Marie Pavlenko

Merci à Babelio et Little Urban de m’avoir permis de découvrir ce joli petit livre grâce à la dernière Masse Critique.

Un joli conte qui ravira les enfants. L’auteur passe, grâce à son histoire, un message positif: il faut croire en ses rêves.

Le livre est bien illustré. Les illustrations apportent un plus à l’histoire.

Je conseille ce livre.

J'ignorais que Marie Pavlenko n'écrivait pas seulement de magnifiques romans pour ados, mais également de jolis petits romans à destination de la jeunesse. Sous ses airs de simple aventure, son "Awinita" cache en réalité une intrigue engagée qui défend l'égalité des sexes. Qui a dit qu'une fille ne pouvait être guérisseuse ? Si j'ai aimé l'histoire et l'univers indien dans lequel elle est ancrée, j'ai également beaucoup apprécié les illustrations et leur colorisation. J'ai même regretté qu'il n'y en ait pas plus tant elles sont belles !

Croire en ses rêves, cultiver les valeurs de l'amitié, de la famille et de l'entraide.

Awinita a cette force de caractère, et grâce à cela et au soutien de ses compagnons d'aventure, elle surmontera les doutes et les railleries dont elle est victime, parce qu'elle est une fille (argggghhhh).

Une jolie histoire richement illustrée, un premier pas à la découverte d'une culture, un message d'espoir et de conviction très positif. Réjouissant !

Cet album jeunesse est un premier roman pour jeune lecteur. C'est à dire qu'il contient peu d'illustration et que l'accent est surtout porté sur l'histoire en elle-même. Mes enfants ont beaucoup aimé cette histoire, qui dévoile en filigrane un message féministe et moderne. D'ailleurs, la grand-mère de Winita guide tout en délicatesse sa petite fille, pour qu'elle ne renonce pas à son rêve de devenir guérisseuse et ce malgré la réticence des anciens. Ma fille a immédiatement réagit à cet affront, en déclamant que les hommes n'étaient pas supérieurs aux femmes et que Winita pouvait tout à fait être guérisseuse si elle le souhaitait. Minibulle qui est plus jeune, est peut-être un peu passé à côté du message véhiculé et s'est surtout embrouillé très vite avec les noms à rallonge de tous les indiens !

Les illustrations sont donc peu nombreuses, mais choisi à bon escient. Des couleurs chaudes et rondes ont été choisies et le petit mémo à la fin du livre présentant tous les personnages est une très bonne idée. La tribu des HOPI nous est également présentée en fin d'ouvrage, un peu comme un documentaire venant compléter et rendre plus crédible toute cette aventure. Le versant historique constitue un point fort non négligeable à cet ouvrage et mes enfants ont été très intéressés par cette partie.

Pour conclure, nous avons été ravie de faire la connaissance de la jeune Winita, qui sait s'entourer d'amis drôles et altruistes. De nouvelles aventures sont prévues par l'éditeur et il est plus qu'évident que nous seront au rendez-vous !
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Je termine ma sélection avec un livre pour les plus grands, pour les petits CE1 qui savent lire maintenant. Dans ce livre, on est plus axé sur le texte que sur les illustrations mais le peu qu'il y a, elles sont très belles et suffisent largement à l'ensemble de ce petit livre.







Le rêve d'Awinita est de devenir guérisseuse sauf que ce n'est malheureusement pas possible mais poussée par sa grand-mère, il se pourrait bien que cette petite fille ne renonce pas aussi facilement à son rêve...







Un livre qui véhicule un petit message important qui est de faire connaître aux enfants. L'égalité pour tous commence à s'apprendre dès le plus jeune âge.







A la fin de l'ouvrage, il y a un petit guide sur les personnages mais aussi sur la tribu des Hopi afin que nous puissions avoir des connaissances supplémentaires. J'ai trouvé que c'était un gros plus et que cela apportait plus de crédibilité au récit.







Tout ça pour dire que ce petit livre est une bonne façon pour les jeunes lecteurs d'appréhender la lecture avec une petite histoire intéressante.



Illustration sur le blog
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Merci à Babelio et la Masse Critique pour m'avoir permise de découvrir ce petit livre pour enfant.



Awinita est une petite Indienne, avec beaucoup de connaissances, qui veut devenir guérisseuse. Mais elle est confronté à la réalité des croyances de sa tribu qui dicte que seuls les hommes sont guérisseurs.

Sa grand-mère va lui redonner espoir et une mésaventure prouvera ses capacités.



C'est une très jolie histoire sur plusieurs points.

Tout d'abord, il véhicule un message positif et reprends l'idée de l'égalité.

Le texte est écrit par Marie Pavlenko ; j'ai lu ses romans que j'ai beaucoup apprécié (j'aime son style). Sa plume est presque poétique, l'histoire est facile à lire, à comprendre: ma fille a adoré !

Les illustrations qui accompagnent le texte sont très bien adaptées. On garde un style tout en rondeur, en poésie, avec des couleurs chaudes. Il y a un bon équilibre entre texte et dessins.

Pour finir, à la fin, nous trouvons 2 présentations:

Une présentation des personnages apporte un plus, pour mieux connaitre le groupe d'amis.

Une présentation de la tribu des Hopi, dont est originaire la grand-mère Soleil-d'automne, nous apporte quelques notion d'histoire (très intéressant)



En conclusion, un jolie petit livre, très positif. J'attends la suite avec ma fille pour suivre l'histoire d'Awinita et ses amis.

Merci beaucoup à Babelio et aux éditions Little Urban pour l'envoi de ce bel album. J'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir les aventures d'Awinita et ses amis. J'aime beaucoup les illustrations, particulièrement le choix des couleurs. L'histoire est simple et véhicule de jolies valeurs : féministes en premier lieu, mais également sur la nécessité de perséverer pour poursuivre ses rêves, ne pas se laisser abattre par les railleries. L'amitié et la famille sont également mises à l'honneur.

J'ai été un peu destabilisé au début par le nombre de personnages, il m'a fallu quelques pages avant de renter dans l'histoire, comprendre qui sont les protagonistes, par exemple a-t-on affaire à des animaux ou des humains ? Les illustrations répondent à toutes ces questions mais viennent trop souvent après le texte.

Les annexes en fin d'album viennent éclairer le lecteur sur les différents personnages. La courte explication sur les tribus Hopi est une très belle ouverture sur le monde qui donne envie d'approfondir le sujet avec d'autres livres. J'ai regretté du coup que le nom "Hopi" ne soit pas cité plus tôt dans l'histoire et de ne réellement découvrir les personnages qu'à la fin. Ce court album aurait peut-être pu faire l'objet d'un récit plus long avec d'avantage d'illustrations. En bref, j'en redemande ! ;)

Ici, nous suivons l'histoire d'Awinita, jeune indienne d'Amérique. Cette dernière a pour rêve de devenir guérisseuse. Pour certains adultes, ce métier est impossible pour une femme. Awinita, va-t-elle leur prouver le contraire ? Je vous laisse le découvrir ! 

Première lecture plutôt sympathique. J'ai plutôt bien aimé les thèmes abordés tel que le féminisme et le fait de croire en ses rêves. On est d'accord que tout va trop vite, mais on ne peut pas vraiment demander plus à un livre destiné à des enfants en apprentissage de la lecture. La mise en page permet une lecture agréable et les illustrations rendent le texte dynamique. Je pense que c'est un livre parfait pour un enfant qui a déjà acquis quelques bases de lecture sinon il peut paraître compliqué. 

Bouleversant et pourtant lumineux, j’ai dévoré ce roman d’une seule traite ! On retrouve la force et le souffle des autres romans de Marie Pavlenko dans ce magnifique roman qui nous ouvre les yeux sur la réalité de nos ainés, trop souvent abandonnés dans nos sociétés actuelles. A lire de tout urgence et à mettre entre toutes les mains.

Un roman qui m a bien surpris très loin de la douceur habituelle de marie Pavlenko

Oui la vie dans un epad est bien triste mais je doute que la violence de Fabienne puisse s s'exprimer comme dans le roman

Dommage car l histoire de ce couple aurait pu être magnifique malgré Fabienne

Que c est dur d avoir un certain âge et si vous avez cet âge abstenez vous il y a des livres plus joyeux pour vous faire passer le message"pas facile de vieillir"

C'est un de ces livres qu'on découvre au hasard, et dont la quatrième de couv nous séduit rapidement;

Et alors ? Il n'est jamais facile d'écrire sur ce huis clos que peut représenter une maison de retraite: Comment les résidents y vivent-ils? Y-sont-ils heureux? On se retrouve au sein de ce microcosme, avec ces personnes qui aspirent juste à de la dignité au crépuscule de leur vie; C'est à la fois tendre, touchant, déstabilisant, choquant... Cette curieuse romance nous fait en tout cas réfléchir à la place de nos ainés dans la société d'aujourd'hui;

Emma et Lucien se sont aimés en secret il y a très longtemps. Ils se sont fait la promesse de se revoir une fois qu'ils seraient libérés l'un et l'autre de leur moitié respectives, l'un a perdu la tête l'autre l'aura pour deux.



Un regard implacable sur la vie en Ehpad ! les laisser pour compte, les gentils et les mauvais soignants, la mort des autres pensionnaires ...



J'aime beaucoup cette auteur mais ce livre ne me laissera pas à grand souvenir ...

⚠️ Post virulent ⚠️

Ce livre m’a fait penser "À la folie" de @j_sorman1958 . Les "vieux" c’est comme les "fous", on ne sait pas quoi en faire, où les mettre. Alors on les colle dans des résidences, où on les infantilise, on les maltraite parfois, on ne leur laisse plus choisir ce qu’ils veulent, on vide leur maison sans leur demander leur avis ... parce qu’on n’a pas le temps, pas envie, pas les moyens .... un bien triste constat de la réalité. Un roman bouleversant, qui m’a fait mal aux tripes ( je me suis vue dans 20 ans, avec ma Louise agissant comme ça, et ça m’a peinée, vu le temps, l’amour et l’argent que je lui consacre) ..... un roman plein de vie aussi !!!! À lire et à faire lire pour ouvrir les yeux et changer un peu les mentalités .... Nos parents ne sont pas des objets de consommation !! Un peu de bienveillance, de respect et d’humanité seraient bienvenus pour remettre les choses un peu dans le bon sens....
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 Quand la chandelle aura bientôt fini de briller, sera-t-il encore possible de nous aimer ?

Mais voyons, qui vous l’interdit ! L’amour est enfant de Bohème et il est bien au-dessus des lois…

Serait-il réservé aux jeunes gens, frais, beaux et bien portant ? 





Le livre de Marie Pavlenko est un bol d’air frais qui se déroule…en maison de retraite.

Emma et Lucien se sont aimés jadis, c’était une sorte de liaison extra conjugale secrète et pudique qui pour rien au monde n’aurait abîmé leurs conjoints respectifs. C’était la condition avec à la clé la promesse, que si la vie les rendait veufs tous deux, ils finissent leur vie ensemble.

Mais voilà que Lucien flanche un peu de la mémoire, alors pour éviter de le retrouver en pyjama dans la rue son fils lui a trouvé une jolie maison de retraite.

Lucien a toujours peur de déranger, il voudrait rester autonome, libre aussi.

La vie est difficile à l’Ehpad, le manque de temps des aides-soignants, les torgnoles de Fabienne, la douceur de Djamila, les compagnons de galère, ceux qui meurent, ceux qui restent, ceux dont les souvenirs lointains affleurent plus aisément que les souvenirs de la veille, Molly, Suzanne, Henry, et puis Emma.

Emma a reçu la lettre que Lucien lui a envoyé, Emma, elle, a toute sa tête, elle l’a même pour deux, alors elle va prendre les choses en main !

Je n’en dirai pas plus si ce n’est que comme dans le livre « Un si petit oiseau », je me suis attachée aux personnages que l’auteure fait évoluer dans ses pages, ce livre est un petit théâtre réjouissant, c’est un hymne à la vie et à l’amour, une irrésistible leçon d’optimisme… qui fait de l’âge un détail !

Lucien est déposé par sa fille devant la maison de retraite mais elle n’a pas le temps de l’accompagner. « Tu verras, tu vas te faire des amis, c’est pour ton bien ».



La nourriture est immangeable, la sollicitude sonne faux et la solitude est infinie.

Lucien est perdu. Mais arrive Emma, sa lumière dans toute cette noirceur.



Coup de coeur et coup au coeur, je ressors bouleversée de cette lecture.

Une plaidoirie pour ces invisibles qu’on oublie peu à peu, qui espèrent des visites qui ne viennent pas, qu’on infantilise gravement. Pourtant, ils veulent encore rire, rêver et aimer. Vivre !

Un roman dur mais qui fait réfléchir.



Une lecture essentielle qui m’a complètement chamboulée, souffle coupé.



Est-ce que ce thème vous interpelle ?


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Ce roman m'a fait beaucoup de peine. Il dénonce l'isolement des personnes âgées, pouvant aller jusqu'à la maltraitance institutionnelle… Cette histoire d'amour à moitié empêchée, car Lucien et Emma sont obligés de se cacher pour s'aimer, m'a attristée. Fabienne est un personnage ô combien antipathique, elle tyrannise les anciens, les maltraite physiquement et verbalement. Les proches sont absents, trop occupés pour le constater. Tout cela crée un climat très délétère. L'écriture de Marie Pavlenko nous fait entrer tour à tour dans la tête de chaque pensionnaire, parfois dans un flot ininterrompu de pensées, de souvenirs, de rêves… seule évasion possible de cet enfer, où même la porte du jardin reste close. La fin m'a un peu surprise et je suis restée en suspens. Dans l'ensemble, c'est un roman assez dur sur les conditions de vie en EHPAD, avec une plume très particulière. Il m'a déstabilisée !⠀

Marie Pavlenko publie aussi chez les grands? Arrêtez tout et laissez-moi lire son roman d'une traite. Car oui, que ce soit en jeunesse ou en adulte, Marie Pavlenko écrit des textes sensibles, durs, drôles et intelligents qui coulent avec une efficace évidence!

Dans "Bientôt minuit", elle nous projette en plein 3e âge. Emma et Lucien sont amants de longue date, au décès de Madeleine, ils allaient enfin pouvoir vivre leur histoire au grand jour. Sauf que la vie a ses détours et Lucien ses moments d'absence qui oblige sa fille Valérie à le placer en pension. Une pension pas tout confort, au personnel inégal, remplie de petits vieux aux histoires poignantes, un endroit d'où il voudrait partir, un endroit où Emma pourrait toutefois le retrouver.

Dans ce roman, l'autrice ne rend pas justice aux aide-soignant.es et aux infirmièr.es qui font bien leur travail mais elle montre aussi parfois la sinistre réalité de ces mouroirs où les ainés voudraient encore entretenir une étincelle de vie.

Il y a des livres qui vous tentent par leur quatrième de couverture, de bons retours aussi. Et que parfois vous êtes bien obligés de refermer avant la fin car non, vous n’accrochez pas, mais vraiment pas du tout, votre moral en prend un coup et ça vous mine. C’est triste, non les livres qui minent ou vous font bailler ?



« Bientôt minuit est une plongée au cœur d’une marge, celle des vieux rendus invisibles, qui sont, et ont envie d’être, jusqu’à la fin. »



Voilà ce que dit la quatrième de couverture.



Moi, ce que j’en dis c’est quand j’ai ouvert ce livre, je suis rentrée dans la quatrième dimension. Il y a des vieux partout, enfermés dans un mouroir qui ressemble à une prison infecte. La cheffe infirmière est un pitbull enragé qui frappe à la moindre broutille. Les infirmiers se trompent de pilulier. Il y a des ongles dans la nourriture cramoisie. Les pensionnaires sont en quarantaine quand ils arrivent. Interdits de visite. Le jardin est fermé à double tour. Impossible de prendre l’air. On fait la file a poil au sous sol pour prendre une douche et on fournicotte dans les lits. Puis il y a des morts, beaucoup de morts et on regarde les gens mourir. Comme si de rien n’était.



On rajoute la démence et que quand on devient vieux on retombe en enfance, pas de bol, tout est pourri dans l’ancien temps pour tous ces pensionnaires. Ça cauchemarde dans tous les sens. On n’est pas loin d’un livre d’horreur mes aïeux.



L’amour de toujours qui revient comme par magie et s’installe dans le mouroir de gaieté de cœur, non, c’est vraiment trop rocambolesque.



Ce qui donne un roman très surréaliste, maussade, déprimant et pas crédible pour un sou.

J'avais beaucoup entendu parler de Marie Pavlenko, alors quand j'ai su qu'elle avait écrit un livre sur la vie des personnes âgées je me suis jetée dessus !

Une autrice qui est très appréciée, qui aborde en plus un sujet qui me touche beaucoup et que je n'ai jamais rencontré dans mes lectures, c'était pour moi !



Malheureusement j'ai vite déchanté avec le style de l'écriture qui m'a par moment dérangé . Des dialogues écrits en plein paragraphe à la suite d'une phrase et sans tiret ! Est-ce le style d'écriture habituel de Marie Pavlenko ?



Tout au long de cette histoire nous allons suivre Lucien qui a été placé en maison de retraite par sa fille qui malheureusement ne peux pas s'occuper de lui .

Ma mamie a été également placé en EHPAD l'année dernière donc j'avais envie à travers se livre de découvrir un petit peu de son quotidien. Mais enfaite en lissant ce livre j'ai eu très peur ! Nous nous rendons compte que ses personnes âgées ne sont pas forcément heureuses. Elles vivent au rythme des différents ateliers mis en place quotidiennement, aux repas qui sont immangeables, aux problèmes mentaux de leurs compagnons de tables , au personnel médical qui est loin d'être compétent voir même monstrueux et au manque de nouvelles de leurs familles.



En lisant la 4ème de couverture je m'attendais vraiment à suivre se couple qui s'est attendu pendant des années et qui allait se battre malgré l'alzheimer de Lucien pour vivre leur amour ! Mais malheureusement l'histoire a beaucoup plus tourné autour du quotidien des personnages et c'est ce qui a réveillé mon ennui plus d'une fois .



Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages se qui ne m'a pas aidé dans ma lecture non plus même si j'ai été touchée par le "contexte" de l'histoire bien sûr .

J'espérais avoir une fin inattendue et heureuse, alors oui elle a été inattendue parce que ça a été le seul moment du livre où nous avons eu un vrai rebondissement ! Mais j'ai été très déçue tellement cette fin a été rocambolesque et totalement irréaliste.



Je crois que j'en attendais trop, tout simplement !



Le point positif c'est que je sais que ma mamie est beaucoup plus heureuse dans sa maison de retraite que Lucien dans la sienne !

Lucien a la mémoire qui chancelle. Veuf, il ne peut pas rester seul alors il part en maison de retraite. Un véritable mouroir. Lucien avait pourtant fait une promesse à Emma. Avec Emma, ils se sont aimés des années en secret. Ils s’étaient promis de vieillir ensemble lorsqu’ils perdraient leur moitié. Lucien décide d’écrire à Emma. Veuve depuis sept ans, Emma n’a jamais cessé d’aimer Lucien et va alors le retrouver dans l’EHPAD. Avec Emma, Lucien voit enfin un avenir possible. 



Lucien, Emma et leurs compagnons de maisons de retraite vont essayer de s’apporter du positif, de la joie. Il faut faire face à la violence de Fabienne, la cheffe infirmière. La nourriture est mauvaise, la propreté laisse à désirer, le jardin est inaccessible, les vitres sont brouillées, les pensionnaires sont en quarantaine à leur arrivée… L’auteur nous dépeint un EHPAD vraiment horrible, à tel point qu’on en vient à douter de sa crédibilité et qu’on a alors du mal à se mettre dans l’histoire. C’est dommage car ça aurait pu être un bon roman ! 



Le manque de crédibilité m’a laissé le goût d’une lecture sans plus. Je me suis cependant attaché à certains personnages, sans doute grâce à cela que je suis allée au bout de ce roman. 



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