Citations de Mary Pope Osborne (153)
Les arbres de la forêt tropicale peuvent atteindre 50 mètres de haut. Leur cime s’appelle la canopée. En dessous se développe un réseau serré de lianes et de plantes grimpantes. Au niveau d sol, le sous-bois est très obscur.
Une haute silhouette blanche ondule au sommet de la colline ! EN la voyant, les bandits tournent bride et s'enfuient dans l'autre sens, épouvantés. (p.56)
L'ours nous a même appris à voler, ajoute le chasseur.
A voler ? s’esclaffe Léa.
Tom éclate de rire : Ça, ce n'est pas possible !
Le chasseur se contente de sourire, et retourne à sa cuisine.
Voilà pourquoi il n'a pas été surpris en découvrant la cabane magique, se dit Tom. S'il croit que les ours peuvent voler, il peut croire n'importe quoi !
Un jour, peut-être, les femmes auront le droit d'écrire, tout comme les hommes. (p.33)
Je suis vraiment désolé. Mon pays est une démocratie. Cela signifie que tous les citoyens y ont les mêmes droits. Seulement... les femmes ne sont pas considérées comme des citoyens. (p.35)
La tête du serpent s'élève majestueusement au-dessus des vagues déchaînées. (p.63)
La rue est jonchée de jarres brisées, de paniers renversés, de fruits et de légumes piétinés qui, peu à peu, se couvrent de cendres. Plus Tom et Léa se rapprochent du volcan, plus le sol tremble, plus l'air est chargé de poussières brûlantes. (p.63)
L'air est brûlant, presque irrespirable. Au loin, le Vésuve flambe comme l'enfer. Tom et Léa foncent droit devant eux, essayant d'éviter les gens affolés, hommes, femmes, enfants, marchands, soldats, qui fuient dans toutes les directions. (p.61)
On a bien failli rester prisonnier des cendres, souffle Tom. Heureusement, grâce au parchemin, un guerrier fort comme un géant nous a tirés de là. (p.71)
La vieille femme répond d une voix très basse :
- Parce que la fin est proche. Savez-vous qu'aujourd'hui est le vingt-quatrième jour du mois d'août, en l'an 79 ?
Tom pousse un hurlement et se laisse retomber dans l'embarcation. La liane est vivante ! C'est un mince et long serpent vert, qui glisse du haut d'une branche, plonge dans l'eau et s'enfuit sans bruit. (p.43)
Grâce à ma cabane magique, je voyage de pays en pays et de siècle en siècle. (p.68)
- On les tient, ces sales petits voleurs ! lance une grosse voix.
Léa n"hésite plus. Elle ferme les yeux et saute dans le trou. (p.66)
1ère phrase: Tom et Léa sont assis sous le porche de leur maison.
Dernière phrase: Les enfants échangent un sourire: oui, c'est exactement ça!
1ère phrase: Il fait à peine jour
Dernière phrase: Tom et Léa grimpent vite dans leurs chambres en pouffant pour enfiler des vêtements secs.
Le Grand Moghol recevait les visiteurs dans la fastueuse Salle d'Audience, appelée le Diwan-i-Am.
En sa présence, chacun devait montrer le plus profond respect. Personne ne devait s'asseoir ou quitter la salle tant qu'il s'y tenait. Si on lui adressait la parole sans autorisation, si on ne s'inclinait pas comme il fallait, on encourait la peine de mort.
Le tigre à dents de sabre est le fauve le plus féroce de l'époque glaciaire. Il attaque aussi bien les humains que les gros animaux comme les mammouths.
pour aider mon petit-fils à écrire son premier résumé
Nous sommes Tom et Léa. Nous venons de la terre et vous ?