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Critiques de Lisa Kleypas (616)
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Les Hathaway - Intégrale, tome 2

Recherchant des pavés pour valider fissa fissa ,avant la fin de l'année, des challenges, je me suis dirigée vers cette série lisant les tome 3 et 4 avant les 1 et 2, mais ce ne fut pas gênant, car chaque tome est consacré à un personnage de la famille, et je n'ai pas eu l'impression de rater grand-chose.



Tome 3 : Poppy Hathaway de séjour dans un hôtel de Londres avec sa famille, va faire grande impression sur le propriétaire de l'hôtel, un trentenaire taciturne. A tel point, qu'il va s'employer à la séduire.



La donzelle, malgré le fait qu'elle vient d'une bonne famille, (et qu'on est pile au milieu du XIX ° siècle ) , céde bien vite à ses avances, et le suspens s'écroule donc, vers la moitié du roman. Mis à part, leurs caractères respectifs, il n'y a pas grand-chose qui vient se mettre sur leur chemin.... On a deux personnes qui, en apparence, ne peuvent pas se voir .

Vers les 3/4 du roman, on a un peu d'action avec un kidnapping et si je dévoile cet incident, c'est parce qu'à ma grande surprise , un deuxième kidnapping survient à peu près au même moment dans le tome 4 ! Lisa Kleypas ne se foulant pas trop pour son scénario, m'a perdue à ce moment-là. Attentive aux détails, j'ai trouvé que la trame narrative était identique d'un tome à l'autre , même les scénes de sexe (car oui, cette série historique est assez "épicée" ), sont identiques . Ça,et le fait qu'elles arrivent trop tôt et qu'elles soient si nombreuses, m' a lassé , j'ai trouvé ça assez ridicule au bout d'un moment.

Toutes mes observations ne tiennent pas si vous affectionnez le style "romance" ( pour ma part, je préfére la chick-lit ou comédie romantique parce que qu'il y a de l'humour, un second degré qu'on ne trouve pas dans le style romance qui se prend beaucoup trop au sérieux !) .

Et si on rajoute le style historique, je suis sensible au rendu de l'époqu, Lisa Kleypas batit un monde qui se tient, même si elle ne s'apesantit pas sur les détails et les descriptions ( de décors, de vêtements etc.. ).



Pour le deuxième tome, changement de décor, mais l'intrigue est harlequinesque au possible. On y découvre le bas du panier : le monde de la prostitution... J'ai trouvé l'histoire irréaliste.

Leo Hathaway est intrigué par la demoiselle de compagnie de ses soeurs. La respectable Catherine Marks aurait-elle des choses à cacher sous son chignon trop serré, son air guindé ? Ses deux-là ne peuvent pas se piffer et se donnent des coups de griffes à chaque fois qu'ils se voient. Là, encore , on a deux histoires identiques, les futurs amoureux ne pouvant pas s'entendre au niveau caractère...

J'ai, également, bien compris que la famille Hathaway n'est pas issue de l'aristocratie et est assez "libre", mais la liberté de ton donnée à une employée de maison est incroyable.

Et cela rajouté au scénario identique au premier tome, si on gratte un peu , ont fait que je ne pense pas lire les tomes 1& 2.

Mais ça se lit sans problème, et sans prise de tête...
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Par pure provocation

Je viens de relire ce délicieux roman de Lisa Kleipas pour la troisième fois car, voyez-vous, cette auteure est, selon moi, la meilleure dans le domaine de la romance. Surtout dans la romance historique. Elle a écrit à ce jour une cinquantaine de romans, la plupart sont des historiques , et je ne me lasse pas des ses romans.

Celui-ci est un de mes préférés car les deux personnages sont à égalité. ils ont tous les deux de fortes personnalités qui font des étincelles chaque fois qu'ils se voient. Lily exaspère Zachary par son indépendance, sa franchise, son refus du "qu'en dira-t-on" et ne voit pas tout de suite que, derrière ses airs farouches, se cache une jeune femme qui est hantée par la disparition de sa petite fille. Quant Lily, elle pense que Zachary est un parangon de vertu, rigide et autoritaire. Mais très vite, elle s'aperçoit qu'il est aussi plein de bienveillance et de gentillesse et qu'il est prêt à l'aider.

De l'action, de l'humour (car Lisa Kleipas en a beaucoup) et de l'amour. Que demander de plus dans une romance?

Dernière chose, je suis étonnée de voir qu'il y a si peu de romans de Lisa Kleypas sur Babelio, je vais y remédier!
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Les blessures du passé

L’intrigue de ce roman se déroule quelques mois avant la série Wallflower (Ah Saint-Vincent !) à Stony Cross Park. Westcliff est encore célibataire avec ses deux sœurs Aline et Livia. Toutes deux ont largement passé l’âge du mariage, chacune pour des raisons différentes. Mais leur destin va changer quand leur frère invite au domaine de riches américains. Parmi eux, McKenna que connaît très bien Aline car, 10 ans auparavant, elle a dû se soumettre à son père et faire chasser l’amour de sa vie. Elle ne s’est jamais remise de cette perte d’autant qu’à cette douleur morale s’en ajoute une autre, celle d’avoir failli mourir dans un incendie qui lui a laissé d’horribles cicatrices sur les jambes. Aline s’est donc jurée de ne jamais se marier, aussi quand elle voir revenir dans sa vie McKenna, lui est-il très difficile de ne pas céder. McKenna, de son côté, voudrait se venger d’elle, l’humilier comme elle l’a fait. Mais dès qu’il est à ses côtés, son argent et son prestige d’effacent ; il n’est plus que ce pauvre rôturier désespérément amoureux d’une femme inaccessible.



J’ai trouvé que les deux personnages perdaient beaucoup de temps à crever le litige qui existait entre eux, une bonne conversation au début du roman et le tour était joué. Certes mais l’histoire se serait terminée rapidement, c’est sans doute pour cette raison que Lisa Kleypas a ajouté à l’histoire principale, celle de sa sœur Livia et d’un autre américain, Shaw, partenaire de Mc Kenna, alcoolique notoire et débauché. Cette seconde intrigue est mieux menée et ce couple est plus attachant que celui conduit par Aline/McKenna. Ceci dit, le roman se lit bien, l’auteure sait à merveille décrire les aléas du cœur et surtout il y a Marcus ! De quoi avoir envie de relire la série Wallflower. M’étonnerait pas que J’ai Lu la réédite !

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Les blessures du passé

Même si on retrouve des personnages de la série La Ronde des Saisons, l'atmosphère n'est pas du tout la même dans Le Blessures du Passé. Il y a ici beaucoup d'amertume et un profond désir de vengeance, ce qui donne l'impression que la relation entre Aline et McKenna tient davantage de la lutte de pouvoir pour prendre le dessus sur l'autre que d'une romance. Tout cela à cause de secrets et de mensonges (pour le bien de l'autre, bien sûr) qui ne seront éclaircis que très, très tard dans le roman.



J'ai préféré l'intrigue secondaire qui raconte l'histoire de Livia, la jeune sœur d'Aline, et Shaw, l'associé de McKenna bien que cette fois encore la situation est loin d'être simple, essentiellement à cause de l'alcoolisme. C'est une histoire de séduction plus classique même si tout va très vite puisque c'est une intrigue secondaire.



D'ailleurs , de manière générale, j'ai été un peu surprise de la manière dont ces deux jeunes filles issues de l'aristocratie anglaise du XIXème siècle font peu cas de leur vertu. Cela va tellement à l'encontre de tout ce qui est habituellement raconté qu'elles perdent un peu en crédibilité.



C'est donc une lecture peu enthousiasmante, mais j'ai malgré tout de quoi me réjouir : il me reste trois tomes de La Ronde des Saisons à lire...
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La ronde des saisons, tome 5 : Retrouvailles

Je viens de passer un délicieux moment avec le dernier tome de La Ronde des Saisons.

Ce cinquième tome est plus court, s'apparentant plutôt à un long "bonus" de Noël qui donne l’occasion de retrouver les quatre amies "laissées pour compte", même si elles ne le sont plus du tout. En revanche leur complicité reste sans faille, surtout lorsqu'il faut aider une autre "laissée pour compte" à trouver le bonheur.



J'ai bien aimé l'histoire de Rafael et Hannah, d'autant plus que je n'ai pas trouvé ici les ultimes rebondissements qui m'avaient semblé superflus dans les précédents tomes. Les deux jeunes gens ont de la personnalité. Il se montre provocateur, elle refuse d'avoir l'air choquée par ses manières américaines. Et puis il y a l'interdit, puisque Rafael est sensé demander en mariage la cousine d'Hannah, qui représente un meilleur parti.



En fait, j'aurais bien aimé que le roman soit un peu plus long, surtout qu'il y avait de la matière à mon avis. L'auteur aurait pu développer un peu plus la relation entre Hanna et Rafael pour qu'elle ne semble pas essentiellement basée sur une irrépressible attirance physique. De même, l'intrigue secondaire entre Nathalie et Lord Travers (c'est quand même grâce à eux que le happy-end est possible pour nos deux héros) aurait mérité quelques pages de plus. Et puis bien sûr, j'aurais bien passé un peu plus de temps avec les quatre amies "laissées pour compte"...



Enfin bref, ce tome est peut-être mon préféré de la série, avec le deuxième (Parfum d'Automne, consacré à Lilian et Marcus)...
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La ronde des saisons, tome 2 : Parfum d'aut..

Ce deuxième tome de la Ronde des Saisons m'a beaucoup plu, davantage que le premier, notamment parce que l'héroïne est plus attachante avec sa personnalité expansive et impertinente qui dénote sérieusement dans la haute société anglaise, dont le comte de Westcliff est l'un des représentants les plus guindés.

Inutile de dire que le courant ne passe pas entre les deux, ou plutôt il passe si bien qu'ils se refusent à admettre leur attirance pour une personne aux antipodes de leurs valeurs et chaque conversation tourne à la prise de becs jusqu'à ce que la situation dégénère, pour leur plus grand plaisir...



Cependant, comme dans le premier tome, la dernière partie est de trop à mon avis : trop dramatique, trop rocambolesque, cet épisode n'apporte finalement pas grand-chose à l'intrigue, si ce n'est noircir le personnage de Sébastian Saint-Vincent qui sera pourtant le héros du prochain tome...



Les quatre "laissées-pour-compte" restent peut-être un peu retrait ici, quoique Lilian et sa sœur partagent une belle complicité tout au long du récit alors qu'Annabelle semble profiter des joies d'un mariage sans nuage et qu'Evangéline se montre toujours aussi effacée, (du moins jusqu'à la dernière page).



J'ai ainsi passé un très bon moment avec Parfum d'Automne et j'ai hâte de lire le troisième tome pour voir comment l'autrice parviendra à transformer le méchant ravisseur en prince charmant.

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Par pure provocation

J’ai passé un très bon moment avec cette romance, dont le couple m’a paru tout particulièrement bien assorti en dépit des apparences.



L’héroïne est un peu trop extrême dans son comportement, mais le contraste entre sa personnalité excentrique et le caractère mesuré et rigoureux du héros donne naissance à quelques belles scènes d’affrontement à la fois drôles et piquantes.



D’ailleurs, l’auteur a su se montrer créative avec des situations originales qui auraient peut-être méritées d’être davantage exploitées .



Je mettrais cependant un léger bémol à cause de tout le pathos que l’auteur met en arrière-plan de ses personnages : deuils insurmontables, indifférence des parents dans l’enfance, enfant enlevé et séquestré par le père, etc. Je sais que ces drames sont sensé donner de l’épaisseur aux personnages, mais cela m’a semblé trop ici.
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La ronde des saisons, tome 4 : Scandale au ..

En fait, je n'ai pas grand chose à dire sur cette romance. La lecture est agréable, mais pas très prenante. L'héroïne est sympathique, mais avec une personnalité moins marquée, moins attachante peut-être que ses trois amies des précédents tomes. Le héros entretient un tel mystère sur son passé qu'on a l'impression de ne pas vraiment pas le connaître, même une fois le roman achevé. L'intrigue est assez classique, en dehors de la dernière partie marquée par des péripéties trop rocambolesques, à mon avis, par rapport au reste du roman (mais c'est assez habituel chez Lisa Kleypas, je n'ai même été vraiment surprise par les gendarmes qui débarquent au manoir...).



J'avais trouvé le début de l'intrigue assez amusant avec nos deux héros bousculés par des vents contraires (il y en a qui les pousse à se marier, d'autres qui refusent absolument leur union, sans compter leurs propres intentions et désirs, contradictoires et changeants). Je pense qu'il y aurait de quoi en faire toute une romance au ton plus léger, mais l'autrice a choisi de poursuivre sur une autre voie qui ne m'a vraiment séduite (et même pas du tout pour le dénouement...).



Scandale au Printemps a donc été une lecture agréable, sans plus...

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Les Ravenel, tome 7 : Un charme diabolique

Quelle surprise de découvrir qu’un septième tome venait de sortir dans la série des Ravenel alors que j’étais persuadée que la série était terminée puisque tous les Ravenel étaient mariés. En plus, en lisant la quatrième de couverture, les noms des personnages ne me rappelaient rien (d’un autre côté, j’ai lu quelques livres depuis le tome 6, en janvier) et ils ne semblaient pas liés directement avec la famille Ravenel.



Je me suis donc dépêchée de lire Un Charme Diabolique pour assouvir ma curiosité et je me suis régalée. La plume de Lisa Kleypas est très agréable, alliant romantisme et humour, avec un soupçon d’action en plus puisque les tentatives de meurtre contre le héros se succèdent sans qu'il n'ait aucune idée de qui lui en veut ni pourquoi.



J’ai beaucoup aimé Merritt et Keir, les deux personnages principaux. Ils ne manquent pas de caractère, mais peinent à résister à l’attirance qu’ils éprouvent tout de suite l’un pour l’autre malgré tout ce qui les oppose (situation sociale, aspirations pour l’avenir…). Cela donne quelques dialogues bien piquants où se disputent humour, séduction et réticence à entraîner l’autre où il ne faudrait pas, dénotant une complicité presque immédiate entre les deux jeunes gens.



Au fil de l’intrigue, on croise les personnages des tomes 4 et 5, mais plus que la famille Ravenel, ce sont les personnages de la série La Ronde des Saisons qu’on retrouve ici, en particulier les héros d’Un Diable en Hiver et leurs enfants devenus adultes (dont un fils au charme "diabolique"…) ; ce qui me donne bien envie de lire cette série aussi.



J’ai donc passé un excellent moment avec ce septième tome, au point d’en espérer peut-être un huitième un jour...
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La ronde des saisons, tome 3 : Un diable en..

Je suis un peu déçue par la lecture d’Un Diable en Hiver. C’est ce troisième tome qui m’avait donné envie de lire la série parce que j’avais déjà croisé Evangeline et Sebastian dans la série Les Ravenel dont l’intrigue se passe des années plus tard. Leur histoire de ne correspond pas vraiment à ce que j’avais imaginé.



Dans ce tome, on quitte Stony Cross et la campagne du Hampshire qui servait jusque là de décor à la série. A l’exception du mariage en Ecosse, toute l’histoire se déroule à Londres, presque exclusivement au club Jenner qui prend beaucoup de place dans l’intrigue (trop à mon goût) au point qu’on a presque l’impression d’un huis clos. En plus, le récit prend une direction qui ne m’a pas trop plu .



Enfin bref, le roman est loin d’être mauvais, mais j’espérais une autre histoire et j’ai donc eu du mal à entrer dans celle que nous propose Lisa Kleypas.





P.S. : on rencontre ici Cam Rohan, le héros du premier tome des Hathaway, dons l’intrigue se déroule cinq ans plus tard.

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La ronde des saisons, tome 1 : Secrets d'un..

J'ai bien aimé Secrets d'Eté, le premier tome de la Ronde des Saisons, et j'ai apprécié de retrouver la plume de Lisa Kleypas que j'avais découverte avec Les Hathaway, puis les Ravenel.

Le "plus" de cette série, ce sont les quatre amies, les "laissées pour compte" qui ont décidé de s'épauler pour dénicher chacune un mari : elles sont sympathiques et amusantes, se comportant tour à tour comme des adolescentes dissipées ou des sages à l'esprit pratique. Chacune a une personnalité bien marquée, ce qui est de bon augure pour la suite de la série...



J'avoue que le comportement d'Annabelle m'a parfois laissée dubitative, en particulier sa quête désespérée d'un mari fortuné, ou à la rigueur d'un riche protecteur, plutôt que de se résoudre à prendre un emploi honorable (après tout, combien de gouvernantes n'ont pas trouvé le grand amour dans ces romances ?).

Et que dire de sa mère qui l'encourage dans cette voie...

Il faut dire que la jeune femme a une haute opinion d'elle-même et elle est prête à tout pour atteindre son but (un mari noble) et échapper ainsi à la pauvreté.



Face à cette héroïne pleine de détermination, le héros (complètement sous le charme dès les premières pages même s'il ne se l'avoue pas vraiment) fait preuve d'une constance et d'une patience à toute épreuve (et d'un charme certain !).



La romance, à la trame assez classique mais bien menée, est aussi l'occasion de dépeindre une société anglaise en pleine mutation où l'aristocratie perd de sa superbe face aux fortunes de l'industrie et du commerce.



La seconde partie, après le mariage, m’a moins plu. C’est comme si le dénouement s’étirait longuement sans qu’il n’y ait de véritable enjeu en dépit de "grosses péripéties".



Malgré cette fin en demi-teinte, j’ai passé un moment bien agréable avec Secrets d'une Nuit d'Eté et je suis impatiente de découvrir le deuxième tome, Parfum d'Automne, qui se concentre sur le sort de la pétulante Lilian et du très sévère Westcliff (l'histoire promet d'être orageuse puisqu'ils sont déjà à couteaux tirés à la fin de ce tome).
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Frissons interdits

Frissons Interdits est une romance assez agréable qui détourne le schéma classique de la gouvernante séduite par son noble employeur. En effet, ici, la "gouvernante" est une très respectable veuve issue de la meilleure société et elle s'engage à enseigner tout ce qui est nécéssaire pour être accepter par la noblesse anglaise à un richissime entrepreneur débordant d'arrogance. A noter qu'il ne l'a pas choisie par hasard, mais suite au baiser extraordinaire évoqué en quatrième de couverture...



J'ai eu du mal à adhérer à la situation de départ, ce qui m'a empêchée de m'immerger ensuite complètement dans le récit. Comment croire, dans la société anglaise ultra-policée du XIXème, qu'une veuve qui n'a pas réellement de difficultés financières aille travailler chez un célibataire à la réputation douteuse ? Je sais bien qu'il ne s'agit que d'une romance et que la véracité historique n'est pas l'argument de vente premier, mais quand même...



La dernière partie qui raconte la période après le mariage, une bonne vingtaine de pages, m'a semblé superflue. Les quelques péripéties supplémentaires, quoique grandement dramatiques, ne nous apprennent rien de nouveau sur les personnages ou leur relation,amoureuse.



Voilà donc une romance qui se laisse lire, mais j'ai préféré d'autres titres de l'auteur.
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Les Ravenel, tome 4 : L'inconnu

Pris au hasard dans ma pile… Bon , pas vraiment, comme je suis un peu malade j'ai tendance à choisir des « rouges » ;-)

Et celui-ci mes amis, il est génial ! J'ai adoré.

La plume de l'auteure est toujours aussi riche, vivante et pleine d'humour que dans ces autres romans.

Ce qui différencie cet opus est la recherche très documentée qui accompagne l'histoire.

Le personnage féminin est le docteur Garrett Gibson dans l'Histoire Elisabeth Garrett Anderson, première femme médecin et chirurgien d'Angleterre au XIXème siècle. Pour pouvoir exercer dans son pays, elle a dû apprendre le français et obtenir son diplôme à la Sorbonne en 1870 car les académies anglaises considéraient que le métier de docteur ne pouvait en aucun cas convenir à une personne de sexe féminin. Suite à cette astuce, Garrett Anderson a pu finalement exercer chez elle où elle s'est montrée à la hauteur de cette profession exclusivement masculine vingt ans encore après sa réussite spectaculaire.

Et ce n'est pas tout, l'auteure nous fait découvrir les bas-fonds de Londres ainsi que l'immonde cloaque qu'était la Tamise à l'époque. Un fleuve où la vie était impossible tant il était souillé par les industries diverses et les déjections multiples.

J'ai également appris qu'il existait à Londres dans ce temps-là une compagnie de chemin de fer funéraire, la London Necropolis Company, qui transportait les cercueils vers un cimetière, situé à l'extérieur de la City, qui possédait donc une gare avec différentes salles d'attente en fonction de la classe sociale notamment !

Et bien sûr, c'est un livre rouge et donc, le côté érotique n'est pas oublié non plus ;-)



Pour info gustative, voici la compositions d'un 'vrai pique-nique' dans les règles de l'art de la bonne société anglaise au XIXème siècle



« Il y avait des œufs durs, de grosses olives charnues, du céleri en branche croquant, un bocal de carottes et de concombres au vinaigre, des sandwichs enveloppés dans du papier huilé, des petits vol-au-vent farcis d'huîtres, des craquelins, des jattes pleines de diverses salades composées, un gros fromage frais, des gâteaux secs disposés dans une corbeille doublée de mousseline, un pudding encore tout chaud dans son moule en grès cannelé, et un pot de compote. »



J'aime les romans où l'Histoire se mêle à la trame de l'histoire, où le temps de lecture est presque dépassé par le temps que l'on passe sur internet pour approfondir les sources, où le plaisir de lire se couple du plaisir d'apprendre.

Bon, c'est le tome 4… J'ai bien envie de découvrir les débuts du Docteur Gibson dans les tomes précédents moi ;-)
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Les Ravenel, tome 6 : Ma très chère Cassandra

J'ai bien aimé ce sixième tome qui s'attache au parcours de la seconde jumelle Ravenel, Cassandra, qui rêve de trouver, comme ses sœurs, le grand amour mais qui tombe sous le charme d'un magnat de l'industrie, brillant mais méprisant les émotions qu'il juge superflues.



C'est cette personnalité cartésienne à l'extrême qui apporte une touche d'originalité à la romance dont le scénario est sinon assez classique. J’ai trouvé particulièrement amusant la manière dont le héros formule ses points de vue ultra-rationnalistes sur les romans qu'il lit pour faire plaisir à sa belle.



J'ai donc passé un bon moment avec cette lecture même s'il manquait le "petit truc en plus" pour que je sois complètement conquise par cette romance qui vient clore joliment la saga des Ravenel.
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Les Ravenel, tome 3 : L'insoumise apprivoisée

Après un premier tome un brin décevant, la suite des Ravenel, Une Orchidée pour un Parvenu avait été un moment de lecture agréable et à la hauteur de ce que j’apprécie d’ordinaire chez Lisa Kleypas. Pour L’Insoumise apprivoisée, j’avais quelques réserves. Comme d’habitude, tu me diras, ami-lecteur… Pourquoi cette retenue ? À cause du personnage au premier plan dans l’opus qui nous intéresse.



Une femme ambitieuse ? Oui, je sais, sur le papier, c’est une idée fort alléchante. Dans les romances froufroutantes, ça a souvent ses limites. Le plus souvent, il y a deux sortes de destins qui attendent une jeune première obsédée par un projet professionnel : soit elle le sacrifie, en grande partie, pour l’histoire d’amour qu’elle va vivre – et, sincèrement, cette option me rend presque folle de rage – soit elle parvient à lier les deux, une indépendance brillante et un mariage réussi. Peut-être imagineras-tu que cette seconde possibilité emporte forcément mon adhésion, - moi, la féministe revendiquée – sauf que pas vraiment… Si je suis bien contente pour la demoiselle en question, l’autrice ne réalise, généralement, ce tour de force qu’en dédaignant avec insouciance les réalités historiques de l’Angleterre du 19e siècle. OK, OK, il ne s’agit « que » de romance froufroutante, non d’un manuel d’histoire, néanmoins, à mon avis, on ne badine pas avec une cohérence minimale. Bref, tout ça pour dire que j’entrais dans L’Insoumise apprivoisée avec encore plus de méfiance que d’habitude...



Concernant la trajectoire de Pandora, j’ai été plus que ravie. Car si l’héroïne ne sacrifie pas son rêve – ouf – elle devra toutefois faire des concessions véritables à cause des lois de son époque, misogynes. Cette thématique, l’effacement de l’épouse, légalement, au profit de son mari, est ce qui m’a permis d’aimer ce troisième tome des Ravenel. Ça, et le fait de retrouver, dans le rôle du héros, le fils de mon crush de La Ronde des Saisons. Le reste ? Et bien, ça part un peu dans tous les sens avec, finalement, beaucoup – trop ? - de sujets abordés… Un défaut qui ne m’a guère surprise dans un roman de Lisa Kleypas.



Au mot fin, j’étais prête à mettre un 12 tout à fait convenable à L’Insoumise apprivoisée. Je vais néanmoins rajouter un demi-point. Non pour le roman, mais pour les « rajouts ». Les notes de l’auteur, chez madame Kleypas, sont toujours à la fois pertinentes et passionnantes. Une fenêtre plaisante sur l’histoire anglaise – ici avec la médecine et des jeux de société. Enfin, l’autrice nous offre une recette – en rapport, bien sûr, avec le roman. Si je n’ai pas essayé cette dernière, j’avoue adorer l’idée !
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Les Ravenel, tome 2 : Une orchidée pour un pa..

Alors que madame Kleypas est une des mes autrices préférées dans le domaine de la romance historique – celle qui froufroute grave – j’avais été fort déçue par le premier opus des Ravenel. Heureusement, le héros d’Une Orchidée pour un parvenu me tentait assez pour que je décide de persévérer. Pourquoi ? Parce que Rhys semblait être l’archétype que je préfère dans les romances en corset : sexy, impitoyable, abîmé mais férocement intelligent. Ouais, en moi se trouve une midinette…



Au terme de ce deuxième volume des Ravenel, Lisa Kleypas parvient-elle à montrer ce savoir-faire que j’apprécie habituellement dans son travail ? Alors oui, en partie. Pour une fois, la jeune première n’a rien d’une rebelle frondeuse, impertinente et ayant du mal à respecter les convenances. En réalité, au premier abord, Helen est une jeune fille timide, raisonnable et douce. Avec le risque de se révéler ennuyeuse. Sauf qu’ici, pas du tout. Si elle est effectivement réservée, ce n’est pas une idiote et elle trouve le courage de demander ce qu’elle veut, même si c’est du bout des lèvres. Là où j’ai trouvé son personnage un peu faible, c’est dans son évolution, pas toujours cohérente et qui subit quelques soubresauts.



La romance entre Helen et Rhys débutait dans Coeur de Canaille et cette particularité aide vraiment à plonger directement dans le récit. Et malgré les défauts dans le personnage d’Helen, j’ai beaucoup aimé la trame secondaire, le secret de la jeune femme, qui, pour une fois, ne me semble pas trop tiré par les cheveux.



Malgré une lecture très agréable, et une bonne note, Une Orchidée pour un Parvenu ne se hissera pourtant pas tout à fait au rang d’Un Diable en Hiver ou de La Tentation d’un Soir. Pourquoi ? Parce que Rhys ne sera finalement pas LE héros blasé-mais-pas-que de la saga. Ben nan… Il semblerait bien que ce dernier ne trouvera le bonheur qu’au sixième tome. Ouais, du coup je sais déjà que je lirai la saga au complet – que veux-tu ami-lecteur, je suis faible... -
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Les Hathaway, Tome 5 : L'amour l'aprés-midi

Peut-être mon préféré de la série mais pour en être tout à fait certaine il faut que je relise les trois premiers opus du coup :-p



Le maître, le chef de famille est finalement marié, ne reste que la plus loufoque des filles Hathaway. La mode, la société, les bals et les thés, tout cela ne l'intéresse pas. Seuls la nature et les animaux comblent le vide de son cœur qui pourtant n'attend qu'une âme sœur qui puisse la comprendre. Et son vœu sera exaucé, d'une manière détournée et cela engendrera de multiples péripéties pour mon plus grand plaisir.



Une auteure que j'aime énormément et qui s'est surpassée dans cette saga pleine de joie, d'humanité, d'amour et d'humour. J'ai adoré :-)
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La ronde des saisons, tome 1 : Secrets d'un..

C'est sûr : quand on entend parler d'une série classée "romance" qui a séduit autant de personnes, et qu'on aime la romance, et qu'on souhaite vraiment découvrir LE récit qui va mettre plein de papillons dans notre ventre, on se doit de prendre le temps d'étudier cette fameuse série à fond ! Alors, est-ce c'est parce que je n'ai pas lu de romance depuis un moment, ou plus simplement parce que l'auteur a vraiment le don d'imaginer des histoires qui vous transportent le temps d'un après-midi, mais ce premier tome m'a complètement chamboulée !



Normal, avec un homme comme Simon Hunt, je ne pouvais qu'être chamboulée... Maintenant j'ai moi aussi envie de jouer aux échecs, de courir à moitié nue dans les champs en jouant au rounders (??), de batifoler dans les bois en bravant les vipères (pas difficile par chez moi !) et de finir dans un placard pendant ma lune de miel... Tout ceci vous a mis l'eau à la bouche ? (peut-être pas encore, mais c'est parce que je ne vous ai pas encore parlé de Simon, le fils du boucher, bandes de coquines...)



Même si Annabelle Peyton est complètement désargentée et achève sa quatrième saison dans le monde sans avoir réussi à appâter un innocent gentleman anglais, elle n'en est pas pour autant déterminée à renoncer. C'est avec l'aide de trois amies aussi résolues qu'elle et recontrées lors des bals où elle font tapisserie, qu'Annabelle décide de mettre en place un plan diabolique pour attraper un Lord dans ses filets, et réussir à se faire épouser. Il faut dire que sa situation n'est pas folichonne, et que contrairement à ses amies bien nanties, elle n'aura bientôt d'autre choix que de devenir la maîtresse d'un homme marié si elle veut pouvoir continuer à subvenir aux besoins de sa famille - ou de travailler me direz-vous ! Mais dès le départ, l'auteur nous montre par A + B que cette situation honorable est tout simplement impossible (avec des arguments un peu légers, certes) donc, ce sera le mariage sinon rien ! La solution idéale, c'est d'épouser un riche aristocrate et de se mettre ainsi à l'abri. Annabelle et ses amies - dont deux américaines particulièrement farfelues - se rendent donc dans la propriété de Lord Westcliff pour tenter d'accaparer le dernier Lord naufragé de la saison - un gentil garçon qui m'a bien fait rire puisque durant tout le récit, il va devenir la proie d'un essaim de jeunes ladies impitoyables toutes plus déterminées les unes que les autres à l'épouser !...



C'est dans ces circonstances qu'Annabelle retrouve une vieille connaissance rencontrée deux ans plus tôt - le fameux Simon Hunt - dont la position sociale, le côté canaille et la virilité omniprésente sont bien les dernières choses qui pourraient la séduire dans sa situation. Car non content d'être fils de boucher, Simon est surtout un spéculateur (ouuuhhh le vilain mot) et un homme du peuple. Il a certes admirablement réussi dans la vie grâce à sa formidable intelligence et sa vision résolument pratique d'un monde en pleine évolution, mais il n'est pas un gentleman (et je le souligne !) ce qui, malgré sa richesse, le condamne à être la proie des ragots et des regards méprisants de l'aristocratie anglaise. Ces mêmes aristocrates sont bien obligés de l'accepter dans leur cercle, mais c'est souvent à contre-coeur et avec le plus parfait mépris. Et Annabelle ne fait pas exception à la règle...



Le problème c'est que Simon est... comment dire... terriblement séduisant, sûr de lui et profondément attiré par Annabelle qui se refuse à devenir sa maîtresse. Il décide coûte que coûte de la séduire (impossible pour lui de lui demander sa main, le beau Simon ne veut pas se faire passer la bague au doigt, non mais où va le monde !) et de fil en aiguille, la jeune fille se laisse submerger par ses émotions au contact de ce grand gaillard un peu bourru. Avec son franc-parler et ses manières directes, Simon Hunt est bien différent des hommes qu'elle cotoie habituellement. (il m'a rappelé Derek Craven de La Loterie de l'Amour du même auteur - un gars viril qui trimballe toutes sortes de choses lourdes et sales sur ses larges épaules - un livre que je n'ai jamais chroniqué ici mais qui reste un must pour moi !)



Après un sauvetage en règle - où la gentillesse et les petites attentions de Simon commencent peu à peu à séduire Annabelle - quelques dialogues bien sentis, deux ou trois rapprochements derrière les rideaux et des quiproquos en veux-tu en voilà, les sentiments qu'ele lui porte vont finir par la faire renoncer à ses plans.



J'ai trouvé le personnage d'Annabelle très plaisant. Sans aller jusqu'à m'identifier à elle, j'ai été loin de la trouver agaçante. Elle a juste une conscience aigüe de sa position et de ses origines et elle souhaite faire un mariage en accord avec ses convictions. Quoique les choses semblent un peu perdues d'avance, le rapprochement avec Hunt m'a donné des bouffées de chaleur et fait glousser à plusieurs reprises. L'histoire est certes assez classique au départ (deux personnages que tout sépare et qui vont peu à peu tomber amoureux) mais le style de Lisa Kleypas et sa façon d'amener les choses m'ont bien plu.



Le côté intéressant de ce premier tome, c'est bien évidemment la différence de position sociale entre les deux héros que l'auteur souligne à travers des dialogues piquants et des situations particulièrement savoureuses. L'amour ne suffit pas toujours à faire disparaître les barrières, et la dernière partie du livre qui se situe après le mariage d'Annabelle et Simon le montre bien. Car tout en nous introduisant dans l'intimité du jeune couple, l'auteur nous montre les différences qui subsistent à travers leur relation, et les difficultés qui ne manquent pas de se dresser sur le chemin de la compréhension. En cela, j'ai trouvé ce récit original parce que pour une fois, l'auteur ne se contente pas de nous fermer la porte au nez sur un ultime "Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...", on assiste aux relations passionnelles qui les unissent, aux premières querelles et aux incompréhensions nées de leur différence de statut. Lorsque les deux familles se retrouvent en présence l'une de l'autre, on a droit à une scène assez cocasse entre la réserve naturelle d'Annabelle et de sa mère et la parfaite insouciance des membres de la famille Hunt. Et j'ai aimé la manière dont Annabelle accepte de s'intégrer dans cette société nouvelle faite de spéculateurs et d'industriels désireux de faire évoluer les mentalités, bien loin des conservateurs oisifs de l'aristocratie de l'époque.



Bref, de la bonne romance (mais oui ça existe !), bien écrite et soignée, et j'en redemande ! En plus, je soulignerai le fait que contrairement à d'autre livres que j'ai pu lire, l'auteur renouvelle ici les scènes torrides avec un doigté subtil sans jamais tomber dans les répétitions à la chaîne. Pas d'indigestion, que du bon !



Je vous parle de la suite dans quelques jours, en espérant que la relation des prochains personnages (Lillian Bowman et Marcus Westcliff - qui promettent déjà!) saura autant me séduire...
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Les Hathaway, tome 4 : Matin de noces

Et toujours sous le charme de la famille Hathaway :-)



Je n'ai rien oublié de cette famille pas comme les autres même j'ai dû patienter longtemps pour trouver les deux derniers opus. Et quel bonheur de retrouver tous les personnages, juste pareils à eux-mêmes, avec leurs manies, leurs différences, leurs joies et surtout, leurs aventures. Une plume colorée, truffée d'humour même dans les situations les plus tragiques qui donne à chaque fois un roman bien divertissant tout en nous instruisant sur l'époque victorienne où tout n'était clairement pas rose.



Une série que je conseille même si je sais que beaucoup considère ce genre de roman comme de la sous-littérature. Pour moi, un livre qui m'instruit, me distrait et me fait rire est un roman réussi et là, je me sens bien :-)
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Les Ravenel, tome 4 : L'inconnu

C’est le quatrième tome d’une série « Les Ravenel » qui se déroule en Angleterre pendant le règne de la reine Victoria. Lisa Kleypas s’intéresse au destin d’une famille « Les Ravenel » et chaque tome conte les amours d’un des membres de la famille (proche ou éloigné). L’intrigue met en avant les amours d’Ethan Ransom lié aux Ravenel et de Garrett Gibson, femme médecin de son état. Les deux se rencontrent, sont fascinés l’un par l’autre et se retrouvent dans des circonstances dramatiques qui vont les amener à s’avouer leur amour réciproque.

Rien de très original mais vous allez me dire que c’est une romance, donc il est normal qu’on nous raconte les amours de Garrett et d’Ethan. Et c’est bien ce qu’on a. Mais l’auteur n’a pas été en verve cette fois-ci. Je lis Lisa Kleypas depuis très longtemps et très souvent ses histoires m’ont fait passer des moments de lecture délicieux. Mais là, je me suis ennuyée : pas de surprises, pas d’émotion, pas beaucoup d’humour alors qu’il y en a souvent dans son œuvre. On ne s’attache pas aux personnages, même le Dr Garrett Gibson ne nous touche pas alors que Lisa Kleypas s’est inspirée de la première femme médecin en Angleterre qui pratiqua son métier malgré les tollés de la société. Je m’attendais à une femme de caractère, ne s’en laissant pas conter et menant la baguette au héros… Tout le monde reste sage et donc on s’ennuie un peu. Dommage car je considère que Lisa Kleypas est une référence dans le monde la romance. Je vous conseille de lire ses autres œuvres.

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