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Critiques de Marianne Rubinstein (90)
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Bord de mère

Le récit d'une émancipation féminine dans une famille française ordinaire.
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Bord de mère

Il est des livres que l’on découvre un peu par hasard et dont on sait rapidement qu’ils laisseront des traces. Un peu comme ce récit littéraire d’une autrice dont je découvrais la plume.



A l’heure où on célèbre les quatre-vingts ans du droit de vote des femmes françaises, Marianne Rubinstein nous conte son histoire et celles de sa mère et de sa grand-mère. Trois générations de femmes de 1966 jusqu’à aujourd’hui. Avec quelques chiffres (l’autrice reste une économiste), ce livre est un savant mélange de récit social et de récit intime où l’on découvre comment les femmes de cette famille ont évolué dans ce siècle de changements et d’avancées féministes et comment elles se sont émancipées.



Si ce récit est très personnel, j’ai particulièrement apprécié la narration à la deuxième personne du singulier qui donne à la fois une certaine hauteur à ces événements et un détachement nécessaire pour (tenter de) comprendre les liens complexes entre l’autrice et sa mère.



C’est à la fois tendre, émouvant, parfois drôle et pourtant le regard acéré de l’autrice ne manque pas de souligner que ce combat doit continuer.



Bref petit coup de cœur qui m’a beaucoup émue.
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C'est maintenant du passé

Ébaucher des portraits des disparus à partir de fragments, leur redonner vie et retrouver sa place.



«Cette brume insensée où s’agitent des ombres, comment pourrais-je l’éclaircir ?». Cette citation de Raymond Queneau, en exergue à «W ou le souvenir d’enfance» de Georges Perec aurait pu également ouvrir ce récit de Marianne Rubinstein, publié en 2009 aux éditions Verticales et dédié aux absents.



Après la lecture des «Disparus» de Daniel Mendelsohn, qui forme un trait d’union entre «Tout le monde n’a pas la chance d’être orphelin» et ce livre-ci, Marianne Rubinstein a enquêté frénétiquement, avant que tout ne s’efface, et rassemblé les traces éparses et souvenirs fugitifs pour faire surgir des lueurs sur l’histoire de ses grands-parents paternels et des membres de leur famille déportés et assassinés par les nazis.



La suite sur mon blog ici :
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C'est maintenant du passé

Critique de Victor Pouchet pour le Magazine Littéraire



S'il n'est pas terriblement engageant, le titre de ce roman n'en a pas moins une portée ironique : il dit l'irréalisable dessein de raconter l'histoire de grands-parents juifs disparus pendant la Shoah, de tourner une page que, faute de traces suffisantes, il semble impossible d'écrire. Poursuivant le projet de son remarquable essai paru chez Verticales en 2002, Tout le monde n'a pas la chance d'être orphelin (titre emprunté au Poil de Carotte de Jules Renard), Marianne Rubinstein nous livre les pièces du dossier incomplet de son enquête : cartes postales, lettres, photographies, témoignages, rares documents d'époque conservés dans une « boîte en fer bleue ». À l'aide de cette matière parcellaire, elle compose le journal de ses « recherches frénétiques », de ses impasses et de ses douleurs. Cette spécialiste du Japon, maître de de conférences en économie à l'université Paris-vii, ne romance pas le passé terrible de ses grands-parents Chaim et Ryfka Rubinstein, elle n'en comble pas les manques et failles vertigineuses, elle ordonne, avec une grande intelligence, les fragments de leurs destins démolis. Comme les haïkus qui parsèment le texte, ce livre trouve ainsi sa force et sa « forme juste » en se construisant « sur des bribes et des silences ».
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C'est maintenant du passé

Marianne Rubinstein intitulé "C'est maintenant du passé", publié par Gallimard sous le couvert des éditions "verticales phase deux" (ISBN 978.2.07.012698.9).



Née en 1966, issue d'un mariage mixte (mère bretonne, père juif d'origine polonaise), l'auteur part à la découverte des vestiges de sa famille paternelle à partir de 2007 environ. Elle cite à plusieurs reprises l'ouvrage de Mendelsohn "les disparus" dont elle s’inspire sans que sa quête ne prenne cependant la même ampleur (environ 160 pages très aérées).



Quelques éléments retiennent mon attention dans sa façon de restituer l'histoire familiale :

- l’auteur ne cherche pas du tout à produire un récit continu, elle reconnaît et assume le fait de ne disposer que de fragments sans continuité possible

- elle mêle étroitement la narration de sa quête à la restitution des maigres données : le récit raconte aussi bien sa relation à son père pour en obtenir des informations que ses réactions à elle et que les histoires familiales ; son père résiste plus ou moins fortement à l'idée de laisser remonter tous ces souvenirs (c'est un mécanisme connu : la génération ayant vécu le désastre ne veut pas en parler, elle veut oublier, à tout le moins ne pas s'en surcharger pour être à même de vivre).



L’ouvrage de Mendelson est centré sur la Shoah, alors qu’ici, l’auteur inclue des drames individuels sans doute provoqués par la situation de guerre, mais sans s’y rattacher directement (voir citation) : ces traumatismes ont été en quelque sorte écrasés, gommés, pour le moins relativisés par le cataclysme collectif que fut la seconde guerre mondiale.



Que l’on permette de citer ici un exemple personnel. En 1942, alors qu’il est enfant et que son père est prisonnier en Stalag, l’un de mes oncles voit sa mère et sa sœur périr dans l’incendie de leur pauvre demeure provoqué par un poêle à charbon défectueux ; sur demande de la Croix-Rouge, les nazis autorisent le père à rentrer chez lui ; il se remarie avec une mégère qui ne trouve rien de mieux que de chasser l’enfant du foyer paternel, sans que le père ne prenne la défense de son fils ! Mon oncle sera recueilli et élevé par ma grand-mère, mais aujourd’hui encore, il n’a rien pardonné à son père décédé…



De nos jours, un tel vécu justifierait l'intervention d'une nuée de psychiatres ou d'assistantes sociales ravies de justifier leurs salaires ; dans les années d'après-guerre, entre 1945-1955, ces malheurs individuels furent engloutis dans la joie d'avoir surmonté le désastre collectif…



Le grand mérite de cet ouvrage réside justement dans le fait de poser cette question : comment s'articulent les malheurs individuels dans une période de grands malheurs collectifs ?

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Detroit, dit-elle

Un livre inclassable, mi-roman mi-chronique économique, qui fait battre le pouls de Detroit, capitale américaine de l'automobile, et celui de la narratrice, et rend tangible la violence de la destruction créatrice.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Detroit, dit-elle

Detroit, grand corps malade.



Detroit fut à la fin du XIXème siècle et jusqu’en 1930 le symbole de l’expansion du capitalisme industriel, de tout ce qu’il pouvait avoir de superlatif et de fascinant, avant de se transformer avec son effondrement en une ville fantôme, et de devenir l’emblème de la fragilité des grandes villes et des collectivités balayées par les transformations du capitalisme et en particulier par l’émergence du capitalisme financier et mondialisé depuis les années 1970. L’évolution de Detroit, et le ghetto urbain qu’est devenu son centre-ville, a prouvé une fois encore que les villes mortes, dont Mike Davis donne plusieurs exemples dans «Dead cities», ne sont pas uniquement des constructions fictionnelles.



«Dans ce lieu qui symbolisait la grandeur du capitalisme industriel, l’écroulement est si massif, la dégradation si profonde que le spectacle de cette déchéance fascine le monde entier. Detroit est devenu une sorte de Pompéi moderne, un vestige des temps industriels, détruit de la main de l’homme dont il est acquis désormais que la force d’anéantissement est bien supérieure à celle de la nature. Un terme a même été inventé par les habitants de Detroit et des environs pour stigmatiser cette fascination morbide du monde pour leur ville : le "ruin porn", la pornographie des ruines.»



La suite sur mon blog ici :
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Detroit, dit-elle

"Detroit dit-elle" est une petite merveille d'intelligence et de sensibilité. L'auteur mêle une histoire du capitalisme au XXeme siècle et sa propre histoire de survivante du cancer du sein. Detroit, symbole du capitalisme triomphant et du rêve américain, se relèvera-t-elle de ses ruines ? inventera-t-elle de nouvelles solutions de vivre ensemble ?

L'auteur, maître de conférences en économie y est partie volontairement à la fin de sa chimiothérapie pour en apprendre les leçons et elle nous livre un cours agréable et référencé aux multiples résonances dans nos histoires de vie, ainsi que des pans de sa propre histoire. C'est passionnant et très facile à lire.
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En famille

Un court roman assez intéressant. On se retrouve en Bretagne dans une maison de famille au moment où la mère / la grand-mère se meure. Souvenirs, non-dits, rancœur, secrets. Sous le cliché de la maison de famille au bord de mer, on s’aperçoit au fil des pages que la carte postale n’est pas aussi belle. Cependant il y a un petit truc qui m’a manqué, où par moment je suis restée un peu sur ma faim, j’aurais aimé de vraies engueulades familiales, mais comme j’aime les histoires en sous-entendus ça compense. Au final une agréable lecture.
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En famille

Je dois avouer que c’est la couverture de ce livre qui m’a attirée, la promesse dans cette image d’une échappée vers un lieu et une histoire enveloppés d’une lumière dorée.



Dans la maison familiale, le temps de quelques jours, les tensions se cristallisent autour de la grand-mère.



C’est un beau roman, mais trop court à mon goût. Le défilé des générations, en si peu de pages, sème la confusion sur l’identité de chacun. Cependant l’écriture assez cinématographique qui nous conduit aux coeur des non-dits et des rancoeurs familiales a un charme immédiat.



Si vous avez une toute petite poignée d’heures devant vous, n’hésitez pas !

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En famille

"-alors ce voyage? demande elle en souriant

.

-ça s ' est bien passé.j ' étais en première, pour une fois j ' avais de la place pour mes jambes

.

-tu voyages en première maintenant ?



-j ' ai eu trente pour cent de réduction .et puis avec le violoncelle c ' est plus facile .



-ne te justifie pas ma chérie."



Et voilà tout est dit!! dans ce dialogue très court



livre dense et dérangeant
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Jusqu'au bout du secret

Jules se reconstruit après un déménagement. Un père disparu en mer, cela le rapproche de M.Langman, son vieux voisin qui lui a attendu longtemps le retour de ses parents déportés lors de la seconde Guerre Mondiale.

Ils décident d'enquêter, ouvrant la porte à une vérité...



Un court récit sur la difficulté de se forger une identité autour de secrets et de l'absence. La découverte finale représente un nouveau départ pour le héros même si cela ne sera pas celui attendu.



Ce livre fait suite à " Le grand voyage de Jules" qui je pense m'a manqué pour apprécier totalement cette suite.
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Jusqu'au bout du secret

Après "La colère de Jules", nous retrouvons les personnages pour un nouveau roman. Lors des fêtes de Noël, Jules découvre que sa mère lui a menti sur la disparition de son père. Grâce à son voisin et ami M. Langman, il va enquêter et découvrir que son père a disparu quelque part en Micronésie. Il n'en faut pas plus au jeune garçon pour vouloir partir et découvrir la vérité...

Il n'est pas forcément utile d'avoir lu le précédent roman pour apprécier et comprendre celui-ci. On s'attache à ce garçon plein d'espoir (et de colère vis-à-vis de sa mère) et on suit avec beaucoup d'intérêt son aventure qui va le mener à l'autre bout du monde. Un joli roman, plein de belles idées et de beaux personnages.
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Jusqu'au bout du secret

De l'aventure, des rebondissements, des relations fortes (avec le voisin grand-père) ou conflictuelles (avec la maman), un voyage, des retrouvailles : de bons ingrédients pour un bon roman.
Lien : http://capocapesdoc.over-blo..
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La colère de Jules

Livre écrit dans le cadre du feuilleton des Incos. Ce sont des élèves de CM1 à la 6e qui ont participé. Echanges nombreux avec les jeunes, qui doivent se passionner pour cette histoire qu'ils voient se construire en commentant.

La colère de Jules c'est celle qui enfle quand il apprend que sa mère veut lui faire rencontrer son nouvel ami. Jules, dont le père a disparu en mer et qui attend son retour, persuadé que celui-ci va revenir ( tant que le bateau n'a pas été retrouvé vide...) Il s'accroche à cette idée et ne veut pas que Laurent ( Outan, tant il est velu) ne remplace son père. Après Tout Ulysse a bien mis 10 ans pour rentrer chez lui et retrouver Pénélope.

Histoire de collège, d'amitié aussi et aussi une petit amourette pour un roman court , mais bien mené. Jules est un héros attachant. Sa rencontre avec un voisin âgé et érudit l'aidera peut-être à faire du chemin ....

Un roman qui dit les tourments de l'enfance et sur les familles recomposée, facile à lire qui permet de relativiser et sans doute effacer la colère.

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La colère de Jules

Aider les lecteurs à comprendre les dilemmes des adultes, les aider à voir plus clair dans le monde et en eux-mêmes, telle est la fonction discrètement édificatrice de ce roman, en prise directe avec le réel.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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La sixième, Dinah et moi

Pour sa rentrée en 5è, le professeur de français de Louise propose à sa classe une rédaction dans laquelle ils devront raconter ce qu'ils retiennent de leur année passée en 6è. Aucun doute, s'il y a une chose à retenir de son entrée au collège, c'est bien sa rencontre avec Dinah ! Pourtant, leur amitié n'était pas gagnée d'avance...



Issue d'un milieu bien moins aisé que Dinah, les parents de Louise ne voient pas d'un bon oeil que les deux filles se fréquentent. Leur amitié devra alors d'abord se vivre en cachette. Les deux amies se retrouvent secrètement après la classe pour faire leurs devoirs, et surtout, dessiner le manga que Louise avait ébauché.



Ecrit du point de vue de Louise, dans un esprit journal intime, La sixième, Dinah et moi est une jolie histoire d'amitié entre deux ados différentes, sur fond de jalousies et de vie au collège, mais dont la fin / chute m'a surprise et un peu déçue.



Une bonne idée de lecture tout de même à proposer pour la rentrée aux 6è.
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..
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La sixième, Dinah et moi

Résumé : Louise entre en 5°. A cette occasion, leur professeur de français leur demande d’écrire une rédaction sur un événement qui les a marqués en 6°. Louise sait que c’est son amitié avec Dinah. En fin de CM2, sa meilleure amie Léa l’a délaissée, et Louise a compris qu’elles s’éloignaient l’une de l’autre et que leurs intérêts divergeaient. Elle va rencontrer une nouvelle fille en 6°, Dinah, et c’est le début de leur amitié…



Mon avis : L’écriture fluide et simple de l’auteur nous emmène rapidement dans cette histoire d’amitié entre Louise et Dinah. Avec l’adolescence, les goûts changent et les amis aussi. Avec Dinah, Louise va rencontrer quelqu’un de différent, qui aime les mêmes choses qu’elle. Mais l’amour et la jalousie des autres vont mettre en difficulté cette belle amitié. Une belle histoire initiatique, qui montre qu’on ne peut pas être toujours amis pour la vie, et que l’important c’est d’avoir rencontré ce qu’est la vraie amitié et de savoir qui on est vraiment.
Lien : http://docbird.over-blog.com..
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La sixième, Dinah et moi

« Louise Polet, 5è 5

Sujet : Raconter ce qui vous est arrivé de plus important durant votre année de 6è.



Ce qui m'est arrivé de plus important durant mon année de 6è a été de partir à New York avec ma meilleure amie... »

Louise n'en ai pas à sa première histoire entièrement inventée.

Elle a aussi imaginé les aventures de ces héroïnes Hildeline et Vita.



Louise aurait pu choisir de raconter sa grande amitié de l'année passée, inespérée, avec celle qui fut l'espace d'une année sa meilleure amie.

Avant c'était Léa, en CM2,

mais les histoires entre ados vont et viennent quand on grandit.

Un jour, au collège, Dinah s'est assise à côté d'elle et c'était parti !

Très différentes, elles partageaient toutefois la passion des Mangas et donc grâce aux talent de dessinatrice de Dinah, les princesses de Louise allait devenir un vrai Shojo.

Difficile de revenir aussi sur cette amitié contrariée, la jalousie des autres copines, la maman de Louise doutant de la bonne influence de cette nouvelle amitié et l'histoire avec le beau Maxime...



: L'auteure Marianne Rubinstein pose parfaitement bien son propos et en toute simplicité nous raconte l'amitié de deux adolescentes qui se sont incroyablement bien trouvées, puis perdues.

L'auteure raconte une adolescence où les sentiments sont forts, les émotions à fleur de peau.

Le passage au collège et à la puberté vont séparer Louise et Léa, promises "meilleure amies pour la vie" et l'histoire avec Dinah va sonner comme une redite.

Mais les lecteurs se rendront compte que cette fois ce n'est pas l'action du temps qui joue mais bel et bien des petites manigances entre ados avec au coeur du problème des jalousies autour d'amours et d'amitiés.



Les rapports entre Louise et sa maman sont aussi développées dans ces changements.

Louise prend le risque de cacher à sa mère, celle-ci travaillant tard le soir, ses rendez-vous nocturnes avec sa copine, voisine de l'autre côté de la rue, pour avancer sur leur projet Shojo à des heures indues.

Pourquoi ne peuvent-elles se voir en journée?

A vous de le lire, de le découvrir.

L'auteure aborde la responsabilité et la confiance.

Mais il n'y a pas que des règles, Louise pourra compter sur l'écoute de sa maman avec sa petite déconvenue de départ puis l'aventure "Dinah".



« La sixième, Dinah et moi », c'est une belle histoire d'amitié qui permet de relativiser sur les grands changements, l'entrée au collège, l'organisation scolaire, les amitiés, c'est une aventure qui commence.

A découvrir!
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La sixième, Dinah et moi

Difficile de résumer ce petit roman sans dévoiler toute l’intrigue… Nous y suivons Louise, qui vient de rentrer en sixième et qui doit faire face à de sacrés problèmes. En effet, elle a toujours cru que Léa et elle s’était à la vie, à la mort, « besta forever »… jusqu’à ce qu’il y ait de l’eau dans le gaz et qu’elle fasse la rencontre de Dinah. Le courant passe tout de suite entre elles ce qui permet à Louise de découvrir ce qu’est une véritable amitié. Ce qui ne plaît pas à tout le monde…



Ce court roman se dévore assez vite tant il est prenant. Louise est un personnage attachant et touchant. On découvre à ses côtés les délices d’une belle amitié, mais on voit venir à l’avance le « drame »…



Le seul reproche que je puisse faire à ce roman, c’est sa fin. Pas de dénouement heureux, mais pas de tragédie non plus… un choix un peu fade par rapport au reste.



En conclusion, un petit livre sympathique sur une jolie amitié et sur les ravages que peut causer la jalousie. Une jolie expérience, même si je ne le garderai pas en mémoire très longtemps.
Lien : https://antredeslivres.blogs..
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