AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Martine Marie Muller (80)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La Belle Camarade

Méconnue, Caroline Rémy, fille de bourgeois, fait la connaissance de Jules Vallès quand le grand homme banni, lutte pour faire survivre son journal "Le Cri du peuple" et s'échine à mettre un point final à son roman L'insurgé. La jeune femme devient sa secrétaire puis est embauchée comme journaliste et finalement reprend le journal de Vallès après la mort de celui-ci.



Lire la suite à l'adresse suivante....
Lien : http://georgesandetmoi.haute..
Commenter  J’apprécie          30
Les Filles de la section Caméléon

Martine Marie Muller nous signe là son roman le plus aboutit.

Déjà surprenante avec "Le dernier des pénitents" et "L'homme de la frontière", elle nous compte l'épopée romanesque et historique de Colline La Chance et sa nouvelle vie à la citadelle en intégrant la Section Caméléon; où et comment des femmes en marge de la société ont participé à l'effort de guerre.

Commenter  J’apprécie          20
Mon prof, ce héros

Un hommage vibrant aux professeurs qui ont changé leur vie à jamais, le plus bel hommage qui puisse être rendu par ces écrivains reconnus. Ils sont nombreux à être passionnés et pas suffisamment remerciés et reconnus. Lire ce livre m’a donné envie d’écrire à mes 3 professeurs qui m’ont le plus marquée.
Commenter  J’apprécie          20
Les Filles de la section Caméléon

Avis : INCROYABLE



Dans les romans de ce genre, ce que j’aime c’est le mélange parfait entre fiction et réalité historique ; ici, c’est superbement réussi avec une force incroyable.

Colline la Chance n’est pas son vrai nom mais qui s’en soucie dans la France de 1914 qui vient d’entrer en guerre et dont les pères, maris, frères, partent au combat. Elle a fui en croyant avoir tué son mari et elle se retrouve à la Citadelle, près d’Amiens, au milieu d’autres ouvrières sans logis pour travailler sur des leurres et mettre sur pied les idées lumineuses de camouflage des peintres et des décorateurs qui les dirigent. Lucien-Victor Guirand de Scévola est le grand chef de la section Caméleon. Autour d’eux vont évoluer des militaires, des comédiennes, et tout un monde de miséreuses que la faim, la peur, le malheur vont transformer en femmes courageuses et déterminées. Durant quatre ans, elles vont se battre pour sauver des vies en fabriquant du faux.

Quelle histoire ! Parfaitement maîtrisée de bout en bout, cette fiction s’appuie sur les faits et les témoignages de l’époque mais laisse les passions amoureuses et familiales donner vie à des personnages exaltés et exaltants, comme Colline la bien nommée.

Dès les premières pages, un humour noir que l’on ne s’attend pas forcément à trouver sous la plume d’une auteure et au cœur des tourmentes du quotidien, attire mon attention et me force à regarder l’ouvrage avec un œil encore plus intéressé. Et les informations défilent ; j’apprends. Tout ceci dans un souffle puissant !

L’écriture est vive, précise, rigoureuse et ne laisse pas de répit ; je lis comme ils se battent : avec acharnement. Je cherche à comprendre ce que l’auteure ne cache pas et qu’elle délivre dans des phrases cinglantes. L’impéritie des chefs est abondamment décrite. Mais il y a en face le courage, l’abnégation des moins que rien qui font et défont, non pour sauver la France qui se fiche bien d’eux mais pour garder le plus grand nombre d’hommes, vivants.

Martine Marie Muller a dans sa plume la volonté de défendre l’honneur des petits ; elle le fait avec grande maestria. Je ne peux que vous engager à découvrir cette romancière reconnue, certains d’entre vous la suivent sûrement depuis longtemps. Pour moi, c’était une première fois et je remercie les Presses de la Cité et #NetGalleyFrance pour le SP de #LesfillesdelasectionCaméléon


Lien : https://www.facebook.com/Lya..
Commenter  J’apprécie          20
Les Filles de la section Caméléon

Mon avis



Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Les Filles de la section Caméléon » et ainsi de retrouver la très belle plume de cette auteure que j'ai découverte en lisant « Dieu aime les rousses ».

L'auteure nous transporte le jour de la déclaration de la Première Guerre Mondiale : le 2 août 1914 où nous faisons connaissance avec Colette. Celle-ci, pour échapper aux violences sexuelles imposées par son mari, assomme ce dernier et s'enfuie à Amiens, certaine de l'avoir tué.

Après de mois de misère, Colette réussit à se faire embaucher dans une usine et rejoint une communauté de femmes, motivées, déterminées et fortes, aux personnalités différentes, qui oeuvrent dans l'ombre, afin de survivre et de participer à l'effort de guerre pendant que les hommes se battent au front.



Nous découvrons ainsi le quotidien de ces ouvrières, les femmes de la Section Caméléon qui fabriquent des éléments de camouflage pour l'armée Française dans le but de tromper l'ennemi.

Martine Marie MULLER nous offre un très beau roman en mêlant un pan peu ou pas connu de l'Histoire de notre pays, à la fiction.



J'ai bien aimé cet ouvrage historique romancé qui rend hommage à des femmes, qui malgré des conditions de travail et de vie ô combien difficiles, sont restées solidaires et ont réussi à s'imposer dans le monde du travail, auparavant réservé à la gente masculine.



Un bon moment de lecture.



Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com




Lien : https://www.facebook.com/joe..
Commenter  J’apprécie          20
La porte

Au bout d'une dizaine de pages, j'ai hésité à arrêter cette lecture car l'histoire me paraissait sans intérêt.

Puis au fur et à mesure, j'ai apprécié ce livre de plus en plus, l'histoire de Marcus et son chien Oursou, leur chemin à travers la montagne jusqu'à m'émouvoir à en avoir quelques larmes mais je ne vous dévoilerai pas l'histoire.

A lire.
Commenter  J’apprécie          20
Froidure, le berger magnifique

un roman magnifique, sur une profession peut etre oubliée de nos jour:etre berger

on se trouve plongé en plein dans un village peu à peu deserté par ses habitants, le monde moderne VS la ruralite , et nous rencontrons froidure qui aime son metier, ce village , et ne veut pas le quitter

nous y apprenons la vie du berger , froidure , les difficultes financieres, le quotidien d'une famille rurale, nous sommes plongés dans de merveilleuxs paysages...poussons la porte de l'étable, ici, se trouvent l'essentiel:la chaleur, la bataille , la vie qui entre , mais aussi qui se meure , cycle vital , que en ville, perdus dans le bruit , la course au fric, et à la voiture neuve, nous avons oublié...froidure est un guerrier , qui n'abandonne pas , et se battra , aux cotes de son amour d'enfance .

Commenter  J’apprécie          20
Froidure, le berger magnifique

Très beau livre attachant où je découvre le style poétique de Marie Martine Muller à chaque roman. Elle évoque les difficultés des éleveurs de moutons et brebis de sa région, le Tarn, qui se battent entre passion et rentabilité pour leur métier. Beau et fort roman dont l'écriture m'évoque le style de Giono, très agréable à lire.
Commenter  J’apprécie          20
Les Cèdres du roi

Un petit livre relatant une petite partie de la vie d’Aliénor et de son premier époux.
Commenter  J’apprécie          20
Adieu la vie, adieu l'amour

J'ai lu ce roman, il y longtemps mais je m'en souviens un peu. Histoire d'amitié puis d'amour entre deux enfants (un garçon riche et une fille pauvre) qui se poursuit à l'âge adulte sauf qu'un des deux choisira le mauvais camp (seconde guerre mondiale) jusqu'au drame final. Très beau roman.
Commenter  J’apprécie          20
Le Dernier des pénitents

c'est un bien beau roman que proposes Martine Marie Muller. J'ai lu il y a quelques semaines "La section Cameleon" et j'ai voulu me pencher sur ce roman "Le dernier des pénitents" écrit bien avant. L'autrice nous emmène dans une autre époque et dans un autre lieu. Elle nous décrit rapidement la lourdeur de la vie de l'époque dans ce port de Saint Valery en Caux. Les personnages sont tout aussi bien mis en relief et l'histoire est digne d'un roman avec un Grand "R".
Commenter  J’apprécie          10
Les Filles de la section Caméléon

Pendant le première guerre mondiale, des femmes vont se retrouver dans un atelier afin de construire les premiers camouflages utilisés par l’armée.

Ces femmes ont toutes des parcours de vie différents et trouveront là un nouveau départ, une nouvelle raison de vivre et surtout un famille.



Ce roman est très réussi. Il nous plonge dans la quotidien des femmes lors du premier conflit mondial. Le thème de la guerre est là mais ce ne sont pas les hommes ni mes combats dont il s’agit ici. Le sujet est le travail de ces femmes devenu nécessaire aux soldats afin de tromper l’ennemi et comment ces femmes se réinventent un quotidien mais aussi une vie durant ces temps difficiles.

Une lecture qui satisfera les amateurs d’histoire de France mais aussi ceux qui aiment les récits bien construits avec des personnages attachants.



Merci à #NetGalleyFrance et aux presses de la cité pour la lecture de roman
Commenter  J’apprécie          10
Les Filles de la section Caméléon

Avec Les filles de la section Caméléon, Martine Marie Muller nous fait découvrir tout un pan méconnu de la première guerre mondiale : le camouflage des engins et des hommes rendu possible grâce à des artistes et un bataillon de femmes.



Grâce à ce roman, Martine Marie Muller ouvre une page méconnue de notre Histoire et rend un hommage vivant, vibrant, puissant, à une communauté de femmes solidaires et hautes en couleur. Une histoire vraie, magnifique, qui célèbre des oubliées de l’Histoire.



J’ai beaucoup aimé les personnages fictifs et réels de cette histoire, découvrir les coulisses de la section, comment étaient réalisés les trucages, les matériaux utilisés… j’ignorais tout de cette section, des peintres et dessinateurs qui en ont pris la tête, notamment Joseph Pinchon, le créateur de Bécassine !



On voit comment Lucien-Victor Guirand de Scévola a eu l’idée de recouvrir les pièces d’artillerie de toiles peintes se fondant dans le paysage pour éviter leur repérage par l’ennemi. Homme influent à Paris, il va utiliser ses relations pour faire la promotion du camouflage, jusqu’à réussir à convaincre Joffre, pourtant très réticent au départ.



Les français se battaient alors encore en pantalon garance et capote bleue, les canons astiqués comme des sous neufs faisaient des poilus de vraies cibles ambulantes ! L’Etat Major clame haut et fort que se camoufler c’est faire preuve de lâcheté, c’est dire si Scévola n’a pas eu partie facile pour convaincre les généraux.



A travers Colline, Vovonne, Jeanne et toutes les autres, on découvre le quotidien de ces femmes qui travaillent dur du matin au soir, dans de bien mauvaises conditions au départ, pour se nourrir, se chauffer, avoir un toit…



Au-delà de l’aspect historique, c’est bien sûr la condition féminine qui est le thème central du roman : la place de la femme dans toutes les couches de la société, les violences conjugales, le divorce, l’éducation des filles, le militantisme mais aussi l’amour bien sûr….



Lire la suite...
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
Commenter  J’apprécie          10
Mon prof, ce héros

J'ai été très émue par tous les témoignages… Certains nous révèlent des liens privilégiés ou lumineux qu’ils ont pu avoir avec un professeur en particulier mais dans des contextes aujourd’hui quasi disparue… Pourtant, tous parlent d’admiration et d’envie de rendre hommage aussi bien aux professeures qu’à la matière qu’ils portaient avec passion. Souvent ce sont les lettres, l’histoire qui ont conquis les cœurs apprentis…

J'imaginais aussi la fierté des professeurs ainsi cités… qui ne pouvaient que constater les belles personnes, carrières que sont devenues tous leurs anciens élèves qui leur rendent aujourd'hui hommage…

Finalement nous ne sommes qu'une suite d'élèves et pour certains à vie… Toujours en train d'apprendre et de transmettre...

Merci à tous les héros qui ont su enrichir nos vies dans nos salles de cours.



Commenter  J’apprécie          10
Mon prof, ce héros

Samuel Paty est cet enseignant décapité en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, dans le cadre d’un attentat islamiste perpétré contre sa personne. L’occasion de revenir sur le rôle des professeurs et de se rendre compte de la difficulté d’exercer leur profession. Un engagement qui réclame de la compréhension, de la douceur, de l’exigence mais également de la fermeté. Chacun garde en lui le souvenir d’un homme ou d’une femme qui lui a servi de phare, qui l’a encouragé à poursuivre dans une voie ou qui l’a poussé à ne pas baisser les bras. Mieux, qui a suscité une passion, un zèle ou une vocation. Vingt auteurs racontent ici celle ou celui qui leur a servi de mentor ou de passerelle et qui a contribué à faire ce qu’ils sont devenus. Les années d’école restent souvent des moments d’intensité peu comparables à tout ce qu’on vit par la suite. Des textes courts, mais généralement forts, jamais empreints de nostalgie, qui rendent hommage à une profession de moins en moins respectée, en proie à des critiques venues de partout, et qui souffre globalement d’un manque de reconnaissance. Non, les profs ne sont pas ces empêcheurs de tourner en rond ni ceux qui profitent de vacances à rallonge ! Il faut voir en eux des personnes qui se veulent tour à tour des passeurs de savoir, mais également des acteurs de la démocratie. Mohammed Aïssaoui, Claude Aziza, Françoise Bourdon, Laure Buisson, Michel Bussi, Kamel Daoud, Marie-Laure Delorme, Franz-Olivier Giesbert, Christian Labo-rie, Philippe Labro, Sébastien Lapaque, Susie Morgenstern, Martine-Marie Muller, Anthony Palou, Josyane Savigneau, Jean-Guy Sou-my, Yves Viollier, Michel Winock et Sylvie Yvert ont trempé leur plume dans leur histoire pour effectuer un bon dans le passé et se dévoiler sans fard. Les bénéfices de ce recueil seront intégralement versés à la Fondation Egalité des Chances qui, depuis 2012, œuvre à réaliser le potentiel des élèves issus des zones urbaines et rurales les plus défavorisées.
Commenter  J’apprécie          10
Mon prof, ce héros

Suite à l'assassinat de Samuel Paty, vingt auteurs, historiens, universitaires, critiques littéraires se sont réunis pour parler de ceux qui ont contribué à faire d'eux ce qu'ils sont aujourd'hui.



Vingt témoignages de personnalités reconnaissantes envers leurs professeurs qui donnent à réfléchir sur le métier d'enseignant, pas toujours considéré à sa juste valeur.



J'ai eu, comme tout le monde sans doute, de très bons professeurs, certains m'ont laissé de bons souvenirs de mon passage dans leur classe, mais j'ai bien mal commencé mes études avec, dès la première primaire, quelqu'un qui m'a marqué à vie et sans doute pas dans le bon sens du terme.



Les auteurs réunis ici rendent donc hommage à un(e) de leurs enseignant(e)s sans qui ils ne seraient sans doute pas ce qu'ils sont. Un vibrant hommage à la profession.
Lien : http://phildes.canalblog.com..
Commenter  J’apprécie          10
Dieu aime les rousses

Dieu aime les rousses met en avant une famille excentrique, colorée et pleine d’esprit. J’ai beaucoup apprécié ma lecture dans la région normande. La famille Hocquelus est une famille géniale. J’ai beaucoup apprécié les trois jeunes filles : Morag, Felicity et Bonnie mais aussi Fergus et Aïda. On est dans un mélange des cultures assez sympathique, l’art du jardinage mais aussi de la peinture. L’art, de manière générale, est présent dans ce roman qui va vous proposer une enquête haletante.



Les Hocquelus coulent des jours heureux dans leur domaine du Paradou. C’est une famille formidable qui a décidé d’adopter trois petites filles rousses. A cinq, ils construisent un havre de paix dans lequel il fait bon vivre… Jusqu’au jour où le crime sonne à la porte et tue un célèbre peintre qui avait l’habitude de venir dans le domaine. Cette famille est atypique mais m’a beaucoup plu. Elle est riche par la culture des jardins mais aussi la culture artistique et linguistique qu’ils imposent. On parle anglais à table, on travaille dur, on cultive ses talents. C’est chouette.



« Je veux une rousse. Agée de sept ans. Pas un bébé, pas une toute petite. Je n’ai plus l’âge. Et en bonne santé. Rousse. Nous sommes rousses. Nous sommes l’oriflamme des facéties du démon. Nous arborons la couleur du scandale. »



Un crime a lieu dans le domaine du Paradou et tout désigne un personnage en particulier. Une ambiance particulièrement étoffée et travaillée s’installe alors dans cette intrigue sans faille. J’aime beaucoup l’idée d’une ambiance à la « Agatha Christie ». C’est vrai qu’on peut y penser. Cependant, le roman ne se réduit pas à cette idée. En effet, la plume de l’auteure est teintée d’humour et d’humanité. J’aime beaucoup ce mélange.



Les points forts de ce roman résident dans les personnages et dans les descriptions du cadre dans lequel on évolue. En effet, on a un panel assez large de personnages qui se dessine. Entre la famille, les personnages liés à l’enquête ainsi que les personnages liés au peintre mort, nous avons beaucoup de personnages même si certains retiennent plus notre attention que d’autres. J’ai beaucoup apprécié Morag et Felicity. D’ailleurs, la narration de ce roman est bercée par l’intrigue qui s’intéresse à l’enquête et des extraits du journal de Félicity qui revient sur les moments forts de la famille Hocquelus. De plus, l’enquête va intimement se lier à la famille Hocquelus puisque l’enquêteur en charge de cette histoire est l’ancien fiancé de Morag.



Les descriptions sont très fines, travaillées et très belles. C’est très intéressant. On se sent bien au domaine du Paradou en essayant de comprendre la raison de ce meurtre et les coupables. J’ai aussi apprécié ces va-et-vient entre le passé et le présent. Ainsi, on comprend mieux comment les personnages en sont arrivés là. La toile historique est aussi importante. On est en plein dans l’annonce de la Seconde Guerre Mondiale. C’est un pan de l’intrigue très bien amené dans l’histoire et cela apporte une nouvelle dimension au roman.



L’approche artistique est très agréable, elle aussi. On se plonge dans un univers qui mêle les thématiques historique, artistique, familiale et policière. C’est vraiment très sympathique. Finalement, ce mélange permet une immersion totale dans ce roman dont les pages se tournent très facilement.



La plume est dynamique et fluide. J’avoue que j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’intrigue. Une fois passées les cinquante premières pages, on est propulsé dans une ambiance géniale.



En définitive, nous plongeons dans un roman très intéressant dont les personnages sont très agréables. Une enquête s’installe au sein du domaine du Paradou et nous propose un moment de lecture intense et très intelligent. On se balade entre les époques et entre les souvenirs grâce à Félicity. Dieu aime les rousses est un roman intense qui mêle les thématiques toutes plus travaillées les unes que les autres. Le tout est sublimé par une plume formidable que j’ai pris plaisir à découvrir. Bravo pour ce très beau roman.
Lien : https://satinesbooks.wordpre..
Commenter  J’apprécie          10
Les amants du Pont d'Espagne

Nul
Commenter  J’apprécie          13
La Belle Camarade

C'est une femme extraordinaire qui, jamais, n'aurait du connaître un tel destin avec l'éducation étriquée qu'elle avait reçue, ne connaissant rien du monde.

C'est une femme intrépide à qui il ne manque qu'une qualité : l'instinct maternel.

Nul n'est parfait !
Commenter  J’apprécie          10
Les enfants de l'Arche

Un chef d'orchestre juif,fils adoptif d'un officier allemand a survécu à la deuxième guerre mondiale grâce à une famille de mariniers.Sur la péniche,L'Arche vivaient la mère et six enfants.

En1962 il confie à un détective le soin de retrouver les enfants.

Les épisodes de la guerre alternent avec les recherches du détective.l'action se passe dans la région de Rouen,bien décrite.

Cette quête se lit d'une traite,les personnages sont attachants,l'époque de la Libération est décrite avec justesse.

Martine Muller sait nous tenir en haleine jusqu'au bout du livre.

Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Martine Marie Muller (285)Voir plus

Quiz Voir plus

quiz star wars niveau 1 (facile)

comment s'appelle le fils d'anakin skywalker?

han
luke
r2-d2
jabba

10 questions
344 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}