Aucune baisse de régime dans ce deuxième volet!
Le tyran est abattu... Les nouveaux dirigeants vont se frotter à l'exercice de la direction d'un pays ravagé par la misère.
La description implacable de la paranoïa des gens de pouvoir et de la naissance d'une terreur encore pire que le régime qu'elle remplace donne à réfléchir.
Peut-on sauver un peuple malgré lui?
Peut-on diriger sans contraindre?
Et toujours ce personnage de Garance, si attachant et si libre!
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Au lendemain de la prise du palais, curieusement, la ville était calme. Je m’étais attendue à voir les Damnés danser toute la nuit par milliers dans les rues, laisser éclater leur joie en comprenant qu’ils étaient enfin devenus leurs propres maîtres, que plus jamais un tyran ne les exploiterait comme des animaux, que plus jamais ils n’auraient à courber la tête devant personne.
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Laurent Chabin lit un extrait de Le canal de la peur