pour cause, il est immortel. Son employeur, la mystérieuse Confrérie de l'Ordre de la Sainte-Vehme, le charge d'éliminer les Égarés, des créatures surnaturelles cachés parmi les humains. Depuis trois mois, Voltz veille sur Rose, une jeune fille qu'il a sauvée. Mais celle-ci intrigue l'Ordre, qui menace Voltz. Ce dernier n'a pas le choix, s'il veut protéger la jeune fille, il doit l'emmener avec lui pour sa prochaine enquête...



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Ambiance sombre dans un Finistère balayé par les vents, où la nature sauvage est le témoin de meurtres étranges. Pas de bête du Gevaudan ici, même si on y pense, mais un bestiaire bien travaillé : loups-garous, vampires, goules, fantômes... et bien d'autres créatures, bien moins connues.



Ce roman ado mélange des ingrédients classiques de manière efficace. Un héros bourru mais gentil, une jeune orpheline têtue, courageuse, un prêtre qui en sait beaucoup, des villageois méfiants, des méchants bien méchants - avec un petit côté Inquisition.



C'est dynamique, l'enquête est bien ficelée, entre mystères, découvertes, rebondissements et l'humour qu'amènent les dialogues.



De nombreux mystères persistent à la fin de ce premier tome, notamment sur l'origine de nos deux héros, et sur cette Confrérie qui cache de noirs desseins.



Une lecture que j'ai appréciée donc, il ne me reste plus qu'à me procurer le tome suivant !

Il y a quelques temps, j'ai participé à la campagne Ulule des éditions Twinkle. Elles proposaient un recueil de 10 contes particuliers et inédits pour un automne victorien, écrits par 12 auteurs français que je n'avais encore jamais lus. J'avais entendu parlé de certains d'entre eux mais d'autres étaient de parfaits inconnus. Une belle occasion de découvrir de nouvelles plumes.



La bibliothèque du manoir est un vrai petit bijou. L'ouvrage est extrêmement soigné : couverture rigide aspect velours, couleurs automnales et dorures, lien conducteur entre chaque nouvelle, illustrations et graphismes travaillés avec soin. Autant dire que l'on pousse la porte du manoir avec plaisir !



Je ne donnerai pas mon avis sur chaque conte en particulier, mais plutôt sur l'ouvrage global. Au-delà de son écrin chatoyant, une fois la porte du manoir ouverte, le lecteur prend un plaisir manifeste à découvrir les différentes histoires, les différentes plumes. J'ai apprécié chacune d'entre elle, plongée dans l'ambiance dès le préambule, qui comme de cette manière : "Quelque part à la lisière des rêves les plus étranges et des fantasmagories de l'esprit, il existe un manoir oublié de toutes et de tous, bâti dans le plus grand secret derrière une forêt des ombres. Auréolé de brume et de mystère, ce manoir a choisi l'atmosphère particulière de l'automne pour vous ouvrir ses portes...".



La bibliothèque du manoir est une expérience de lecture qui nous entraîne dans des univers différents, mais toujours à la même époque. Si le format "nouvelle" n'est pas mon préféré, j'ai aimé naviguer d'une histoire à l'autre, comme l'invitée, confortablement installée dans la bibliothèque et à l'écoute que j'étais. Outre l'époque, ces récits ont autre chose en commun : un univers fantastique et la capacité de surprendre le lecteur avec une conclusion souvent inattendue.



Le temps de quelques pages, ces auteurs, connus ou inconnus, ont su me faire rêver et voyager. J'ai savouré leurs mots, tantôt poétiques, tantôt tranchants; et j'ai salué leur imagination débordante.



Si je devais n'en retenir qu'un seul, je pense que ce serait Un Songe d'Automne de Livia Meinzolt, car l'ambiance de son manoir endormi m'a vraiment séduite.
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Dans ce tome on assiste à une série de meurtres de notables, mais aussi d’Égarés, durant l’Exposition Universelle de 1889 à Paris. Gabriel va être libéré des geôles de la Sainte Vehme pour enquêter sur cette affaire et éviter que le caractère « fantastique » de celle-ci ne s’ébruite auprès du grand public. Il va également en profiter pour retrouver Rose et Grégoire (qu’il n’a pas revus depuis 2 ans et la fin du tome précédent) qui se sont réfugiés depuis quelques mois dans l’ancien manoir familial de ce dernier, avec la complicité de son frère, commissaire à Paris et lui aussi aux ordres de la Sainte Vehme.

J’ai trouvé l’intrigue toujours aussi entraînante et mystérieuse. J’ai pris plaisir à retrouver les personnages et à les voir se débattre dans cette enquête encore une fois bien périlleuse. Il y a juste la romance que j’ai trouvé inutile et plutôt malvenue. Sinon comme pour le tome précédent l’autrice nous laisse sur un suspense terrible en fin de tome, ce qui ne fait que renforcer mon envie de pouvoir lire rapidement le dernier.

Ce second tome se déroule plusieurs années après la fin du premier tome et on y retrouve une Rose majeure (je reviendrai sur ce point plus tard…) qui retrouve Gabriel pour une nouvelle enquête en pleine Exposition Universelle.

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Si j’avais adoré le premier tome, je suis quand même bien moins convaincu par celui-ci. L’enquête était plutôt intéressante mais la mise en place était bien trop longue à mon goût. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me suis ennuyé pendant toute la première partie, mais je n’étais pas très emballé en tout cas.

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Même les personnages que j’avais beaucoup aimé m’ont semblé bien moins intéressants ici. Pour le coup, je pense que ça vient plus de moi que du roman puisque mes goûts ont pas mal évolué depuis que j’ai lu le tome 1 il y a deux ans. Je pense que je ne suis donc plus très sensible à ce genre de personnages et d’intrigue.

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On a quand même quelques révélations sur la nature de Rose et Gabriel que j’ai plutôt bien aimé. On commence enfin à en savoir plus sur eux et c’est une bonne chose. On est aussi confrontés à des croyances issues de différentes cultures, ce qui est toujours un bon point.

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Mais voilà, il y a un élément qui m’a vraiment beaucoup gêné dans ce tome, même si c’est plus suggéré que véritablement mis en place (pour l’instant). J’imagine que ça peut être considéré comme un spoil (même si, encore une fois, ce n’est que suggéré pour le moment) donc arrêtez-vous là si vous ne voulez pas savoir.

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Mon problème dans ce tome, c’est la suggestion d’une potentielle romance entre Rose et Gabriel, que je trouve plus que limite dans un roman jeunesse. Gabriel vit depuis un bon paquet d’années (je ne sais plus son âge exact mais il a plus de 100 ans) et Rose est une ado qu’il a pris sous son aile et pour qui il était une figure paternelle dans le premier tome. Transformer une figure paternelle en potentiel intérêt amoureux en se disant que Rose a 18 ans maintenant donc ça passe… ben ça passe pas en fait. Si on était sur de la bit-lit adulte ou un truc comme ça, admettons, mais dans un roman jeunesse je trouve ça assez gerbant.

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Alors oui, il ne se passe rien de concret dans ce tome, et peut-être que leur relation n’évoluera pas de cette façon au final, mais le fait est que le sujet est abordé et que même le prêtre dans l’histoire a l’air de trouver ça normal…

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Bref, même si l’histoire ne m’a pas déplu dans sa globalité, je ne pense pas continuer la série vu la direction que l’autrice semble vouloir prendre.

J’ai longtemps hésité à lire ce livre, « lira, ne lira pas »…, c’est au final une de mes amies qui me l’a offert pour mon anniversaire mais il est resté encore un an dans ma PAL avant que je ne me décide enfin à le lire. Une chose est sûre : ce premier tome est une excellente entrée en matière dans l’univers et il me tarde de découvrir le prochain tome à paraître à la fin du mois de mai.



On y suit les aventures de Rose, une jeune fille qui a été sauvée d’une mort certaine par Gabriel, un immortel. Suite à ce sauvetage, Rose doit rester cachée mais ne l’entend pas de cette manière. Lorsque Gabriel doit partir en mission en Bretagne car une bête, probablement un loup-garou, laisse une marée de victime derrière elle. Rose se met en tête de le suivre, mais travestie en un garçon sourd et muet, pour que la supercherie puisse fonctionner. Durant leur périple, Gabriel et Rose feront la rencontre de Grégoire, un prêtre qui semble en savoir long sur leur compte.



J’ai beaucoup aimé le personnage de Rose, jeune fille à la langue bien pendue, qui n’hésites pas à toujours partir à l’aventure malgré les nombreux dangers qui parsèment son parcours. Gabriel, lui, sous ses airs d’homme frivole cache en réalité un grand coeur et fait tout ce qui est en son pouvoir pour aider Rose. Grégoire, quant à lui, est auréolé d’une aura de mystère, on ne fait qu’effleurer le personnage mais je suis sûre qu’on en saura plus à son sujet dans le prochain tome !



L’univers mis en place par l’autrice est intéressant et prenant. Le cadre de la France, mais surtout du Paris, du XIXè siècle est vraiment bien choisi et permet entre autre une plongée dans les légendes ayant vu le jour à cette période de l’histoire française. La mythologie mise en place par Karine Martins semble aussi très détaillée avec un bestiaire comportant de nombreuses créatures et variantes de celles déjà existantes, ce qui est un véritable plus.



La Bête de Porte-Vent est un très bon tome d’introduction dans lequel on apprend à connaître les personnages et les points importants qui seront développés par la suite. Il me tarde de lire le prochain tome qui se passera pendant l’Exposition universelle.
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Dans ce dernier tome on sent qu’on se rapproche de plus en plus du dénouement, et ce dès le début du roman. On a hâte, tout comme les personnages, d’avoir enfin des explications sur chaque protagoniste, son histoire (Gabriel), celle de ses ancêtres (Grégoire) ou sa nature (Rose). Par contre, j’ai encore trouvé que l’histoire d’amour entre Rose et Gabriel était de trop dans le récit. En revanche j’ai trouvé le final très convaincant et bien vu. A noter qu’il y a encore pas mal de violence dans ce dernier tome.

😭 Celle qui n'avait pas le tome 2 sous la main 😭



Mais qui l'a commandé très vite 🤣🤣



Quand j'ai décidé de mettre ce livre dans ma PAL d'Halloween, je ne m'attendais absolument à rien. J'en avais jamais entendu parler, mais on me l'a conseillé, la couverture et le résumé m'ont attirés, donc je me suis dit BANCO 🤷



Un roman jeunesse qui se lit vite, avec des monstres tels que des vampires, des loups garous et des bretons 😂



J'ai tenté le coup et je suis ravie de l'avoir fait 💜



J'ai passé un vrai bon moment, l'ambiance enquête/complot de village m'a fait penser au film Sleepy Hollow 😊



Et comme il est dans le top 3 de mes films préférés, j'ai forcément accroché à l'ambiance 😁



Vraiment une excellente surprise ❤️❤️



Rose est hyper attachante, sa relation presque filiale avec Gabriel est vraiment touchante, j'ai hâte de voir l'évolution du bousin dans le tome 2 💜



La fin nous laisse avec une gigantesque montagne de questions et j'ai vraiment hâte de lire le tome 2 😍



Le seul point qui m'a dérouté au début, c'est d'avoir le ressenti et les pensées de tous les personnages en même temps 😱



On ne suit pas 1 seul personnage par chapitre, on les suit tous à la fois, passant en un éclair au pensée de l'un puis de l'autre, c'est la première fois que je lis un livre comme ça 😅



J'étais un peu paumée mais je m'y suis fait 😆

C'est peu dire que j'attendais le dernier volet de la trilogie avec impatience ! Et c'est un coup de cœur (comme les précédents).



Qu'il m'avait manqué ce trio aux répliques cinglantes. Et quel bonheur de les retrouver !

Gabriel, l'immortel. En pleine crise de doute existentiel. Tiens, c'est nouveau de la part de ce râleur de première bourre, et rien que pour voir ça, ce roman vaut le coup. Surtout quand ces doutes trouvent des réponses... plutôt marquantes.

Rose, un caractère bien trempé, une langue acérée et des capacités qui se révèlent (enfin !) pleinement.

Et Grégoire. Ah Grégoire. Le médiateur à la droite redoutable (sauf quand il s'agit d'une nuée de corbeaux).



Et puis, il y avait toutes ses questions laissées en suspens. Notamment concernant Jonas et Mordicus. Et alors là, mes aïeux, autant dire que je n'avais rien vu venir. Non, mais, imaginez-vous que... Oups, je me tais et je serai muette (comme une tombe).



Savant dosage de "l'union fait la force" et de "diviser pour mieux régner", l'intrigue ne nous laisse pas beaucoup de répit. J'ai adoré ce côté "nid de serpent venimeux" dans lequel nos héros mettent les pieds.



Le tout dans une forêt ténébreuse à souhaits, pleine de mystères et de dangers à tous les carrefours, vieille forteresse comprise dans le parcours. Pour la jolie excursion sylvestre, au milieu des petits oiseaux qui chantent et des écureuils qui gambadent, passez votre chemin. Par contre si vous voulez retrouver un peu de l'ambiance du premier tome (mais version allemande et non plus bretonne), vous êtes au bon endroit. J'avais l'impression de me promener dans les premiers chapitres de Dracula, quand Jonathan Harker est en chemin vers certain sinistre château au démoniaque propriétaire.



Et que dire de cette fin ?! Je sais. Pas trop. Pour vous laisser la découvrir. Donc je dirai seulement que c'est une expérience déconseillée aux cardiaques.

Quelle belle découverte ! J'ai adoré cet univers aussi mystérieux que captivant qui m'a fait penser à un mix entre Castlevania et l'Épouvanteur !



Outre l'univers qui ne manque pas d'intérêt et qui se découvre à petit, l'ambiance de ce premier tome est vraiment réussie. Cette ambiance oppressante et mystérieuse, un peu à la Sleepy Hollow, était vraiment palpable, il y a des scènes qui m'ont retourné l'estomac tellement j'étais en mode, ohlalala dans quoi ils ont mis les pieds lààààààà ! Avec ça + une enquête assez palpitante, j'arrivais plus à m'arrêter, tellement je voulais savoir ce qui allait se passer, et bien sûr avoir des réponses à mes questions ! Du coup je l'ai quasiment fini en un jour X)



J'ai adoré les échanges entre Rose et Gabriel, du mordant, de l'humour, c'est tout ce que j'aime ! Ca m'a fait penser un peu d'ailleurs à l'alchimie entre Scarlett et Albert dans Scarlett and Browne !



On en parle de cette fin ? Je crois que c'est ce qui s'appelle mettre l'eau à la bouche !

Pour commencer, j’ai beaucoup aimé le mélange entre fantastique et policier !! J’ai trouvé que l’enquête peinait un peu à avancer à certains moments mais d’une manière générale, le rythme était assez agréable à suivre et dynamique. Je me suis doutée de ce qu’il se passait sans que ce soit trop évident non plus, et ça c’est un très bon point .



La relation qui lie les deux personnages principaux et les liens qu’ils ont construits avec d’autres sont juste adorables . Ensemble, ils se sont construit une petite famille de coeur à laquelle je me suis bien attachée !! En plus de cela, ils ont beaucoup d’humour ce qui, en plus de les rendre d’autant plus attachants, a permis d’apporter de la légèreté à l’histoire.



Enfin, l’univers fantastique m’a l’air très intéressant 👀 Ce premier tome nous donne déjà quelques informations sur les créatures qui existent, le fonctionnement de l’Ordre de la Saint-Vehme… Mais il y a encore beaucoup de zones mystérieuses qui attisent énormément ma curiosité !! La fin m’a d’ailleurs beaucoup plu pour ça, elle annonce une suite très prometteuse qu’il me tarde de découvrir !!



↪En bref, un très bon premier roman, plein d’humour et très plaisant à lire !
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Quel plaisir de retrouver notre trio favori, Rose, Gabriel et Grégoire pour une nouvelle enquête au coeur du Paris de l'exposition universelle !! Comme pour le premier tome, impossible de ne pas accrocher aux personnages, et impossible de dire quel est mon préféré : Rose et sa répartie à toute épreuve, Gabriel et qu'on a envie de secouer 8 milliards de fois tant il peut être buté et Grégoire, la force tranquille, celui qui essaie tant bien que mal d'empêcher les deux autres de s'étriper ?!

L'enquête nous plonge au coeur et dans les entrailles d'un Paris caché, un Paris qui abrite des bestioles en tout genre, plus ou moins sympathiques ! Des bestioles qu'on n'a pas l'habitude de croiser dans les romans et qui donnent toute l'originalité à cette saga. N'oublions bien sûr pas la fameuse Confrérie dont on aimerait bien voir chaque membre sur un bûcher !

L'écriture de Karine Martins est toujours aussi addictive et je vous mets au défi de trouver qui est à l'origine des meurtres avant la fin !

Encore une superbe réussite qui laisse présager un tome 3 explosif !

1887. Gabriel Voltz n'est pas un enquêteur ordinaire. Sa spécialité : la chasse aux Égarés, ces humains qu'un maléfice a transformés en créatures diaboliques.



J'ai tout de suite été séduite par l'univers sombre et surnaturel dans lequel nous plonge Karine Martins. CEUX QUI NE PEUVENT PAS MOURIR regroupe vraiment tout ce que je souhaitais retrouver dans cette histoire : fantastique, mystère et enquête, ici haletante, palpitante et captivante. Notre duo d'enquêteurs, Rose et Gabriel, est adorable, drôle et attachant. L'intrigue, portée par une plume rythmée et agréable, est super bien ficelée et va de rebondissement en rebondissement. Les chapitres sont courts, j'adore ça, et rendent le roman encore plus addictif.



Je me languis de retrouver la suite de leurs aventures qui promet d'être pleine d'action et j'espère que la couverture du deuxième tome sera aussi belle que celle-ci !



On frôle vraiment le coup de coeur.

Ce premier tome de la trilogie ado "Ceux qui ne peuvent pas mourir" vous emportera dans une chasse aux monstres et aux créatures de la nuit, aux côtés d’un héros fantasque et d’une ado téméraire. Un duo atypique, mystérieux et très attachant, des secrets de famille, de l’action, une puissante confrérie et une ambiance gothique qui fait frissonner ; voici tous les éléments qui composent la très réussie tambouille de Karine Martins ! Donc foncez, qu’attendez-vous ?

Je l’ai dévoré et j’attends le tome 2 avec grande impatience !

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J'ai adoré cette lecture !

On est très vite happé par l'intrigue et on s'attache rapidement aux personnages. J'ai adoré le charisme et l'humour grinçant de Gabriel ; le fait que Rose ne tienne pas en place et s'attire sans cesse des ennuis dés qu'on a le dos tourné ; le fait que Gabriel s'attache à d'autres personnages, ce qui n'est pas aisé pour un immortel solitaire. J'ai adoré également son amitié avec Grégoire, personnage que j'ai énormément apprécié. J'ai adoré aussi le décor et l'ambiance du livre, tout comme l'enquête, dont la solution n'était pas aisée à trouver.

En bref, j'ai adoré ! J'ai vraiment été conquise par cet univers et j'ai hâte de lire la suite !

1887 : De mystérieux meurtres se produisent dans le Finistère. C'est Gabriel Voltz qui est chargé de l'affaire. Mais il n'est pas un enquêteur ordinaire car il chasse les Égarés alias loups-garous, cocatrix et volkolaks. Mais cette fois, Rose, une orpheline qu'il a pris sous son aile et l'Ordre de la Sainte-Vehme, son employeur, risquent bien de lui mettre des batons dans les roues.



Un des romans que je voulais le plus lire en 2019 et c'est un petit coup de coeur !



L'époque (XIXe) + le lieu propice aux légendes et aux côtes déchirées par les vents + un côté bête du Gévaudan mêlé au fantastique = une enquête historico-fantastique très prenante !



Les personnages sont vraiment intéressants (et certains bien mystérieux : qui est donc ce Comte ?) et je me suis beaucoup attachée à Rose et Grégoire. Gabriel aussi dans le genre ours mal léché ^^



Les créatures et le fantastique se mélangent parfaitement à la réalité et l'enquête est très fluide. J'ai aimé la suivre en découvrant les capacités des différents Egarés.



Si je voulais chipoter, j'aurais mis un peu plus de description de paysages pour l'ambiance un peu à la Hauts des Hurlevent ^^ Que le roman soit plus long ne m'aurait pas du tout dérangée, au contraire j'en redemande !



L'épilogue me donne super envie de lire la suite. C'est d'un mystèrieux !

Dans une Bretagne battue par les vagues et le vent, une enquête aux confins du surnaturel menée par des personnages singuliers.

L'ambiance est prenante dans ce roman peuplé de loups-garous, goules et autres lycans évoluant dans une nature sauvage aussi fascinante qu'hostile. Voltz l'immortel y traque une intrigante bête tueuse et tous les indices convergent vers le domaine de Porte-Vent, lugubre propriété du maire Le Kerdaniel. A ses côtés, un jeune prêtre perspicace (Grégoire) et une guérisseuse énigmatique (Annwenn), sans oublier sa petite protégée, Rose, une adolescente maligne mais rebelle avec qui il a tissé "un lien étrange". A son contact, Voltz se découvre une fibre paternelle toute nouvelle qui n'est pas sans le déstabiliser. Les relations entre ces deux-là sont explosives, même si l'on sent que les barrières tombent au fil du temps. Voltz se révèle une personnalité toute en nuances ("Depuis son arrivée, il ne cessait de lui reprocher sa désinvolture, son insensibilité et son arrogance. Mais il n'avait pas vu, pas voulu voir l'homme seul, pétri de doutes, hanté par des questions sans réponses depuis un siècle"). Par ailleurs un mystère plane autour de la jeune Rose dotée d'une incroyable intuition en ce qui concerne les Égarés...



Ainsi, même si la formule n'a rien de vraiment innovant, on se laisse volontiers porter par ce récit fluide et de qualité. La fin de ce tome 1 voit la résolution de l'énigme avec la révélation de l'identité et du mobile de la "bête", cependant de nombreuses interrogations subsistent quant à la nature des héros et au dessein de celui qui, dans l'ombre, tire les ficelles de la Confrérie: le terrifiant Comte...
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Après quelques chapitres, je n’ai pas pu m’empêcher de comparer ce livre à Jackaby de William Ritter. Dans les deux cas, il s’agit d’une enquête se déroulant à la fin du XIXe, avec un enquêteur atypique accompagné d’une adolescente. Dans le cas de Jackaby, j’avais regretté de ne pas avoir su m’attacher aux personnages; ici, c’est tout le contraire. J’ai rapidement eu un gros coup de cœur pour Voltz (je saurai dorénavant quoi répondre quand on me demandera de citer un book boyfriend !), pour Rose et pour également plusieurs des personnages secondaires. Les meilleurs passages de l’histoire sont incontestablement ceux où ces héros interagissement entre eux : ils se disputent, se chamaillent, se charrient… Mais c’est pour mieux dissimuler combien ils tiennent les uns aux autres. Les dialogues sont primordiaux et contribuent au dynamisme et à l’humour du livre.

L’enquête est passionnante. Il n’y a aucun temps mort, le danger est réel et surtout, je n’ai pas deviner l’identité du meurtrier avant la fin. En fait, les mystères qui entourent l’histoire personnelle des personnages détournent progressivement notre intérêt pour l’enquête initiale. Les tonnes de phénomènes inexpliqués les entourant nous obnubilent. Sans compter que les terribles membres de la Sainte-Vehme sont sur les traces de Voltz…

Ce livre m’a tenue en haleine de la première à la dernière page. Je suis très rarement euphorique durant mes lectures mais celle-ci a brillamment réussi à me mettre dans tous mes états ! Il me tarde tellement de retrouver Gabriel et Rose dans le tome 2; l’attente va être atroce !
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Si vous aimez les intrigues bien ficelées où il est impossible de deviner la fin avant la fin, si vous aimez les personnages qui sortent de l'ordinaire et qui sont bien loin de tous les clichés qu'on peut trouver, je suis persuadée que vous serez conquis par Ceux qui ne peuvent pas mourir ! Gabriel, Rose et Grégoire sauront vous faire rire, vous émouvoir et vous agacer aussi parfois car ce sont clairement de vraies têtes de mule !



Vous aurez la frousse aussi car l'univers de Karine Martins est rempli de bestioles pas très commodes, de légendes oubliées et que sa plume retranscrit à merveille l'ambiance glaciale et austère du village breton qui subit les assauts d'une de ces bestioles pas très commodes. On sent que l'autrice a fait un vrai travail de recherche tant les descriptions sont fluides et permettent au lecteur de se plonger directement dans l'époque sans aucun couac.



Ce sont donc plus de 300 pages que l'on ne voit pas passer et à la fin on en redemande !!! Vivement le tome 2 !



Avertissement tout de même : vous aurez une envie irrépressible d'assassiner certains personnages :D