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Critiques de Laurent Chabin (53)
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Le Corps des femmes est un champ de bataille

Sexe, violence et littérature, voici les trois ingrédients de ce roman réussi que je n'ai pourtant pas aimé.



Sexe



J'ai pensé d'abord avoir été «dérangée» par toutes ces petites doses de sexe dont le roman est émaillé.



Mais, à la réflexion, mon agacement vient peut-être plutôt de ce que lesdites doses de sexe me semblent ici superflues et leur description volontairement provocatrice. Je me questionne : pourquoi? Je n'arrive pas à comprendre en quoi cela sert le roman.



Ce thème ne justifie pas non plus le titre du livre qui, lui, fait référence aux armes blanches.



Le sexe ici a donc juste servi, me concernant, à me détourner par moment des pensées et du message communiqués par Chabin, ce que je déplore car ceux-ci sont intéressants, riches et matière à débat et réflexion. J'adore.



Violence



La violence, sa genèse, ses origines. Pourquoi celle-ci surgit-elle? Intéressante question.



Littérature



C'est autour de ce thème omniprésent dans le roman de Chabin que je me suis régalée.



Les effets de la littérature sur les lecteurs, le pouvoir de celle-ci, les liens étroits entre fiction et réalité. Tout est ici décortiqué avec finesse. Enrichissement intellectuel garanti.



Ah oui, c'est vrai, ce livre est classé dans la catégorie «polar». Ce n'est pourtant pas son aspect le plus important à mes yeux. Oui, il y meurtres. Oui, il y a enquête, quoique. Et puis, dès la page 168, à cause d'un petit détail... «si l'on peut dire»... j'avais découvert le pot aux roses. Décevant. Bref, amateurs de polar, passez votre chemin. La substance de ce livre n'est pas ici à mon humble avis, mais bel et bien dans le regard que Chabin porte sur la société, les écrivains et leur rôle au sein de celle-ci.



Non, je n'ai pas aimé ce «polar» de Chabin, mais j'ai une énorme envie de découvrir d'autres écrits de cet auteur dont les réflexions me poussent à me questionner sur tant de choses... à commencer par la littérature elle-même.



J'ai manqué (en partie) un livre, mais j'ai découvert un auteur.



À bientôt Monsieur Chabin.
Lien : http://austintoutvabien.over..
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Crimes à la bibliothèque - 2015

Un recueil de nouvelles. Les crimes doivent se passer dans une bibliothèque. Original !



Prenons par exemple la nouvelle : Massacre à Wiskey de Maxime Houde

Un cow-boy William Murphy trouve une jeune femme inerte sur sa route au milieu de nulle part. Elle a été battue, violentée.

Il décide de faire justice .

Pas de procès, pas de pitié, pas de sommations. Rendre la justice est expéditif pour Murphy .

Massacre est le mot juste.

Autour du lac Molson de Michel Jobin

Une nouvelle journée commence .

Il y a tout d'abord ce jeune homme qui se prépare car pour lui c'est un grand jour.

Puis André lieutenant détective au sein de la Section antiterrorisme et mesures d'urgences du SPVM qui déjeune avec son fils.

Il est marié et a deux filles, un chien.

Cette nouvelle est glaçante, Ce qui va se produire ce jour-là pourrait arriver à n'importe qui d'entre nous.















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Crimes à la bibliothèque - 2015

Travaillant en bibliothèque et amoureuse des livres je ne pouvait passer à côté de ce recueil de 17 nouvelles. Le détail. "Combustion lente" est glaçante et à éviter pour ceux qui aspirent à être professeurs. " Alewandre Dumas" ne se passe pas dans une bibliothèque de ville mais dans la bibliotheque d'une maison. C'est une nouvelle très réussie qui parle des cadavres dans le placard que certains traînent après la seconde guerre mondiale. " Meurtre sous khontrainte" est un petit chef d'œuvre d'ironie à la chute sublime. A recommander particulièrement aux amoureux de Boris Vian. " Page soixante deux" est un peu tordue par les cheveux mais l'idée est réussie. " J'hais les livres" oscille entre vérité profonde et ironie. La chute est très drôle. La place de la bibliothèque est très faible dans " Guerriere" qu est par ailleurs très sombre. " Veni satanas" est intéressante cat elle abordé l'idée du danger des livres et des superstitions. La place de la bibliothèque dans " Massacre à Little Whiskey" est symbolique. Je n'ai pas trop aimé cette nouvelle sanglante. "Un omicidio in la Sérénissima" est une enquête policière très réussie. " Fin de partie" est un peu nébuleux mais pas mal quand même. " Notre maître le passe" est une formidable uchronie où l'histoire est reecrite. " Le secret du tome trois" est très amusant. La chute est géniale. " La littérature est un plat qui se mange froid" n'est pas la plus réussie mais l'idée est intéressante. " Autour du parc Molson" utilisé un peu trop les ellipses et la place de la bibliothèque est trop restreinte. " Rififi à la bibli" est amusant. " Le truc avec les Turcs" est une bonne nouvelle. Enfin " Actu reus" est ma préférée. Une merveille fantastique effrayante. Un recueil de qualité sans être exceptionnel.
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Le prince charmant est une ordure

« Elle a cru comme les autres, à son prince. Comme une petite fille, comme un souillon de conte de fées. Mais les fées ont une sale gueule et le prince charmant est une ordure »



Le prince charmant n’existe pas et certaines l’apprennent trop tard. Lors d’une longue discussion étalée sur plusieurs jours, un sans-abri tentera de connaître l’histoire de sa nouvelle colocataire, qui ne veut plus rien connaître à la vie.



La narration me fait beaucoup penser à LE CHRIST OBÈSE de Larry Tremblay, où l’un des protagonistes est plutôt flou dans ses intentions et sur son passé. L’auteur maîtrise très bien le genre noir. 
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Crimes à la bibliothèque - 2015

Intéressant. Dix-sept nouvelles policières qui se déroulent dans une bibliothèque. Amusant comme thématique, pour certains auteurs c'est un lieu très inspirants. Certaines nouvelles sont excellentes et d'autres sont un peu moins intéressantes mais en général le recueil est très bon!
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Piège à conviction

Même si c'est un livre jeunesse j'ai bien aimé cette intrigue. Le crime qui se produit est réaliste et toutes les conséquences qui surviennent nous donnent une bonne idée. de la nature humaine. Même si ce ne sont que des adolescents.
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À tombeau ouvert

Résumé : Ombres furtives, messages menaçants, mouchoir ensanglanté dans un tiroir… Plaisanteries macabres? Non, ça ne ressemble décidément pas à des blagues : quelqu’un en veut à Normand. À mort!



Lorsque Alice, sa conjointe, introuvable, semble victime d’un enlèvement, Normand part à sa recherche. Mais chaque fois qu’il croit s’en rapprocher, Alice s’enfuit de plus en plus loin. Où va-t-elle? Pourquoi? Quel monstre tire les ficelles de cet imbroglio? La réponse à ces questions ne fera qu’amplifier la tension qui imprègne ce récit.



Commentaires : Laurent Chabin est l’auteur de plus de 90 romans. Il récidive en signant À tombeau ouvert, un roman noir jeunesse pour un lectorat en fin d’adolescence. Une fiction qui se déroule au Québec (Montréal, Saguenay/Lac-Saint-Jean et Chibougamau) dont le personnage principal, le bédéiste Normand Gallo (Hôtel de la dernière heure, autre roman auquel l’auteur réfère à plusieurs reprises) devenu chargé de cours à l’université est convaincu de croiser à nouveau l’abominable Enver Kazan. À la recherche de sa femme Alice qui laisse sur la route des indices devant mener à solutionner sa disparition, Gallo est confronté à un mystère.



Je dois avouer que j’ai eu passablement de difficultés à me laisser entraîner dans cette histoire plus ou moins crédible. Les nombreuses redites tout au long de l’intrigue ralentissent le rythme de l’ensemble. Les personnages de l’étudiante, Hélène, de la femme au style gothique et même des enquêteurs montréalais m’ont semblés désincarnés à bien des égards. Et la finale plutôt décevante.



Désolé. Je m’attendais à un « roman noir haletant » comme nous a généralement habitués Laurent Chabin. J’y ai trouvé malgré tout une lecture divertissante. Des lecteurs plus jeunes apprécieront peut-être davantage.



Ce que j’ai aimé : Un certain suspens dans les premiers chapitres. La qualité de l’écriture.



Ce que j’ai moins aimé : Les nombreuses redites.
Lien : https://avisdelecturepolarsr..
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Crimes à la bibliothèque - 2015

Ce recueil de nouvelles m'a fait découvrir certains auteurs et en redécouvrir d'autres, à travers des histoires aux thèmes et styles très variés.
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Mystères à l'école

L'avantage et le désavantage des recueils de nouvelles rédigés par des collectifs, c'est que chacun des textes est fort différent : dans le style, dans la langue (certains ont choisi une langue soutenue, d'autres s'expriment plus en mode « ado »), dans l'impact, dans le genre aussi, même si on est ici clairement dans des intrigues où il y a toujours un élément mystérieux.

Certains ont choisi des récits plus réalistes, du genre tranche de vie, d'autres abordent des thématiques plus spécifiques comme l'intimidation, d'autres encore explorent la romance. L'autrice qui se démarque le plus est toutefois Karine Lambert, alors qu'elle ose mettre en scène un décor scolaire de science-fiction (genre dans lequel elle a elle-même écrit un diptyque), sur une planète où les robots sont omniprésents. Lue à travers la multitude, elle ressort aussi par la qualité de son intrigue et l'intensité : on est ici dans une intrigue qui aurait pu être développée davantage tant on sent la matière.

Se démarquent aussi Robert Soulières et Simon Boulerice, dont les styles se reconnaissent entre tous, le deuxième avec un obsessionnel léger qui s'éprend d'un nouveau venu à l'école, texte ponctué des répliques en anglais (c'est beau et juteux), Martine Latulippe et André Marois, des habitués du style, qui semblent avoir cette capacité innée de créer du suspens à partir d'éléments qui semblent tout simples, Sonia Sarfati avec sa nouvelle qui se divise en deux parties qui se répondent jusqu'à la finale et Pierre-Yves Villeneuve, par la qualité de son histoire (chouette finale), mais aussi le prénom de son personnage principal : Jesse-James, rien de moins!

En bref? Un recueil qui ressemble à une courtepointe colorée et de qualité, à lire en plusieurs fois pour savourer!

Le plus plus? À la toute fin, on présente les quinze auteurs... mais sans les nommer. Un mystère de plus à résoudre!
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La maison du silence

Si certains pourraient critiquer le manque d'action du récit, celui-ci gagne, en contrepartie, en authenticité. En effet, Patricia enquête à la hauteur d'une adolescente de 15 ans : elle pose des questions aux bonnes personnes et confronte les victimes, mais n'agit pas en policière super-héros. C'est surtout par les réponses qu'elle obtient à ses questions que l'intrigue révèle peu à peu ses secrets.





Le rôle d'enquêteuse spectatrice – mais réfléchie – de Patricia apporte aussi plus que du réalisme au roman. Par ses nombreuses réflexions autour de la famille de Diego et de la vie familiale en général, de la mort, de l’amitié par rapport à l’amour, elle semble aborder la vie avec une belle maturité. Le lecteur appréciera le naturel avec lequel émergent ces pensées, qu'on ne sent d’ailleurs jamais forcées de la part de Laurent Chabin. Il ne s’agit pas de servir sa morale, mais bien de développer son personnage.





Quant au mystère, par ses quelques scènes un peu plus angoissantes et secrets surprenants, il réussit adéquatement à tenir le lecteur en haleine jusqu'à la chute.
Lien : http://sophielit.ca/critique..
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L'énigme du canal

je ne suis plus capable d'arrêter de le lire :p
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Crimes à la bibliothèque - 2015

Un roman de nouvelles de plusieurs auteurs sur des meurtres dans une bibliothèque. Il y a certaines histoires qui sont très bonnes d'autres que j'ai pas aimé du tout. Le concept était bon mais ça aurait été plaisant que ce soit toutes des bonnes histoires
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Le prince charmant est une ordure

Un roman coup de poing, mené avec brio, par un écrivain rigoureux qui démontre noir sur blanc comment un conte de fées peut se transformer en spirale infernale.
Lien : https://www.journaldequebec...
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Vermillon, Tome 3 : La tache rouge

Dernier tome de cette trilogie russo-fantastique.

Le dirigeant Djouga (clone de Staline), celui qui ne payait pas de mine, celui que chacun croyait pouvoir manipuler, se fraie un chemin jusqu'à la tête du pays.

C'est alors qu'il révèle son vrai visage, gestionnaire de famines, d'épurations, de camps de la mort, plus rien n'existe que la bêtise et la brutalité. Le monde devient absurde, fou, des millions de gens sont secoués, abrutis de faim, de peur.

Garance et sa fille deviennent des bêtes sans foi ni loi à part celle de sa survie... Jusqu'où faudra-t-il aller?





Magnifique roman ! Une manière agréable et fluide de découvrir cette révolution russe qui n'a de populaire que le nom.
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Vermillon, Tome 2 : La terreur

Aucune baisse de régime dans ce deuxième volet!

Le tyran est abattu... Les nouveaux dirigeants vont se frotter à l'exercice de la direction d'un pays ravagé par la misère.

La description implacable de la paranoïa des gens de pouvoir et de la naissance d'une terreur encore pire que le régime qu'elle remplace donne à réfléchir.

Peut-on sauver un peuple malgré lui?

Peut-on diriger sans contraindre?

Et toujours ce personnage de Garance, si attachant et si libre!
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Vermillon, Tome 1 : L'empire des damnés

Dans ce premier volet de la trilogie, nous découvrons Garance et son monde calqué sur celui de la Russie du début du XXè siècle.

Le règne de Roman, le tyran, arrive à son terme, secoué de toutes parts par le mécontentement populaire.

Cette première partie nous fait découvrir le lent travail des idéologues afin de libérer le peuple. Le texte est une analyse passionnante du travail d'opposition clandestine dans un pays au régime impitoyable.

C'est un vrai page turner, le personnage de Garance, jeune paysanne, amène ce regard candide et plein de vie qui anime cette époque trouble.
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Speranza

Quel lecture insipide! Un prétexte à la vulgarité gratuite la plupart du temps! On a bien compris que le personnage n'a pas grand chose à faire de ses journées et qu'il délire entre ses nombreuses branlettes!

Je m'attendais à beaucoup mieux de cet auteur de policier qui m'a souvent plus par ses intrigues dans le passé. Déception totale!

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Le Corps des femmes est un champ de bataille

Vous avez dit polar ?

Un univers particulier pour un roman à la fois fascinant, dérangeant, déroutant, bluffant, percutant, mais qui laissera difficilement indifférent.

Il sera classé au rayon « policiers » parce qu’il y a des meurtres et une « enquête ». D’ailleurs, peut-on réellement appeler « enquête », la recherche d’une jeune étudiante qui, intéressée, par les textes d’un écrivain, décide d’écrire son mémoire de maîtrise sur l’œuvre de celui-ci ?

C’est elle qui dira « je » dans cet opus, expliquant son cheminement, ses recherches. Au-delà des prospections et des rencontres de cette femme pour comprendre l’homme dont elle étudie les textes, c’est tout ce qui est lié à l’écriture et à la personnalité des écrivains qui est vraiment captivant.

Les deux auteurs morts au début du livre, sont des hommes dont l’un est sur le déclin, l’autre une étoile montante. Le principe des vases communicants, comme si la notoriété de l’un faisait de l’ombre à l’autre, comme si la sève de l’inspiration pompée par l’un ne pouvait plus être fournie à l’autre….



Au cœur de ce roman, les nombreux démons des créateurs : Serais-je plus célèbre mort ou vivant ? Et si je n’ai plus d’idées ? Et si un de mes élèves me dépasse, moi, le maître ? Où puiser l’inspiration, comment être connu ? Ou tout simplement comment devenir célèbre lorsqu’on est persuadé d’avoir du talent mais qu’on n’est reconnu par personne ?

Et toutes ces questions abordées par l’intermédiaire de dialogues, de quelques phrases fortes qui bousculent ….

« ….se sentait moins intéressé par la création littéraire en tant que telle, et il était davantage tourné vers les effets de la littérature sur les lecteurs. Les livres, selon lui, n’étaient pas grand-chose en eux-mêmes. Seule comptait l’interprétation que chaque lecteur pouvait en faire, l’impact qu’un texte pouvait exercer sur son environnement. »



« ….il considérait le livre comme une arme. »

Mais aussi une approche de la justice américaine qui va vite, qui ne s’interroge pas trop loin, des fois que ça gêne….. Ainsi qu’une critique rapide et acerbe des milieux dits littéraires où on ne pénètre pas si facilement qu’on pourrait l’imaginer….

Quelques scènes de sexe un peu torrides, pas forcément indispensables à mon sens, mais qui créent le climat dans lequel se retrouve celui ou celle qui lit. L’auteur nous provoque, nous irrite, nous envoûte (ou pas) mais il instille une atmosphère qui captive, qui attire comme un aimant ….

Son écriture est sèche, avec plus de questions littéraires que de réflexions sur « l’enquête ». Il y a de temps à autre ce qu’on peut assimiler à des parenthèses, comme s’il avait décidé de ne respecter aucun « code », ne suivant que son instinct, les mots étant plus forts que tout… les personnages ayant pris le dessus sur lui et l’entraînant en dehors de sentiers battus. Le vrai, le faux se mélangent allègrement, on est ballotté, désorienté, visitant les différents lieux sur la pointe des yeux, de peur que tout cela déteigne sur nous….

Parce qu’il faut le reconnaître, les personnages sont eux aussi dérangeants, totalement atypiques, de la jeune étudiante qui n’a pas froid aux yeux à Lee Chatham, assassin aux mobiles troubles en passant par les individus que Lara Crevier va rencontrer au cours de ses pérégrinations : professeurs peu nets et autres hommes (tiens les femmes sont plutôt transparentes dans l’ensemble …)

C’est un roman étonnant, qui ne peut être classé dans une aucune catégorie, dont on peut se poser la question de savoir si on l’a apprécié ou pas… Mais ce qui est certain, c’est que Laurent Chabin a réussi une sacrée performance au niveau du contenu* ….



* surtout lorsqu’on découvre dans les premières pages, les lignes suivantes :

Plusieurs des personnages et des lieux de ce roman --rebaptisés ou déplacés—existent ou ont existé. Aucune ressemblance avec des personnes ou des lieux réels n’est donc fortuite.

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Chiens de rue

On pense tout de suite à la défunte (et fabuleuse) collection Epizzod de la courte échelle (Pavel, les Allergiks, Rock & Rose, (K), Psy malgré moi) en découvrant cette nouvelle proposition : une histoire divisée en brefs feuilletons, accrocheuse, rythmée. Mais là où la Courte Échelle visait un public assez jeune, les éditions Héritage ciblent quant à euxdes adolescents plus matures, ce qui se ressent dès les premières pages, quand Marc est le témoin passif d’un viol.
Lien : http://sophielit.ca/critique..
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Innocent !

L’histoire est menée rondement, habilement, avec Thomas la plupart du temps dans la position du narrateur, ce qui permet au jeune lecteur de vivre l’aventure intensément, de l’intérieur. Les personnages sont crédibles, l’écriture vive, sans compromis… et votre ado aura eu l’occasion de vibrer sérieusement, bien assis dans son fauteuil.
Lien : https://www.ledevoir.com/lir..
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