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Critiques de Mary Balogh (401)
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La saga des Bedwyn, tome 6 : Le mystérieux du..



Christine est veuve depuis quelques années. Roturière maladroite et gaffeuse, elle avait eu la chance de se faire remarquer par le frère d'un vicomte. Depuis sa mort, elle est retournée dans le cottage familial aux côtés de sa mère et de sa sœur.



C'est lors d'un séjour chez sa voisine et amie où les aristocrates jouent, dansent et boivent, qu'elle fait la rencontre du duc de Bewcastle, un homme froid et arrogant qu'elle déteste au premier regard. Malheureusement pour elle, son corps ressent tout le contraire à l'encontre de cet homme intimidant et tellement prétentieux..



Il en va de même pour lui. De propositions en propositions, leur relation va évoluée, les personnages aussi. Assez pour créer quelque chose?





Je n'avais lu qu'un seul tome de cette saga, le quatrième, celui qui concerne la petite dernière de la famille, Morgan. Je n'avais pas du tout été convaincue par les personnages et le déroulement de l'histoire, je m'étais ennuyée au bout de quelques pages seulement et ce sentiment ne m'avait plus quittée. Heureusement, il n'en a pas du tout été de même ici! J'ai adoré ce roman dès le début grâce à des ingrédients savoureux et presque parfaits!



Les personnages sont le point fort de l'histoire, surtout Christine. Cette jeune femme est belle mais elle est surtout lumineuse et sympathique! Extrêmement sociable, elle rit de tout, même d'elle-même, avec tout le monde. Aristocrates ou domestiques, elle se comporte toujours de manière souriante et gentille. En plus de ça, elle est extrêmement maladroite. Elle enchaîne les gaffes, fait des choses interdites aux dames, toussa toussa. Ça amène pas mal de scènes super drôles qui m'ont fait sourire plus d'une fois.



Wulfric, lui, est le duc par excellence. Il est extrêmement riche, extrêmement bien élevé, extrêmement prétentieux et arrogant.. et extrêmement séduisant, ce que va vite remarquer Christine.



On dit que les contraires s'attirent et ça me semble parfait pour décrire leur histoire! J'ai trouvé que leurs caractères s'accordaient parfaitement, chacun apportant beaucoup à l'autre. L'évolution de leur relation est très bien gérée, juste comme j'aime! Les choses ne se précipitent pas, cela leur prend du temps pour créer des liens entre eux et la manière dont tout est présenté est très juste et super crédible. On s'attache aux deux, on s'émeut, on a envie de les secouer.. puis on sourit de leurs désaccords constants et de leurs petites joutes verbales ridicules.

Bref, une vraie réussite! Une romance juste comme j'aime, douce et explosive à la fois, des personnages originaux qui sortent du lot, beaucoup de scènes drôles et cocasses.. Du très très très bon! À lire, même sans avoir lu le reste de la saga.
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Le bel été de Lauren

Très bonne surprise !! J'avais déjà beaucoup aimé le tome 1 consacré à Neville & Lily...J'étais plutôt sceptique quant au personnage de Lauren car dans le premier tome, elle me paraissait, bien que très belle, très fade néanmoins. Pourtant, l'auteur a su me convaincre avec une intrigue plutôt original et un héros étonnant. Christopher, enfin "Kit" plutôt est un personnage qui m'a énormément plu. Il est séduisant, se fiche de ce que pense les autres et extrêmement drôle. Son humour et ses taquineries me font très souvent sourire et ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un héros de romance historique aussi ouvert et détaché. Bien entendu, Lauren est aux antipodes de ce que Kit recherche chez une femme mais le premier regard qu'ils échangent pourtant au parc va engendrer beaucoup de choses. Kit a besoin d'une fiancée pour échapper aux dictâtes de sa famille et Lauren de quelqu'un qui lui fera vivre un été inoubliable et lui rendra sa liberté. Encore meurtrie d'avoir été abandonnée au pied de l'autel, la jeune femme est devenue encore plus coincée et froide qu'elle ne l'était. Néanmoins, Kit s'en amuse et par ses diverses provocations, cherche à découvrir ce qu'elle dissimule en elle. Quelles-sont ses limites ? Mais Lauren ne se doutait pas qu'en élaborant ce plan, elle serait confrontée pendant tout l'été à un homme qui ébranlerait ses projets. Kit est espiègle, libre, beau, plein d'esprit...Elle voulait un été fantastique ? Il tient sa promesse et bien plus encore...Il la fait grimper aux arbres, se baigner alors qu'elle ne sait pas nager, il lui fait l'amour, se baigner une nouvelle fois complètement nue en plein jour...Lauren s'ouvre peu à peu, retrouve le sourire, éprouve de nouveaux sentiments tels que le bonheur, l'insouciance et l'amour. Et avec le temps, elle prend du recul et tire un trait sur son "histoire" avec Neville. Toutefois, elle craint toujours d'être abandonnée et cela se traduit pas sa méfiance envers Freyja Bedwyn, très proche de Kit. Mais Kit est amoureux d'elle, il l'aime comme il n'a jamais aimé personne malgré leurs différences. J'ai aimé tous leurs moments d'égarement, leurs chamailleries, leurs rapprochements. Kit nous apparait au début comme un homme sans histoires, mais il a néanmoins de douloureux souvenirs à exorciser. Revoir Neville et Lily m'a fait très plaisir, sans compter que mon souhait s'est réalisé: ils vont avoir un enfant ! En tout cas, j'ai hâte de poursuivre la saga, en plongeant cette fois au cœur de cette famille peu conventionnelle: les Bedwyn.
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Celui qui me comblera

Dernier tome de la série des Westcott. Une romance encore très centrée sur l'importance de la famille, tant les personnages secondaires sont omniprésents.

On a quasiment fait le tour des adultes de cette famille, alors c'est le tour de la belle fille de Mme ex westcott, trompée dès l'origine par son mari bigame.

Estelle Lamarr s'est bien intégrée à cette famille recomposée mais vit à l'écart avec son frère jumeau . A 25 ans elle n'est toujours pas mariée, elle aspire à trouver l'homme parfait.

Justin de son côté a hérité du titre de comte malgré le bannissement par son père. Un mystère plane autour des raisons l'ayant éloigné de sa demi sœur adorée et du domaine familial. Haï par cette dernière pour être parti comme un moins que rien, il essaie de la faire revenir au domaine familial avec l'aide d'Estelle.

Estelle le déteste au premier regard, il éprouve du désir mais très frustre, bien loin de l'homme qu'elle recherche. Mais l'homme parfait n'est jamais tel qu'on le croit et de la haine à l'amour il n'y a parfois qu'un pas. Bon après haine est un bien grand mot ici, le rejet n'est que temporaire. Estelle va se rendre compte de quel côté son cœur bat.

Une histoire plus de famille, tellement grande qu'on s'y perd entre les noms et les rappels un peu trop fréquents des histoires d'avant qui n'apportent ici que peu d'intérêt à l'histoire. Peu de rebondissements, les caractères ne sont pas s'y fouiller. J'ai beaucoup plus l'impression d'une histoire à trouver pour cocher une case de plus à cette fresque familiale.

C'est gentil mais sans plus
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La saga des Westcott, tome 5 : La valse de ..

Si l'histoire se lit et que l'on retrouve avec plaisir les protagonistes des romans précédents, je n'ai toutefois pas été totalement captivée par cette histoire.

En effet, j'ai trouvé Colin plutôt fade et du coup, je n'ai pas vraiment vu de passion entre lui et Elisabeth. La romance est plate et plutôt conventionnelle. J'ai déjà lu des romances simples mais plus captivante, même sur le sujet de la différence d'âge.

Dommage. Ca se lit quand même, mais ça ne fait pas d'étincelles.
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La lady au parapluie noir

Angleterre, début du XIXe siècle : le vicomte Kincade, fils et héritier d’un comte, est dépouillé de sa bourse puis il est attaqué par des brigands dans la cour d’une auberge. Survient une femme qui n’a peur de rien, insulte les brigands, les attaque avec son parapluie noir et les fait fuir. Daisy est sortie en chemise de nuit et avec un masque d’huile sur le visage, aussi n’est-elle pas à son avantage. Mais c’est plus fort qu’elle : il faut toujours qu’elle vienne à la rescousse des autres. Avec une certaine candeur. Kincade, lui, est presque humilié dans son honneur d’homme et préfère oublier cette histoire.



Mais Daisy a payé l’auberge pour Kincade dont la bourse avait été volée, et elle vient le voir à Londres : elle n’a qu’une idée en tête, lancer sa jeune sœur Rose dans la saison pour lui trouver un bon mari. Son oncle et sa tante sont à l’étranger, aussi elle espère que Kincade a des relations qui accepteront d’accueillir les deux jeunes femmes dans les endroits où il faut être. Elle ne voit pas que Kincade aimerait qu’elle disparaisse de sa vie, et croit qu’il se sent redevable. Elle ressemble à un éléphant dans un magasin de porcelaine.



Kincade se sent obligé de répondre favorablement à la demande de Daisy, mais il craint le résultat car elle agit spontanément, trop spontanément pour la bonne société londonienne. Surtout, elle se met dans des situations impossibles et comiques, alors qu’il est beaucoup plus « digne » et conforme à l’image que doit donner un lord. Elle est habituée à tout diriger, à sauver le monde et elle est presque dans son monde intérieur : elle ne voit pas le mal chez les autres, notamment les criminels ou les lâches. Kincade l’étranglerait bien, tant il est mis dans des situations gênantes quand il se trouve en sa compagnie.



Le tout décrit avec une plume humoristique.



Cette romance — un des premiers romans de l’auteure — est assez étrange, à cause du personnage de Daisy. Son aveuglement sur les intentions des gens la rend presque stupide, mais c’est l’occasion d’un burlesque qui fait beaucoup rire.



Donc mon sentiment sur ce roman est mitigé : l’héroïne n’est absolument pas crédible, le héros est bien à plaindre, mais les scènes cocasses se multiplient. À lire sans trop prendre l’histoire au sérieux.


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Miss Catastrophe

Cette romance historique est une déception.

Je n'ai pas aimé du tout l'héroïne que j'ai trouvé vraiment très cruche (à la limite de la surenchère) et immature. Malheureusement même le héros ne m'a pas permis de faire abstraction de la crétinerie de la fille. Franchement... je n'ai pas pu, je levais tout le temps les yeux au ciel devant ses motivations et réactions impossible. Quant au héros, on se demande bien pourquoi il la suit dans ses stupidités... et comment il a fait pour tomber amoureux d'elle. Pour moi, c'est un grand mystère.

Bon, le roman date de 1990 alors je pardonne à mon autrice de RH préférée... Je ne retiendrai pas ce titre, ça, c'est certain.
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Un bijou si précieux

Livre choisit au hasard, et n’ayant pas lu la quatrième de couverture, quelle surprise en lisant les premières lignes.

Gerald, est un jeune homme de bonne condition, qui ne souhaite aucune attache sentimentale, et se complaît dans la fréquentation d’une maison close. Il va alors tomber sous le charme de Prissy, une jeune prostituée, qu’il voudra rapidement mettre à l'abri du besoin, mais surtout sa possessivité le pousse à la sortir de cette maison close pour ne plus la partager avec d’autres hommes.

Mais Prissy cache un énorme secret qu’il sera difficile, pour Gerald, de découvrir.

Une romance originale, mais je n’ai pas du tout accroché à cette histoire, c’est long à se mettre en place et il n’y a pas de grand rebondissement.

Gérald est assez désagréable, et très égoïste, même si ses intentions sont honorables, il ne pense qu'à son bien être.

Prissy quant à elle, est trop soumise, de par sa profession, elle se doit de satisfaire le client et de lui faire plaisir, mais c’est trop pour moi, et j’ai eu quelquefois envie de la secouer.

Une romance avec un thème qui sort de l’ordinaire, que j’ai lu en une nuit d’insomnie, mais que je vais vite remiser, je reste assez déçue, j'espère que mes prochains Balogh seront mieux.

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La fulgurante ascension de Miss Downes

J’avais cette romance historique qui trainait dans ma PAL depuis un moment et comme je désirais une lecture légère, mon choix s’est arrêté dessus. C’est du Mary Balogh alors forcément, je savais que j’allais passer une bonne soirée.



Petite chose à savoir tout de même, c’est que je n’ai pas lu les tomes précédents, mais ça ne m’a pas posé de problèmes. Enfin si ! J’ai très envie de lire les histoires des couples antérieurs que nos héros rencontrent ici.



Le deuxième point, et non des moindres, c’est que ce roman est sorti en VO en 1996. Malgré tout, je vous jure qu’on ne le ressent pas du tout ! C’est du Mary Balogh, après tout… Comment ça, je me répète ?



Concernant ce titre, je l’ai lu d’une traite. J’ai trouvé les personnages drôles et très attachants. Cora est une roturière, fille d’un commerçant qui a fait fortune. Sa vie se voit bouleversée suite à un acte héroïque de sa part, car Cora a sauvé le jeune neveu d’un duc de la noyade. En remerciement, la jeune femme est dument présentée à la bonne société londonienne, et pour ne pas qu’elle fasse tapisserie, le duc en question demande à un noble gentleman de lui proposer une dance.



Lord Francis n’est pas le héros ultra austère et viril auquel on peut s’attendre. Cora elle-même ne le trouve pas particulièrement masculin même s’il reste séduisant à sa manière. Il faut dire, notre héros adore les tenues très colorées. À tel point que les quiproquos entre Cora et lui ne tardent pas. Mais, en plus d’avoir des tenues tape-à-l’œil, Lord Francis vient d’avoir le cœur brisé et voit en Cora un excellent divertissement pour lui faire oublier la femme de ses rêves.



J’ai adoré la complicité qui se noue très vite entre Cora et lui. Ils sont pourtant très différents, mais chacun apprécie l’autre à sa manière. Cora trouve Lord Francis charmant et gentil et arrive à rester elle-même avec lui et Lord Francis admet que Cora est une jeune femme étonnante avec laquelle on ne s’ennuie jamais. Trop enferré dans leurs échecs personnels, aucun des deux ne voit ce qu’il a en face de l’autre.



Dans l’ensemble, j’ai passé un excellent moment avec ces deux personnages qui savent rirent ensemble sans juger l’autre… enfin presque, mais jamais de manière négative. Quand ils se retrouvent mêlés à un scandale, ils n’ont d’autre choix que d’assumer et jusqu’au bout, j’ai espéré qu’ils voient enfin l’évidence même de leurs sentiments respectifs.



J’ai vraiment aimé ce roman et sans doute, mon seul bémol va aux quelques scènes pimentées qui pour le coup sont des plus sages ! Nos héros sont très terre à terre et réalistes.



La fulgurante ascension de Miss Downes est une belle surprise qui m’a donné envie de lire les précédents romans de la série sortie chez J’ai Lu Pour elle. C’est de la bonne comédie historico-romantique, assez simple dans son intrigue, mais qui se lit d’une traite, et avec laquelle on passe un bon moment. Je recommande du coup.
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La fulgurante ascension de Miss Downes

Suite de l'ange blond l'ange noir et de l'épouse de lord Carew, ce livre nous permet de retrouver Francis Kneller, un dandy amoureux de Samantha, devenue lady Carew. Sous sa façade d'homme frivole, se cache un homme blessé d'avoir été rejeté après plusieurs années de cour.

Heureusement pour le distraire, il accepte d'aider à introduire dans la bonne société une jeune fille fraîche, pétillante, d'une spontanéité déconcertante et d'une maladresse unique.

Cora est détonnante, elle est humble, assez candide dans ce monde de faux semblants. Elle cumule les gaffes alors que tout le monde la considère comme une héroïne. Elle provoque plus les catastrophes qu'elle ne sauve réellement des vies. Une relation d'amitié que les conventions ont fait que, un homme qui pensait en aimer une autre et se laisse aller à la candeur. Une qui s'étonne de la vie, qu'on s'intéresse à elle. Peut être des sentiments amoureux plus développés et naturels que dans l'opus précédent. Ce qui fait que je l'ai plus apprécié.

Un livre frais, qu'on peut lire sans avoir lu les précédents mais à lire dans l'ordre si on prend le temps de tous les découvrir car des références aux opus précédents développés afin de bien comprendre les protagonistes. Donc dans le désordre, on aurait trop de spoilers.
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L'épouse de lord Carew

Second livre de Mary Balogh que je lis dans la nouvelle collection Regency pour lequel j'ai peu accroché alors que j'aime beaucoup cette autrice.

L'histoire aurait pu plaire avec une approche d'un conte que j'adore la belle et la bête, un héros infirme, malmené par la vie avait bien fait ses preuves dans sa série le club des survivants. Mais là on a de la compassion pour lui, pour son coup de foudre pour Samantha. Mais elle, on dirait qu'elle est dehors de cette histoire d'amour, elle ne recherche que la sécurité, l'amitié sans s'apercevoir que son mari la désire en tant que femme.

L'aspect le plus intéressant du livre est plus le personnage secondaire du vicomte de Kersey, déjà vu dans le premier tome l'ange blond et l'ange noir. Il apporte une petite note piquante à une histoire assez terne au final.
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Le double pari

Nous sommes face à deux individus aux caractères bien trempés qui décident de se marier sur un coup de tête et qui risquent de devoir assumer un coup de cœur.



Ce qui est passionnant dans ce roman, c’est que l’on découvre les personnages en même temps qu’eux-mêmes. Le duc d’Eversleigh semble un individu fier, hautain et détaché jusqu’à ce qu’on le découvre marié et soucieux du bonheur et du bien-être de son épouse. On sait qu’il la choisit pour s’amuser mais on le voit prendre cet « amusement » très au sérieux. Il devient le mari idéal. Henrietta, Henry, quant à elle, ouvre progressivement les yeux sur la chance qu’elle a d’avoir rencontré cet homme et la jeune femme, excentrique et indépendante, devient peu à peu reconnaissante et soucieuse de rendre son mari fier. Très rapidement, un immense respect unit les deux personnages et on partage ce sentiment.



Ce sont des événements extérieurs au couple qui le font évoluer. Ce qui prête à sourire à de nombreuses reprises devient aussi la source du principal drame de l’intrigue. Amour, argent, manipulations, chantages… Comment ces deux individus fiers et indépendants parviendront-ils à s’unir – vraiment cette fois – pour triompher des dangers qui les guettent ?


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Dans les bras du capitaine - Un mystérieux étra..

Parfois, on se demande pourquoi certains titres mettent aussi longtemps à être traduits, les deux histoires composant ce recueil datant respectivement de 2010 et 2002. Ceci dit, après lecture, on comprend un peu pourquoi...



Mary Balogh est une autrice dont la réputation n'est plus à faire dans le milieu de la romance historique. Impossible, donc, de ne pas se demander ce qu'il a bien pu se passer en lisant « Dans les bras du capitaine » ! Si l'idée de départ, à base d'âmes soeurs qui se retrouvent encore et encore sans jamais réussir à finir ensemble, s'avère plus que séduisante, dans les faits, elle se retrouve totalement ruinée par une narration pleine de répétitions, avec une héroïne qui ne cesse de jouer les girouettes. Un coup Jane est sûre de ce en quoi elle croit, deux secondes plus tard, rétropédalage, et ça réussit l'exploit d'avoir l'air à la fois lent et précipité. Vies antérieures ou pas, décider de se marier 24h chrono après la rencontre dans celle-ci, c'est rapide, même pour une histoire courte. le dénouement rend tout ça un poil plus solide, mais juste un poil. Dans l'ensemble, c'est tout de même juste mauvais... (4/10)



N'ayant pas conservé le recueil VF mais récupéré « Un mystérieux étranger » en tome simple VO, la critique se trouve désormais sur la fiche de celui-ci : https://www.babelio.com/livres/Gracie-The-Virtuous-Widow/1477908/critiques/3272321

(6/10)



Difficile de recommander ce recueil, donc. A la rigueur, procurez-vous plutôt « Un mystérieux étranger » individuellement en VO (sous le titre « The Virtuous Widow »), ce que j'ai fait, personnellement...
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Miss Catastrophe

Je suis mitigée sur ce livre. J'ai bien aimé le principe de l'histoire, une fille qui doit se marier avec un lord inconnu et qui ne le connaissant pas n'a pas envie de l'épouser. Par contre, les réactions un peu débiles de l'héroïne m'ont un petit peu énervée. Il est difficile de penser que vu l'ambiance de l'époque, elle peut se sauver avec un homme sans penser aux conséquences. Si l'on passe ce barrage, c'est une lecture distrayante.
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Miss Catastrophe

Vous connaissez mon addiction aux titres de la collection Regency donc vous savez que chaque sortie est suivie de très près. J'ai déjà lu les précédents tomes parus de Mary Balogh et je savais que j'allais passer un super moment avec cette héroïne qui va vivre en quelques jours de sacrées épopées. Un vaudeville très réussi et une lectrice conquise.



Bref, je peux vous assurer que vous passerez un bon moment de lecture en compagnie de ces charmants personnages. Nous n'allons pas nous ennuyer un seul instant car le ballet exercé par les divers personnages nous tiendront en haleine. Une comédie romantique adorable, qui ne peut que nous ravir.



Avis complet à lire sur:
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Une partie de campagne

Angleterre, début du XIXe siècle : Charity recherche un nouvel emploi de gouvernante, après avoir été congédiée du précédent. Fille aînée d’une fratrie nombreuse, elle a désespérément besoin d’argent pour nourrir ses frères et sœurs, même si son frère cadet cherche lui aussi un emploi et estime que c’est le devoir d’un homme d’entretenir sa famille.



Recalée car elle n’a pas de références, elle répond par désespoir à une dernière annonce pour une place de gouvernante. Elle rencontre l’employeur potentiel, un riche, beau et froid gentleman, qui lui annonce qu’il cherche une épouse qui devra l’accompagner quelques semaines dans son domaine, et en échange elle aura une grosse rente jusqu’à la fin de ses jours. Acculée par les dettes héritées de son père, Charity accepte sans chercher à connaître les raisons de son employeur.



Anthony est l’héritier d’un duc, son père, qu’il hait et qu’il n’a pas vu depuis des années. Celui-ci, malade, a envoyé une lettre pour convoquer son fils aîné et lui demander d’épouser la jeune fille qu’il lui avait choisie dès l’enfance. Anthony, pour montrer à son père qu’il n’acceptera jamais de se plier à lui, préfère épouser une femme sans ascendance prestigieuse et surtout quelconque et effacée. Charity est la femme idéale. Il ignore que celle-ci a appris qu’une gouvernante doit sembler soumise et terne à ses employeurs, et qu’elle jouait un rôle pour l’entretien tellement elle désirait le poste.



Ils se marient le lendemain.



L’accueil du couple dans le domaine ducal est glacial, aussi bien de la part du duc que des frères et sœurs d’Anthony. Certains — notamment la sœur d’Anthony — méprisent ouvertement Charity, vêtue comme une gouvernante. Mais Charity décèle que cette famille souffre. Alors qu’Anthony lui avait demandé de jouer le rôle d’une ombre, par orgueil elle décide de garder la tête haute et de jouer le rôle d’une lady charmante. Même si peu à peu son mari l’attire, elle n’oublie pas qu’elle doit rentrer chez elle peu après, car son emploi est temporaire, et elle culpabilise d’avoir accepté de jouer un rôle pour l’argent.



Cette romance est agréable à lire. La plume de l’auteure, très alerte, y est pour beaucoup, et les deux protagonistes sont attachants, même Anthony, alors qu’au départ il est décrit comme un être cynique. On découvrira au cours du roman pourquoi il s’est construit une telle carapace qui a forgé son caractère, et s’il peut la briser. Quant à Charity, on a plaisir à suivre ses aventures et ses doutes.


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La saga des Westcott, tome 7 : Celui qui me..

Septième tome de la saga, peut être un prochain en attendant la traduction d'une romance centrée sur tante Matilda.



Jessica Archer est fille et soeur de duc, plus aristocrate qu'elle tu meurs. Elle sait où est sa place parmi sa petite cour qui ne désemplit pas au fur et à mesure des saisons. Meilleure amie d'Abby qui a perdu toute possibilité de faire un mariage dans la bonne société, elle a refusé jusqu'alors de s'accorder la chance au bonheur alors que sa cousine était malheureuse du fait de la Catastrophe. Deux ans après le mariage de cette dernière, Jessica prend conscience qu'elle a droit elle aussi à un mariage, elle aborde cette saison avec un nouvel oeil. Qui sait si elle ne pourrait pas se marier... Deux hommes vont se disputer ses faveurs cette année, l'héritier du futur comte de Lyndale, un peu trop pédant à mon goût, et un américain très mystérieux. Les deux parfois un peu caricaturaux ne laissant aucun doute sur le vainqueur.



Gabriel Thorne brillant homme d'affaire américain donne un peu d'exotisme, loin des manières affectées des aristocrates anglais, même s'il en est un lui-même en fait. Il a décidé d'épouser Jessica tout comme il déciderait dans ses affaires, avec beaucoup de pragmatisme, il a besoin d'une épouse irréprochable, aristocrate jusqu'au bout des ongles pour réaliser son projet. La romance est un peu plus développée que dans les autres tomes à mon sens, avance à coup d'une rose par une rose.



La force et la faiblesse de cette série reste la très grande présence de la famille. A croire qu'on ne pourrait avancer dans les différentes histoires sans eux.
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La saga des Westcott, tome 3 : Celui qui m'..

Un troisième tome qui se trouve être une belle lecture, qui sort un peu de l'ordinaire dans le sens où l’héroïne n'est pas une vraie beauté car elle a une tache de naissance sur une partie du visage, ce qui l'a contrainte à vivre en recluse.

De fait, elle s'estime devoir acheter un mari, puisqu'elle est très riche, pour espérer pouvoir avoir une famille. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la rencontre avec le héros laisse une impression de malaise.

Mais au fur et à mesure des rencontres, la chenille devient papillon, gagne sa liberté et trouve l'amour.

C'est une histoire pleine d'espoir et touchante.
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La lady au parapluie noir

Depuis que j'ai découvert les Bridgerton, je l'avoue, je suis bien plus attentive aux sorties dans la romance historique. Et cette collection Regency est juste parfaite pour cela. D'autant que je suis vraiment fan des couvertures, colorées sans en faire trop et modernes à la fois.



La lady au parapluie m'a d'ailleurs beaucoup faite penser aux Bridgerton et notamment le second tome et le huitième sur Anthony et Gregory. Il faut dire qu'ils ont un point en commun, des jeunes femmes qui ne manque pas de tempérament et ne s'aplatissent pas devant la gente masculine.



Daisy, alias la Lady au parapluie noir accompagne sa jeune soeur pour la nouvelle saison. Bien décidée à mettre toutes les chances de son côté pour lui trouver un bon parti et la rendre heureuse. du haut de ses vingt-cinq ans, la jeune femme ne manque pas de courage et surtout n'hésite pas à s'attirer les regards des autres si c'est pour défendre quelqu'un dans le besoin. le Vicomte Kincaid va vite s'en rendre compte. Alors qu'il va se faire attaquer par trois hommes, c'est Daisy, munie de son parapluie noir (d'homme), qui va les faire fuir. Très vite, la jeune femme pensant bien faire va causer catastrophes sur catastrophes sur sa réputation et voilà qu'elle lui demande un service qu'il ne peut refuser...



Quand j'ai commencé ma lecture de de La Lady au parapluie noir, j'ai de suite eu un bon feeling avec la pétillante Daisy. A l'image de Kate et Lucy (des Bridgerton), la jeune femme se préoccupe bien plus du bonheur de sa soeur que du sien. Et sa personnalité, haute en couleurs, va rapidement la rendre célèbre. J'ai aimé ce côté Miss catastrophe de Daisy. Elle veut bien faire et se retrouve dans des situations cocasses.



Face à elle, le Vicomte Kincaid. Dont la réputation et l'image qu'il renvoie aux autres est primordiale. Se faire attaquer par trois hommes est une chose, mais se faire défendre par une femme, qui ensuite va payer ses dettes et même sa maitresse d'une nuit, c'en est trop pour lui. Partagée entre son devoir de lui rendre la pareil et son envie de l'étriper, il pourrait bien craquer pour la belle demoiselle malgré lui. Un cheminement qui va se faire tout doucement. C'est d'ailleurs peut-être pour cela que je n'ai pas eu de coup de coeur pour La lady au parapluie noir. Kincaid est vraiment buté quand il veut...



Malgré tout, chaque moment à deux est une véritable bouffée d'air frais. Ils se critiquent, se lancent des piques et se retrouvent dans tellement de situations drôles qu'on passe tout simplement un bon moment en leur compagnie. C'est d'ailleurs très amusant de les voir petit à petit "s'attacher" l'un à l'autre sans s'en rendre compte. La romance passe par plusieurs schémas que j'apprécie particulièrement : ennemies-to-lovers et le faux couple. J'ai aimé les voir tomber sous leur propre piège.



Les personnages secondaires ne sont pas en reste. Rose, la soeur de Daisy est adorable. Judith, celle de Giles (Kincaid) est à l'image des jeunes femmes de l'époque mais va beaucoup évoluer au contact des deux soeurs. Arthur est un personnage vraiment réfléchis et ne manque pas d'intérêt et enfin la seconde soeur de Giles apporte également quelque chose vu sa situation et les préjugés de l'époque.



En conclusion, comme toute romance digne de ce nom, pas de grosse surprise pour La lady au parapluie noir. Mary Balogh a une plume efficace et nous offre des personnages à la fois modernes et typiques de l'époque. Chacun apporte quelque chose à l'histoire. Mention spéciale pour nos deux personnages principaux qui sont vraiment attachants. Hâte de lire le suivant de l'autrice !
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Une partie de campagne

« Une partie de campagne » est l’un des romans de la nouvelle collection « regency » de j’ai lu. Je ne suis clairement pas déçu et compte bien en lire d’autres de cette collection.



Dès que j’ai lu le résumé de ce roman j’ai tout de suite su comment cela allait se finir. Mais ça ne m’a pas empêché d’en apprécier la lecture.



En Charity, Anthony, marquis de Staunton, pense avoir trouvé une jeune femme discrète et banale. Et à travers cet accord, Charity pense pouvoir rembourser les dettes de son père avec facilité. Dès lors, ces deux personnages, en acceptant de se marier après un seul et unique entretien, se retrouvent face à une réalité bien plus dur.



Comme quoi, ce roman nous démontre à quel point il ne faut pas se fier aux apparences. On ne montre que ce que l’on souhaite laisser paraitre. Et ce fut le cas de Charity. On découvre par la suite une jeune femme dynamique, avec de l’assurance et plein de caractère. Elle me manquera pas de jouer son rôle de femme mariée très aux sérieux.

Quant à Anthony, son évolution durant tout le roman et certes attendu mais aussi beau à voir.

Nous sommes face à une relation qui se tisse naturellement. Au fil des chapitres, nous avons tant tôt le point de vue de Charity et tant tôt celui d’Anthony. Ainsi nous voyons les personnages évolués en même temps, face aux memes situations.



Les personnages sont attachants, avec un romance très bien amené par l’auteure.

Mais, cette romance étant le centre du livre, on se retrouve aussi plongé dans le passé douloureux d’une famille. Un passé qui a séparé Anthony de sa famille et que Charity tentera de réparer.

Cette jeune femme apportera beaucoup à chaque personnage de ce roman.



Si vous aimez « la chronique des Bridgerton », je vous conseille fortement ce roman. On y retrouve beaucoup de similitudes.

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Une partie de campagne

J'ai lu du 11/08/2021 au 13/08/2021.



J'avais hâte de m'attaquer à la collection Regency de J'ai lu. Ainsi, j'ai choisi ce livre pour découvrir. Je ne suis pas du tout déçue, loin de là.

Effectivement, j'avais peur d'avoir une romance historique banale et sans plus. Je me suis trompée puisque j'ai adoré l'écriture légère de l'auteure tout en étant intense et pertinente.

Concernant l'intrigue, elle est assez classique dans son schéma mais il y a énormément d'optimiste, d'amour et d'espoir. C'est pourquoi on peut voir ce livre comme un roman doudou. Outre cela, nous avons des thèmes intéressants comme la notion d'amour, de famille, de différences sociales, d'être et de paraître, entre autres. Enfin, la crédibilité est au rendez-vous. N'oublions pas que nous avons tous les ingrédients pour passer un bon moment entre rires, colère, peur, tristesse, amour... Rien ne nous ait épargné.

Quant aux personnages, j'ai adoré les protagonistes qui ont du caractère mais ils nous touchent à leur façon. On peut voir Anthony comme un homme mauvais mais il est profondément blessé. Il est vrai que j'ai bien ri de voir l'arroseur arrosé grâce à Charity. Cette dernière est ma chouchou.



Pour conclure, j'ai adoré cette romance historique qui me pousse à continuer à lire d'autres romances de la collection Regency. Tous les ingrédients y sont pour passer un agréable moment et dévorer le livre.



Ma note : 9,5/10
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