Laure Enza

Alnaïr fait d'abord figure d'anti-héroïne : elle subit les événements et se rend en traînant des pieds à un entretien d'embauche dans une boîte de nuit pour y être serveuse. Un endroit qui n'est pas ce qu'il paraît... À partir de là, les ennuis commencent.

L'autrice nous décrit fort bien les lieux, et les sentiments et sensations de cette sorcière rejetée par les siens, de sorte que nous compatissons. Nous sommes également avec elle dans la recherche du meurtrier, ce qui crée du suspense et des rebondissements.

J'ai donc beaucoup aimé cette nouvelle histoire de Laure Enza ! À vous de la découvrir !

Laure Enza est une écrivaine auto-édité qui est loin d'être une novice, ayant, je crois, une vingtaine de romans à son actif. Cela étant dit, c'était la première fois que je lisais l'un de ses livres.

Je me doutais que son style était agréable, et je dois dire qu'à ce niveau, comme concernant la construction du récit, c'est impeccable.

L'auteure parvient brillamment à tisser une toile narrative complexe, où chaque personnage ou élément du récit contribue à créer une ambiance relativement paranoïaque que j'ai appréciée à sa juste valeur.



En effet, l'histoire de ce roman d'Urban Fantasy est traitée en partie à la façon d'un polar.

L'intrigue est centrée autour du personnage d'Alnaïr qui attire les cadavres tel un aimant. Il s'agit d'une jeune sorcière dotée de pouvoirs extraordinaires, mais qu'elle sous-emploie parce qu'elle les maîtrise mal, notamment à cause de raisons familiales.

Son aventure macabre est alimenté par sa rencontre avec une petite ribambelle de personnages humains ou surnaturels qui, pour la plupart, ont leurs secrets. Cela ne les empêche pas d'être haut en couleur, et leur exubérance est souvent un régal qui pimente le récit. Malgré ça, ou peut-être à cause de cela, tout au long de l'histoire, il est difficile pour le lecteur de discerner qui se cache vraiment derrière chacun des protagonistes de cette sombre mise en scène.

Je dis "sombre" parce que les évènements qui s'enchaînent ne sont pas franchement joyeux... Cependant, jamais on ne tombe dans le glauque : les personnages principaux étant tous relativement positifs à leur manière.



Comme je le disais un peu plus tôt, l'écriture de Laure Enza est finement ciselée. On la retrouve ainsi toujours à l'aise, que ce soit au niveau des dialogues, des réflexions de ses personnages, des descriptions et même de l'action. Elle manie ce bel éventail avec une jolie maestria, sans s'emmêler les pinceaux une seconde, créant un Univers Fantastique cohérent, servi par un véritable suspense aux multiples rebondissements, ainsi que par une belle fluidité qui nous entraîne, sans nous laisser souffler, jusqu'au bout du livre.

C'est donc avec un grand plaisir que les pages défilent 🙂



Pour conclure, je ne me suis pas ennuyé un instant en compagnie d'Alnaïr et de ses drôles de compagnons d'infortune. J'ai apprécié leur style plutôt atypique, mais aussi l'ambiance et l'intrigue bien ficelée.

À noter également, le fait que, contrairement à beaucoup d'histoires d'Urban Fantasy, cela ne se passe pas entre étudiants, ce qui est pour moi une bouffée d'air frais.

Honnêtement, pour tous ceux qui aiment la Fantasy, il serait dommage de passer à côté de ce roman !

Suivre Akilàm dans ce roman initiatique, à mi-chemin de la SF post-apocalyptique et de la Fantasy, au cœur de la cité-état de Barkan ou dans le désert a été un vrai plaisir. Un univers très bien décrit avec ses lois et croyances, des personnages attachants, des créatures étonnantes…



J’ai retrouvé la légèreté de l’écriture de Laure Enza, découverte dans un autre registre, un vocabulaire agréable et précis, un style simple qui apporte fluidité et rythme à l’histoire.



C’est de la littérature jeunesse donc ni passage gore ni sexe : seulement l’évasion. Et je le recommande à tout âge.



Je ne dirais rien de plus de ce premier tome si ce n’est que je fonce acheter les suivants !

L'histoire est sympathique et les personnages attachants et on se prend à enchaîner les chapitres.

Le nom des objets lieux et personnages amuse aussi.

Dommage que le manque de finesse l'autrice gêne parfois.

On sent les gros sabots et les grosses ficelles.

Quel plaisir pour moi de découvrir cette série de Science-Fiction « Chroniques du Monde-hors » de Laure Enza, avec son premier tome « L’HÉRITIER DES SABLES » !

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J’ai beaucoup aimé l’écriture de Laure Enza, son style fluide qui coule sans heurt aucun, son rythme qui m’a entraînée à dévorer les pages, ses descriptions qui rendent chaque scène vivante et odorante.

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Le monde imaginé par l’autrice est d’une précision incroyable.

Je me suis retrouvée entièrement plongée dans ce monde aride, visualisant chaque scène, chaque personnage sans aucune difficulté, dans la chaleur, la lumière ou l’obscurité.



Laure Enza est allée jusqu’à inventer une nouvelle langue parlée par les mutants, tout à fait compréhensible, mêlant mots anciens et néologismes créés à partir de mots connus, pleine de finesse et d’humour, qui m’a régalée.

Beau travail !

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J’ai particulièrement été sensible à son évocation des us et coutumes de chaque peuplade. L’autrice propose une réflexion très intéressante en opposant judicieusement le poids des traditions, qui pousse certains à accorder plus d’importance aux règles qu’à leurs concitoyens, avec la force de vie qui pousse d’autres à dépasser ces carcans, à observer leur entourage avec attention et à imaginer d’autres possibles.



Les thèmes de la survie, des croyances, de la solidarité, de l’adolescence, du voyage, de l’amitié, de la découverte de soi sont finement abordés.

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La couverture de Nicolas Jamonneau est vraiment très belle.

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Un livre de SF comme je les aime, qui imagine notre futur sans oublier la multitude des facettes qui composent l’humanité.



Inutile de vous dire que je fonce sur le deuxième tome de cette série « Chroniques du Monde-hors », LA CITÉ MYTHIQUE.



Merci infiniment, Laure Enza, pour cet excellent moment de lecture.

Monde fascinant que celui créé par Laure Enza... On suit ce Prince des Sables de sa naissance aux épreuves royales pour succéder à son roi de père... mais le prince est curieux, intrépide, aventurier... et drôlement surprenant. Le monde est formidablement écrit, décrit et imagé... tout va vite mais bien... J'ai hâte d'avoir la suite !!!

Découverte surprenante de l'auteure dans la catégorie science fiction ! D'habitude adepte des romans dit "feel good" j'ai adoré rencontrer l'héritier des sables de sa naissance au début de ses péripéties dans se monde futuriste. Il part dans la découverte de lui même et doit assumer sa différence, et s'affirmer en tant qu'héritier.

Comme dans tous ses autres romans, j'apprécie le style précis et imagé de l'auteure qui m'a permis de m'immerger totalement dans cet univers.

Je vais le commander de nouveau pour l'offrir à ma petite fille friande d'aventures fantastiques !

Emportée par le récit.

Après les romans sauce feel-good contemporaine, Je découvre l’écriture fantasy de Laure Enza, et je dois dire que je suis encore conquise par sa plume.

Elle met en place avec beaucoup de précision et de naturel l’univers du Monde-Hors. On s’y croirait. L’histoire est prenante, complots, aventures, épreuves, découvertes attendent le jeune héros Akilàm.

Une saga de 6 romans à conseiller aux adolescents comme aux adultes. (Je l’avais acheté au départ pour mes fils...)

En route pour le tome 2 !

Une histoire addictive entre Fantasy et SF⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

Avec ce roman, je découvre avec plaisir la plume de L'auteure, et je ne suis pas déçue. L'intrigue commence dans une cité-état du désert de Méditrà, à Barkàn, où le roi Jàhlel attend avec angoisse la naissance de douzième enfant. Mais son épouse meurt en lui donnant l'héritier espéré. Selon les dures lois de la cité, Akilàm ne devrait pas survivre, mais son père pressent pour lui un destin particulier. Ce jeune garçon, très intelligent et enfermé avec ses sœurs dans les murs du palais pour son apprentissage, ne rêve que de découvrir le monde. Mais je ne vous en dis pas plus, sinon que de nombreuses aventures vous attendent !

L'intrigue est très plaisante à lire, L'onomastique originale et les personnages très bien campés. j'adore celui de Nia'mu ! Je veux le tome 2 !!

Quel plaisir de me plonger dans l’univers d’Akilàm, 11e enfant du roi Jahlel (et seul garçon), dont la naissance fut soulignée par un drame : la mort de la reine Firouz, sa mère.

Pourtant, une force intrépide l’anime dès son plus jeune âge. Curieux de tout, il a surtout l’âge d’un aventurier face à l’immensité d’un monde inconnu, au-delà du désert, qu’il rêve de découvrir.

Mystères, complots, amitié pure, courage et détermination, avec Akilàm, c’est notre propre initiation que l’on fait, c’est découvrir un monde insoupçonné où lois cruelles et croyances se mêlent, c’est aller au devant des mêmes dangers, des mêmes doutes et profiter des mêmes moments de bonheur, c’est aussi grandir à ses côtés avec un courage façonné par les épreuves.

Sous la plume admirable de Laure Enza, les décors prennent vie avec force détails visuels et olfactifs, on ressent la chaleur étouffante sous le soleil de plomb, on découvre la cité archaïque de Barkàn et son palais royal surplombant les différents quartiers (quartier militaire, ville-majeure, ville-mineure, ville marchande…) entourés d’enceintes. Et, au-delà des remparts, l’immensité du désert, on devine les sons des créatures sauvages qui s’y cachent.

Je me suis attachée à ce jeune prince courageux et déterminé au fil de ses propres découvertes, son cœur noble, honnête, et dont la vie est menacée à tout instant.

Ce premier opus m’a transportée. C’est vrai, j’aime lire de la Fantasy parce qu’elle projette mon esprit loin de notre réalité et c’est que ce je recherche dans les livres. Pourtant, les Elfes, les Gobelins, les Trolls et la violence « kill them all » qui les caractérisent… très peu pour moi. C’est pourquoi le livre de Laure m’a totalement captivée. Il est issu d’un imaginaire d’une finesse incroyable et m’a immédiatement projetée dans son univers. Son style est fluide et rythmé. J’ai beaucoup aimé les néologismes subtils de l’auteure, la plupart construits à partir de mots existants auxquels quelques lettres ont été retirées, une belle idée. Un coup de génie aussi : l’invention d’une langue, celle du mutant qu’Akilàm va rencontrer.

Le premier tome est donc une belle découverte, le tome 2 sera ma prochaine lecture et le tome 3 rejoindra les deux autres rapidement. En un mot, j’adore !

De 11 à 111 ans, la lecture de cette trilogie est un régal.


Lien : https://www.dominiqueguenin...

J'ai apprécié de lire les aventures de ce prince, moi qui ne lis pas souvent, j'ai eu du mal à le commencer et ensuite, j'ai eu du mal à le lâcher. Il se passe beaucoup de choses, il y a beaucoup d'action, c'est ce qui est prenant. Je me sentais proche des personnages. ça se passe dans le futur, mais il y a beaucoup de choses qui me font penser au présent dans les réactions des gens.

Extraordinaire, chaque soir l'auteur arrive à m' emporter dans son monde futuriste, qu'elle me fait me coucher (un peu trop) tard...

Le tome 1 était tout aussi captivant, vivement la suite !

On retrouve avec plaisir Akilàm dans son périple à travers le désert vers une autre cité. De nouveaux paysages, de nouveaux personnages, de nouvelles aventures…



À nouveau l'écriture légère et imagée de Laure Enza nous permet de plonger sans effort au cœur de son univers.



Un tome deux à la hauteur du premier et je m'empresse de découvrir le tome 3 !

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Akilàm et ses compagnons de voyage, après leur départ de leur ville-cité pour libérer les jeunes filles de leur communauté enlevé par des vaisseaux issus de la Mégacité.

Les voilà traversant le désert, liant des alliances, faisant face à des trahisons, découvrant des alliés, des ennemis, et même des robots très humains...

Akilàm va affronter les causes et les conséquences de sa quête et de son but en tant que Prince héritier... un prince si atypique, mais si attachant... On le quitte à regretter puisque les prochains opus s'attacheront à un de ses nouveaux alliés.



L'écriture de Laure Enza est toujours très imaginée, pleine de surprises linguistiques, de couleurs, d'odeurs et laisse au lecteur la possibilité de se créer son propre univers tout en ayant les codes d'accès et la ligne de conduire.

J'ai apprécié de suivre les aventures de personnages que j'aimais bien dans le tome 1 des Chroniques du Monde-hors. L'intrigue s'intensifie, les lieux se diversifient, on découvre des civilisations, on plonge vraiment dans un tourbillon, on découvre de nouveaux personnages vraiment étonnants et la fin nous donne envie de lire la suite!

Même s’il serait vraiment dommage de se priver des tomes précédents Le prince des abysses pourrait se lire indépendamment des autres.

Après deux tomes consacrés aux aventures d’Akilàm, à la découverte de la cité-état de Barkàn, du désert de Méditrà, de la mégacité, l’auteure nous invite à un retour en arrière en compagnie d'Ahukaï.



C’est dans un univers marin, tout aussi travaillé et passionnant que les précédents, que nous suivons ce personnage, de sa naissance à son départ pour la mégacité.

Un roman époustouflant, plein d'aventures, de personnages étranges, de civilisations inventées mais qui pourtant ressemblent aux nôtres. J'ai aimé les aventures, mais aussi le message sur la pollution des océans. Je n'ai pas lu les deux premiers volumes de la série, mais l'histoire de ce prince est compréhensible et j'ai passé un beau moment de lecture.

En attendant l'arrivée du tome 4 de la saga, j'ai pris le temps de relire "Le Prince des Abysses". Bien sûr, l'histoire de ce prince d'un autre monde est passionnante ! On s'attache à ce personnage bizarre qui ne ressemble pas à ce que l'on connait mais qui vit toute fois des évènements que nous pouvons rencontrer, ce qui le rend très Humain. Il représente au fil de ces aventures une force mentale pour résister au rejet de sa société.

Indépendamment de l'histoire, le style net, précis, imagé de l'auteure m'enchante. C'est avec impatience que j'attends le tome 4 !

Cité sous-marine de Pahua. Au désespoir, la reine Onati vient de donner naissance à un garçon. Dans cette société matriarcale, il ne devrait pas être autorisé à vivre, et pourtant, les signes le placent très vite sous la protection du dieu requin. Ainsi grandit le prince Ahukai, renié par sa mère et privé de son trône. Très jeune, il prend conscience du terrible danger qui menace l'océan dans lequel il vit. Tout porte à croire qu'une destinée hors du commun l'attend.

Troisième tome des "Chroniques du Monde-Hors" ce livre revient sur l'enfance du prince Ahukai, croisé dans le deuxième opus. Encore une fois, je suis bluffée par la précision et la cohérence de l'univers créé, entre société archaïque traditionnelle et post-apocalyptique. Car ce qu'Ahukai dénonce et combat, c'est la terrible pollution marine menée par les Terrestres, qui menace son monde et fait gronder la menace d'une guerre. Et croyez-moi, les membres de son peuple sont de redoutables guerriers amphibies. Un grand récit initiatique qui nous place, nous, dans la posture de l'étranger, du barbare et de l'agresseur avec beaucoup d'habileté.

Je dispose de l'intégrale qui regroupe les tomes 3 et 4, aussi vais-je vite me jeter sur la suite des aventures d'Ahukai, en espérant qu'il retrouve le prince Akilam des tomes précédents parce que là, j'ai très envie de partir pour les mega-cité avec eux.

Après avoir lu les deux premiers tomes de la série qui concernaient le prince Akilàm, j'ai été un peu surpris de découvrir ce troisième tome qui parle de l'enfance du prince Ahukaï, c'est comme un grand flashback sur un autre héros de la saga. Mais cette histoire est aussi passionnante que les autres, si ce n'est pas plus. Les mondes imaginés sont extraordinaires et les aventures de ce personnage solitaire m'ont beaucoup intéressé.