Critiques de Masashi Kishimoto (1047)
Pas tellement convaincue par ce tome trente-deux... Le début commence pourtant très bien, avec une scène attendrissante et pleine d'émotion entre Naruto et Gaara, mais la suite est loin d'être aussi passionnante... Et je crains de ne pas adhérer au prochain arc avec les nouveaux personnages qui font leur arrivée.
Fort heureusement, le début du tome reste sympathique avec le retour de six de nos « anciens » héros. Nouveaux looks, niveaux bien plus élevés et malgré trois ans d’absence, Naruto fait toujours parti de la bande. J’ai hâte de voir tout ce beau monde de nouveau en action (et pas comme l’équipe de Gai précédemment…). Parce que bon, même s’ils n’ont pas le niveau de Naruto, il n’en reste pas moins que Shino, Kiba, Hinata, Ino, Shikamaru et Choji en ont dans le ventre. D’ailleurs, prenons cinq minutes pour parler de Choji. Mais c’est quoi ce changement radical ?? J’étais scotchée (et dans le bon sens du terme). Rien que pour cela, le tome trente-deux en valait la peine !
Après, le choses se gâtent un peu. Je n’irais pas jusqu’à dire que je n’ai pas aimé la suite… mais autant, je pense que je vais me faire à Yamato, même si son côté flippant m’agace un peu comme son « design » (on a l’impression que son visage est celui d’une poupée…), mais alors Saï… Déjà, le côté remplaçant de Sasuke, j’adhère moyen. Ce n’est pas trop subtil et ça ne marche pas du tout avec moi. Ensuite, certes, je pense qu’il y a quelque chose en lui qui va être intéressant de développer, mais il est tellement agaçant que cela va être difficile de s’y intéresser. Franchement, jusque là, c’est uniquement les réactions de Sakura et Naruto à son égard qui m’ont interpelé.
Et est-ce qu’on parle de son look ? C’est quoi ce crop-top ? Déjà, c’est esthétiquement pas très beau… et ensuite, qu’on m’explique pourquoi un ninja exposerait volontairement ses entrailles comme ça ? Est-ce que c’est cohérent ? Non. Alors, oui, il fait partie de ces enfants qui ont été sacrifiés pour leur village, ça se sent à trois kilomètres, et oui, on va détester ce que l’on va apprendre à son sujet (ce qu’il a subi j’entends), mais est-ce que cela arrivera à le rendre un peu sympathique… C’est assez mal barré…
Espérons que je passe outre ces personnages par la suite et que l’intrigue me happe plus que le reste…
Fort heureusement, le début du tome reste sympathique avec le retour de six de nos « anciens » héros. Nouveaux looks, niveaux bien plus élevés et malgré trois ans d’absence, Naruto fait toujours parti de la bande. J’ai hâte de voir tout ce beau monde de nouveau en action (et pas comme l’équipe de Gai précédemment…). Parce que bon, même s’ils n’ont pas le niveau de Naruto, il n’en reste pas moins que Shino, Kiba, Hinata, Ino, Shikamaru et Choji en ont dans le ventre. D’ailleurs, prenons cinq minutes pour parler de Choji. Mais c’est quoi ce changement radical ?? J’étais scotchée (et dans le bon sens du terme). Rien que pour cela, le tome trente-deux en valait la peine !
Après, le choses se gâtent un peu. Je n’irais pas jusqu’à dire que je n’ai pas aimé la suite… mais autant, je pense que je vais me faire à Yamato, même si son côté flippant m’agace un peu comme son « design » (on a l’impression que son visage est celui d’une poupée…), mais alors Saï… Déjà, le côté remplaçant de Sasuke, j’adhère moyen. Ce n’est pas trop subtil et ça ne marche pas du tout avec moi. Ensuite, certes, je pense qu’il y a quelque chose en lui qui va être intéressant de développer, mais il est tellement agaçant que cela va être difficile de s’y intéresser. Franchement, jusque là, c’est uniquement les réactions de Sakura et Naruto à son égard qui m’ont interpelé.
Et est-ce qu’on parle de son look ? C’est quoi ce crop-top ? Déjà, c’est esthétiquement pas très beau… et ensuite, qu’on m’explique pourquoi un ninja exposerait volontairement ses entrailles comme ça ? Est-ce que c’est cohérent ? Non. Alors, oui, il fait partie de ces enfants qui ont été sacrifiés pour leur village, ça se sent à trois kilomètres, et oui, on va détester ce que l’on va apprendre à son sujet (ce qu’il a subi j’entends), mais est-ce que cela arrivera à le rendre un peu sympathique… C’est assez mal barré…
Espérons que je passe outre ces personnages par la suite et que l’intrigue me happe plus que le reste…
Suite et fin du combat contre Sasori. Et plus j'avance dans ma lecture, plus je me dis que ce sont pour moi des tomes inédits maintenant ! Ce qui est plutôt chouette car j'entre dans une phase de découverte maintenant. Non pas que je n'appréciais pas ma relecture mais il est quand sympathique de ne pas savoir ce qu'il va se passer à partir de cet instant. Oui, j'aime les surprises !
Mais revenons à ce combat. Il est en soi, plutôt court, car nous étions arrivés à tournant, mais il n'en reste pas moins intéressant. Je me dis juste, et je ne mets pas en doute les capacités de Chiyo et Sakura, mais qu'il y a eu une certaine facilité. Je n'ai pas non plus compris le retournement. Alors certes, on se doute que Sasori a eu une petite prise de conscience, mais ce n'est absolument pas flagrant, surtout vu le discours qu'il tient juste avant. Je suis bien d'accord avec le fait que Sakura fait preuve de courage et de ténacité, ainsi que d'altruisme, mais c'est assez bref. Graphiquement, on voit qu'il y a quelque chose, mais c'est juste une vignette, sans mise en avant de la psychologie. J'ai donc été un peu étonnée. Mais bon, cela n'en reste pas moins un joli affrontement.
La suite nous permet de voir Kakashi en action. Lui aussi a profité de ces trois ans pour se perfectionner. Bizarrement, je n'ai pas été aussi impressionnée que cela, mais je pense que ça réside dans le fait que pour moi, Kakashi est déjà un personnage au-dessus des autres, donc on s'attend à le voir agir de la sorte. Ce qui par contre a été top pour moi, c'est de voir Naruto interagir avec lui. Sans surprise, il le considère toujours comme son maître, et on sent combien il a d'affection pour lui. Pour quelqu'un comme Naruto montrer ainsi son attachement, c'est un plus énorme. Lui qui a été tellement rejeté et qui nous a donné l'habitude de le voir en enfant turbulent, il a réellement évolué. Il n'aurait jamais agi de la sorte dans les premiers tomes. Non pas qu'il ne ressentait pas de l'affection pour certains membres de son entourage, mais il ne l'aurait pas montré. Bref, il s'exprime de ce côté là, et c'est assez chouette à voir.
Petite déception confirmée quant aux combats de la team de Gai. Une vignette pour voir qu'ils ont réussi, pas plus de détails, et quand ils réapparaissent c'est encore une fois pour donner un coup de main rapide et sans plus. Ou comment gâcher l'utilité de personnages... Fort heureusement, la fin du tome fait parti de ces moments que j'ai beaucoup apprécié. Il y a de la tristesse, mais aussi une telle joie et un tel espoir que c'était très émouvant. C'est un tournant pour Gaara ainsi que tout le village de Suna. Naruto, notre petit miracle ambulant, a encore une fois fait jouer de sa magie.
Mais revenons à ce combat. Il est en soi, plutôt court, car nous étions arrivés à tournant, mais il n'en reste pas moins intéressant. Je me dis juste, et je ne mets pas en doute les capacités de Chiyo et Sakura, mais qu'il y a eu une certaine facilité. Je n'ai pas non plus compris le retournement. Alors certes, on se doute que Sasori a eu une petite prise de conscience, mais ce n'est absolument pas flagrant, surtout vu le discours qu'il tient juste avant. Je suis bien d'accord avec le fait que Sakura fait preuve de courage et de ténacité, ainsi que d'altruisme, mais c'est assez bref. Graphiquement, on voit qu'il y a quelque chose, mais c'est juste une vignette, sans mise en avant de la psychologie. J'ai donc été un peu étonnée. Mais bon, cela n'en reste pas moins un joli affrontement.
La suite nous permet de voir Kakashi en action. Lui aussi a profité de ces trois ans pour se perfectionner. Bizarrement, je n'ai pas été aussi impressionnée que cela, mais je pense que ça réside dans le fait que pour moi, Kakashi est déjà un personnage au-dessus des autres, donc on s'attend à le voir agir de la sorte. Ce qui par contre a été top pour moi, c'est de voir Naruto interagir avec lui. Sans surprise, il le considère toujours comme son maître, et on sent combien il a d'affection pour lui. Pour quelqu'un comme Naruto montrer ainsi son attachement, c'est un plus énorme. Lui qui a été tellement rejeté et qui nous a donné l'habitude de le voir en enfant turbulent, il a réellement évolué. Il n'aurait jamais agi de la sorte dans les premiers tomes. Non pas qu'il ne ressentait pas de l'affection pour certains membres de son entourage, mais il ne l'aurait pas montré. Bref, il s'exprime de ce côté là, et c'est assez chouette à voir.
Petite déception confirmée quant aux combats de la team de Gai. Une vignette pour voir qu'ils ont réussi, pas plus de détails, et quand ils réapparaissent c'est encore une fois pour donner un coup de main rapide et sans plus. Ou comment gâcher l'utilité de personnages... Fort heureusement, la fin du tome fait parti de ces moments que j'ai beaucoup apprécié. Il y a de la tristesse, mais aussi une telle joie et un tel espoir que c'était très émouvant. C'est un tournant pour Gaara ainsi que tout le village de Suna. Naruto, notre petit miracle ambulant, a encore une fois fait jouer de sa magie.
Un tome que j’ai moyennement apprécié. Certes, il y a des passages qui sont intéressants mais dans l’ensemble, je l’ai trouvé superflu. Deux combats qui n’en sont pas vraiment, une course poursuite qui semble durer deux minutes, des retrouvailles, mais sinon, on avance pas d’un iota. Je n’ai même pas trouvé les deux affrontements intéressants vu qu’on a déjà eu à faire à Itachi et le Requin. Je me suis même ennuyée à les regarder.
C’est dommage car il y avait pourtant du potentiel dans ce tome vingt-neuf. Déjà le fait de mettre en avant les réceptacles et leurs démons. C’est tout de même un sujet principal et qui jusqu’à présent n’a été qu’effleuré. Et là, la grand-mère de Gaara nous expose un peu plus « l’utilisation » des démons au sein des villages. Et c’est grâce à cela, en un sens, que le plan d’Akatsuki prend enfin un peu de substance. Mais voilà, Masashi Kishimoto n’approfondit pas plus que cela au final.
La présence de Chiyo reste intéressante, cependant. Elle ouvre nos horizons. Suna a toujours été l’ennemi et maintenant, les choses évoluent. Naruto est au centre de ces changements d’ailleurs. Son attitude et sa façon d’être ont d’énormes répercutions que l’on voit petit à petit. C’est un peu gros qu’un seul être puisse avoir autant d’influence mais on ferme les yeux car notre héros ne se la joue pas « héros » justement. Et puis, il y a cette bonté et cette positivité qui font que l’on trouve cela bien au final, et on a pas besoin de plus. La goutte d’eau Naruto fait des vagues sur la surface et j’espère bien qu’il va continuer ainsi.
Je n’ai pas de grands doutes quant au sauvetage de Gaara, mais je doute que nos héros s’en sorte sans casse. Reste à savoir si la conclusion du kidnapping relèvera un peu le niveau.
C’est dommage car il y avait pourtant du potentiel dans ce tome vingt-neuf. Déjà le fait de mettre en avant les réceptacles et leurs démons. C’est tout de même un sujet principal et qui jusqu’à présent n’a été qu’effleuré. Et là, la grand-mère de Gaara nous expose un peu plus « l’utilisation » des démons au sein des villages. Et c’est grâce à cela, en un sens, que le plan d’Akatsuki prend enfin un peu de substance. Mais voilà, Masashi Kishimoto n’approfondit pas plus que cela au final.
La présence de Chiyo reste intéressante, cependant. Elle ouvre nos horizons. Suna a toujours été l’ennemi et maintenant, les choses évoluent. Naruto est au centre de ces changements d’ailleurs. Son attitude et sa façon d’être ont d’énormes répercutions que l’on voit petit à petit. C’est un peu gros qu’un seul être puisse avoir autant d’influence mais on ferme les yeux car notre héros ne se la joue pas « héros » justement. Et puis, il y a cette bonté et cette positivité qui font que l’on trouve cela bien au final, et on a pas besoin de plus. La goutte d’eau Naruto fait des vagues sur la surface et j’espère bien qu’il va continuer ainsi.
Je n’ai pas de grands doutes quant au sauvetage de Gaara, mais je doute que nos héros s’en sorte sans casse. Reste à savoir si la conclusion du kidnapping relèvera un peu le niveau.
Sans surprise, ce tome est vraiment dans l'émotionnel du début à la fin. Je n'en attendais pas moins et j'ai été servie. Je ne voyais pas de toute façon comment Masashi Kishimoto pouvait faire autrement, surtout après tant de tensions. Et le tout est vraiment très bien géré surtout à la fin. C'était d'ailleurs sur ce point là que j'attendais le mangaka au tournant. Pour moi, cette séparation devait être traité avec finesse mais surtout sans "coupure" définitive. Sans une ombre d'espoir, je voyais mal comment tout cela pouvait être développé par la suite. Rien ne sera facile, il y aura des moments qui seront sans aucun doute très difficile, mais dans l'ensemble, j'entrevois un futur, et c'est plutôt chouette.
Une très grande partie du tome est consacré à l'affrontement entre Sasuke et Naruto. Il y a quelques phases de discours et surtout de tentatives de raisonnement de notre héros, mais l'ensemble est surtout basé sur le combat. Et quel combat ! Ce n'était pas un moment de plaisir, voir les deux amis combattre est même assez douloureux, mais on peut voir aussi combien ils ont évolué et aussi de quelle puissance ils sont capables. Et entre Naruto qui exploite vraiment plus Kyubi et Sasuke qui passe en mode transformation, ça envoie du lourd ! J'ai surtout aimé cet affrontement pour Naruto. Kyubi n'est pas fou, et il sauve sa peau en même temps que celle de Naruto, mais voir les deux agir "ensemble" est super. J'aimerai maintenant qu'on exploite plus cette relation. A savoir est-ce que Kyubi a pu un peu "s'attacher" à son hôte, ou bien a-t-il seulement de la haine pour lui pour le retenir prisonnier, d'une certaine façon ? Personnellement, cela m'intrigue beaucoup, surtout que si leur relation tend vers la coopération... Naruto sera pratiquement imbattable.
La fin du tome est douce amère, avec comme je l'ai dit, un peu d'espoir mais aussi beaucoup de tristesse. Masashi Kishimoto gère très bien la transmission de ces sentiments à travers son dessin. Ce n'est pas évident, surtout dans un shonen, et qui plus est sans aller dans le pathos. Il arrive aussi à garder la personnalité de Sasuke "intacte". Ses actes tout au long de ce tome ne sont pas en contradiction avec ce qu'il est dans sa globalité. Le passage à l'hôpital est aussi top. Il permet de clôturer complètement cet arc, en mettant en avant l'équipe médicale et du coup Tsunade et son assistante, mais aussi en voyant Shikamaru prendre conscience de cette mission avec ses succès et ses échecs.
Une très grande partie du tome est consacré à l'affrontement entre Sasuke et Naruto. Il y a quelques phases de discours et surtout de tentatives de raisonnement de notre héros, mais l'ensemble est surtout basé sur le combat. Et quel combat ! Ce n'était pas un moment de plaisir, voir les deux amis combattre est même assez douloureux, mais on peut voir aussi combien ils ont évolué et aussi de quelle puissance ils sont capables. Et entre Naruto qui exploite vraiment plus Kyubi et Sasuke qui passe en mode transformation, ça envoie du lourd ! J'ai surtout aimé cet affrontement pour Naruto. Kyubi n'est pas fou, et il sauve sa peau en même temps que celle de Naruto, mais voir les deux agir "ensemble" est super. J'aimerai maintenant qu'on exploite plus cette relation. A savoir est-ce que Kyubi a pu un peu "s'attacher" à son hôte, ou bien a-t-il seulement de la haine pour lui pour le retenir prisonnier, d'une certaine façon ? Personnellement, cela m'intrigue beaucoup, surtout que si leur relation tend vers la coopération... Naruto sera pratiquement imbattable.
La fin du tome est douce amère, avec comme je l'ai dit, un peu d'espoir mais aussi beaucoup de tristesse. Masashi Kishimoto gère très bien la transmission de ces sentiments à travers son dessin. Ce n'est pas évident, surtout dans un shonen, et qui plus est sans aller dans le pathos. Il arrive aussi à garder la personnalité de Sasuke "intacte". Ses actes tout au long de ce tome ne sont pas en contradiction avec ce qu'il est dans sa globalité. Le passage à l'hôpital est aussi top. Il permet de clôturer complètement cet arc, en mettant en avant l'équipe médicale et du coup Tsunade et son assistante, mais aussi en voyant Shikamaru prendre conscience de cette mission avec ses succès et ses échecs.
Un peu moins emballée par ce tome, alors qu'il a été une totale surprise par rapport au scénario. J'avoue que je ne m'attendais pas du tout à voir cela, et c'est plutôt une bonne chose, mais il y a aussi un effet de "trop d'un coup" qui fait qu'on est un petit peu perdu à un moment donné.
Le fameux combat entre Gaara et Sasuke a enfin lieu. Personnellement, j'ai un peu de mal à comprendre l'engouement pour ce duel. Probablement parce qu'on n'a pas ressenti, jusqu'à présent, combien la famille Uchiwa est importante. C'est un manque qui je pense aurait été pas mal de traité autrement que par de petites phrases un peu perdues, ici et là. Après, il y a aussi dans le combat un aspect de déséquilibre. Je ne sais pas mais Gaara semble écrasé par la situation. Bon il est en pleine crise quand il commence à se battre, ce qui est probablement la cause de cette sensation, mais je ne sais pas, il y a comme un effet cheveu sur la soupe assez déstabilisant. On a plus ou moins le temps de comprendre qu'il doit être comme Naruto, possédé par un démon, et puis pouf... Une petite démonstration de force de Sasuke, qui copie encore des techniques sans en avoir vraiment à lui, et Orochimaru et sa clique font tout basculer.
Alors après autant dire que tout part un peu en cacahuètes. Les méchants attaquent de toute part, Sasuke part à la poursuite de Gaara et des aînés, Sakura va le suivre avec Naruto, Orochimaru s'attaque à son ancien maître, c'est le branle-bas de combat... Certes, mais j'ai envie de dire que ça fait quand même quelques tomes qu'on sait qu'il se trame quelque chose. Des mesures ont été prises ? Pas vraiment non, ou du moins pas assez pour faire face à ce qui arrive. Est-ce qu'on ne pouvait pas se douter que le pays du sable mijotait quelque chose ? Allez, bien sûr que oui.
Donc, oui, dans tout cela, j'ai tout de même passé un bon moment, mais il y a aussi un effet un peu brouillon. C'est peut-être voulu pour vraiment faire ressentir la confusion ambiante et la surprise, mais je me dis que pour un village de ninjas... Il y a un petit manque de cohérence au premier abord. Même si le dit village est en paix depuis un moment.
Le fameux combat entre Gaara et Sasuke a enfin lieu. Personnellement, j'ai un peu de mal à comprendre l'engouement pour ce duel. Probablement parce qu'on n'a pas ressenti, jusqu'à présent, combien la famille Uchiwa est importante. C'est un manque qui je pense aurait été pas mal de traité autrement que par de petites phrases un peu perdues, ici et là. Après, il y a aussi dans le combat un aspect de déséquilibre. Je ne sais pas mais Gaara semble écrasé par la situation. Bon il est en pleine crise quand il commence à se battre, ce qui est probablement la cause de cette sensation, mais je ne sais pas, il y a comme un effet cheveu sur la soupe assez déstabilisant. On a plus ou moins le temps de comprendre qu'il doit être comme Naruto, possédé par un démon, et puis pouf... Une petite démonstration de force de Sasuke, qui copie encore des techniques sans en avoir vraiment à lui, et Orochimaru et sa clique font tout basculer.
Alors après autant dire que tout part un peu en cacahuètes. Les méchants attaquent de toute part, Sasuke part à la poursuite de Gaara et des aînés, Sakura va le suivre avec Naruto, Orochimaru s'attaque à son ancien maître, c'est le branle-bas de combat... Certes, mais j'ai envie de dire que ça fait quand même quelques tomes qu'on sait qu'il se trame quelque chose. Des mesures ont été prises ? Pas vraiment non, ou du moins pas assez pour faire face à ce qui arrive. Est-ce qu'on ne pouvait pas se douter que le pays du sable mijotait quelque chose ? Allez, bien sûr que oui.
Donc, oui, dans tout cela, j'ai tout de même passé un bon moment, mais il y a aussi un effet un peu brouillon. C'est peut-être voulu pour vraiment faire ressentir la confusion ambiante et la surprise, mais je me dis que pour un village de ninjas... Il y a un petit manque de cohérence au premier abord. Même si le dit village est en paix depuis un moment.
Et voilà, nous y sommes, le dernier tome de Naruto est enfin sorti. Voilà 15 ans que cette saga épique à commencé et je suis assez fier de l'avoir commencé dès le début et de ne m'être jamais lassé même si j'ai eu des arcs favoris, dans l'ensemble, je trouve que Naruto restera une saga culte.
Ce tome était particulièrement riche en émotion puisque tout était réuni pour nous offrir un magnifique spectacle, avec l'ultime affrontement entre Naruto et Sasuke. Les clins d'oeils ne manquaient pas et c'est avec bonheur que j'ai retrouvé l'équipe 7 dans son intégralité.
Une fois l'affrontement terminé, place au dernier chapitre, le 700ème, qui nous montrait nos héros quelques années dans le futur. J'ai vraiment beaucoup aimé cet ultime chapitre, car nous y retrouvions de nombreuses têtes connues, ayant pris de l'age, ayant fondé des familles, le tout dans une bonne ambiance et avec de beaux messages de paix.
Cette saga se termine donc parfaitement, et je n'aurai qu'une chose à dire : Merci Mr Masashi Kishimoto pour ces 15 années de bonheur !
Lien : http://sk.mu/abNl2ki1KyRy
Ce tome était particulièrement riche en émotion puisque tout était réuni pour nous offrir un magnifique spectacle, avec l'ultime affrontement entre Naruto et Sasuke. Les clins d'oeils ne manquaient pas et c'est avec bonheur que j'ai retrouvé l'équipe 7 dans son intégralité.
Une fois l'affrontement terminé, place au dernier chapitre, le 700ème, qui nous montrait nos héros quelques années dans le futur. J'ai vraiment beaucoup aimé cet ultime chapitre, car nous y retrouvions de nombreuses têtes connues, ayant pris de l'age, ayant fondé des familles, le tout dans une bonne ambiance et avec de beaux messages de paix.
Cette saga se termine donc parfaitement, et je n'aurai qu'une chose à dire : Merci Mr Masashi Kishimoto pour ces 15 années de bonheur !
Lien : http://sk.mu/abNl2ki1KyRy
"Naruto" c’est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s’identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Tandis que Naruto et Sasuke s’entraînent au malaxage de shakras, l’auteur développe le relationship de la famille Tazuna à grands coups de flashbacks…
Le grand jour arrive plus tôt que prévu et les ninjas mercenaires engagés par cette enflure de Gatô s’en prennent de nouveau au pont de l’architecte Tazuna qui ne veut pas que son peuple vive dans la précarité juste pour augmenter le compte en banque d’un gros crevard (suivez mon regard IRL). Kakashi et Zabusa se neutralisent l’un l’autre tandis que Sasuke se trouve rapidement en fort mauvaise posture face à la technique héréditaire des démoniaques miroirs de glaces d’Haku. Après avoir sauvé la fille et le petit-fils de Tazuna des sbires de Gatô, Naruto arrive à la rescousse… Mais Kakashi et Sasuke grièvement blessés, il se laisse submerger par la haine et ne parvient pas à maîtriser l’énergie de Kyobi qui déferle en lui !
Tandis que Naruto et Sasuke s’entraînent au malaxage de shakras, l’auteur développe le relationship de la famille Tazuna à grands coups de flashbacks…
Le grand jour arrive plus tôt que prévu et les ninjas mercenaires engagés par cette enflure de Gatô s’en prennent de nouveau au pont de l’architecte Tazuna qui ne veut pas que son peuple vive dans la précarité juste pour augmenter le compte en banque d’un gros crevard (suivez mon regard IRL). Kakashi et Zabusa se neutralisent l’un l’autre tandis que Sasuke se trouve rapidement en fort mauvaise posture face à la technique héréditaire des démoniaques miroirs de glaces d’Haku. Après avoir sauvé la fille et le petit-fils de Tazuna des sbires de Gatô, Naruto arrive à la rescousse… Mais Kakashi et Sasuke grièvement blessés, il se laisse submerger par la haine et ne parvient pas à maîtriser l’énergie de Kyobi qui déferle en lui !
Pendant que Tsunade déploie tout son pouvoir face à Madara, Sasuke et la version réincarnée d’Itachi se retrouvent face à Kabuto. Le deux frères doivent trouver un moyen de lui faire stopper l’Edô Tensei.
Un très bon tome, assez long. Les retrouvailles des frères Uchiwa et le retour sur le passé de Kabuto offrent une perspective vraiment intéressante, tandis que les combats atteignent un niveau ubuesque.
Un très bon tome, assez long. Les retrouvailles des frères Uchiwa et le retour sur le passé de Kabuto offrent une perspective vraiment intéressante, tandis que les combats atteignent un niveau ubuesque.
Naruto et Bee plongent enfin dans le feu de la Grande Guerre et se retrouvent nez à nez avec Itachi et Nagato. Pendant ce temps, Gaara affronte son propre père, avec qui certaines blessures ne se sont pas complètement refermées.
Un bon tome dans l’ensemble, avec de l’action non-stop. Certains risquent cependant de trouver que l’issue de la rencontre entre Gaara et son père à un goût de "trop facile", mais le reste se tient.
Un bon tome dans l’ensemble, avec de l’action non-stop. Certains risquent cependant de trouver que l’issue de la rencontre entre Gaara et son père à un goût de "trop facile", mais le reste se tient.
Un nouveau tome au top ! Le fait de les enchaîner me fait un peu peur par contre, car je me dis qu'à un moment donné, le niveau va finir par descendre... Je profite donc au maximum.
Suite du combat entre Pain et Naruto, donc. Encore une fois ce n'est pas une gaieté de coeur de voir autant souffrir des personnages que l'on voit évoluer depuis tant de tomes maintenant. Une perte plutôt brutale est clairement annoncée, et j'ai du mal à me faire à l'idée. Ce n'était pas un protagoniste que j'appréciais énormément, mais tout de même, depuis quelques tomes, les décès s'accumulent et cela parmi les récurrents. Alors oui, je sais, nous sommes en temps de guerre maintenant, cela est clairement établi, et comme le dit Pain, la guerre engendre souffrance et perte... cela n'empêche que c'est difficile à voir.
Bien que Naruto soit au meilleure de sa forme, l'affrontement montre des hauts et des bas. Pas au niveau de la qualité, qui est vraiment très bonne ici, mais plus dans le fait que notre héros ne réussit pas toujours à porter ses attaques et qu'il y a des échecs. C'est plutôt réaliste, et cela ne donne pas un effet surhomme que je n'apprécie pas forcément au bout du compte. Pain est de toute façon un adversaire plus que coriace, il aurait donc été ridicule que ce combat soit emballé et pesé en un tome. Ce que j'ai trouvé encore plus intéressant, outre que graphiquement, encore une fois, le niveau est bien là, c'est qu'il y a cette notion de paix qui est traitée, celle de Pain. On peut comprendre son raisonnement, sans l'approuver. Et il demande clairement à Naruto ce que lui ferait. Notre héros n'a pas de réponse à cette question si délicate et complexe. Et nous voyons bien que les shinobis ont leur existence basée sur cette haine, produite par la vengeance. Mais l'adolescent veut trouver un moyen, et il ne s'arrêtera pas.
Là où mon petit coeur a totalement flanché, c'est que Minato fait son apparition. Et il parle à son fils ! Oui, Naruto apprend enfin la vérité sur l'un de ses parents et même si l'entrevue est courte, il n'en reste pas moins qu'elle est émouvante et qu'elle sera, je le pense, assez décisive dans le futur de notre héros. C'est une révélation lourde de conséquences aussi, car c'est un poids supplémentaire sur les épaules de Naruto, mais en même temps, cela devrait lui donner confiance en lui. De plus, savoir combien son père est fière de lui, ne peut que l'aider. Maintenant, par contre, j'aimerai vraiment savoir pourquoi Minato a scellé Kyûbi dans son fils. Comme le dit notre héros, c'est tout de même un geste plus qu'étrange pour un père de laisser un tel fardeau à sa progéniture.
Un tome donc que j'ai adoré, qui mêle action, émotions, en donnant quelques petites révélations. Il y a vraiment une hausse de niveau, certes lié à l'événement, mais qui prouve que le mangaka peut nous donner du grand spectacle de qualité.
Suite du combat entre Pain et Naruto, donc. Encore une fois ce n'est pas une gaieté de coeur de voir autant souffrir des personnages que l'on voit évoluer depuis tant de tomes maintenant. Une perte plutôt brutale est clairement annoncée, et j'ai du mal à me faire à l'idée. Ce n'était pas un protagoniste que j'appréciais énormément, mais tout de même, depuis quelques tomes, les décès s'accumulent et cela parmi les récurrents. Alors oui, je sais, nous sommes en temps de guerre maintenant, cela est clairement établi, et comme le dit Pain, la guerre engendre souffrance et perte... cela n'empêche que c'est difficile à voir.
Bien que Naruto soit au meilleure de sa forme, l'affrontement montre des hauts et des bas. Pas au niveau de la qualité, qui est vraiment très bonne ici, mais plus dans le fait que notre héros ne réussit pas toujours à porter ses attaques et qu'il y a des échecs. C'est plutôt réaliste, et cela ne donne pas un effet surhomme que je n'apprécie pas forcément au bout du compte. Pain est de toute façon un adversaire plus que coriace, il aurait donc été ridicule que ce combat soit emballé et pesé en un tome. Ce que j'ai trouvé encore plus intéressant, outre que graphiquement, encore une fois, le niveau est bien là, c'est qu'il y a cette notion de paix qui est traitée, celle de Pain. On peut comprendre son raisonnement, sans l'approuver. Et il demande clairement à Naruto ce que lui ferait. Notre héros n'a pas de réponse à cette question si délicate et complexe. Et nous voyons bien que les shinobis ont leur existence basée sur cette haine, produite par la vengeance. Mais l'adolescent veut trouver un moyen, et il ne s'arrêtera pas.
Là où mon petit coeur a totalement flanché, c'est que Minato fait son apparition. Et il parle à son fils ! Oui, Naruto apprend enfin la vérité sur l'un de ses parents et même si l'entrevue est courte, il n'en reste pas moins qu'elle est émouvante et qu'elle sera, je le pense, assez décisive dans le futur de notre héros. C'est une révélation lourde de conséquences aussi, car c'est un poids supplémentaire sur les épaules de Naruto, mais en même temps, cela devrait lui donner confiance en lui. De plus, savoir combien son père est fière de lui, ne peut que l'aider. Maintenant, par contre, j'aimerai vraiment savoir pourquoi Minato a scellé Kyûbi dans son fils. Comme le dit notre héros, c'est tout de même un geste plus qu'étrange pour un père de laisser un tel fardeau à sa progéniture.
Un tome donc que j'ai adoré, qui mêle action, émotions, en donnant quelques petites révélations. Il y a vraiment une hausse de niveau, certes lié à l'événement, mais qui prouve que le mangaka peut nous donner du grand spectacle de qualité.
Cela va peut-être vous paraître un comble mais… J’ai beaucoup de mal quand dans un manga, le texte et les explications prennent trop le dessus sur le reste… Et là avec ce tome trente neuf, j’ai trouvé que Masashi Kishimoto perdait trop le lecteur avec des explications plutôt que de se focaliser sur l’action et quand celle-ci vient enfin, on tombe sur un ennemi qui ne cesse de blablater…
Moi, pas trop emballée par ce volume… Oui, carrément… Déjà la partie avec les membres d’Akatsuki… Franchement, je me moque de savoir ce qu’ils pensent des événements actuels. Cela ne fait rien avancer, et j’ai l’impression de toujours voir les mêmes choses avec ce monstre qu’ils essayent de construire avec les démons. Cette organisation n’est absolument pas approfondie. A part le fait que ce sont des méchants, j’avoue que je suis assez perdue sur leur raison d’être. Alors que pourtant avec les énergumènes qu’ils ont dans leurs rangs, il y a de quoi creuser.
Ensuite, Karin… mon dieu… elle n’est là que depuis deux tomes et je ne la supporte déjà plus. Son côté grotesque est pénible à souhait, et ce qui m’agace le plus, c’est que c’est encore un personnage féminin qui se voit discréditer. Je veux bien croire qu’on est dans un shonen, mais tout de même… Les deux autres membres de Ebi sont fort heureusement plus intéressants (bah oui, ce sont des hommes…) et Sasuke avec sa nonchalance et son calme parvient vraiment à tirer son épingle du jeu.
Je suis plus septique par rapport aux deux équipes de Konoha qui sont parties à la recherche d’Itachi par contre. C’est du déjà vu, même si cette fois, on change l’équipe « amie ». Je ne comprends même pas la logique « politique » de vouloir récupérer Sasuke. Entendons-nous bien, je souhaite qu’il retrouve ses esprits et qu’il soit de nouveau en paix, mais pourquoi se mêler de sa vendetta ? Pour un seul homme, qui ne fait aucun mal à Konoha, on est prêt à sacrifier une dizaine de ninjas…
Le retour express de Kabuto m’a par contre bien fait flipper et j’espère ne jamais le revoir. Jusqu’à présent, je pense que la planche de Masashi Kishimoto mettant en gros plan le traitre a été le moment le plus terrifiant de ce manga, et il s’en est pourtant passé pas mal depuis…
Un tome en demi teinte pour moi donc. Je me suis ennuyée à certains moments, et je trouve que le mangaka ne se renouvèle pas assez en ce moment…
Moi, pas trop emballée par ce volume… Oui, carrément… Déjà la partie avec les membres d’Akatsuki… Franchement, je me moque de savoir ce qu’ils pensent des événements actuels. Cela ne fait rien avancer, et j’ai l’impression de toujours voir les mêmes choses avec ce monstre qu’ils essayent de construire avec les démons. Cette organisation n’est absolument pas approfondie. A part le fait que ce sont des méchants, j’avoue que je suis assez perdue sur leur raison d’être. Alors que pourtant avec les énergumènes qu’ils ont dans leurs rangs, il y a de quoi creuser.
Ensuite, Karin… mon dieu… elle n’est là que depuis deux tomes et je ne la supporte déjà plus. Son côté grotesque est pénible à souhait, et ce qui m’agace le plus, c’est que c’est encore un personnage féminin qui se voit discréditer. Je veux bien croire qu’on est dans un shonen, mais tout de même… Les deux autres membres de Ebi sont fort heureusement plus intéressants (bah oui, ce sont des hommes…) et Sasuke avec sa nonchalance et son calme parvient vraiment à tirer son épingle du jeu.
Je suis plus septique par rapport aux deux équipes de Konoha qui sont parties à la recherche d’Itachi par contre. C’est du déjà vu, même si cette fois, on change l’équipe « amie ». Je ne comprends même pas la logique « politique » de vouloir récupérer Sasuke. Entendons-nous bien, je souhaite qu’il retrouve ses esprits et qu’il soit de nouveau en paix, mais pourquoi se mêler de sa vendetta ? Pour un seul homme, qui ne fait aucun mal à Konoha, on est prêt à sacrifier une dizaine de ninjas…
Le retour express de Kabuto m’a par contre bien fait flipper et j’espère ne jamais le revoir. Jusqu’à présent, je pense que la planche de Masashi Kishimoto mettant en gros plan le traitre a été le moment le plus terrifiant de ce manga, et il s’en est pourtant passé pas mal depuis…
Un tome en demi teinte pour moi donc. Je me suis ennuyée à certains moments, et je trouve que le mangaka ne se renouvèle pas assez en ce moment…
Un tome étrange dans le sens où il était intéressant et en même temps, j'ai eu aussi cette impression de trop plein d'informations qui m'ont plus noyée qu'autre chose. Je m'attendais à ce genre de tomes d'entre deux, certes, mais c'est toujours assez étrange après autant d'actions de se retrouver à voir l'entrainement du héros. Cela crédibilise l'augmentation des pouvoirs et de la force, bien sûr, mais cela casse le rythme en même temps.
De retour à Konoha, l'équipe de Kakashi fait son rapport à Tsunade. Sasuke est plus déterminé que jamais à aller jusqu'au bout de sa vengeance, et nos héros, malgré leur échec, ne peuvent se résoudre à l'abandonner. Même Saï décide de continuer à faire partie de la bande. Si au début j'avais beaucoup de mal avec lui, j'avoue que maintenant, j'arrive à l'apprécier. Les quelques pages qui lui sont consacrées aident beaucoup ajoutant plus d'humanité et d'émotions aux personnage. A voir comment cela va évoluer, mais il y a du mieux.
La plus grande partie du tome est consacré à l'entrainement de Naruto. Partie comme je l'ai dit intéressante, mais un chouia trop longue. Masashi Kishimoto montre cependant qu'il a très bien travaillé son univers, poussant jusqu'à expliquer les différentes techniques, leur origine, leur effet, l'utilisation du chakra... C'est peut-être un détail pour certains, mais je trouve que c'est le genre de petite chose qui fait toute la différence. L'explication des différents types de chakra était une nouveauté, et j'ai particulièrement apprécié l'idée de Kakashi. Naruto se montre très doué, comme d'habitude, mais c'est plus sa ténacité et sa candeur qui font que son apprentissage est sympathique à voir.
Là où les choses deviennent moins sympas, c'est qu'Akatsuki fait aussi partie de ce tome... Et ils sont loin de se tourner les pouces. Toujours à la chasse aux réceptacles, ils déciment tous ceux qui se trouvent sur leur passage. J'ai tout de même un peu tiqué car on les voit quand même venir à bout de plusieurs réceptacles dont des adultes en pleine possession de leurs pouvoirs. Je ne sais pas, j'ai trouvé leurs réussites un peu facile, surtout quand on voit que des membres de Konoha ont déjà réussi à leur tenir tête "sans trop de mal". Mais bon, ils ne sont pas Naruto... Seul argument potable trouvé...
Ce tome m'a aussi laissé une impression étrange vis-à-vis d'un personnage que j'aime beaucoup malgré ses apparitions sporadiques : Asuma. J'ai un très mauvais pressentiment... Il y a pas mal de petits détails qui n'augurent rien de bon pour moi. J'espère sincèrement me tromper, mais je n'arrive pas à m'ôter cette idée de la tête... Je croise les doigts...
De retour à Konoha, l'équipe de Kakashi fait son rapport à Tsunade. Sasuke est plus déterminé que jamais à aller jusqu'au bout de sa vengeance, et nos héros, malgré leur échec, ne peuvent se résoudre à l'abandonner. Même Saï décide de continuer à faire partie de la bande. Si au début j'avais beaucoup de mal avec lui, j'avoue que maintenant, j'arrive à l'apprécier. Les quelques pages qui lui sont consacrées aident beaucoup ajoutant plus d'humanité et d'émotions aux personnage. A voir comment cela va évoluer, mais il y a du mieux.
La plus grande partie du tome est consacré à l'entrainement de Naruto. Partie comme je l'ai dit intéressante, mais un chouia trop longue. Masashi Kishimoto montre cependant qu'il a très bien travaillé son univers, poussant jusqu'à expliquer les différentes techniques, leur origine, leur effet, l'utilisation du chakra... C'est peut-être un détail pour certains, mais je trouve que c'est le genre de petite chose qui fait toute la différence. L'explication des différents types de chakra était une nouveauté, et j'ai particulièrement apprécié l'idée de Kakashi. Naruto se montre très doué, comme d'habitude, mais c'est plus sa ténacité et sa candeur qui font que son apprentissage est sympathique à voir.
Là où les choses deviennent moins sympas, c'est qu'Akatsuki fait aussi partie de ce tome... Et ils sont loin de se tourner les pouces. Toujours à la chasse aux réceptacles, ils déciment tous ceux qui se trouvent sur leur passage. J'ai tout de même un peu tiqué car on les voit quand même venir à bout de plusieurs réceptacles dont des adultes en pleine possession de leurs pouvoirs. Je ne sais pas, j'ai trouvé leurs réussites un peu facile, surtout quand on voit que des membres de Konoha ont déjà réussi à leur tenir tête "sans trop de mal". Mais bon, ils ne sont pas Naruto... Seul argument potable trouvé...
Ce tome m'a aussi laissé une impression étrange vis-à-vis d'un personnage que j'aime beaucoup malgré ses apparitions sporadiques : Asuma. J'ai un très mauvais pressentiment... Il y a pas mal de petits détails qui n'augurent rien de bon pour moi. J'espère sincèrement me tromper, mais je n'arrive pas à m'ôter cette idée de la tête... Je croise les doigts...
Un tome d'entre-deux mais qui est aussi un tournant dans la saga, et pas des moindres. Dans l'ensemble, le tout est assez bien traité même si j'avoue qu'une partie m'a encore une fois titillée... J'arrive toujours à comprendre Masashi Kishimoto, et il reste fidèle à la personnalité de ses personnages, mais certains de leurs choix sont sacrément discutables.
Tsunade a donc décidé de retourner à Konoha pour accepter le titre de cinquième Hokage. Un challenge que la ninja souhaite relever et avec entrain. C'est plutôt plaisant de la voir ainsi et avec ce tout nouvel état d'esprit. Je ne sais pas ce que donnera son "règne" mais je pense qu'il ne sera pas forcément de tout repos, et je ne parle pas du fait qu'Orochimaru veuille détruire Konoha et de la menace Akatsuki... On ne va pas s'ennuyer d'ici un moment, c'est certain.
L'élément le plus important de ce tome réside surtout en Sasuke. Il s'est enfin réveillé grâce à Tsunade, mais il a été pas mal perturbé par sa rencontre avec son grand-frère. Je ne pensais pas le voir sous cet angle-là. Il a un syndrome de supériorité vraiment mal placé... et de là à s'en prendre à Naruto, il y a une marge... Le tome est donc assez dur à voir, surtout avec ce conflit. Si Naruto le voit comme un adversaire en plus d'un ami, cette vision est positive, dans le sens où notre héros veut progresser. Sasuke est pour lui un objectif à atteindre sans pour autant être un but final. Sasuke, lui, voit la supériorité de Naruto comme un échec. Il doit donc éliminer cette "menace", en oubliant totalement le facteur ami. Je comprends que la colère et la haine de Sasuke vis-à-vis d'Itachi fausse son jugement, mais quand même... Et son aveuglement me fait craindre le pire, car j'ai l'impression qu'il sera prêt à pas mal de chose pour rétablir l'équilibre... quitte à rejoindre Orochimaru... Après, Sasuke a un bon fond, et il nous l'a prouvé de nombreuses fois. Il sera probablement ce genre de personnage toujours au bord du précipice entre choisir le pire tout en restant bon.
Le point par contre qui m'a le plus ennuyé reste Lee. Sa relation avec Gai est vraiment toxique pour moi. Ce dernier le pousse à faire des choses pas croyables pour réaliser son rêve, en mettant sa vie en danger très régulièrement. Je peux comprendre que le maître veuille que son élève aille vers son objectif, et que l'on a affaire à des ninjas... Mais encore une fois, ce sont des enfants, ce sont aux adultes de les protéger tout en le permettant de grandir. Et je ne ressens pas du tout cela avec Gai...
Tsunade a donc décidé de retourner à Konoha pour accepter le titre de cinquième Hokage. Un challenge que la ninja souhaite relever et avec entrain. C'est plutôt plaisant de la voir ainsi et avec ce tout nouvel état d'esprit. Je ne sais pas ce que donnera son "règne" mais je pense qu'il ne sera pas forcément de tout repos, et je ne parle pas du fait qu'Orochimaru veuille détruire Konoha et de la menace Akatsuki... On ne va pas s'ennuyer d'ici un moment, c'est certain.
L'élément le plus important de ce tome réside surtout en Sasuke. Il s'est enfin réveillé grâce à Tsunade, mais il a été pas mal perturbé par sa rencontre avec son grand-frère. Je ne pensais pas le voir sous cet angle-là. Il a un syndrome de supériorité vraiment mal placé... et de là à s'en prendre à Naruto, il y a une marge... Le tome est donc assez dur à voir, surtout avec ce conflit. Si Naruto le voit comme un adversaire en plus d'un ami, cette vision est positive, dans le sens où notre héros veut progresser. Sasuke est pour lui un objectif à atteindre sans pour autant être un but final. Sasuke, lui, voit la supériorité de Naruto comme un échec. Il doit donc éliminer cette "menace", en oubliant totalement le facteur ami. Je comprends que la colère et la haine de Sasuke vis-à-vis d'Itachi fausse son jugement, mais quand même... Et son aveuglement me fait craindre le pire, car j'ai l'impression qu'il sera prêt à pas mal de chose pour rétablir l'équilibre... quitte à rejoindre Orochimaru... Après, Sasuke a un bon fond, et il nous l'a prouvé de nombreuses fois. Il sera probablement ce genre de personnage toujours au bord du précipice entre choisir le pire tout en restant bon.
Le point par contre qui m'a le plus ennuyé reste Lee. Sa relation avec Gai est vraiment toxique pour moi. Ce dernier le pousse à faire des choses pas croyables pour réaliser son rêve, en mettant sa vie en danger très régulièrement. Je peux comprendre que le maître veuille que son élève aille vers son objectif, et que l'on a affaire à des ninjas... Mais encore une fois, ce sont des enfants, ce sont aux adultes de les protéger tout en le permettant de grandir. Et je ne ressens pas du tout cela avec Gai...
J'ai adoré ce quinzième tome. Il est vraiment très bien mené et malgré sa tristesse globale, dosée avec perfection sans entrer dans le pathos, il laisse entrevoir de très belles choses pour la suite. Avec une bonne dose d'héroïsme et d'espoir, on peut dire qu'on assiste ici à du grand Naruto.
Je pensais que nous allions avoir droit à la fin du combat opposant Orochimaru et Sarutobi mais au lieu de cela, c'est notre héros qui est à l'honneur durant tout ce volume. Avec le recul, je me dis que c'est un bon choix et cela pour deux raisons. Premièrement, du point de vue émotionnel. Vu ce que l'Hokage a dit, je ne m'attends pas à un combat qui se finisse bien, loin de là. Couper le combat permet donc de temporiser l'événement en lui donnant une petite pause qui saura le rendre encore plus percutant. Deuxièmement, du point de vu chronologique, il est mieux de suivre un peu plus la course poursuite de nos héros pour garder un parallélisme (non, je ne vais pas faire un cours de maths, ne partez pas) avec les autres actions en cours. Et puis, on fait un peu trépigner le lecteur au passage pour qu'il se rue sur le prochain tome ! C'est tout bénef !
Mais trêve de plaisanterie, retournons un peu à ce combat contre Gaara. Personnellement, je voyais mal Sasuke gagner même avec sa nouvelle technique. Il ne faut pas oublier qu'il a toujours la marque d'Orochimaru et que son adverse est quand même hanté par un démon. Je veux bien que Sasuke soit un petit prodige, mais il ne faut pas non plus pousser. Cependant, même sans cette non-surprise, l'exploitation psychologique est au top, ici. Gaara fait autant écho à Sasuke qu'à Naruto. Pour le premier, c'est la haine et la soif de vengeance qui les relient. Pour le second, c'est le rejet des autres. Ces trois-là n'ont pas eu des enfances heureuses, c'est indéniable, et franchement, en apprenant tout ce que Gaara a subi, je ne le déteste absolument pas, loin de là. J'ai de la peine pour lui, du mépris pour les adultes qui l'ont entouré et qui ont tenté de le tuer, lui ont sorti les pires saloperies possibles, et ne lui ont jamais donné d'amour. Comment un enfant peut bien tourner avec tout ça ? C'est de l’écœurement pur et simple à voir. Et on ne souhaite qu'une chose : que Naruto entre en jeu et fasse jouer sa magie. Parce que l'enfant nous a prouvé à de nombreuses reprises qu'il pouvait faire des miracles avec les autres.
Un rapide petit mot d'ailleurs sur la séquence émotion où Sasuke dit à Naruto que lui et Sakura sont des amis qu'il chérit... J'adore. Une autre preuve que les personnes qui nous entourent peuvent être toxiques mais aussi être la meilleure médecine au monde. Et autant vous dire que Naruto prend la chose aussi bien que moi ! Et là, le petit bonhomme reprend du poil de la bête et nous montre combien son entraînement avec Jiraya était tout sauf inutile. Les choses sérieuses commencent vraiment et c'est du grand spectacle avec sa dose d'humour habituelle qui fait passer tout ça nickel. J'aime beaucoup l'idée des animaux que l'on invoque. Plusieurs personnages en font l'utilisation, Sarutobi, Jiraya, Kakashi et maintenant Naruto et je trouve cela chouette. Déjà, c'est classe à souhait, et j'aime bien le côté "acolyte". Et puis ça donne au combat une toute autre dimension.
Je pensais que nous allions avoir droit à la fin du combat opposant Orochimaru et Sarutobi mais au lieu de cela, c'est notre héros qui est à l'honneur durant tout ce volume. Avec le recul, je me dis que c'est un bon choix et cela pour deux raisons. Premièrement, du point de vue émotionnel. Vu ce que l'Hokage a dit, je ne m'attends pas à un combat qui se finisse bien, loin de là. Couper le combat permet donc de temporiser l'événement en lui donnant une petite pause qui saura le rendre encore plus percutant. Deuxièmement, du point de vu chronologique, il est mieux de suivre un peu plus la course poursuite de nos héros pour garder un parallélisme (non, je ne vais pas faire un cours de maths, ne partez pas) avec les autres actions en cours. Et puis, on fait un peu trépigner le lecteur au passage pour qu'il se rue sur le prochain tome ! C'est tout bénef !
Mais trêve de plaisanterie, retournons un peu à ce combat contre Gaara. Personnellement, je voyais mal Sasuke gagner même avec sa nouvelle technique. Il ne faut pas oublier qu'il a toujours la marque d'Orochimaru et que son adverse est quand même hanté par un démon. Je veux bien que Sasuke soit un petit prodige, mais il ne faut pas non plus pousser. Cependant, même sans cette non-surprise, l'exploitation psychologique est au top, ici. Gaara fait autant écho à Sasuke qu'à Naruto. Pour le premier, c'est la haine et la soif de vengeance qui les relient. Pour le second, c'est le rejet des autres. Ces trois-là n'ont pas eu des enfances heureuses, c'est indéniable, et franchement, en apprenant tout ce que Gaara a subi, je ne le déteste absolument pas, loin de là. J'ai de la peine pour lui, du mépris pour les adultes qui l'ont entouré et qui ont tenté de le tuer, lui ont sorti les pires saloperies possibles, et ne lui ont jamais donné d'amour. Comment un enfant peut bien tourner avec tout ça ? C'est de l’écœurement pur et simple à voir. Et on ne souhaite qu'une chose : que Naruto entre en jeu et fasse jouer sa magie. Parce que l'enfant nous a prouvé à de nombreuses reprises qu'il pouvait faire des miracles avec les autres.
Un rapide petit mot d'ailleurs sur la séquence émotion où Sasuke dit à Naruto que lui et Sakura sont des amis qu'il chérit... J'adore. Une autre preuve que les personnes qui nous entourent peuvent être toxiques mais aussi être la meilleure médecine au monde. Et autant vous dire que Naruto prend la chose aussi bien que moi ! Et là, le petit bonhomme reprend du poil de la bête et nous montre combien son entraînement avec Jiraya était tout sauf inutile. Les choses sérieuses commencent vraiment et c'est du grand spectacle avec sa dose d'humour habituelle qui fait passer tout ça nickel. J'aime beaucoup l'idée des animaux que l'on invoque. Plusieurs personnages en font l'utilisation, Sarutobi, Jiraya, Kakashi et maintenant Naruto et je trouve cela chouette. Déjà, c'est classe à souhait, et j'aime bien le côté "acolyte". Et puis ça donne au combat une toute autre dimension.
"Naruto" c'est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s'identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Ce tome 35 est un tome de transition avec une nouvelle fois un rythme et un intérêt en dents de scie qui alternent les séances d’entraînement de Naruto, les avancées d’Akatsuki dans leur quête des bijû, ici représentée par les duos Deidara / Tobi et Kazuzu / Hidan, et les mesures prises pour les contrer (qui sont assez pour ne pas dire très faiblardes pour des ninjas d’élite dont c’est le métier voire l’hérédité : la connerie des kage qui laissent faire leurs adversaires est quand même le principal moteur de l’histoire).
On retrouve ici des grosses ficelles de shonen : les power-up, les explications sur le chakra ici bien repompées sur celle du nen dans "Hunter X Hunter", les méchant masqués qui révèleront plus tard leurs véritables identités, et les combats ellipsés pour mieux révéler ultérieurement les techniques et la puissance des opposants... Rien de bien méchant, mais dans un shonen mainsteam à rallonge c’est utilisé x fois donc cela peut vite devenir soûlant !
Ce tome 35 est un tome de transition avec une nouvelle fois un rythme et un intérêt en dents de scie qui alternent les séances d’entraînement de Naruto, les avancées d’Akatsuki dans leur quête des bijû, ici représentée par les duos Deidara / Tobi et Kazuzu / Hidan, et les mesures prises pour les contrer (qui sont assez pour ne pas dire très faiblardes pour des ninjas d’élite dont c’est le métier voire l’hérédité : la connerie des kage qui laissent faire leurs adversaires est quand même le principal moteur de l’histoire).
On retrouve ici des grosses ficelles de shonen : les power-up, les explications sur le chakra ici bien repompées sur celle du nen dans "Hunter X Hunter", les méchant masqués qui révèleront plus tard leurs véritables identités, et les combats ellipsés pour mieux révéler ultérieurement les techniques et la puissance des opposants... Rien de bien méchant, mais dans un shonen mainsteam à rallonge c’est utilisé x fois donc cela peut vite devenir soûlant !
"Naruto" c'est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s'identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Dans ce tome 31 les promesses sont tenues :
- Sakura et Chiyo livre un duel dantesque avec le ninja cyborg Sasori du Sable Rouge, les 10 chefs-d’œuvre de la grand-mère affrontant les 100 marionnettes-zombies du son petit-fils (ça sent le comics, et c’est dommage que les comics offrent aussi peu souvent des combats de cette intensité et de cette qualité)
- Kakashi confronte les nouvelles capacités de son sharingan aux pouvoirs explosifs de Deidara
- on arrache Gaara aux griffes d’Akastsuki mais d’abord et surtout à celle de la Grande Faucheuse
- séquence émotion avec la vieille et misanthrope Chiyo qui donne sa vie pour l’avenir de sa communauté
Tout cela sent bon les bonnes vieilles tragédies du shonen antique, et seule la dernière page fait un peu tâche avec ce nouvel adversaire censément mystérieux car masqué mais dont j’ai tout de suite deviné l’identité (le nom anagramme, la coupe de cheveux, la dégaine générale et tutti quanti… vous nous aviez habitués à mieux que cela Monsieur Kishimoto !)
Dans ce tome 31 les promesses sont tenues :
- Sakura et Chiyo livre un duel dantesque avec le ninja cyborg Sasori du Sable Rouge, les 10 chefs-d’œuvre de la grand-mère affrontant les 100 marionnettes-zombies du son petit-fils (ça sent le comics, et c’est dommage que les comics offrent aussi peu souvent des combats de cette intensité et de cette qualité)
- Kakashi confronte les nouvelles capacités de son sharingan aux pouvoirs explosifs de Deidara
- on arrache Gaara aux griffes d’Akastsuki mais d’abord et surtout à celle de la Grande Faucheuse
- séquence émotion avec la vieille et misanthrope Chiyo qui donne sa vie pour l’avenir de sa communauté
Tout cela sent bon les bonnes vieilles tragédies du shonen antique, et seule la dernière page fait un peu tâche avec ce nouvel adversaire censément mystérieux car masqué mais dont j’ai tout de suite deviné l’identité (le nom anagramme, la coupe de cheveux, la dégaine générale et tutti quanti… vous nous aviez habitués à mieux que cela Monsieur Kishimoto !)
"Naruto" c'est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s'identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Ce tome 29 est mené tambour battant et la team Kakashi affronte Itachi Uchiwa tandis que la team Gaï affronte Kisame Hoshigaki… Mais les deux compères d’Akatsuki n’ont pas l’intention de sacrifier leur vie puisqu’ils sont là uniquement pour gagner du temps. C’est l’occasion pour le mangaka de se faire plaisir et de nous faire plaisir en faisant l’étalage des techniques des uns et des autres !
Pendant ce temps Gaara est toujours aux mains des sorciers de l’organisation terroriste aux sombres projets. L’heure est grave et une nouvelle tragédie de se prépare… Un shonen de fort bonne facture où on ne s’ennuie pas une seule page !
Ce tome 29 est mené tambour battant et la team Kakashi affronte Itachi Uchiwa tandis que la team Gaï affronte Kisame Hoshigaki… Mais les deux compères d’Akatsuki n’ont pas l’intention de sacrifier leur vie puisqu’ils sont là uniquement pour gagner du temps. C’est l’occasion pour le mangaka de se faire plaisir et de nous faire plaisir en faisant l’étalage des techniques des uns et des autres !
Pendant ce temps Gaara est toujours aux mains des sorciers de l’organisation terroriste aux sombres projets. L’heure est grave et une nouvelle tragédie de se prépare… Un shonen de fort bonne facture où on ne s’ennuie pas une seule page !
"Naruto" c'est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s'identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Dans ce tome 26 la confrontation entre Naruto et Sasuke se poursuit et se conclue :
- Naruto veut prouver qu’il est le plus fort pour obliger Sasuke à retourner au village caché de Konoha et n’hésite pas à piocher dans le chakra rouge de Kyubi pour alimenter ses « rasengan »
- Sasuke veut prouver qu’il est le plus fort pour montrer qu’il a raison de quitter Konoha pour rejoindre Orochimau et n’hésite pas à recourir au pouvoir de sa marque pour alimenter ses « mille oiseaux »
Et Masahi Kisihimoto met du pathos avec un Sasuke hanté par les derrière paroles de son frère Itachi : « si tu veux devenir plus fort, il te faudra tuer ton meilleur ami ! » Sasuke va-t-il tuer Naruto ? Suspens !
Tout est fait pour mettre en parallèle les destins de Naruto et Sasuke, mais si cela avait très bien marché avec Gaara du désert ici c’est un peu bancal pour la simple et bonne raison que les deux personnages n’ont ni la même histoire, ni les mêmes motivations, ni les mêmes objectifs… (Raillés par leur clan respectif, Naruto et Gaara veulent gagner la reconnaissance de leurs pairs alors que Sasuke veut juste buter son frère Itachi)
Le tome se finit par un épilogue à l’infirmerie de Konoha. Shikaku Nara est définitivement le personnage le plus censé de la série puisqu’il passe un savon à Tsunade d’avoir jouée à l’apprentie sorcière en ayant envoyé des ninjas aussi jeunes et inexpérimentés à la poursuite des champions d’Orochimaru. Sinon début d’une idylle entre Shikamaru et Temari ? ^^
Dans ce tome 26 la confrontation entre Naruto et Sasuke se poursuit et se conclue :
- Naruto veut prouver qu’il est le plus fort pour obliger Sasuke à retourner au village caché de Konoha et n’hésite pas à piocher dans le chakra rouge de Kyubi pour alimenter ses « rasengan »
- Sasuke veut prouver qu’il est le plus fort pour montrer qu’il a raison de quitter Konoha pour rejoindre Orochimau et n’hésite pas à recourir au pouvoir de sa marque pour alimenter ses « mille oiseaux »
Et Masahi Kisihimoto met du pathos avec un Sasuke hanté par les derrière paroles de son frère Itachi : « si tu veux devenir plus fort, il te faudra tuer ton meilleur ami ! » Sasuke va-t-il tuer Naruto ? Suspens !
Tout est fait pour mettre en parallèle les destins de Naruto et Sasuke, mais si cela avait très bien marché avec Gaara du désert ici c’est un peu bancal pour la simple et bonne raison que les deux personnages n’ont ni la même histoire, ni les mêmes motivations, ni les mêmes objectifs… (Raillés par leur clan respectif, Naruto et Gaara veulent gagner la reconnaissance de leurs pairs alors que Sasuke veut juste buter son frère Itachi)
Le tome se finit par un épilogue à l’infirmerie de Konoha. Shikaku Nara est définitivement le personnage le plus censé de la série puisqu’il passe un savon à Tsunade d’avoir jouée à l’apprentie sorcière en ayant envoyé des ninjas aussi jeunes et inexpérimentés à la poursuite des champions d’Orochimaru. Sinon début d’une idylle entre Shikamaru et Temari ? ^^
"Naruto" c’est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s’identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Avec ce tome 16, je suis encore et toujours narutard... La Bataille de Konoha se conclue, de manière assez tragique il faut bien le dire :
- à défaut d’emporter Orochimaru dans la tombe avec lui, l’Hokage Hiruzen Saruto parvient à l’handicaper définitivement (du moins pourrait-on le croire)…
- dans de bien trop coutes pages, les ninjas de classe supérieurs de Konoha parviennent à repousser les ninjas terroristes d’Orochimaru
- Naruto et son crapaud géant parvient à neutraliser le blaireau des sables de Gaara… La dualité des deux personnages est assez joliment mis en scène, Naruto reconnaissant en Gaara sa propre souffrance et Gaara voyant en Naruto une échappatoire à sa propre souffrance : « il n’est pas de meilleure façon de vaincre un ennemi que de s’en faire un ami » !
Les funérailles des tombés pour la patrie au pied du Mont Rushmore de Konoha sont très tristes, et le mangaka insère par flashbacks d’autres funérailles sur lesquelles il laisse planer le mystère… Nous sommes dans du foreshadowing !
Mais Masashi Kishimoto relance immédiatement la machine : tandis que Kiraya et Naruto partent en quête de la légendaire Tsunade pour qu’elle devienne la nouvelle Hokage de Konoha, Itachi Uchiwa, meurtrier des siens, et Kisame Hoshigaki, ninja déserteur du Village Caché de la Brume au look d’homme-requin, partent eux en quête pour l’Akatsuki de Naruto détenteur du bijû Kyubi (je n’en ai pas encore parlé, mais ce renard-démon est un bon plagiat de l’Être Pâle du manga "Ushio & Tora")
Après de nouveaux affrontements entre ninjas supérieurs, le cliffhanger de fin, emprunté au film "Le Silence des agneaux" réalisé en 1991 par Jonathan Demme, est hitchcockien !
Avec ce tome 16, je suis encore et toujours narutard... La Bataille de Konoha se conclue, de manière assez tragique il faut bien le dire :
- à défaut d’emporter Orochimaru dans la tombe avec lui, l’Hokage Hiruzen Saruto parvient à l’handicaper définitivement (du moins pourrait-on le croire)…
- dans de bien trop coutes pages, les ninjas de classe supérieurs de Konoha parviennent à repousser les ninjas terroristes d’Orochimaru
- Naruto et son crapaud géant parvient à neutraliser le blaireau des sables de Gaara… La dualité des deux personnages est assez joliment mis en scène, Naruto reconnaissant en Gaara sa propre souffrance et Gaara voyant en Naruto une échappatoire à sa propre souffrance : « il n’est pas de meilleure façon de vaincre un ennemi que de s’en faire un ami » !
Les funérailles des tombés pour la patrie au pied du Mont Rushmore de Konoha sont très tristes, et le mangaka insère par flashbacks d’autres funérailles sur lesquelles il laisse planer le mystère… Nous sommes dans du foreshadowing !
Mais Masashi Kishimoto relance immédiatement la machine : tandis que Kiraya et Naruto partent en quête de la légendaire Tsunade pour qu’elle devienne la nouvelle Hokage de Konoha, Itachi Uchiwa, meurtrier des siens, et Kisame Hoshigaki, ninja déserteur du Village Caché de la Brume au look d’homme-requin, partent eux en quête pour l’Akatsuki de Naruto détenteur du bijû Kyubi (je n’en ai pas encore parlé, mais ce renard-démon est un bon plagiat de l’Être Pâle du manga "Ushio & Tora")
Après de nouveaux affrontements entre ninjas supérieurs, le cliffhanger de fin, emprunté au film "Le Silence des agneaux" réalisé en 1991 par Jonathan Demme, est hitchcockien !
"Naruto" c’est vraiment le manga de la génération 2000 (bien plus que "One Piece" car on peut difficilement s’identifier à un homme caoutchouc à chapeau de paille), mais il est autant acclamé comme héritier de "Dragon Ball" que décrié comme manga pour kikoos. Et au final, tout le monde a raison…
Ayant réussi l’épreuve du professeur Kakashi, Naruto, Sasuke et Sakura sont désormais aspirants ninjas et accomplissent des missions palpitantes comme retrouver des chats perdus… A force de rouspéter, on leur confie une mission de niveau de classe C : escorter l’architecte Tazuna jusqu’à son chantier du pont reliant le pays des vagues au continent.
Masashi Kishimoto nous fait ensuite une bonne dose de foreshadowing avec les 5 grands clans de ninjas :
- le village caché de Konoha no kuni, le pays des feuilles, dirigé par le maître Kokage
- le village caché de Kiri no kuni, le pays du brouillard, dirigé la maître Mizukage
- le village caché de Kumo no kuni, le pays des nuages, dirigé par le maître Raikage
- le village caché de Suna no kuni, le pays du sable, dirigé par le maître Kazekage
- le village caché d’Iwa no kuni, le pays des roches, dirigé par le maître Tsuchikage
La team Naruto est confrontée aux ninjas mercenaires employés par le patron voyou Gatô, et après un tour de chauffe maître Kakashi est confronté au terrible Zabusa Momochi, dit le Démon de Kiri no kuni, seul survivant de la bataille royale qui oppose les aspirants ninja du village caché du pays du brouillard… Et Libéré de sa prison d’eau par Naruto, Kakashi utilise son Sharingan pour copier les puissantes techniques liées à la magie de l’eau à son redoutable adversaire. Un super combat dès le tome 2, ça c’est super cool !
Mais au final Zabusa est sauvé par son jeune apprenti Haku, déguisé en membre de la brigade des chasseurs de ninjas déserteurs. Kakashi n’est pas dupe de la situation et anticipant le pire, tandis qu’il guérit de ses blessures il entraîne ses élèves au malaxage de shakras (pas terrible comme dénomination)...
Ayant réussi l’épreuve du professeur Kakashi, Naruto, Sasuke et Sakura sont désormais aspirants ninjas et accomplissent des missions palpitantes comme retrouver des chats perdus… A force de rouspéter, on leur confie une mission de niveau de classe C : escorter l’architecte Tazuna jusqu’à son chantier du pont reliant le pays des vagues au continent.
Masashi Kishimoto nous fait ensuite une bonne dose de foreshadowing avec les 5 grands clans de ninjas :
- le village caché de Konoha no kuni, le pays des feuilles, dirigé par le maître Kokage
- le village caché de Kiri no kuni, le pays du brouillard, dirigé la maître Mizukage
- le village caché de Kumo no kuni, le pays des nuages, dirigé par le maître Raikage
- le village caché de Suna no kuni, le pays du sable, dirigé par le maître Kazekage
- le village caché d’Iwa no kuni, le pays des roches, dirigé par le maître Tsuchikage
La team Naruto est confrontée aux ninjas mercenaires employés par le patron voyou Gatô, et après un tour de chauffe maître Kakashi est confronté au terrible Zabusa Momochi, dit le Démon de Kiri no kuni, seul survivant de la bataille royale qui oppose les aspirants ninja du village caché du pays du brouillard… Et Libéré de sa prison d’eau par Naruto, Kakashi utilise son Sharingan pour copier les puissantes techniques liées à la magie de l’eau à son redoutable adversaire. Un super combat dès le tome 2, ça c’est super cool !
Mais au final Zabusa est sauvé par son jeune apprenti Haku, déguisé en membre de la brigade des chasseurs de ninjas déserteurs. Kakashi n’est pas dupe de la situation et anticipant le pire, tandis qu’il guérit de ses blessures il entraîne ses élèves au malaxage de shakras (pas terrible comme dénomination)...
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