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Critiques de Marion Ruggieri (312)
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

L'histoire:

Big est une parisienne d'une trentaine d'année, même si elle s'efforce d'avoir le look d'une adoslecente.

Et si elle n'assume pas ses 30 ans c'est parce que son propre père refuse de vieillir.

Il lutte chaque jour pour pouvoir conserver ce corps svelte et bronzé.

Et il aime montrer à sa fille à quel point le temps n'a pas d'emprise sur lui.

Pour compléter le tableau, il préfère sortir avec des femmes jeunes, très jeunes.

Ce soir, il a justement invité sa dernière conquête, âgée de 17 ans, à diner avec sa fille et lui.



Mon avis:

Je n'ai pas trouvé le chef-d'oeuvre du siècle c'est sûr mais j'ai bien aimé ce roman.

On est en pleine confusion des âges(...)
Lien : http://www.livr-esse.com
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

La couverture et le titre m'avait séduite. De plus les commentaires élogieux sur la quatrième de couverture m'avait conforté dans mon choix. Je dois tombé de haut en le lisant. J'ai trouvé l'histoire décousue et j'ai vraiment été déçue.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

déluré et rigolo
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Lecture franchement bizarre. Elle change énormément de mes habitues et mine de rien, ça a fait du bien. Marion est une fille de 30 ans plus que perdu. Entre son père qui veut rester jeune et n'a jamais vraiment eu le rôle de père et son fiance qui à l'âge de son père et qui agit comme un père. Marion nous raconte sa vie au travers d'un dîner pour l'anniversaire de son père, qui se révèle être aussi celui de son fiancé. Les déboires de son père plus exactement. Le texte est assez plombant, j'ai eu du mal à accrocher et pourtant, j'ai fini par m'attacher à Marion et à lire sans problème le livre. Elle parle d'une façon crue et franche sans vraiment de retenue. Et nous détaille tous. Après je n'ai pas trop compris le pourquoi de se livre. J'ai juste compris que Marion finissait par se réveiller et par réagir sur le fait qu'elle n'a pas vraiment vécu sa vie. Il a fallu une gamine de 17 ans, la copine de son père, pour qu'elle sorte en quelque sort de ses gongs et décide de changer. En même temps difficile de se créer lorsque les gens de 50 ans veulent être des gens de 20 ans.



En conclusion, une lecture plutôt bizarre et pas forcement attirante. L'ambiance du livre est plus que bizarre. En lisant le résumé, je m'imaginais autre chose que ce que j'ai lu.
Lien : http://petitemyu01.blogspot...
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Trouvé dans une boîte à livres, le titre m'avait intriguée et le nom de l'autrice me parlait (sans que je me rappelle vraiment pourquoi), j'ai donc eu envie de l'emprunter. Lu pendant mes vacances, ce livre m'a un peu laissée sur ma faim. Si j'ai trouvé qu'il se lisait facilement, je n'ai pas bien saisi où voulait en venir l'autrice, quel était l'objectif de ce roman. Son père qui ne veut pas vieillir, qui se confie beaucoup trop à elle, notamment sur sa vie sexuelle... Sa relation avec un homme de l'âge de son père... Ses souvenirs d'ado... Je n'ai pas compris l'objectif, quel était son propos. le fait que le personnage principale porte le même nom et prénom que l'autrice brouille les pistes : il est bien indiqué qu'il s'agit d'un roman, est-ce une forme d'autofiction ? J'ai été assez intriguée par cet aspect. En fin de compte, je ne sais pas trop quoi penser de ce livre qui me laisse perplexe même si j'en ai trouvé la lecture relativement divertissante.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Un livre qui nous parle du conflit des génération ou comment réussir a s'en sortir quand on a un père qui refuse de vieillir!
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

La Société, ces cinquantenaires qui ne veulent pas vieillir, ces trentenaires qui se comportent comme des ados.



La maladie du Siècle, le jeunisme .



L'auteure parle sans retenue de son enfance, des rapports entre adultes, des rapports parents/enfants, de l'importance des parents pour se construire.



Elle mélange un peu tout, un peu comme un "Gloubiboulga" !!! (mélange de saveurs saucisses, chocolat .......)



Ces mots sont justes, simples, elle dit la mocheté, la tristesse, parfois c'est cliché mais n'en est il pas ainsi bien souvent, dans la vie.



Petit livre trouvé en boîtes à livres,



Finalement il vaut la peine d'être lu , même si comme le cactus il pique un peu ; mais la liberté d'écriture et son esprit critique font que c'est un livre qui se lit bien et qui interroge.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Big a 30 ans, un père de 55 ans, assez encombrant, un fiancé né jour le même jour, le même mois et la même année que son père, et un amant qu'elle fait littéralement tourner en bourrique. Mais le principal homme de sa vie (et du roman) c'est son père; qui lui raconte ses aventures, partage sa sexualité avec elle, ne fait preuve d'aucune pudeur... Un père-copain plus qu'un père "classique". Un père qui lui présente sa petite amie d'à peine 18 ans le soir de son anniversaire.



Le sujet choisi par Marion Ruggieri est intéressant. Elle aborde des thèmes qui sont dans l'air du temps: les vieux qui refusent le temps qui passe, les trentenaires qui jouent aux ados, la dictature de la maternité pour les femmes à partir de trente ans, le choix d'un compagnon, la référence au père, la construction de soi par rapport à ses parents. Loin de se prétendre une oeuvre sociologique (l'ensemble n'est pas prétentieux) on est pourtant bien dans les années 2000 et ses travers. L'auteur ne tombe pas non plus, me semble t-il, dans un déballage personnel de questions existentielles. L'ensemble a donc plutôt bon fond. Par contre, ce qui est peu moins pertinent, c'est la forme. Beaucoup de souvenirs de l'enfance de la narratrice viennent à mon goût parasiter le fil du récit. Les allers retours entre passé et présent sont perturbants. On comprend bien qu'elle essaye, en nous montrant l'enfance de Big, d'éclairer son présent, sa relation aux hommes et à son père, mais cela n'est pas toujours probant.



Un premier roman prometteur donc, qui ne laissera pas forcément une trace indélébile dans ma mémoire, mais qui offre des pistes de réflexion pertinentes sur la société actuelle. Je lirais certainement le second roman de cette jeune femme, en l'espérant plus abouti et structuré que son premier essai....



http://manoulivres.canalblog.com/archives/2013/01/10/26103338.html
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Je ne sais pas trop...

La plume est bonne. J'ai adoré le style, les phrases qui percutent, la description de la psychologie des personnages est si jsute.

Mais je n'ai pas aimé cette lecture.



Le complexe d'Oedipe y prend trop de place. Il m'a dérangée.

Je suis choquée par ce père si cru devant sa fillette.

Je suis gênée par cette trentenaire qui pousse beaucoup trop loin son Oedipe. L'expression "chercher son père" est poussée a l'extrême.

J'y vois un souhait d'inceste.



Je suis peut-être passée à côté mais je reste avec une gêne jusqu'à la dernière ligne.

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Retour à Birkenau

•• Retour à Birkenau - Ginette Kolinka - 97p ••

•°

Il relate l’enfer. L’enfer que des millions d’innocents ont vécu. La faim, la soif, les maladies, la vue des êtres chers en train de périr. Toutes ces choses que l’on pense comprendre mais qui sont bien pires que ce que l’on s’imagine. Ça n’arrive qu’aux autres. Jusqu’au jour où ça tombe sur nous. On croit partir vers un camp de travail, peut-être pas de bonnes conditions mais logé, nourrit, blanchit, on ne va pas s’en plaindre. A la guerre comme à la guerre. Le train n’est pas confortable, ça, pas du tout. Tout le monde est entassé, collés serrés. Ça sent mauvais, il y a même des morts. Finalement, on nous cachait peut-être quelque chose. On arrive devant des énormes grilles, derrière celles-ci, des corps rachitiques nous regardent de leurs yeux vides d’émotions. On dirait presque des morts-vivants à première vue. Dehors, ça sent encore pire que dans le wagon. Des relents d’urine et d’excréments nous prennent au nez. Et il y a cette odeur, celle que l’on n’oubliera jamais. L’odeur de viande brûlée qui flotte dans l’atmosphère. On retient des hauts le cœur, on avance, pas le choix. Schnell. Nos pieds s’embourbent dans la boue, la fatigue se fait sentir. Les camions de transport sont pleins à craquer, alors, les plus forts laissent leurs places aux plus faibles et aux enfants. Plus on avance, plus l’effluve de la mort nous tombe dessus. Alors, c’est ça le camp de travail ? Certains détenus, parce qu’on dirait une prison, se traînent, à moitié nus, une écuelle à trois-quarts vide dans les mains. Et à côté, il y a les allemands, dans leurs uniformes rutilants, la tête haute, le regard fier. Et à côté, il y a moi, mes longs cheveux jusqu’à la taille, mes habits certes élimés, mais en un seul morceau. J’ai dix-sept ans, et à partir de maintenant, la lutte pour ma survie commence. Bienvenue à Auschwitz-Birkenau.

°•

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Retour à Birkenau

Ginette Kolinka retourne à Birkenau un jour de printemps...Elle est indignée par une joggeuse qui foule ce sol où sous chacun de ses pas il y a un mort. Elle est furieuse de trouver beau ce printemps là, où elle a tant souffert.



C'est une femme humble, qui se reproche encore la naïveté de ses 18 ans, de n'avoir pas réalisé ce qui les attendait..de n'avoir pas compris l'incompréhensible..



Elle replonge dans son quotidien d'alors, où l'on ne vit pas au jour le jour mais à la minute, la minute..la suivante pouvant vous effacer à tout jamais.



Son récit me touche au plus profond du coeur, me laisse sans voix, sans force. Il nourrit ma mémoire encore une fois de ces histoires, jamais les mêmes qui ne doivent pas se reproduire.

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Retour à Birkenau

Un témoignage simple et bouleversant décrivant, avec toujours autant d'horreur, cette triste période. J'ai pu écouter, lors d'une conférence, Ginette KOLINKA.

Elle nous a expliqué ce que l'on retrouve dans ce livre, mais son ressenti est tellement poignant, son regard où nous pouvons encore lire l'atrocité des mois passés à Birkenau.

Et cette culpabilité concernant la mort de son père et de son petit frère qu'elle portera sur ses épaules jusqu'à la fin de ses jours.

Témoignage à partager afin que personne n'oublie...
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Retour à Birkenau

Déportée en 1944  avec son père, son frère et son neveu, Ginette Kolinka sera la seule à revenir de Birkenau.

Si elle annonce brutalement à sa mère la mort du reste de sa famille,elle ne raconte à personne, même pas à son mari, l'horreur de ce qu'elle a vécu. Les 26 kilos qu'elle pèse à vingt ans en disent bien plus long et la culpabilité de la survivante l'en empêche tout autant.

Il faudra la création de la fondation Spielberg, après le film la liste de Schindler pour que Ginette Kolinka accepte de se confier , avant que d’accompagner des groupes d'élèves à Birkenau.

Retour à Birkenau, où l'on croise fugitivement Marcelline (Loridan -Ivens) et Simone (Veil ) ,est un récit bref, cru, où Ginette Kolinka ne s'épanche guère, sauf à regretter la quasi aseptisation des anciens camps d'extermination, le décalage entre ce dont elle se souvient et ce que sont devenus ces endroits, parfois presque trop jolis au printemps. Afin d'imaginer le bruit , les odeurs, la promiscuité, la violence, le froid, il faut lire ce témoignage cru.

Il faut aussi deviner entre les lignes et les quelques détails qu'elle donne, presque en passant, la reconstruction de cette femme, qui ne pouvait se défaire de l'habitude prise au camp de baisser les yeux, qui a fait deux dépressions mais qui se réjouit de ce que ses sœurs ne l'aient pas considérée comme une déportée. Un récit nécessaire.
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Retour à Birkenau

Ce témoignage des camps de l horreur est chirurgical, factuel, froid. Et cette distance doit sans doute être nécessaire pour pouvoir survivre et raconter l indescriptible. Parler madame, raconter tant que vous le pouvez pour que jamais cela ne soit oublié. Merci.
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Retour à Birkenau

RÉSUMÉ :Dans ce témoignage, Ginette Kolinka,

juive parisienne, nous raconte son vécu lors de la

Seconde Guerre Mondiale : l'arrestation, le long voyage

en train à bestiaux jusqu'à Birkenau, la vie dans le

camp, l'après libération et pourquoi elle a décidé après

plusieurs décennies de silence, de parler de l'horreur

qu'elle a vécu.



MON AVIS : Ce livre, comme la plupart des livres

écrit par des survivants des camps de la mort, m'a

énormément émue. Ginette Kolinka fait partie des

derniers témoins vivants de cette partie sombre de

notre histoire. Ce qui m'a le plus bouleversé, c'est le

passage où elle raconte, que pour ménager son père et

son petit frère, elle les a poussé à monter dans le

camion, afin d'économiser leur force. Sans savoir que

ce camion les emmenaient directement vers les fours

crématoires.

C'est donc un témoignage important qu'il est nécessaire

de retranscrire, afin de ne jamais oublier l'horreur,

quand les derniers témoins vivants ne pourront plus

élever leur voix.
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Retour à Birkenau

Retour à Birkenau, bienvenue aux cauchemars.

Dans la même veine que Primo levi, mais plus court et moins foisonnant, ce qui ne change rien bien évidemment à la valeur et à la force du récit de Madame Kolinka.

Une horreur ce camp.

Bienvenue en enfer.

Bienvenue au froid, à la fatigue, aux coups, à la faim, et à la culpabilité.

Celle dont ne parle pas vraiment l'auteure, mais qui est bien là, bien présente, troublante, gluante, poisseuse.

Car Mme Kolinka pensait bien faire en conseillant son père, son frère et son neveu de se placer dans la file d'à-côté. Malheureusement, c'était la mauvaise file, celle qui part vers les "douches", les fameuses... D'ailleurs, j'ai appris qu'il fallait 25 minutes pour que le zyklon B fasse son oeuvre. À la fin, on les retrouve tous entassés dans un coin, ils ont essayé dans la panique, dans le noir ( oui, des ingénieurs allemands ont été rémunérés pour des études bien précises, du style vaut-il mieux laisser la lumière allumée dans les douches plutôt que de l'éteindre), de respirer l'air pur qui se trouvait plutôt en hauteur.

25 minutes d'agonie.

Très beau texte, pas larmoyant le moins du monde, qui raconte avec courage, passion, et force son histoire, sa déportation. J'ai beaucoup de respect car ce n'est pas facile, de se raconter, de s'écrire, de revivre tout ça, cette infamie, toutes ces horreurs.

Pour encore une fois, ne jamais oublier.



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Retour à Birkenau

Dans ce récit qui comporte à peine 100 pages, Ginette Kolinka nous plonge dans l(univers effroyable des camps de concentration. personnellement, je n'ai visité que le camp de Dachau, proche de Munich, mais au contact d'une déportée, Thérèse, qui a connu l'enfer à Ravensbrück, J'ai déjà entendu les mêmes mots que prononce Ginette. . Thérèse, comme Ginette et des milliers d'autres femmes, d'enfants et d'hommes, ont vécu les mêmes angoisses, les mêmes peurs, subi les mêmes humiliations, supporté les mêmes coups de slagues, enduré les mêmes faims, attendu sur la même place les longs appels du matin et du soir , ont été dépossédés de leurs personnalités....Comment après avoir vécu plus d'un an de tels sévices peut-on se reconstruire et continuer à avancer sur le long chemin de la vie? Chapeau , mesdames , messieurs et tous ceux qui ont eu la joie et le bonheur de revenir de cet enfer.



Merci Ginette pour votre leçon de vie. Il y a beaucoup de retenue dans vos propos, de vérité, d'humilité, d'humanité , d'espoir, et toujours la même espérance : "Plus jamais ça."
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Retour à Birkenau

Dans ce court roman, nous allons suivre l’histoire de Ginette Kolinka durant la seconde guerre mondiale. Ce témoignage est bouleversant, poignant.



Ginette nous relate son arrestation suite à une dénonciation, Ginette est juive. Elle va nous raconter son calvaire, le train, Birkenau, la descente aux enfers, les coups, la faim, le froid, la maladie, ….



Nous allons également apprendre comment étaient gazés les plus faibles, les plus vieux, les plus maigres et surtout le temps que cela prenait pour mourir de cette façon. Cette partie de l’histoire Ginette l’a apprise quand elle était guide pour les écoles pour les visites historiques et c’est seulement à ce moment là qu’elle s’est rendue compte comment étaient morts son papa, son frère, tous ceux qui avaient pris le camion, à la place de marcher.



Ce genre de roman est important à lire, à faire découvrir, à expliquer à nos enfants pour que jamais on n’oublie ce moment de l’histoire !



Ce témoignage est court mais condensé, tellement bouleversant et tellement important à partager car ce n’est pas une fiction !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Retour à Birkenau

Un témoignage bouleversant, douloureux... Un texte à mettre en toutes les mains pour ne jamais oublier....
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Retour à Birkenau

Un témoignage poignant, émouvant, touchant, marquant.



Après des années de silence, Ginette Kolinka décide de se souvenir, de parler, de dire l'indicible, de retranscrire avec pudeur et justesse les sons, les odeurs ou encore la sensation de faim.

Oui on connaît déjà l'Histoire, le contexte et de nombreux livres ont été écrit.

Pourquoi encore écrire sur le sujet ?

Parce qu'il est important de raconter pour ne pas oublier.

Parce qu'il est important de dire pour que l'innommable ne se reproduise pas.

Parce que chacun a vécu cette épreuve différemment, avec son histoire personnelle, ses émotions qui lui sont propres.

C'est ce qui rend chaque témoignage unique.



Un devoir accompli sans aucune exagération !
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