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Citations de Lauren Oliver (645)


Incroyable comme j’ai été près, pendant tout ce temps, de mon ancienne vie. Et comme, d’un autre point de vue, la distance qui m’en sépare est infranchissable.
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Les maladies les plus dangereuses sont celles qui nous donnent l’illusion d’aller bien.
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« Le chagrin est une noyade, un ensevelissement. Je m'enfonce dans une eau couleur de terre retournée. Chaque respiration m'étouffe. Il n'y a ni rebord ni paroi où planter les ongles. Rien d'autre à faire que lâcher prise. Lâcher prise. S'abandonner au poids qui pèse sur tout mon corps et me comprime les poumons. Se laisser aller vers le fond. Il n'y a pas s'autre destination. Il n'y a que le goût du métal, l'écho du passé et des jours qui ressemblent aux ténèbres. »
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Je suis morte et je n'arrive pas à cesser de vivre.
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Grandir consiste à apprendre comment rester du bon côté. Celui de ceux qui rient.
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- Est-ce que… est-ce que les autres se moquent parfois de toi ? De ta façon de prononcer les mots ?
Malgré ses nombreuses couches de vêtements, je la sens se raidir.
- Des fois.
- Pourquoi tu ne fais rien, alors ? Tu pourrais apprendre à parler autrement, tu sais ?
- Mais c’est la mienne !
Elle s’exprime avec douceur et fermeté.
- Comment tu saurais que c’est moi qui parle, sinon ? ajoute-t-elle.
C’est bien une réponse à la Izzy. Si déstabilisante que j’en reste muette.
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On m'a prévenue qu'après le Protocole je n'aimerais peut-être plus courir. C'est l'un de ses autres effets secondaires: les gens changent souvent d'habitudes, perdant tout intérêt pour des activités et des choses qu'ils affectionnaient avant.
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"Faites tomber les murs.
Sinon, vous mènerez une vie étriquée, une vie de peur, vous vous barricaderez contre l’inconnu, vous réciterez des prières contre les ténèbres, vous laisserez parler la crainte et l'étroitesse d'esprit.
Vous pourriez, bien sûr, ne jamais connaître l'enfer. Mais, dans ce cas, vous vous condamneriez aussi à ne pas connaître le paradis. Vous ne feriez jamais l'expérience du vide et de l'envol."
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Voilà la raison de son mutisme. Tous les autres termes de son vocabulaire sont éclipsés par ce mot unique, trop grand, dont l'écho occupe encore les recoins sombres de sa mémoire. Maman.
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Pour la première fois de ma vie, j'ai sincèrement de la peine pour Carol. Je n'ai que dix-sept ans et j'ai déjà compris quelque chose qui lui échappe: j'ai compris qu'on n'est pas maître de sa vie si on se laisse ballotter par elle. J'ai compris que l'objectif, le seul, est de trouver ce qui compte, de s'y accrocher, de se battre pour, coûte que coûte.
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Je savais déjà à l'époque que mon père se trompait : les mots peuvent tuer de mille façons. Les mots sont des pièges sur lesquels on trébuche, des cordes auxquelles on se pend, des orages tourbillonnants qui déboussolent et conduisent sur le mauvais chemin.
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Abby m'a prévenue que la tempête n'avait pas fait de quartier à Twin Lakes - " la ville est dans le même état qu'un étudiant après une cuite du vendredi soir" - (...).
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(...), il l'avait bordé trop serré, ce qui lui donnait l'impression d'être un burrito géant.
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Lorsque sa femme a découvert notre liaison et qu'il lui a promis d'y mettre un terme , je crois que j'ai un peu pété les plombs....
Le pistolet n'était que l'intermédiaire. C'est la solitude qui a eu raison de moi , au bout du compte.
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(…) j'ai compris qu'on n'est pas maître de sa vie si on se laisse ballotter par elle. J'ai compris que l'objectif, le seul, est de trouver ce qui compte, de s'y accrocher, de se battre pour, coûte que coûte.
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J’aime voir la nature ainsi : éthique et nue, avant de revêtir ses habits de printemps. Mais vivante aussi, en expansion, pleine de désir, d’une soif pour ce soleil qui l’abreuve un peu plus chaque jour. Bientôt la nature explosera, débordant d’énergie.
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Voici ce qui m’émerveille en permanence : les gens changent de peau chaque jour. Ils ne gardent pas la même deux jours de suite. Il faut les réinventer, et il faut qu’ils se réinventent, eux aussi.
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C'est à ce moment là qu'on perd vraiment ses proches, tu sais. Quand la douleur cesse.
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Le désir emplit mon corps. Je veux sentir ses lèvres sur les miennes, pleines et douces, sentir ses mains dans mon dos et mes cheveux. Je veux me perdre en lui, me dissoudre dans son corps, je veux que nos peau s'abolissent l'une l'autre.
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Erigez des murs jusqu'au ciel et je trouverai le moyen de m'envoler pour les franchir. Essayez de m'immobiliser avec cent mille bras et je trouverai le moyen de résister. Et je ne suis pas la seule. Nous sommes plus nombreux que vous le pensez. A refuser d'abandonner tout espoir. A refuser de garder les pieds sur terre. A aimer dans un monde sans murs, à aimer jusque dans la haine, à aimer lorsque les espoirs sont perdus, à aimer sans peur.
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