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Critiques de Kouji Seo (160)
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Fûka, tome 1

Je lis beaucoup de mangas et rares sont tout de même ceux qui me passionnent dès le premier tome et me font regretter de ne pas avoir la suite sous la main. Celui-ci en est un et j'étais d'autant plus frustrée que la suite est déjà sortie depuis des lustres!

J'ai adhéré à tout au dessin, aux personnages, à l'intrigue pourtant simples.

J'ai été emballée par le personnage de Fûka et par le personnage principal Yû.

Du coup je suis allée m'acheter les deux tomes suivants, plus qu'à les lire, enfin pas trop vite non plus car je n'aurais pas de quoi m'acheter la suite tout de suite pour le coup ^^
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Fûka, tome 1

Ce premier tome a su me séduire par de multiples aspects.



Hormis les dessins que j'aime beaucoup, il aborde des sujets comme la dépendance aux réseaux sociaux qui nous font passé à côté du moment présent étant donné que nous sommes vissés à nos téléphones portables quasiment H24, les rêves, l'amitié... tout cela avec comme toile de fond la thématique de la musique.



Comment ne pas développer de la sympathie pour nos deux personnages principaux qui malgré le fossé qui les séparent promettent une évolution de personnages intéressante.



En conclusion, un manga fort intéressant dans ce premier tome autant par son scénario que par les dessins et la personnalité des personnages. J'ai hâte de lire le tome 2 qui attend sagement dans ma pile à lire.
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Fûka, tome 1

Très chouette petite découverte, Fûka est une jeune femme qui m'inspire la liberté. La liberté de faire ce qu'elle veut, dire ce qu'elle pense. Son honnêteté et sa franchise vont faire du bien à notre cher Yû, peu sociable à part sur les réseaux sociaux. La couverture sobre m'a convaincue de me lancer dans ce manga que je ne soupçonnais pas s'orienter vers la musique. Avec ce premier tome, la série introduit les personnages, leurs désirs, leurs caractères mais aussi les futures intrigues qui pourront être présentes dans les tomes suivants et en cherchant un peu, je comprends mieux sa longévité, cela reste un Kouji Seo, très friand de loongues séries :)
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Fûka, tome 1

Ce manga est une agréable surprise. J'ai beaucoup aimé la subtilité des deux personnages principaux: Fûka, qui semble très extravertie et bien dans sa peau, mais qui ne l'ai pas tant que ça au fond et qui cache une grande tristesse et Yü, qui semble complètement perdu dans ce nouveau lycée et qui se cache derrière son téléphone et une vie virtuelle fantasmée mais qui au fond est plus fort qu'il n'y paraît. J'ai hâte de savoir comment vont évoluer ces deux personnages et que va devenir leur relation.
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Fûka, tome 1

Malgré ses petits défauts, Fûka démarre sur de bonnes bases et semble prometteur. Un titre frais et pétillant, mélange entre romance, musique, school life et critique sur la société.
Lien : http://www.actuabd.com/Fuka-..
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Fûka, tome 10

Remises en question et préparation de la participation au concert des Hedgehogs, ainsi que de mieux découvrir une star internationale et certains personnages sont au menu de ce tome. Un tome prenant et intéressant, mais qui s’égare de temps en temps dans quelques scènes en-dessous du pantalon. Yû se voit dire que ses talents de chanteur sont insuffisants, qu’il n’a pas assez de charisme, Fûka qu’il y a un problème avec sa voix. Mogami ne les a pas raté. Mais leur amour de la musique va tout transcender, ils sont prêt à faire des efforts, et la première chose qu’ils notent c’est de devoir plus s’entraîner. Madame Amaya sait être redoutable, mais elle a aussi un certain passif, et à sa manière elle les aide. Venez découvrir dans votre tome comment. Le groupe Fallen Moon va avoir l’occasion d’enregistrer un disque, avec un ingénieur du son très célèbre, une dame, qui a pourtant arrêté suite à une expérience difficile. Elle va aussi se montrer dure et exigeante et faire réfléchir différents membres du groupe. Non, ce n’est pas facile de prendre des reproches, mais si ça peut leur permettre de s’améliorer, c’est sans doute pas une si mauvaise chose. Yû, de son côté va rencontrer de manière insolite une très célèbre star internationale, qui aime les anime entre autres. Il va passer un temps privilégié avec elle. Mais il ne trouve pas comment lui expliquer pour la chanteuse d’origine de son groupe. Cette fille a également un lien insolite avec un des membre des Hedeghogs. Venez découvrir lequel ! De plus, qu’est-ce que les Hedeghogs avaient en tête quand ils les ont invité ? Bref, on a qu’une hâte, découvrir le prochain tome et la confrontation des groupes. Chacun voulant être le meilleur, gagné, cela va être difficile. Ils sont prêt à donner le meilleur d’eux-mêmes, ce qui est déjà un bon début. Que la force soit avec eux !
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Fûka, tome 10

Yû et son groupe sont inscrits au festival organisé par les Hedehogs. Mais depuis leur concert ils ont des doutes. Yû manquerait de charisme et les chansons qu’ils produisent même si elles ont du charme, risque vite d’être oubliées. C’est pour cette raison que leur producteur et manager, Madame Saori Amaya n’était pas d’accord de leur participation à ce festival. Le festival attend également l’arrivée d’une invitée prestigieuse en la personne d’une chanteuse américaine : Shelly Hornet. Cette dernière avait parlé du groupe de Yû et admirait le talent et l’arrogance de leur chanteuse Fûka. La chanteuse américaine ignore que cette dernière est décédée. Capricieuse, elle reconnaît Yû et s’enfuit avec lui en se déguisant pour ne pas être reconnue. Elle a juste envie de découvrir un peu le Japon. Elle entra^ne notre héros dans des restaurants et dans des sources d’eau chaude où elle va se baigner nue avec lui. Là, elle lui révèle qu’elle est devenue l’artiste célèbre grâce à une rencontre dans son enfance, celle avec la chanteuse des Hedehogs : Mana. Mais la productrice du groupe de nos héros ne veut pas que ses protégés se plante au festival. Elle les entraînes chez une ingénieure du son de génie, qui compte parmi ses amies pour faire monter le niveau de qualité du groupe lors d’enregistrements. Le groupe enregistre alors cinq chansons avec beaucoup de travail et de difficultés face à l’intransigeance de Mamiya, l’ingénieur du son. Le groupe est maintenant prêt pour affronter le festival si Yû arrive à dominer ses craintes…

Le tome commence par la rencontre de Yû et de la chanteuse américaine Shelly Hornet qui avait fait une brève apparition dans un tome précédent. La chanteuse qui se comporte avec Yû en diva capricieuse va pourtant se montrer généreuse avec notre héros. Le mangaka va aussi profité de se personnage pour nous offrir de jolies scènes de nu avec la sublime jeune femme. Malgré sa célébrité internationale, elle sait se montrer humaine avec le jeune homme. Encore une rencontre qui, si elle était révélée au grand public pourrait faire scandale comme ça a déjà été le cas par le passé avec sa célèbre amie Koyuki. Ensuite, l’histoire se déroule en nous montrant un travail intense de la part des jeunes musiciens pour atteindre le niveau souhaité par le festival. C’est une belle facette de cette série car on pourrait croire qu’il suffit de chanter pour atteindre gloire et succès. Mais non, face à l’exigeante ingénieure du son, Mamiya, c’est presque au bord de l’épuisement que nos héros arrivent à sortir leur disque. Et là, leur intraitable productrice, Saori Amaya révèle une face de son caractère plus fragile, plus sensible. Si elle est à se point dictatoriale, c’est juste qu’elle veut l’excellence pour les jeunes chanteurs et qu’ils deviennent les meilleurs, même supérieurs au célèbre groupe les Hedehogs. L’autre Fûka, Fûka Aoi également chanteuse est aussi mise au pied du mur et doit travailler sa voix si elle veut percer dans le milieu. C’est l’amie chanteuse Koyuki qui va l’entraîner pour atteindre la perfection. Fûka doit aussi participer au festival ainsi que Koyuki, mais elle, de façon anonyme car déguisée en lapin avec son nouveau et déjà célèbre groupe, les Rabbits. Ce dixième tome est plutôt un tome qui nous révèle de façon intelligente les coulisses du métier de chanteur, avec ses exigences, ses longues séances de travail et aussi sa cruauté. On se doute aussi que si les Hedehogs ont invités le jeune groupe, ce n’est pas forcément pour leur bien mais parce qu’ils ont envie de les écraser avec leur expérience et se mettre en valeur par rapport aux jeunes qui jusque là, se sont montrés timorés. La productrice de Yû et son groupe, elle, a l’ambition que ses jeunes moulins vont enfin se lâcher et écraser les Hedehogs à qui elle doit un vilain changement de carrière par le passé. Les dessins des personnages sont toujours aussi somptueux, surtout que cette fois, le mangaka n’a pas hésité à érotiser des personnages féminins qu’il croque de façon merveilleuse. Bref, vivement le numéro suivant car nos jeunes héros viennent de monter sur scène et doivent enfin nous montrer ce qu’ils ont réellement dans les tripes. Lu en numérique en format KINDLE sur iPad Pro avec une très belle numérisation.





Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

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Fûka, tome 11

Ca y est, le groupe de Yû, The Fallen Moon est au pied du mur. Les jeunes musiciens sont sur la première scène du festival organisé par les Hedehogs, le groupe japonais le plus en vogue dans le pays et qui s’est reformé pour l’évènement. Dans ce festival, il y a du lourd et de vrais pros. Nos jeunes font figure d’amateur mais ils se lancent sans complexe. Presque dix mille personnes assistent au concert mais un groupe plus célèbre commencé sont festival quand ils n’ont pas fini leur tour. Les jeunes voient leur public courir vers l’autre groupe, déjà célèbre et ne gardent que quelques fans. Malgré la désillusion, ils s’accrochent et sont félicités timidement par Saori Amaya, leur manager intraitable. Fûka Aoi monte a son tour sur scène et fait plus que de ce défendre mais elle aussi voit les auditeurs quitter le devant de sa scène quand les Rabbits commence à chanter. C’est alors que la directrice du festival donne une seconde chance au groupe de Yû de s’exprimer à la condition que les jeunes musiciens chantent avec Fûka Aoi. La recette prend et tous dépassent tout ce qu’ils ont réalisé jusque là et le succès est total. Ils touchent le public et le submerge d’émotion. Pour clôturer le festival, la chanteuse américaine, Shelly Hornet rencontre un franc succès et c’est autour des Hedehogs de s’exprimer. Ces derniers, à la fin de leur concert, annoncent que c’est leur dernière apparition et qu’ils ne feront plus de musique, au grand drame du public. Mais ils en profite pour désigner The Fallen Moon et Fûka comme leurs héritiers. Le groupe de
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Fûka, tome 12

Aoi, la nouvelle Fûka, quand elle a compris que l’accident fatal de Fûka, (la première, Fûka Akistuki) a été causé par son père qui était le conducteur du camion qui avait renversé la jeune chanteuse, est rentré chez elle car elle porte le pois de l’accident alors qu’elle n’est pas responsable. Elle devait rejoindre le groupe de Yû, les Fallen Moon. Yû a des remords de laisser Aoi abandonner la musique, le rêve de toute sa vie et décide, sans rien dire à personne, de retrouver son amie. Quand enfin il arrive à la décider de rejoindre leur groupe, les autres membres marquent leur désaccord et décident de dissoudre les Fallen Moon pour fonder un nouveau groupe dans lequel Fûka Aoi sera la chanteuse attitrée. Le nouveau groupe s’appelle : Les Blues Wells. Seulement, la dissolution des Fallen Moon qui commençaient à devenir populaire mais en grave danger financier la société de production de Saori Amaya…



Au moment où tout semble lissé, que la chance arrive enfin, que tout devrait se conclure, le mangaka, depuis le début de cette série, à le don de changer de direction et de faire rebondir son scénario. C’est assez génial car il évite de lasser le lecteur et peut entretenir un intérêt certain pour cette histoire de jeunes qui veulent vivre tout de leurs rêves. Le parcours de la gloire est jalonné d’obstacles, de routes barrées, d’adversaires, de difficultés imprévues. Le talent ne suffit pas, il faut aussi une grande part de chance pour réussir dans le milieu du show-business. Côté dessin, l’auteur est fidèle à lui-même. Il cadre serré, économisant les paysages urbains pour se contrer sur les personnages. Les filles sont jolies, l’auteur navigue à la frontière de l’érotisme sans vraiment en franchir la barrière. Les jeunes hommes ont plutôt l’air androgynes mais ne sont pas dénués de charme. Le scénario de ce douzième opus, malgré la gravité de certains sujets traités, se veut plus léger que les épisodes précédents et est plein de jeux de mots, de quiproquos, de situations cocasses et est vraiment drôle. Je pense que depuis le début de la série, c’est le tome le plus comique de tous. Par contre, l’intégration de la nouvelle Fûka dans le groupe risque de poser des problèmes. Il y a certainement des sentiments qui naissent entre Yû et Fûka mais il faut aussi compter sur la jalousie de Sara qui semble elle aussi amoureuse de Yû. Je reste attaché à cette série et je me dis, vivement le prochain tome. Lu comme à mon habitude en format numérique, en KINDLE sur ma tablette iPad Pro.







Fûka Akistuki : l’héroïne ;



Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;



Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;



Yû Haruna : le héros ;



Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.



Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;



The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;



Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;



Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.



Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;



Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;



Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;



Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;



Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;



Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;



Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.



Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

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Fûka, tome 12

Après la révélation fracassante du tome 11 que nous sommes tous en train de digérer, plus personne ne sait si la proposition est encore valide. Que vaut-il mieux faire maintenant ? Ce n’est pas trop tendancieux ? Peut-on y arriver malgré tout ? Un des personnages a besoin de se ressourcer, c’est également l’occasion de découvrir son village, une partie de son passé, et de sa famille. Faites vos jeux, rien ne va plus. Aller voir quelqu’un car on ne peut pas en rester là, sans vraiment savoir ce que l’on va dire à la personne. Finalement, il faut prendre une décision, faire au mieux avec les données connues et continuait à avancer. Nos actes, et même ceux que nous faisons en toute connaissance de cause en pensant vraiment que c’est le mieux, le plus juste, ont des conséquences. Et parfois, elles sont très inattendues. Yû et le groupe vont vraiment devoir se donner à fond, prouver leur dire. Vont-ils pouvoir faire un miracle ? Qui a envie de croire en eux ? De leur laisser une chance ? A travers une rencontre, il se pose aussi la question du groupe et de sa solidité. Partir ensemble, vivre ensemble peut rapprocher, solidifier les liens, mais on n’est pas à l’abri de disputes, de malentendus. Cela peut être compliqué de devoir tous s’entendre et être en accord pour produire un bon son. Les membres de son groupe peuvent-ils être considérés comme des amis ? Le mangaka nous a mis quelques scènes en dessous de la ceinture, y compris dans les bonus, du genre Food Wars, la nourriture qui provoque l’extase, mais elles se fondent avec le reste qui est de qualité, fait vibrer, et soulève des questions intéressantes. Le lecteur aura hâte de voir ce que le groupe nous réserve et s’ils tiendront leurs promesses et la distance.
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Fûka, tome 13

Sous son nouveau nom, accompagné maintenant de Fûka Aoi comme chanteuse en plus de Yû, le groupe entame une tournée dans le Japon, affrontant des petites salles et à chaque soir un nouveau public. Les jeunes musiciens veulent engranger la somme de cinq million de yens pou sauver l’entreprise de production de Saori Amaya. Les jeunes apprennent la difficulté de vivre ensemble dans une promiscuité continue, avec tous les jours des changements de ville, de logements souvent précaires. Les filles du groupe se jalousent un peu, surtout Sara, la jolie guitariste et la nouvelle Fûka, Aoi. Mais dans les épreuves, le groupe ne semble pas vouloir se diviser, même si les disputes sont assez fréquentes. Par contre, Yû est toujours tracassé. Le succès n’est pas toujours au rendez-vous, il pense qu’il manque de charisme et cherche des solutions pour s’en sortir. De plus, il vient enfin de se rendre compte qu’il est tombé amoureux de la nouvelle Fûka mais n’ose pas encore lui avouer son amour. Le groupe tente tout de même d’atteindre ses objectifs mais comment devenir plus populaire et trouver l’étincelle qui les fera passer de « gentils » musiciens à musiciens de folie ?

Le mangaka arrive encore à nous surprendre et évite les pièges des épisodes à rallonge et à nous faire tomber dans la lassitude. L’émotion est toujours palpable et le scénario en joue merveilleusement bien. La voie du succès est un parcours de combattant et les adversaires, en commençant par la raison économique, sont nombreux. L’étincelle qui fera exploser le succès n’est-pas encore au bout de la mèche mais Yû et ses amis vont peut-être finir par trouver la solution. Avant, quand le groupe s’appelait encore « Thé Fallen Moon », les jeunes musiciens généraient sur scène des émotions à l’état brut mais manquaient cruellement de technique pour être vraiment bons. Maintenant, ils maîtrisent de mieux en mieux la musique mais ont tendance à ce que la technique tue l’émotion. Ils font un peu de la musique scolaire, si je puis m’exprimer ainsi. A la fin de ce treizième opus, ils ont peut-être trouvé la solution, c’est ainsi que se clôture cet épisode. Les dessins sont toujours magnifique et le mangaka commence de plus en plus à érotiser ses héroïnes qui sont toutes plus ravissantes les unes que les autres. Les paysages urbains sont extraordinaires bien que le plus souvent, les plans sur les personnages soient assez serrés, de manière à mettre en valeur leurs émotions par leurs attitudes corporelles et celles des visages. Les concerts sont dessinés avec beaucoup de dynamisme. On s’y croirait. Il ne manque que le son qui est facilement imaginable bien que j’ai peu de culture sur le rock japonais. Donc, voilà une série qui ne me lasse pas et que j’ai plaisir à poursuivre. Il est aussi heureux de voir avec quelle régularité sortent les tomes. Lu sur KINDLE avec une très belle numérisation.









Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

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Fûka, tome 13

Ce tome 13 de Fûka est en demi-teinte, avec des hauts et des bas, surtout gâché par les scènes en-dessous de la ceinture du mangaka, dont le lecteur n’a absolument pas besoin pour apprécier l’histoire, et qui font tout le contraire. Le groupe a pris une décision folle, qu’ils vont payer cher. Ils voulaient peut être bien faire, mais n’ont pas vu plus loin que le bout de leur nez, n’ont pas pensé aux conséquences sur leur groupe, leur musique, mais également économiques. Les voilà partis en tournée, et très mal engagés. Ils doivent absolument vendre des CD, ils se confrontent à des groupes plus connus, ils assurent plus ou moins sur scène. Mais d’où vient donc ce malaise ? Ils reçoivent des propositions indécentes pour faire avancer le groupe, et toujours vendre plus. Que vont-ils faire ? Est-ce vraiment une solution ? Ne se sont-ils pas perdus en cours de route ? On leur met des entraves. Notre jeune chanteuse va se rendre compte de quelque chose qui pourra l’aider. Au milieu de tout cela, il est question de satisfaire son public, de produire du bon son, mais également de toucher les coeurs. Comment assurer ? Comment jouer de son instrument et chanter en même temps ? Comment y croire encore ? Comment être digne des Hedgehogs ? Comment faire face au public ? Comment se faire programme sur scène ? Nul doute que la route sera encore longue, et ils vont croiser de tout dans les groupes musicaux, autant dans leurs manières de faire que de la perception qu’ils renvoient. Courage au groupe !
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Fûka, tome 14

Le groupe a une nouvelle chance de se produire en première du concert du duo Kanalia, un groupe amateur qui ne se produit que les week-end dans la ville de Nagoya. Ils décident de reprendre une chanson de leur ancien groupe, The Fallen Moon, avec la nouvelle Fûka. Le groupe épate le public et les Kanalia, qui avaient été cyniques avec eux, sont sous le charme des jeunes musiciens. Ces derniers décident de donner un coup de pouce aux adolescents en leur faisant enregistrer un deuxième compact-disc avec les chansons de Fallen Moon mais interprétées sous leur nouveau nom, les Blues Wells. Ils repartent donc en tournée, avec toujours l'objectif de vendre cinq mille CD pour sauver leur maison de production et sa directrice, Madame Saori Amaya. Les jeunes musiciens se rendent à Osaka, qui est par essence la ville japonaise du rock. Ils rencontrent une chanteuse de talent, un des meilleurs espoirs de la ville, Keade. La jeune femme fait aussi des études en médecine. Son père est propriétaire d'un restaurant où, paraît-il, on y mange les meilleurs brochettes du Japon. La jeune chanteuse se rend de suite compte que les membres des Blues Wells se nourrissent mal et les invite à dîner chez son père. Yû y fait un malaise…

Voilà un épisode plutôt positif. Le ciel deviendrait-Il clair pour nos héros ? Toujours est-il qu'ils avancent à petits pas vers le succès. le graphisme de la série est extraordinaire. le mangaka a de plus en plus tendance à érotiser les personnages féminins. Ils nous offre d'ailleurs un bonus plutôt chaud à la fin de cet ouvrage. Personnellement, ce n'est pas pour me déplaire mais je sais déjà que ça chagrinera certains lecteurs ou lectrices. Mais, en dehors de cela, ce quatorzième opus nous replonge dans l'émotion pure. Sans doute grâce à ce nouveau personnage qu'est la chanteuse de talent Keade. Yû n'est pas en reste, il a presque déclaré son amour à la nouvelle Fûka, Fûka Aoi, la désormais chanteuse de leur groupe rebaptisé les Blues Wells. Il rêve de nouveau d'écrire de nouvelles chansons en se laissant guider par ses sentiments. Leur problème principal est qu'ils ont une vie précaire, qu'ils dorment surtout dans la voiture et qu'ils font mal-bouffe par manque de moyen financier. La vente des CD peine encore à décoller. La société de production de Madame Amaya est toujours au bord de la faillite. Mais les musiciens sont motivés comme jamais, ils veulent vivrent leur rêve jusqu'au bout et nous montre beaucoup de détermination et de courage. J'ai le sentiment que cette série arrive à rebondir et mon intérêt pour elle ne faiblit pas. Lu en format KINDLE avec une superbe numérisation.



Personnages :



Fûka Akistuki : l'héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l'amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l'ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka Akistuki et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c'est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l'héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l'arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l'optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d'athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n'existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d'athlétisme (médaillé d'argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu'ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.



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Fûka, tome 14

Ce tome 14 de Fûka est très bon, de haute volée. Tout comme la musique peut être sympa, mais manquait de quelque chose. Ce que nous constatons aussi dans ce tome. Il y a de grands et épiques moments, mais où il faut se livrer. C’est exactement ce qu’est ce nouveau tome. C’est l’occasion d’en apprendre plus sur Mogami et d’être surpris. Le groupe qui joue le week-end était plein de rêves comme les Blue Wells auparavant, mais maintenant ils ont une autre vie, d’autres rêves. Ce sont des mots très forts et plein de sens qui sont employés sur les rêves. Ils vont également apporté de l’aide bienvenue aux Blue Wells, une fois qu’ils auront prévu qu’ils peuvent faire un sacré concert. Deux concerts ne se valent pas forcément, et quand un élément du groupe manque, ce n’est plus pareil. Les chansons de Fallen Moon contiennent quelque chose, le coeur, la passion, les sentiments. Fûka est enchantée de pouvoir les chanter. Avec celles-ci, Blue Wells dépassent tout, et a ce quelque chose en plus. Mais il va aussi leur falloir continuer à aller de l’avant, innover, et proposer de nouvelles chansons. Notre jeune compositeur y est-il prêt ? L’air de rien, il s’est déjà passé beaucoup de choses en 14 tomes. Dans ce tome, nous faisons aussi la connaissance d’une jeune chanteuse Kaede, au passé compliqué, à la voix mélodieuse, mais qui ne donne pas encore assez d’elle-même. Le choix de la rationalité la pousserait à arrêter à la musique, poursuivre ses études de médecine, et pourtant elle a la flamme sur scène. C’est sa vie, son choix. Venez découvrir une jeune femme très attachante. Que va-t-elle faire ? Sa rencontre avec Yu, que va-t-elle lui apporter ? Quel tome. La dernière page nous interroge et le chapitre bonus relâche totalement la tension. Ne passez pas à côté de ce manga.
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Fûka, tome 15

Le groupe Blue Wells est maintenant dans la ville de Fukuoka, pour un festival de musique municipal. Là, Yû fait une rencontre troublante. Une jeune femme passe devant lui et c’est le sosie parfait de Fûka Akistuki, son amie décédée. La ressemblance est si forte que û croirait presque avoir vu Fûka réincarnée. Le groupe doit loger dans une école. La jeune femme bénévole qui doit s’occupé du groupe est Sakura Katsuragi, le sosie de la première Fûka. Ut le groupe est troublé par la ressemblance étonnante. Sauf la Nouvelle Fûka, Fûka Aoi, qui voit dans le sosie une rivale alors que Yû lui a déclaré son amour. La ressemblance avec Fûka Akistuki n’est pas seulement physique. La jeune femme se comporte exactement comme la première chanteuse du groupe. Yû, tente de composter une nouvelle chanson en laissant s’exprimer ses sentiments. Il a promis à Aoi que les paroles lui seraient dédiées. Mais Aoi (la nouvelle Fûka, je sait, ce n’est pas simple) pense que les sentiments de Yû ont basculés vers le sosie. Un ancien ami à Aoi vient à sa rencontre. Il vient de devenir musicien professionnel et propose à Aoi de quitter les Blue Wells pour venir rejoindre son groupe en lui promettant la gloire. Fûka (la nouvelle), ne sait plus que prendre comme décision…

Ouf ce tome ! Il se passe plein de choses étonnantes et détonnantes. Ca bouge beaucoup. C’est effectivement troublant, surtout ce sosie qui correspond trait pour trait à la première Fûka, l’amoureuse de Yû décédée. Le graphisme est formidable. Les personnages sont beaux, expressifs. Leurs traits de caractère et leurs sentiments sont merveilleusement bien rendu par le dessin. Pour ce tome, le mangaka a été plus sage avec ses jolies héroïnes que pour le tome précédent. Le scénario est solide, le mangaka évite les pièges de l’ennui et l’histoire reste accrocheuse et passionnante. Encore une fois, lors d’un passage en concert, j’ai été de nouveau boulversé. C’est extraordinaire d’arriver à générer de l’émotion aussi forte avec un manga. Je suis mordu par cette série. Le tome seize est déjà en présente, tant en numérique qu’en version papier. On ignore toujours si le groupe va rencontrer le succès. Les anciens membres des Hedehogs les suivent de loin, ils espèrent que les Blue Wells deviendront leurs successeurs. Maintenant, le groupe entre enfin dans l’air de la nouvelle Fûka et Yû. Il reste une inconnue, qu’elle sera la réaction de la jolie guitariste, Sara Iwami, elle aussi amoureuse de Yû et qui vient d’apprendre que Yû a déclaré sa flamme à Fûka Aoi ?

Lu en numérique au format KINDLE avec une très belle numérisation.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

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Fûka, tome 15

Un nouveau tome de Fûka toujours aussi magnifique et intense. Certains moments sur la scène musicale dégagent une telle puissance. Une personne qui lui ressemble tant, c’est fou, non ? Et totalement déstabilisant pour tous les membres du groupe. Le lecteur pourra particulièrement apprécier d’avoir une véritable réponse à ce qui ressemble à un étrange miracle, et est un peu perturbant. Cela va re-dynamiser le groupe et Yû, qui va tenter d’écrire une nouvelle chanson. Est-ce que le physique fait tout et avec la force des souvenirs ? Très vite, Yû devient ami et partage des moments avec la nouvelle venue, à travers elle lui revient aussi en tête des souvenirs, le chemin parcouru. Il est également beaucoup moins présent sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, le groupe Funbook va faire son apparition, et surtout Shun, qui connaît Aoi depuis un bon moment, et va lui proposer de rejoindre son groupe. Aoi est partagée et victime d’un gros malentendu, ainsi elle semble plus que perdue dans ce tome. Ayant l’impression de perdre Yû au profit de la nouvelle, et même qu’il n’a jamais oublié son ex, elle veut s’enfuir, partir, se sent comme un poids. Elle reste d’abord professionnelle, en se disant que Yû peut bien aimer qui il veut, mais c’est trop dur pour elle de rester ainsi. Que va-t-il se passer ? Le groupe va-t-il se désolidariser ? Une chose qui arrive beaucoup. Est-ce moins risqué pour elle de partir, se trompe-t-elle quelque part ? Quelle décision prendre au pied du mur ? Les Blue Wells seraient-ils toujours eux même sans elle ? Yû trouvera-t-il les paroles pour sa nouvelle chanson ? D’où lui viendra l’inspiration ? Où en est-il de ses sentiments ?



Dans ce tome, nous pouvons encore une fois voir le danger des réseaux sociaux, ainsi que leur utilité. Avec les progrès technologiques tout est souvent une question d’utilisation de l’être humain, et de faire attention à ce qu’on affiche en public.



Etat des lieux de la série :

Fûka est une très bonne lecture. Un très bon travail a été effectué dessus. Il n’y a aucune lassitude, et nous sommes au tome 15. Il y a toujours des surprises et des rebondissements. Les éléments sont bien traités et avec intelligence. Nous nous posons des questions intéressantes. De faire de la musique comme une passion, à en faire une vocation professionnelle, il y a tout un monde et des enjeux.

Les moments musicaux et surtout sur scène nous font trembler d’émotions.

Il y a des moments très très très forts. Notre coeur aurait de quoi lâcher. Nous faisons beaucoup de rencontres et voyons les membres du groupe évoluaient.

Il y a eu quelques ratés et des scènes olé olé mais rien de méchant. Et pourtant, une décision des plus folles et dingues a été prise sur ce manga, mais quelque part c’est comme pour eux qui se jettent dans l’arène sans être sûrs de pouvoir assurer leur avenir ainsi.
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Fûka, tome 16

Les jeunes musiciens sont restés à Fukuoka, après le dernier concert. Il leur reste deux mois détournée et ils doivent encore vendre deux mile compacts disques pour sauver leur patronne et sa maison de disque. Ils doivent se démotiver et y croire jusqu’au bout car la mission semble impossible. Yû s’inquiète de la réaction de Fûka Aoi, depuis qu’il lui a déclaré son amour par le biais d’une chanson composée pour l’occasion. Fûka ignore encore si cette chanson lui était réellement destinée et est aussi sur la réserve. Les autres membres du groupe pousse Yû à déclarer sa flamme sans prendre de cérémonie de traverse mais le jeune homme est coincé et timide. Il faut dire que les réactions de Fûka ne l’encourage guère à lui avouer ses sentiments. Leurs amis, agacés, provoquent les deux amoureux pour qu’enfin, les choses se clarifient entre eux deux. C’est maintenant officiel, Fûka et Yû sortent ensemble mais, inexpérimentés, ils ne se sont pas encore embrassé. Amaya, leur patronne, les appelle pour leur annoncer que grâce à la chanson que Yû par amour a composé pour la nouvelle Fûka et les vues sur YouTube, elle a mis les chansons du groupe sur iTunes et qu’elle en a vendu suffisamment pour sauver sa maison de production. Mais Yû et Fûka ont contrarié Tomoko Ikoma la directrice de Zêta Music, qui jouit d’un grand pouvoir dans le milieu. Elle s’arrange pour que toutes les salles de concert n’accepte pas les Blue Wells en concert. Pendant ce temps, la chanteuse de l’ancien groupe les Hedehogs s’est fait opérée et a subit l’ablation e ses cordes vocales. L’ancien groupe doit toujours au futur succès des Blue Wells et leur ancien bassiste fait un cadeau à Yû en lui confiant un morceau qu’il avait commencé à composer. Les jeunes décident de passer un mois sabbatique pour que chacun aille s’entraîner et mieux apprendre à jouer de la musique. Yû et Fûka se retrouvent alors seuls…

Nouveau tournant pour les jeunes musiciens des Blue Wells. Ils ont réussi à sauver leur maison e disque mais maintenant, ils doivent penser à l’avenir, leur avenir. Le succès et la célébrité sont un véritable parcours du combattant et rien n’est jamais gagner à l’avance. Le travail et encore le travail est seul gâche de réussite. Le talent ou les dons ne sont rien s’ils ne sont pas exercés au quotidien. Et encore, il faut aussi une part de chance. Si parfois elle semble sourire à nos jeunes musiciens, il y a toujours un obstacle nouveau qui se crée. J’aime bien se ôté réaliste qui tord le coup du canard de la télé-réalité, les Stars Académies, Nouvelles Star et autre The Voice. Le show-business reste un bocal de requins et s’il y a beaucoup d’appelés, il y a peu d’élus. Ce manga nous montre la réalité et non le rêve facile qui crée des stars souvent éphémères. Le graphisme est toujours superbe, les personnages sont tous plus beaux les uns que les autres. Le scénario, si cette fois semble changer de direction, reste profond et sensible. Il y a toujours beaucoup d’émotions dans cette série. On y entendrait presque la musique que joue le groupe, tant c’est magnifiquement dessiné et orchestré. Pas de temps mort inutile, pas de tirage d’élastique, rien n’est à jeter dans cette histoire. J’ignore combien il reste d’épisode dans ce manga mais e suis toujours accroché par cette magnifique saga. Je m’émeus rein qu’en la regardant alors, je ne vous dis même pas se que je ressens en la lisant Jusqu’à présent, les épisodes se suivent de façon assez précise, le tome dix-sept est déjà annoncé et en prévente. Je l’ai programmé pour ne pas rater la date de parution. Je me suis obligé à résister pour ne pas lire ce seizième opus avant ce soir et dès que j’ai terminé ma journée, je me suis jeté dessus et l’ai dévoré d’une traite avec un réel bonheur. Lu en format KINDLE avec une magnifique numérisation. Vivement le dix-septième.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.

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Fûka, tome 17

Le groupe, pour avoir tenu tête à une « Nabab » du show-business japonais se voit refuser toutes les salles de concert malgré le succès commercial de leur dernier titre. L'essentiel, les jeunes musiciens ont sauvé leur maison de disque et les fiancés de Madame Amaya. Ils décident de vivre un mois sabbatique tout en cherchant chacun de leur côté apprendre, s'entraîner, trouver des coaches pour améliorer leur façon de composer, de jouer et de chanter. Fûka, la nouvelle, Aoi, reste avec Yû à Tokyo, dans l'appartement du groupe. Ils ont annoncé qu'ils sortaient ensemble. Fûka se fait des films de rester seule avec son amoureux. Sara est parti à Londres, retrouver le fondateur des Hedehogs pour améliorer son jeu de guitare. Makoto est parti retrouver son ancienne professeure pour le piano. Pendant ce temps, Yû travaille en espérant créer un chef-d'oeuvre en s'inspirant de quelques notes que l'un des membres des Hedehogs lui a donné.



Ce tome semble être un peu plus calme que les précédents. La tournée dans tout le Japon étant terminée, le groupe aspire à un peu de repos. Mais, plutôt que de dormir sur leurs lauriers, les jeunes musiciens veulent mettre à profit leur temps libre pour progresser. Chacun de leur côté vont cueillir çà et là de l'expérience. Ils travaillent, sont volontaires et redorent un peu l'image dee la jeunesse que la société à toujours tendance à critiquer. Ils rêvent d'atteindre leur inaccessible étoile. Ils savent que le parcours est jalonné d'embûche, d'ennemis potentiels, de jalousie. Il y a beaucoup de candidats dans ce milieu mais peu d'élus. Ce n'est pas en étant vire satisfait de sois-même qu'on avance. Ce tome pourrait nous faire croire que nous sommes en pause. Mais les sentiments des personnages se développent le doute s'installe mais ils surmontent leurs&prouvent qu'ils s'imposent. Ce manga est très émouvant. On peut voir les adolescents mûrir, progresser, évoluer. le graphisme est somptueux. Attention tout de même, le mangaka a tendance de plus en plis souvent à érotiser ses personnages féminins. Ca peut déranger certains lecteurs. Personnellement, je ne peux pas me vanter que ça me choque mais dans le contexte, il est vrai que ce n'est pas toujours utile au fil de l'intrigue. Bref, je suis toujours sous le charme de cette très belle série, avant tout pour son graphisme mais aussi pour son scénario qui ne faiblit pas, qui ne tire pas en longueur inutilement. Je suis réellement accro et c'est toujours avec beaucoup d'impatience que je vais attendre le tome suivant. Beaucoup de nouvelles pistes s'ouvrent vers de nouveaux possibles. Je suis curieux de voir quelle direction va prendre l'auteur. Lu en numérique au format KINDLE avec une superbe numérisation.



Fûka Akistuki : l'héroïne, décédée ;



Koyuki Hanashi : l'amie chanteuse ;



Makoto Mikasa : l'ami homosexuel ;



Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;



Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.



Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;



The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;



Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;



Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c'est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;



Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l'héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l'arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l'optimisme.



Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;



Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;



Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;



Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;



Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d'athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n'existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;



Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d'athlétisme (médaillé d'argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;



Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.



Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.



Kanalia : groupe amateur parce qu'ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.



Sakura Katsuragi : elle fait partie de l'équipe de bénévoles qui s'occupe d'un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d'eau à la première Fûka, l'héroïne décédée qui est à l'origine de cette série.



Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d'un grand pouvoir dans le milieu musical.
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Fûka, tome 18

Tous les membres du groupe Blue Wells mettent à profit ce qu’ils ont appris pendant leur mois sabbatique. Le manageur, Madame Amaya, n’en revient pas du résultat. Les jeunes musiciens dépassent ses espérances. Mais ils sont toujours sous la coupe de la colère de Tomoko Ikoma, directrice de Zêta Music, qui ne leur pardonne toujours pas d’avoir été contrariée par le groupe. Toutes les salles du Japon leur sont fermées et il est pour eux impossible de donner un concert. Les jeunes misent tout, c’est vraiment du quitte ou double, sur le festival qu’ils veulent organiser.

Ce manga ne faiblit pas. Il reste aussi passionnant depuis le premier épisode et rebondit sans cesse. A chaque étape du parcours qui conduit vers la gloire, il y a son lot d’obstacles. Cette fois, il semble insurmontable et le lecteur, qui inconsciemment devient fan du groupe Blue Wells, crie à l’injustice. Le scénario est solide, on s’y croit. C’est écrit de façon extraordinaire. Mais le graphisme n’est pas en reste. On y voit l’évolution des musiciens, on aperçoit leur volonté de mieux jouer, de mieux chanter, de mieux devenir charismatique. Les jeunes ne se laissent pas abattre. Ils ont une volonté à toute épreuve et n’hésitent pas à prendre tous les risques pour tenter de briser la censure car il faut bien l’appeler comme ça, la rancœur de la directrice de Zêta Music est tellement disproportionnée qu’elle en devient une sorte de censure et d’acharnement. C’est encore une fois le combat des petits face aux tout puissants, ceux qui ont les moyens de nous enfoncer en toute impunité la tête dans la vase, dans la mouise car ils ont tous les moyens d’interdire, de menace, de pression pour mépriser ceux qui tentent de réussir sans leur accord et qui ne sert pas leurs profits. Le manga semble prendre un tournant de lutte sociale. Il est vrai qu’on a vu parfois des artistes de talents pratiquement disparaître car ils voulaient rester libre dans leurs créations musicales alors que les producteurs les poussaient à ne faire que du commercial. « Crée et tu seras toujours persécuté, copie et tu vivras heureux comme un sot » (Honoré de Balzac). Pourquoi si ont veux réussir, il faut courber la tête et mettre un genoux à terre. Vive la rébellion, la résistance. Finalement, pour ne rien regretter, il vaut mieux choisir le clan des chiens perdus sans collier plutôt que les biens nourris marquer au coup et privés de liberté. Là, on espère que les sans sous ne se briseront pas contre les écueils dérasé par les nantis, qu’ils vaincront contre les lobbys tout puissants et que le peuple, ainsi que d’autres artistes, adhéreront à leur mouvement qu’on peut déjà qualifié de révolutionnaire. Vivement le prochain épisode, que je soupçonne déjà ne pas clôturer cette noble bataille en un seul tome, qui est annoncé pour le mois de mars. Encore un critère de qualité de ce manga, c’est la régularité de sortie de ses épisodes, le prochain est même déjà en prévente, tant en numérique qu’en version papier. Comme à mon accoutumée, lu en numérique en format KINDLE qui nous offre une numérisation sans défaut.

Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.



Manga, jeunesse, Japon, amour, amitié, musique

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Fûka, tome 19

Nous sommes toujours dans la guerre des festivals. Les Blues Wells tardent toujours à rassembler les fonds et les sponsors indispensables à l’organisation de leur festival. Zêta Music n’arrête pas de vouloir les empêcher de se produire en public. Les jeunes musiciens ne renoncent pas. Zêta Music utilise tous les coups bas que la prestigieuse maison de disque peut employer. Mais malgré tous les efforts pour couler l’organisation des Blues Wells, ces derniers arrivent en dernière minute à rassembler les fonds nécessaires, les restaurateurs, les groupes et chanteurs. Il leur reste à convaincre le public d’assister à leurs concerts en sachant que la grande maison de disque a organisé un festival sur la même plage qu’eux en ayant mis les petits plats dans les grands. Zêta Music va jusqu’à vouloir corrompre Saori Amaya, la productrice des Blues Wells. Cette dernière refuse l’offre en or et continue de soutenir ses poulains. Les festivals peuvent enfin commencer. Le public est mitigé, partagé à vivre le festival de la grande enseigne ou celui des jeunes musiciens inexpérimentés. Au premier concert, une surprise de taille, dont Amaya à le secret, surprend les festivaliers, même les Blues Wells qui n’était pas informés. Le public ne réfléchit plus, il déserte le festival organisé par Zêta Music pour celui des Blues Wells. Mais ce n’est pas tout, il faut tenir la distance et garder le public. Les groupes s’enchaînent, le public semble se fidéliser mais, rien n’est gagné d’avance. Les deux festivals redoublent d’astuces pour gagner la compétition entre eux et les Blues elles ne sont pas encore montés sur scène…

Encore une fois, le trait élégant de Kouji Seo fait mouche. Ses personnages sont toujours aussi beaux. En plus, il se permet de déshabiller son héroïne. Il ne le fait pas souvent mais il a le don de croquer les jolies filles et il est fidèle à sa réputation. Et aussi, il se permet d’utiliser la technique du crossower en invitant les héros de « Suzuka » (qui sont les parents de la première Fûka, celle qui disparaît dramatiquement au début de la série) et ceux de « A Town Where You Live ». Il maintient toujours le suspens et n’hésite pas à durcir les obstacles face à la progression de ses héros qui pourtant, multiplient les efforts pour réussir. Il nous brosse avec talent un milieu du show-business impitoyable, à l’heure des émissions de téléréalité qui tentent de nous faire croire qu’en tout le monde, une star sommeille. Le scénario continue de tenir la route et est sans faille L’auteur joue sur l’émotion et la transmet à ses lecteurs. C’est fort, c’est prenant. C’est une série dont je suis complétement accro. Je ne sais pas combien de tome sont encore à venir, surtout qu’une nouvelle série de l’auteur est déjà annoncée, les deux premiers tome d’Half & Half seront publiés le quinze avril. Pourvu que cette nouvelle série ne frein pas celle-ci qui sort avec une précision de métronome. Ô que je suis impatient de découvrir la suite. Lu en numérique, au format KINDLE, avec une excellente numérisation.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.



Manga, jeunesse, Japon, amour, amitié, musique

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