Citations de Lisa Jewell (275)
En tant que père de tes enfants,en tant qu'ami, pour ce que nous avons vécu ensemble,parce que je t'aime et que je tiens à toi. Je n'ai pas besoin d'être marié avec toi pour ça. Notre lien est bien plus fort qu'un mariage. Il est éternel.
Les histoires sont les seules choses vraies de notre monde. Le reste n’est qu’un rêve.
Quand je lis un livre, j’ai l’impression de vivre. Et quand je le termine, le rêve reprend ses droits.
« Chérie », c’était un mot qu’on utilisait pour sa femme quand on n’avait plus vraiment de désir pour elle. « Chérie », c’était ainsi que son père appelait sa mère. « Chérie », ça faisait ringard.
Les gens, c'est comme les oignons. Ils se révèlent couche après couche. Et avec le temps qui passe, on peut atteindre le coeur. En général, c'est là que se cache le pire d'une personne. Et si le pire n'est pas trop horrible, alors tu peux te marier.
Elles devraient rentrer à la maison, mais quelque chose la pousse à poursuivre leur chemin. Cette sensation que, malgré tout, la vie continue. Les bébés vous font ressentir ça : ils vous ancrent dans le moment présent, tout en vous projetant à toute vitesse vers le futur et vous rappelant le passé.
- Eh bien, tu es un très, très bon mari, Alfie Butter. Je suis impressionnée.
- Et tu es une très, très bonne épouse, Josephine Mullen, et je pense qu'on devrait rentrer à la maison boire ce vin et faire ce que font les maris et les femmes qui s'aiment le samedi soir.
- Netflix ?
Le problème, en amour, quand on obtient ce que l'on veut, c'est que toute cette attente, ces rêveries et ces désirs laissent au cœur un trou béant que seuls d'autres attentes, rêveries et désirs peuvent venir combler.
C'est très difficile d'imaginer la puissance des émotions que l'on ressent pour les membres de sa fratrie tant qu'on n'en a pas. L'amour, la haine, les rigolades, les querelles, la complicité, la rivalité. Personne d'autre ne te comprend aussi bien qu'un frère ou une sœur. Ils sont là à chaque vacances d'été nulles, chaque samedi et chaque dimanche, quand tes parents se disputent, chaque Noël, chaque anniversaire, ils partagent ces moments avec toi. Ils font partie de toi.
Les gens, c'est comme les oignons. Ils se révèlent couche après couche. Et avec le temps qui passe, on peut atteindre le cœur. En général, c'est là que se cache le pire d'une personne. Et si le pire n'est pas trop horrible, alors tu peux te marier.
- C’est bien ?
- Tous les livres sont bons.
- Pas du tout. J’ai lu des livres très mauvais . […]
-Ils n’étaient pas mauvais , me contredit Phin avec un ton calme . Ce sont simplement des livres que tu n’as pas appréciés. Ce n’est pas du tout la même chose . Les seuls livres vraiment mauvais qui existent sont ceux qu’on ne publiera jamais . Tout livre publié est un bon livre pour au moins un lecteur .
Kim se demande parfois si les femmes ne s'entraînent pas à être mères avec les hommes jusqu'au jour où elles ont un enfant, laissant un vide chez leurs partenaires.
Ellie lisait deux livres par semaine et, quand ils la taquinaient à ce sujet, elle leur répondait : "Quand je lis un livre, j'ai l'impression de vivre, et quand je le termine, le rêve reprend ses droits."
Il n'aurait pas dû lui toucher le bras comme ça dans son bureau. Ce n'était pas professionnel. Et discuter avec une fille de quinze ans dans un hôtel en pleine nuit, ça ne l'était pas non plus.
Est-ce que c’est ça, le deuil ? Est-ce que c’est ce qui arrive quand on enterre enfin son enfant ?
L'enfer, c'est de ne pas savoir. Ne pas pouvoir avancer. Je ne peux pas reprendre ma vie tant que je ne sais pas où elle est. Je marche dans des sables mouvants, les yeux fixés sur l'horizon, mais je ne peux jamais aller de l'avant. Je suis une morte-vivante
Il était très distant. Froid. Cette famille me faisait penser à des icebergs issus du même glacier, qui dérivaient ensemble sans jamais se rejoindre.
"Chérie", c'était un mot qu'on utilisait pour sa femme quand on n'avait plus vraiment de désir pour elle. "Chérie", c'était ainsi que son père appelait sa mère. "Chérie", ça faisait ringard.
- Ça fait quoi d'être aussi riche ?
Scarlett se lève, un sourire aux lèvres.
- C'est cool. Mais, tu sais, ce serait aussi bien d'avoir un père qui a envie de vivre avec moi, une mère aimante et un frère qui ne passe pas son temps chez ses potes. Ce serait sympa de former une vraie famille avec des gens normaux.
Kim se demande parfois si les femmes ne s'entraînent pas à être mères avec les hommes jusqu'au jour où elles ont un enfant, laissant un vide chez leurs partenaires.