Makoto Ojiro

Dans ce sixième tome l'auteur a eu la finesse de ne pas sombrer dans la bluette même si les amours naissantes des deux jeunes insomniaques prennent forme peu à peu avec un gentil baiser, puis ils se donnent la main et envisagent l'avenir selon leur imaginaire personnel.



Dans cette nouvelle étape de la série, il poursuivent leur voyage de découverte et de prises de vues, leur tâche étant contrariée par la pluie, puis les parents de Magari finissent par s'immiscer mais quand l'amour naît, le premier est souvent le plus inoubliable...



Toujours de belles visages avec des expressions des personnages bien travaillées, quelques grandes planches, beaucoup sans légende, et donc toujours agréable de poursuivre le fil de cette gentille histoire.

Un début sympathique pour une série mettant en scène un garçon, Ganta Nakami, et une fille, Isaki Magari, tous deux lycéens, qui partage une particularité, celle d'être insomniaques. Ils donnent ainsi son titre à la série qui débute avec ce premier tome de présentation des protagonistes.



On est déjà au coeur du sujet, les deux héros font connaissance dans l'observatoire délaissé du lycée où, dans la journée, ils vont grappiller quelques instants du sommeil qui leur a manqué durant la nuit.



Leurs dialogues sont très réalistes et pleins d'humour, les dessins sont plaisants et l'on entre très aisément dans une histoire détendue dans une atmosphère douce et sereine malgré la difficulté qui réunit ces deux jeunes.



Ce premier tome paraît donc plutôt prometteur pour la suite.

Poursuite des émotions sentimentales mignonnes des deux jeunes insomniaques, peu d'action dans ce septième tome à part une course pédestre pour laquelle leurs plans sont contrariés.



Il est néanmoins de moins en moins question de la qualité de leur sommeil, davantage de l'attitude de leurs collègues de lycée à propos de leurs sentiments.



Les dessins sont toujours de la belle qualité de ceux des tomes précédents. Il m'a semblé que l'histoire s'essoufflait quand même un peu. Il y a encore au moins deux tomes et peut-être davantage...

Dans ce cinquième tome, les jeunes insomniaques partent à l'aventure, un chaperonnés par la soeur aînée de Magari qui a davantage d'expérience amoureuse que les deux jeunes et paraît très dure envers sa soeur.



L'ambiance de ce tome est très détendue avec un petit voyage à la recherche de photographies de plus en plus originales. Les sentiments naissants entre Magari et Ganta vont enfin pouvoir s'épanouir au-delà de la quête du sommeil.



Toujours des dessins sympathiques avec de grandes planches où les deux filles sont très jolies. Cette série continue donc d'être une belle aventure.

Poursuite dans ce troisième tome de leur découverte mutuelle entre Ganta et Isaki sur fond de fête avec feu d'artifice, organisation par eux-mêmes d'une nuit d'observation des étoiles filantes, photographie par Ganta des ciels étoilés, art dans lequel il progresse peu à peu.



Leur gentille relation progresse aussi, Isaki dévoilant à Ganta l'origine de ses troubles du sommeil. Cependant, l'accent est moins mis sur l'insomnie que dans les deux premiers tomes.



Le dessin est toujours très agréable à regarder, les sourires et mimiques des jeunes héros sont toujours très sympathiques. Les choses avancent doucement laissant les lecteurs imaginer l'évolution de leur relation.

Ce deuxième épisodes des aventures nocturnes des deux jeunes insomniaques avance au rythme de l'insomnie, quand le temps s'étire au point que l'on finit par en perdre la notion, les heures défilant quand même.



Ils sont en recherche de financement pour leur club d'astronomie et vont donc organiser un concours. Cela, c'est l'accessoire qui accroche un peu de substance à ce manga qui, finalement, se suffit par la simple présence des deux personnages vraiment attachants. Ils sont unis par leur particularité à l'égard du sommeil, il se proposent mutuellement de passer "une nuit" ensemble, c'est pour dormir car, à deux, le sommeil vient un peu, à l'écoute des battements de coeur l'un de l'autre.



Ils découvrent aussi l'art de photographier les étoiles et passent d'excellents moment en tentant de développer ce nouveau talent.



C'est bien dessiné et bien raconté, se lit vite comme la plupart des mangas et l'on se laisse prendre à l'attente de la découverte de la suite de leurs aventures.

Quatrième tome de cette gentille série un peu naïve parfois mais dont le fond reste toujours porteur de messages de vie intéressant.



Les deux jeunes insomniaques préparent leur nuit d'observation des étoiles filantes, mais la pluie risque d'être une invitée inopportune...



Leur relation progresse au fil des jours, ils communiquent à distance, durant leurs insomnies. Ils sont un peu moqués par les autres lycéens, surtout les filles, comme il se doit.



De très nombreuses planches sans texte rendent cette lecture très agréable, l'oeil pouvant se consacrer totalement à l'observation des dessins qui méritent que l'on s'attarde, notamment sur quelques planches en pleine page offrant un magnifique rendu.

Une jolie BD dans laquelle un jeune homme de 15 ans s'éveille à la sensualité en observant une cousine pourvue d'un fessier qui n'en finit pas de l'émerveiller.

Si vous aimez regarder des fesses d'adolescentes moulées dans des jeans, des petites jupes courtes ou des petites culottes, ce manga devrait vous plaire.

L'histoire est assez simple et il ne se passe rien ou presque.

C'est assez reposant, le postérieur de la jeune fille est effectivement digne d'intérêt mais le manga risque peut-être de s’essouffler rapidement si une intrigue un peu plus consistante ne vient pas l'enrichir.

Sinon, il y a des chats et ils sont mignons comme tout.

J'ai beaucoup aimé les dessins de La Fille du Temple aux Chats. Il sont riches en détails et soignés, nous immergeant dans le quotidien d'un temple dans la campagne japonaise.

Il y a juste un bémol : le regard de Gen, un ado de 15 ans, sur Chion, jolie jeune fille de 19 ans : beaucoup de gros plans sur les fesses de celle-ci...

L'intrigue ne m'a pas autant emballée que les dessins. C'est sympa, mais il se passe peu de choses, les chapitres sont courts. On sent que Chion plaît beaucoup à Gen et que l'histoire se focalisera sûrement sur cette piste dans les prochains tomes, mais je n'ai pas spécialement envie de découvrir la suite...

Un manga pour ceux qui aiment contempler le corps voluptueux des adolescentes. L'auteur se fait visiblement plaisir en dessinant des fessiers rebondis sous des jupettes ou dans des jeans et des poitrines bien rondes et fermes.

Ce volume est très lent, à tel point qu'il ne s'y passe rien ou presque, on y voit des quantités de chats bien mignons et le héros continue d'admirer sa cousine sous toutes les coutures.

Ca serait bien que les tomes suivant soient un peu plus animés car là, je me lasse.

Après le manga d'atmosphère "La fille du temple aux chats", Makoto Ojiro signe un ouvrage sur une problématique universelle: l'insomnie.

Deux personnages se distinguent dans ce lycée japonais. Nakami garçon colérique et bricoleur doué et Isaki une sportive, tous deux souffrant de manque de sommeil.

Epuisés par des veilles nocturnes, ils se réfugient dans l'ancien observatoire d'astronomie où ils vont faire revivre le club.

Ce manga de forme classique est une introduction où peu d'intrigues se révèlent.

J'ai senti que ce livre avait un projet éducatif qui fédère les lecteurs potentiels sur le syndrome du hibou.

Dans cette ambiance scolaire il manque cependant des aventures alléchantes et des remèdes pour tomber dans les bras de Morphée.

Comme je fais parti des insomniaques et que mes nuits se remplissent de lectures, d'activités manuelles ou de nourriture ( Je sais je grossis), j'attendrai les beaux jours pour étudier le ciel.

Qui veillera, verra!

Ce neuvième volume des aventures d'une jeune fille japonaise qui aide sa grand-mère à gérer un temple est assez agréable à lire, même si la fin n'apporte pas vraiment de surprise.

Elle vit en compagnie de sa grand-mère et d'un cousin un peu plus jeune qu'elle qui suit des études dans la ville voisine.

On suit le quotidien du temple, celui du jeune cousin, qui est secrètement amoureux d'elle, et de la jeune fille qui semble avoir d’ors et déjà choisi de consacrer sa vie au temple.

Cette série est lente, loin des rebondissements à l'américaine, ici, on prend le temps de cuisiner, de profiter des saisons, de câliner les nombreux chats qui vivent au temple...

Un tout dernier tome qui vient conclure cette série avec délicatesse.

Une amie m'a prêté le premier tome de la série de mangas : La fille du temple aux chats.

Gen décide de quitter son cocon familial et d'intégrer un lycée à la campagne où il a vécu étant tout petit.

Il s'installe dans le vieux temple où vit déjà Chion, une jeune femme d'une vingtaine d'année.

Cette cousine éloignée a pris la succession de la grand-mère et garde un excellent souvenir de Gen, enfant.

Leur complicité enfantine aura-t-elle survécu à toutes ces années ?

La fille du temple aux chats est un premier tome qui pose les bases.

J'ai découvert en premier lieu.. le fessier d'une jeune fille.. habillée certes mais j'avoue que cela m'a un peu surprise :)

Puis nous faisons la connaissance de Gen, qui s'installe à la campagne pour y intégrer le lycée. Il a vécu là étant enfant, dans ce temple, et en garde de bons souvenirs.

Il va retrouver Chion, une jeune fille qui est sa cousine éloignée. Elle a pris la succession de la grand-mère dans le temple et c'est devenue une très jolie fille.

Gien est un adolescent qui a les hormones en ébullitions et cela se sent.. notamment à cause de plans de fesses :)

Il est attiré par Chion, qui est charmante.

J'ai aimé découvrir la campagne japonaise, avec des dessins très riches en détails et vraiment beaux.

Par contre, le contenu ne m'a pas captivé plus que ça. Il ne se passe pas tant de choses que ça au final et heureusement que les dessins sont beaux car sans ça je ne suis pas certaine que j'aurais été au bout de ma lecture.

Je suis restée sur ma faim et je ne pense pas lire la suite, même si on me propose de me la prêter.

Ma note : trois étoiles.

Je ne suis pas spécialiste des mangas mais je poste tout de même mon avis sur ce troisième tome de "insomniaques".

Le héros Ganta Nakami se compose une équipe pour préparer la nuit d'observation des étoiles filantes. Il obtient grâce à des lycéens compétents posters et flyers afin d'attirer du public.

Nous suivons aussi la progression de la relation entre Nakami et Isaki. Et celle-ci dévoile le secret de ses nuits d'insomnie.

Si l'histoire avance à petits pas, j'ai apprécié les scènes où les traditions japonaises sont mises en avant comme le port du yukata, l'autel des ancêtres ou le carillon traduit en grelot dans le manga.



Une petite immersion dans la société nippone qui m'a séduite imbriquée dans une romance lente et douce toute à la fois.

L'entrée de Gen, le cousin citadin, dans le lycée de campagne est effective ! C'est l'occasion de mettre en scène des moments de la vie quotidienne typique : la rentrée des classes, le choix des clubs, la cuisine et les mesures pour maintenir au mieux le temple.

Et on fait enfin la connaissance des chats du temple !



Toujours très contemplatif avec les moments d'humour basés sur les moments de solitude de Gen qui peine à freiner les ardeurs de ses hormones face aux formes pulpeuses de Chion ! Même si cela a un côté "lourd", c'est vrai que cela amène de la légerté au manga.

L'épisode que je retiens le plus est celui où Chion s'exerce à la calligraphie, le choix des caractères et leur raisonnance a quelque chose de très poétique et plein de sagesse.



Joli moment de lecture dont la fin laisse à penser que les hormones vont être de plus en plus envahissanes, mais dans quelle mesure ? Suite au prochain épisode pour le savoir !

Gen un adolescent de 15 ans va aller habiter chez une cousine éloignée afin d’être plus près du lycée où il a choisi d’étudier.

Le garçon est tout de suite très intéressé par cette jolie et voluptueuse cousine, un peu plus âgée que lui, et très gentille par ailleurs.

Il ne se passe pas grand-chose dans cette bande dessinée, on y suit juste le quotidien d’un adolescent qui s’éveille à la sexualité et d’une jeune fille qui a choisi de s’occuper d’un temple malgré son jeune âge : 19 ans.

C’est une petite tranche de vie, qui est appelée à se poursuivre dans les tomes suivants, car tout est encore très neuf, les sentiments quels qu’ils soient n’en sont qu’à leur naissance. C’est joli, c’est doux, un peu coquin aussi, car le dessinateur s’est vraiment fait plaisir en dessinant à plusieurs reprises le fessier de la jeune fille moulé dans son jean ou aperçu dans sa petite culotte.

C'est l'automne dans ce sixième épisode !

Tandis que Gen et ses camzdu lycée préparent les animations et décoration pour la fête de l'école, Chion suit une formation pour devenir bonze loin dd l'agitation des adolescents et de leurs hormones en fusion.



La mangaka offre un développement subtil de certains de ses personnages, tout en pudeur et douceur sans humour lourding et c'est appréciable.

Dans ce tome j'ai beaucoup apprécié la variété des plans et ce qu'ils représentaient (paysages ruraux, urbains, moments de complicité entre ados, et bien sûr : les chats ! Doublement star dans cet épisode puisqu'ils font même l'objet d'une expo pour l'école.)



Une bonne lecture qui casse l'impression de monotonie et de manque d'évolution ou de surprise qu'on pouvait déplorer dans les deux tomes précédents.

Les nuits sont longues quand on est insomniaque et ce manga traîne.

Peu d'action dans ce tome où Nakami devient président du club d'astronomie de son lycée.

Il se fait aider par une jeune fille douée en photos Shiromaru qui travaille à l'extérieur. Grâce à ses conseils Nakami s'exerce la nuit avant sa participation à un concours de photos d'astronomie.

Mis à part une idylle en perspective et de la technicité en images ce tome-ci s'étire sans véritable rebondissement.

Les dessins de Ojiro m'ont toutefois interpellés avec des scènes particulièrement adaptées au thème de la photo.

Je suis donc en mode "attente" pour rentrer dans cette histoire car je ne suis pas encore attachée aux personnages.

Après quelques tomes un peu "mous", cet épisode qui se déroule en hiver a un côté aussi doudou que de regain de dynamisme avec des personnages qui s'interrogent sur leur avenir, s'investissent pleinement dans leurs activités scolaires et extra-scolaires.



Un bon moment de lecture après un ennui qui traînait en longueur.

Une conclusion en douceur pour cette série. Un peu prévisible c'est vrai, mais il faut avouer que tout autre fin aurait paru peu crédible ou tirée par les cheveux.

Jusqu'à la fin la mangaka a su garder la même ambiance de sérénité dans son scénario. Dans ce dernier tome, c'est l'espoir et la promesse de continuité des traditions et renouveau qui domine au village, avec aussi quelques moments de nostalgie où les personnages se remémorent les êtres chers disparus. Dans le même temps, les lycéens qui se rendent à Tokyo se parlent à cœurs ouverts avant que leurs chemins ne se séparent



Une série "tranche de vie" originale, agréable, pleine de douceur et assez apaisante du début à la fin.